CHRONIQUE – En France, la mouvance indigéniste est un rouage majeur de cette américanisation qui cherche à convaincre les populations immigrées que leur situation est assimilable à celle des Noirs américains.
La mort tragique de George Floyd, étouffé de sang-froid par un policier de Minneapolis, a suscité une colère absolument légitime aux États-Unis, qui ne sont jamais parvenus à surmonter leur question noire.
On pouvait s’attendre à de vives manifestations.
Elles ont dégénéré, toutefois, en se transformant en émeutes raciales.
Elles ont un effet de contagion ailleurs dans le monde, où l’américanisation des mentalités est telle qu’on plaque systématiquement une grille d’analyse élaborée pour penser les pires travers des États-Unis à des pays qui n’ont rien à voir avec eux.
On y verra aussi un effet psychologique de l’influence toxique des réseaux sociaux, qui poussent leurs utilisateurs à un état de surexcitation pathologique.
Il faut dire qu’en France la mouvance indigéniste est un rouage majeur de cette américanisation, et cherche à convaincre par une propagande permanente les populations immigrées que leur situation est assimilable à celle des Noirs américains.
Elle contribue ainsi à une forme de colonisation américaine en France, en y important une actualité étrangère pour mobiliser sa base à partir d’elle.
À travers son discours victimaire s’opère une racialisation accélérée des rapports sociaux, dont la récente manifestation indigéniste à Paris est le dernier exemple.
On peut même y lancer un appel aux armes en poussant la chansonnette sans que cela ne passe pour un discours haineux, évidemment.
L’université est à l’avant-garde de ce mouvement, qu’elle théorise pour mieux le radicaliser, en dissimulant derrière un jargon qui se veut savant une haine morbide pour la civilisation occidentale.
Elle élabore un vocabulaire que les médias s’empressent de normaliser.«Personnes blanches et personnes racisées», «racisme structurel et racisme systémique»: ces termes s’imposent comme s’ils allaient de soi, alors qu’ils charrient un imaginaire incompatible avec la France.
La fumeuse théorie du privilège blanc vient abolir la complexité sociale et fantasme une France ontologiquement raciste, devant s’arracher à son histoire pour renaître dans l’utopie diversitaire.
La nation, les classes sociales et l’individu s’effacent pour qu’advienne la guerre des races.
Telle est la ruse de la théorie du racisme systémique : soit on y adhère, soit on est transformé en collaborateur de l’ordre discriminatoire et raciste
Chaque disparité statistique entre groupes identitaires désignés par la bureaucratie diversitaire et ses savants stipendiés est interprétée comme le symptôme d’un système raciste à dévoiler.
Qui n’embrasse pas la révolution diversitaire devient un contre-révolutionnaire, un rebut historique.
Quant au défenseur de l’universalisme, il ne serait rien d’autre qu’un défenseur du suprémacisme blanc, sans nécessairement s’en rendre compte, puisqu’il serait aveuglé par ses privilèges.
Telle est la ruse de la théorie du racisme systémique: soit on y adhère, soit on est transformé en collaborateur de l’ordre discriminatoire et raciste.
Les conformistes se couchent et ânonnent le slogan du jour.
Revenons aux États-Unis. Les présents événements entraînent une forme d’hystérie idéologique.
Sur plusieurs vidéos, on a ainsi vu des Américains blancs s’agenouiller devant leurs compatriotes noirs pour s’excuser des crimes commis par leurs ancêtres à leur endroit.
Ces scènes de repentance filmées poussent la logique de la repentance tellement loin qu’elle en devient caricaturale, à la manière d’une parodie involontaire de la haine de soi.
Le régime diversitaire, qui a conditionné la population à travers un discours culpabilisateur déstructurant le rapport au monde et sectionnant le rapport au réel, engendre des névroses de plus en plus visibles.
On l’observe dans la «culture woke», qui se présente comme une hypersensibilité revendiquée à la question des droits des minorités.
La crise de larmes mise en scène sur Facebook ou Twitter s’apparente à une forme d’expiation théâtrale des péchés de ses pères.
