Prevotalla, la bactérie qui rendrait Covid dangereux et s’attaquerait surtout aux vieux et obèses…

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Ce ne serait pas le virus Covid-19 qui tuerait directement, mais une bactérie intestinale qu’il infecterait, la Prevotella (1). Celle-ci, devenue virulente serait cause des maux et morts.

Source de l’image  ci-dessus : https://www.alternativesante.fr/coronavirus/covid-19-la-piste-du-microbiote-vers-un-nouveau-paradigme

Si cette découverte est confirmée, alors on va pouvoir soigner et guérir tout de suite, à coups d’antibiotiques les malades (et cela explique pourquoi le traitement de Raoult, qui utilise notamment l’antibiotique amoxycilline, marche). 

On comprend mieux pourquoi il y a tant de symptômes différents selon les personnes et les âges. 

Et on comprend aussi qu’on n’a pas besoin de vaccin contre une simple bactérie intestinale… On peut donc s’attendre à une levée de bouclier terrible des labos et des politiques payés par eux (ne suivez pas mon regard)…

A suivre, mais passionnant. D’autant plus qu’il y aurait un rapport étroit entre régime alimentaire, Prévotella et autres bactéries. On le savait, mais tant que cela n’avait pas de rapport avec le coronavirus donc avec la vie et la mort, cela importait peu à la plupart de nos concitoyens.

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Covid-19 : Une découverte majeure

Plusieurs équipes dans plusieurs pays (notamment en Chine, en France – à Lille – aux USA), ont fait une découverte majeure qui offre un grand espoir de traitement du covid-19.

Le virus Covid-19, en effet, ne tuerait pas directement, mais par l’intermédiaire d’une bactérie intestinale qu’il infecterait, la Prevotella… et c’est cette bactérie infectée qui, devenant virulente, déclencherait l’hyper-réaction immunitaire qui délabre les poumons et tue le malade !

Ceci expliquerait :

  • • Pourquoi le traitement du Dr. Raoult, utilisant un antibiotique (l’Azithromycine), et celui du Dr Sabine Paliard-Franco, qui préconise une double antibiothérapie, fonctionnent ?
  • • Pourquoi les enfants sont épargnés et les personnes âgées plus touchées : Provetella est quasiment absente de la flore intestinale enfantine, mais de plus en plus présente avec l’âge ?
  • • Pourquoi les obèses sont beaucoup plus touchés : leur flore intestinale déséquilibrée contient beaucoup de Prevotella !
  • Pourquoi les complications pulmonaires se déclenchent alors qu’on ne retrouve pratiquement plus de covid dans l’appareil respiratoire, la bactérie infectée (qu’on retrouve dans les selles, contenant de l’ARN du covid-19 et parfois même des virus vivants) prenant le relais de son attaque initiale (bénigne), de manière beaucoup plus dramatique, en déclenchant l’hyper-réaction immunitaire inflammatoire qui noie les poumons…
  • Pourquoi le virus Covid-19 peut réapparaître chez un patient guéri (avec alternance de positivité et de négativité des tests), car la bactérie, toujours présente dans la flore intestinale, en reste l’hôte et peut le relarguer à tous moments…

Bref, cela expliquerait tout ; et cette cohérence augure de la validité de l’hypothèse.

On tient donc une confirmation de l’intérêt de l’azithromycine, comme thérapeutique curative, à prescrire dès le début de l’infection… et même une piste prometteuse pour traiter préventivement les infections graves (des coronavirus, Covid-19 … et sans doute aussi de la grippe !), ce traitement passant par le rétablissement d’une flore intestinale saine qui neutralise Prevotella (par la prescriptions de « probiotiques », c’est à dire d’une bonne flore intestinale)…

Il est clair que cette piste thérapeutique ultra-prometteuse bon-marché rendrait alors caduque l’utilisation d’un vaccin, de découverte aléatoire et onéreuse… ce qui ruinerait donc encore les espoirs lucratifs de Gilead et de ses lobbyistes, après l’échec patent de leurs antiviraux… dont on ne parle plus trop, vu que les premiers essais thérapeutiques (dont plusieurs malades ont payé le prix de leur vie) se sont révélés catastrophiques, tant en terme d’inefficacité que de toxicité…
Il est probable aussi que les médias aux ordres, qui avaient lynché Raoult, parce qu’il laissait entrevoir cette piste thérapeutique bon marché, qui concurrençait leurs antiviraux dont ils attendaient de gros retours financiers, nous taisent cette découverte majeure, et qu’en revanche ils nous serinent maintenant, à temps et à contretemps, que leur vaccin (qui est loin d’être au point et qu’il faudra refaire chaque année, comme celui de la grippe) est la « seule solution » !

