Illustration : un « homme » en train de terroriser une femme dans le RER à Berlin
En résumé : les médias veulent cacher l’origine des criminels par tous les moyens. Sauf pour Floyd : on a vu sa tête partout ! Mais dans son cas, c’était pour attiser la haine du Blanc !
Hystérie médiatique : tout est fait pour attiser la haine du Blanc.
Mon ami, tu vas devoir courir très vite et te défendre
(illustration : jeu vidéo Days Gone).
Les articles de presse cachent depuis quelques temps l’origine des criminels.
Maintenant, il faut s’attaquer aux images : c’est possible techniquement avec le floutage de tout le corps dans les scènes d’agression diffusées à la télévision.
Pas question de montrer que le criminel est un Noir !
Par prudence ? Par peur ? Pour éviter les accusations de racisme ? Autant de motivations bien éloignées de la déontologie qui exigerait au contraire de dire et montrer la réalité.
Voici l’analyse d’un média alternatif allemand qui décrit cette nouvelle tendance.
Un « homme » (un « Berlinois » !)
terrorise une jeune femme dans le métro.
Voici comment la chaîne présente la scène : l’agresseur est entièrement flouté !
Il est bien connu que les médias officiels tentent désespérément depuis des années de dissimuler la nationalité ou l’origine des criminels.
Le floutage du corps entier comme nouvelle forme d’antiracisme.
Jusqu’à présent, le floutage était utilisé pour protéger les suspects tant que leur culpabilité n’était pas prouvée, mais le choix de cette technique prend maintenant une nouvelle dimension.
Sans doute dans le contexte de l’hystérie actuelle du racisme qui s’étend de l’Amérique jusqu’à l’Europe, après qu’un criminel noir tué par un homme blanc est présenté comme une lumière brillante de type chrétien dans le monde entier, les criminels noirs ne doivent évidemment plus être identifiés comme tels dans l’actualité.
Non seulement en tant qu’individu, mais généralement en tant que personne noire.
Le journalisme de l’image développe une nouvelle forme de politiquement correct.
Un excellent exemple de cette « attitude » journalistique a pu être admirée début juillet sur la chaîne allemande focus.de.
Là, un « homme » très agressif, qui frappe une jeune femme dans le train de banlieue parce qu’elle veut protéger un jeune homme qui a été attaqué par lui auparavant, a été flouté tout autour.
En fait, partout où l’on aurait pu tirer des conclusions sur la couleur de sa peau en regardant la photo. Donc aussi sur l’arrière de la tête et des mains.
Le fait que, dans l’article lui-même, il faille bien admettre que l’homme qui a été arrêté plus tard était un Gambien n’enlève rien au floutage, car les textes, contrairement aux images (qui sont souvent partagées), ne déclenchent on le sait beaucoup moins de partages et de commentaires, quand toutefois ils sont lus.
Il va sans dire que la vidéo (voir ci-dessous) n’a pas été montrée par la chaîne pour relater l’événement !
Deux poids, deux mesures : tiens, tiens, le visage de Floyd n’a pas été flouté à la télévision !
Explications emberlificotées d’une chaîne belge.
Les journalistes belges avancent des raisons confuses pour expliquer RTBF ne floute pas le visage de George Floyd dans la diffusion de son interpellation.
La raison est pourtant claire : Floyd a le statut de victime, il faut donc frapper un grand coup.
L’enjeu va au-delà de l’émotion habituelle avec cet événement planétaire : il faut exciter les foules afros, attiser la haine contre les Blancs et contre les policiers.
La RTBF évoque pour la première fois la mort de George Floyd le 27 mai dans le JT de 13h, deux jours après les faits. Le reportage inclut les images amateurs de l’intervention policière sur lesquelles on voit, pendant plusieurs secondes, le visage non flouté de la victime suppliant qu’on la laisse respirer. La VRTles montre non floutées. Le soir, France 2diffusera des extraits de la vidéo dans son JT, non floutés.
Eric Destiné, journaliste au Pôle « Monde » et Isabelle Warnotte, monteuse.
« On a fait des choix.J’ai sélectionné les moments les plus parlants de la vidéo, pour que le public comprenne ce qu’il se passe ». Faut-il montrer le visage de la victime ou au contraire le flouter? « On en a parlé avec la monteuse. Moi, j’ai considéré que le visage, le non verbal faisait partie de l’information explique le journaliste.Ces images montrent quelqu’un qui n’est pas en train de se débattre, qui n’est pas violent, il ne demande qu’une chose c’est qu’on le laisse respirer. Si on le floutait, cela aurait été moins perceptible. Son visage permet le décodage ».
[Le visage, le non verbal fait partie de l’information. […] Ça permet le décodage = car Floyd doit absolument inspirer la pitié !]
Isabelle Warnotte, la monteuse [la « menteuse » ? NDLR], est sur la même longueur d’onde lors de cette discussion. Elle aussi se souvient bien de leur réflexion. « C’est un montage qui m’a choquée, mais quand on en a discuté avec Eric, j’ai dit qu’il ne fallait surtout pas flouter.Ce qui m’a vraiment touché en regardant ces images c’est la détresse dans les yeux de ce monsieur. Ça se voit qu’il est en difficulté, qu’il n’est pas en train de se rebeller. Si on floute, on perd cette information et toute l’humanité perceptible sur ce visage. On perd la force de l’image. Il faut faire la balance, si on montre de la violence, ça ne doit pas être gratuit, il faut que ça dise quelque chose de la gravité des faits. Ici, c’est le cas ».