Elle reproduit l’autocritique des maoïstes de jadis: le rituel s’est maintenu, et même généralisé.
Il s’agit maintenant de s’excuser d’être blanc.
C’est en s’humiliant qu’on tuera le vieil homme en soi. Le progressiste mondain se fait une fierté de sa honte
. Il se présente comme un allié des damnés de la terre, dans une quête de rédemption et d’acceptation sociale.
Il se roule dans la fange en croyant se baigner dans les saintes huiles.
Les États-Unis doivent assurément prendre à bras-le-corps leur question noire.
Malgré la guerre civile, les droits civiques, les vrais progrès sociaux des dernières décennies et l’élection de Barack Obama, la situation des Noirs demeure tragique.
Le racisme historique pèse encore. Mais les simagrées de la gauche mondaine radicalisent la situation davantage qu’elles ne permettent de dégager l’horizon.
D’un mal peut toutefois sortir un bien: cette crise pourrait faire naître un élan de solidarité envers la communauté noire.
Elle n’est toutefois pas transposable en France, qui ne doit pas devenir le 51e État américain.
https://www.lefigaro.fr/vox/monde/mathieu-bock-cote-france-refuse-l-americanisation-factice-20200605
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Les médias nous cassent les c*lles avec de soi-disant manifs anti-racistes véritablement racistes alors qu’en fait, il ne s’agit que d’une poignée d’agitateurs de la région parisienne. En province, les continuent à se croiser sans se livrer à des simulacres de d’orgies SM.
Remarquons que depuis 1917, puis depuis la fin de la seconde guerre mondiale, les noirs américains ont toujours considérés la France comme un havre de paix où les français les considéraient, non pas comme des bêtes, amis comme des égaux. Nombre de musiciens de jazz ont su retrouver une seconde chance et carrière chez nous, la France restant le pays qui apprécie le plus le jazz, presque plus qu’aux USA. Le racialisme, l’indigénisme et le privilège blanc sont des revendications récentes développées par des africains (nord et sub) pur jus qui, non contents de bien vivre aux crochets des français (toutes couleurs confondues) sans rien n’apporter au pays en retour, nous insultent en nous traitant de racistes. C’est certes une minorité et je regrette que l’Etat se couche devant ces racailles et que les responsables de la LDNA ne soient pas assigner pour haine contre la France: la France n’est pas raciste mais les français n’aiment pas les délinquants. Et comme ceux-ci sont souvent du même bord, on crie au racisme. Les chiens aboient, la caravane passe.
Vous faites bien de noter que la France est la deuxième patrie du Jazz pour un pays racistes , il y a pire. En effet le jazz au USA en dehors de ses origines sudiste , Nouvelle Orléans , Kansas , Mississippi n’est plus joué aujourd’hui que dans les métropole New yorkaise ou californienne.
Il faut noter aussi un truc qui n’est pas souvent mis en avant c’est que la France a été pour les musicien Africains une terre où les différents musiciens des pays Mali , Sénégal , Congo, Cameroun et j’en passe ont pu réaliser une fusion, des rencontres impossibles en restant dans leurs pays d’origine. Mory Kanté , Youssou’n’Dour , Salif Keita entre autres se sont fait connaitre à travers ce que certains appelaient la World musique qui est partie de la France qui a fournit aussi nombre de musiciens de studio de qualité pour accompagner ces stars africaines. C’était dans les années 80 . Autant dire dans un autre monde !!! Je connais la musique Africaine bien avant nombre d’africains eux mêmes à travers un groupe comme Osibisa par exemple qui s’est fait connaitre à la fin des années soixante, sans parler de Manu Dibango dès 1973 avec son mega tube . Ce qui ne veut pas dire que je jette ma culture Française aux orties , bien au contraire ou que je vais renier ce que je dis sur l’immigration de masse qui montre toute sa nocivité manipulée qu’elle est par des politiques ignorant de tout cela mais sont plus sûrement dans le racolage malsain pour garder le pouvoir!
LA FRANCE QUI REFLECHIT 😆 😆
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