Par André Darmon

https://israelmagazine.co.il/covid-19-une-decouverte-majeure/

 

 

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Note 1  : 3 extraits d’articles sur la fameuse Prevotella 

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Prevotella est un genre de bactéries à Gram négatif.

Les Prevotella font partie du microbiote oral, vaginal et intestinal et sont souvent retrouvées après une infection anaérobie des voies respiratoires. Ces infections incluent la pneumonie d’aspiration, l’abcès pulmonaire, l’empyème pulmonaire, l’otite moyenne chronique et la sinusite. Ils ont été isolés à partir d’abcès et de brûlures à proximité de la bouche, de morsures, de paronychies, d’infections des voies urinaires, d’abcès au cerveau, d’ostéomyélite et de bactériémies associées aux infections des voies respiratoires supérieures. Les Prevotella prédominent dans les maladies parodontales et les abcès parodontaux.

Wikipedia

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[…] Des chercheurs du Laboratoire européen de biologie moléculaire (EMBL) sont parvenus à démontrer que les fameuses bactéries constituaient trois écosystèmes différents :  Bacteroïdes, Prevotella ou Ruminococcus. Des catégories nommées en fonction du nom de la principale bactérie.

Toutefois, les scientifiques ignoraient encore pourquoi telle ou telle bactérie prédominait chez un individu plutôt qu’un autre, précise Scienceetavenir. Du moins jusqu’ici, car deux nouvelles études publiées dans la revue Sciencefournissent une première réponse : ces écosystèmes dépendent directement de notre régime alimentaire. Plus précisément, au cours de la première étude, les chercheurs de l’Université de Pennsylvanie ont mis en évidence que les Bactéroïdes préféraient les intestins des personnes ayant un régime carné et riche en graisses saturées. En revanche, Ruminococcus apprécierait davantage l’alcool et les graisses polyinsaturées. Quant à l’écosystème Prevotella, il serait plutôt favorisé par une alimentation riche en sucres.

Un écosystème qui reste stable

Le régime alimentaire serait donc bien un facteur de choix dans la prolifération de telle ou telle bactérie. Toutefois, la seconde étude menée sur dix sujets indiquent que ces écosystèmes peuvent évoluer en à peine 24 heures en cas de changement de régime, mais ces modifications restent mineures, alors que les entérotypes de bactéries sont restés stables durant les dix jours de l’étude.

Grâce à ces résultats préliminaires, on en sait donc un peu plus sur cette mystérieuse flore intestinale. Des informations essentielles quand de nombreuses recherches suggèrent que celle-ci aurait un rôle important dans l’apparition de certaines pathologies, entre autres  l’obésité et les maladies chroniques inflammatoires du tube digestif ou auto-immunes.

https://www.maxisciences.com/flore-intestinale/les-bacteries-intestinales-liees-a-notre-regime-alimentaire_art16735.html

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Des bactéries infectées par le virus ?

[…]

Le séquençage génétique du microbiote de plusieurs malades de Wuhan (ville de Chine où a débuté l’épidémie) a révélé des phénomènes bien étranges, au point que les chercheurs se sont d’abord demandé s’ils n’avaient pas commis d’erreurs. Des bactéries du genre Prevotellasemblaient renfermer de l’ADN du virus SARS-COV-2, comme si le virus avait infecté les bactéries. (3) Peu avant, le séquençage du microbiote de six patients d’une même famille à Hong Kong, gravement infectés, montrait des quantités importantes de Prevotella dans leurs selles. Ces observations, reproduites depuis dans d’autres pays, suggèrent que le SARS-COV-2 se comporte donc comme un bactériophage, un virus infectant les bactéries. (4)