[Il ne faut rien perdre de l’ «humanité » de Floyd! Quel cynisme !]
En revanche, ils décident de ne pas montrer les images du corps inanimé quelques instants plus tard, transféré sur une civière : « On aurait dit une loque, ce n’était pas nécessaire de montrer cela », juge Isabelle Warnotte. « On ne l’a pas gardé au montage, ça aurait été du voyeurisme « .
[Ha, ha ! du « voyeurisme » = quelle hypocrisie !]
Le visage de George Floyd a rapidement fait le tour du monde, clairement identifiable.
« Montrer la réalité telle quelle »
Un autre journaliste :
« Le risque en floutant c’est que ce soit moins fort, c’est de minimiser la gravité et que les gens ne mesurent pas la portée du geste du policier. Si cet événement suscite l’émotion et les réactions qu’on connaît, c’est sans doute précisément parce que les gens ont vu cette image très forte ».
Ces journalistes sont décidément diaboliques.
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Déclaration en direct sur RMC, aux GG, de Philippe, policier dans une brigade chargée des interpellations et arrestations en Haute-Garonne : « 98% des individus que nous arrêtons sont d’origine maghrébine ».
Même pas immigrés en général. Maghrébins.
Et j’ai l’enregistrement.
En phase avec mon expérience : sur la trentaine d’agressions que j’ai subies dans ma vie, seules 3 n’étaient pas le fait de maghrébins.
Merci Adalbert vous pouvez nous envoyer l’enregistrement ? contact@resistancerepublicaine.com ?
flouté en rouge ! hahahaha! sales journaputes !
je l’ ai de suite reconnu, c’est le nommé Henri Beyle
le « nègre » d’ un nommé Stendhal qui lui a ecrit « le rouge et le noir »
Bonjour nous le constatons aussi chaque jours dans les quotidiens ,pour les auteurs de délits interpelés , le nom et prénoms des français sont toujours mentionnés , est quant cet un moamehd ou un Mamadou ils n’y a que des initiales , j’ai demandé le pourquoi a un pote journaleux il m’a dit que se sont des consignes imposées …la pourriture anti raciste souille
toutes les institutions .
Bonjour,
Les journaleux font mieux : Mohamed devient Dimitri et ils nous avertissent « les prénoms ont été changés ».
Même pas la peine d’essayer de distinguer lorsqu’on verra la photo floutée on comprendra tout de suite cervelle de moneau
Ils en ont pas marre de prendre des gants avec ces racailles, gibiers de potences. Ça va péter, et certain vont tomber de haut. Attention les bobos et les collabos, ça va vous péter à la gueule.
Un coup de Photoshop et on changera la couleur du noir ou du gris en blanc et le pauvre blanc sera noirci ou grisé … sauf le sang bien rouge ^qui restera rouge vif et qui coulera du sa tête, de son nez,….
Et là le black hurlera à l’appropriation culturelle. lol
« Un « homme » (un « Berlinois » !)
terrorise une jeune femme dans le métro.
xxx
simple coquille!
lire un « Béninois »
C’est donc un acte bénin ! ( pour la presse )
pile poil !!
exact
autre exemple
photo, cv, prenom et nom de la gendarme tuee par un repris de justice
Silence radio sur ce batard – ni photo, ni prenom, ni nom……………
Ces criminels sont proteges
Oui ils floutent les photos et vidéos ces bandes de nases,mais on voit bien même flouté que c’est des peaux foncées et pas blanches ,faut pas nous prendre pour des billes.
C’est du même niveau que de cacher les images des égorgements et décapitations qui sont volontairement censurées. Avez-vous vu des images du père Hamel assassiné baignant dans le sang? Des policiers de Magnanvile sauvagement assassinés? De Gisèle Halimi torturée et défenestrée? Leurs agresseurs étaient noirs ou blancs ou basanés? Gare à ceux du « camp du mal » qui voudraient nous montrer des images. Ils sont impitoyablement poursuivis. MLP en sait quelque chose! Du pain et des jeux, c’est tout ce que le peuple demande. Réfléchir c’est très dangereux pour la santé et nos gouvernement sont sincèrement préoccupés de nous « protéger » des agressions visuelles susceptibles de nous faire broyer du noir …
A toutes les connasses et connards de journaleux , vos chers protégés vont bientôt s’en prendre à vos gueules de soumis , et là nous verrons bien comment vous allez réagir vous les sans corones, les dhimmis , les suces babouches !
durandurand, encore un peu de patience, surtout que la France est ruinée, TOTALEMENT ruinée !!
Mais ce n’est que quand ils, les boboChiottes et autres CONNASSES GAUCHOS, auront la tronche dans la mxxxe, violées, massacrées, et que la ou les vidéos fuiteront sur le net, surtout s’il s’agit d’un fait impliquant des dizaines de victimes, que là, la prise de conscience, comme pour les vidéos par la mafia musulmane, que les gens prendront conscience de l’état réel du pays appelé France !!!
Et dans quelques temps vous verrez que les agresseurs noirs seront « blanchis » c’est techniquement possible…
Il restera toujours les traits
De toute façon, on sait très bien que si l’agresseur est flouté, c’est une CPF. De même si au moins le prénom de l’agresseur n’est pas cité. Dans l’agression du chauffeur de bus de Bayonne, je ne serais pas surpris de découvrir une bande au goût étrange venue d’ailleurs…