Eternelles victimes au travail : voilées et barbus au travail, aïe !

 

Eternelles victimes au travail :  étude à l’appui, les “salariés facilement offensés” font de terribles collaborateurs 

Les employeurs s’en doutaient un peu, les collègues aussi.

En entreprise, dans les bureaux, en société, bref, au travail, il faudrait en théorie miser 95% de l’énergie sur les 95% de bonnes personnes.

Sauf que les  victimes, les chialeux (comme les appellent les Canadiens), les culs levés de La Mecque, les boulets, les éternels martyrs concentrent en pratique autour de leur petit nombril une énergie énorme qui manque cruellement ailleurs.

Stop, ils doivent s’adapter ou changer de travail !

 

Etude américaine.

Une étude menée par un professeur de l’université d’État de San Diego a découvert que les personnes facilement offensées font de terribles employés parce qu’elles ne font jamais rien.

L’étude, menée par le Dr Jeremy Berneth, a consisté à interroger près de 400 employés, âgés de 25,9 ans en moyenne, dans sept universités américaines, sur différents événements qui ont récemment bénéficié d’une “attention médiatique importante”.

L’étude note que les événements comprenaient “17  critères développés pour évaluer la propension à être offensé, huit points d’indignation morale, 11 points de micro-agression et neuf exemples de politiquement correct”.

 

Elle note que certaines personnes ont une forte “propension à être offensées”, que l’étude décrit comme “une tendance  à être sensible aux événements et traditions sociétales habituellement inoffensifs”, par exemple le fait de jouer l’hymne national des États-Unis”.

Ils sont également “susceptibles de penser que les événements sociaux ou les traditions auxquels ils s’attaquent violent également des normes morales ou équitables”, selon l’étude.

Fondamentalement, ils montent  facilement sur leurs grands chevaux pour n’importe quoi.

Le Dr Berneth a constaté que ces individus  sont moins productifs, car ils s’inquiètent constamment de la façon dont les organisations pour lesquelles ils travaillent sont “moins équitables” que partout ailleurs, et ils “consomment beaucoup de temps à se plaindre de choses insignifiantes”.

“La personne offensée par les événements quotidiens détourne des ressources cognitives importantes et limitées du client (et de la vente potentielle) vers des stimuli non pertinents pour les tâches”, note l’étude.

L’étude note également que les personnes facilement offensées sont moins préoccupées par l’aide aux autres, malgré le fait qu’elles s’engagent constamment dans des signaux virtuels pour suggérer que c’est leur but premier.

L’étude note que si “leur moralité prescriptive leur dicte d’aider et de pourvoir aux besoins des autres”, ils sont en fait moins enclins à adopter un “comportement citoyen”.

https://www.infowars.com/study-reveals-that-easily-offended-people-are-less-productive-bad-employees/

Recruteurs, attention aux « femmes musulmanes pratiquantes » dont il est question dans l’article ci-dessous et  qui  se présentent pour un (petit) travail : une fois le pied dans votre entreprise, elles revendiqueront, enquiquineront tout le monde et se retrouveront inévitablement « en souffrance », avec les assoces,  les journaux et le CCIF à leurs côtés pour les plaindre.

Les salariées musulmanes veulent pouvoir pratiquer au travail

Une enquête menée auprès de musulmanes pratiquantes montre à quel point elles tiennent à leurs rites, y compris dans le cadre de l’entreprise.

 « Nous passons le plus clair de notre temps au travail. Je ne peux pas mettre ma religion de côté durant tout ce laps de temps », explique Imen, 26 ans.

 Lara parle de sa « souffrance » de ne pas pouvoir porter le voile dans son entreprise, Sandra de « stress » et de « mal-être ».

« Si je me sens bien, je suis plus efficace, c’est logique », résume de son côté Rachida, 26 ans.

 

Un manager sur quatre serait confronté à la question de la religion au travail

 

La religion passe avant le travail.

Pour 60 % de ces femmes, à 89 % nées en France et à 85 % de parents musulmans, pouvoir pratiquer sa religion au travail est « très important ».

Plus que le jeûne, les interdits alimentaires ou les congés pour l’Aïd (discrets ou accordés par les managers), la prière rituelle et le port du foulard figurent parmi les demandes prioritaires.

Des réticences à serrer la main d’un homme

Quelques femmes évoquent aussi leurs réticences à serrer la main d’un homme. Et si certaines « négocient » autour de leur pratique – port d’un turban plutôt que d’un voile – d’autres affirment que celui-ci « fait partie d’elles-mêmes ».

https://www.la-croix.com/Religion/France/Les-salariees-musulmanes-veulent-pouvoir-pratiquer-travail-2016-01-28-1200735956

 

En cas de conflit, le CCIF toujours derrière les mécontents.

 

En recrutant un candidat appartenant à la secte du Bédouin, l’employeur sera  confronté à plus de revendications à caractère religieux mais aussi à plus de conflits entre salariés de sexe différent. La présence des adeptes est  susceptible de remettre en cause au moins deux grands principes auxquels ils sont particulièrement attachés pour la paix dans l’entreprise : l’indépendance du politique par rapport au religieux et l’égalité hommes-femmes.

 

Incompatibilité « culturelle ».

La femme en islam ? Un être inférieur.

La courtoisie, la galanterie en islam ? Une gifle !

Article ici

L’islamisation, c’est aussi cela : devoir perdre une énergie et un temps de travail  précieux à se battre contre des revendications et des plaintes qui n’ont rien à y faire.

Qui a dit que nous devions subir cela ?

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7 Commentaires

  1. Chez les musulmans, la femme est un être à part, entre l’homme et l’animal domestique.
    d’ailleurs, elle est le plus souvent traitée à l’égal de la chèvre qui fournit le lait et la viande,
    alors, il est tout à fait normal qu’elle ne se sente pas bien quand les gens la considère comme un être humain et essaient de l’intégrer dans le monde occidental du travail,

  2. Intégration impossible de ces gens dans nos sociétés qu’ils haïssent. Mais ce serait à nous de nous plier à leurs coutumes et à leurs exigences ? JAMAIS !

  3. Comme disait Patrick Le Lay PDG de TF1 nous devons fournir du temps de cerveau disponible des téléspectateurs à nos annonceurs. L’islam c’est pareil car quand tu dors, mange, boit, chie, pisse et surtout pense islam tu n’as plus le temps de cerveau nécessaire pour être un être émancipé et responsable…les musulmans cela ne fait penser à ces neuneus qui regardent les émissions de téléréalités et qui n’ont que cela comme repères…ils sont lobotomisés. Donc dans le travail ils ne peuvent rien apporter d’efficace et surtout si on leur met le nez dans leur caca ils embraye toujours sur la stigmatisation (mot à la mode vide de sens), le racisme et toutes ces conneries qu’on leur fait bouffer depuis tout petit…comme dit la blague un musulman va voir son nouveau voisin et lui dit ‘ah vous êtes médecin monsieur Dupont… c’est bien car ma maison va doubler de prix avec un tel voisin par contre vous avec un voisin comme moi votre maison a perdu 50% de sa valeur ;;; et dans les sociétés c’est la même chose (RATP par exemple ou ils ont pris le pouvoir,….)

    • c’est incroyable quand on y pense ce qui arrive, la RATP sous contrôle de l’islam et les banlieues africanisées et arabisées à part égales et pressons nous pour pouvoir encore le dire , parce qu’avec le Dupont -Moretti nouveau , c’est du lourd en matière de censure ce qui va nous tomber dessus parce qu’avec un type qui ment autant on ne peut être sûr que d’une chose , il n’aura aucune pudeur à l’appliquer !!!

  4. En conclusion : ne jamais prendre de candidats musulmans, vous n’aurez que des problèmes à moins qu’ils se soient parfaitement assimilés et qu’ils ne pratiquent leur religion à la maison.

  5. Qu’ils aillent vivre dans un pays musulman et le problème est réglé ! c’est simple!

    • Exactement . Du balai !!! Si on est pas content dans le pays d’accuei , on dégage .Aller ouste! Cela nous fera du bien et à la geigneuse aussi .

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