C’est ce qui pourrait expliquer les variations importantes de la charge virale d’un test à l’autre chez une même personne, comme si le virus se cachait quelque part. L’hypothèse qui se dessine est que le virus infecte les bactéries, qui deviennent alors virulentes, provoquant notamment l’inflammation parfois fatale. L’étau se resserre lorsqu’on apprend que les infections impliquant Prevotella sont déjà connues pour provoquer des symptômes respiratoires, y compris aigus. (5)

En France, un enseignant en Sciences s’est lancé dans une tentative de démonstration qui pourrait passer pour farfelue si elle n’était pas aussi documentée. (6) Il soulève le fait que les enfants, très peu concernés par l’épidémie, ont un microbiote pauvre en Prevotella. À l’âge adulte, ce genre bactérien, qui fait partie de la flore commensale, devient beaucoup plus représenté. Davantage chez la femme que chez l’homme d’ailleurs, alors que les statistiques montrent que les femmes sont moins touchées par le Covid-19. Leur système immunitaire serait, dans cette hypothèse, plus habitué à tenir Prevotella en respect. Le séquençage du microbiote sur de plus larges échantillons de la population nous permettra de découvrir s’il a raison. Cela montre, au passage, l’intérêt de la science participative qui permet à des non-chercheurs, parfois de simples citoyens passionnés, de soulever des questions judicieuses. S’il s’avère que le Covid-19 est bien une infection mixte – à la fois virale et bactérienne – alors l’intérêt d’associer l’hydroxychloroquine et l’antibiotique azithromycine,consacré par le Pr Didier Raoult , prend tout son sens. En particulier, l’azithromycine est active sur Prevotella et sur les microbes intracellulaires.

Les probiotiques pourraient s’avérer utiles

Dans la gestion du Covid-19, l’Université de médecine de Zhejiang a mis en place, avec de bons résultats, une stratégie dite des « quatre anti et deux équilibres» : antiviral, antichoc, anti-hypoxémie, anti-infectieux, maintien de l’équilibre électrolytique et de l’équilibre microbiotique. Un traitement multidisciplinaire et individualisé a été appliqué à chacun pour augmenter l’effet thérapeutique. L’anxiété et la peur, très présentes chez les personnes atteintes du Covid-19, étaient accompagnées en médecine traditionnelle chinoise.

Plusieurs patients ont montré une dysbiose intestinale avec une diminution notable des bifidobactéries et des lactobacilles. Un soutien micronutritionnel de l’intestin a été proposé à tous, avec administration de probiotiques et de prébiotiques, pour rétablir l’équilibre et prévenir le risque d’infection secondaire. (7)L’antibiothérapie était, quant à elle, réservée aux personnes avec un long parcours de maladie et des fièvres répétées.

La souche Lactobacillus plantarum, en agissant sur le mucus intestinal, a permis d’empêcher l’infection des cellules épithéliales par les coronavirus dans une étude sur modèle animal. (8) Dans des maladies inflammatoires chroniques, l’ingestion d’un complexe probiotique à haute concentration permet en outre de réduire les taux plasmatiques de cytokines pro-inflammatoires et d’augmenter les taux de cytokines régulatrices de l’inflammation, avec des modifications du microbiote fécal par rapport au groupe contrôle. (9) Un autre complexe, utilisant Lactobacillus brevis comme souche dominante, donne des résultats similaires mais en agissant sur l’axe intestin-cerveau, par voies immunitaire, métabolique et nerveuse. (10) Un détail, et non des moindres, est que Lactobacillus brevis est capable d’empêcher Prevotella de former des biofilms. (11) Or ces biofilms sont un des moyens utilisés par les bactéries pour se mettre à l’abri du système immunitaire et des antibiotiques.

Enfin, les personnes obèses, plus touchées par le Covid-19, ont un microbiote qui est également plus riche en Prevotella. Si l’administration de probiotiques à cette population donne de bons résultats en termes d’amélioration des marqueurs de l’obésité (masse graisseuse, glycémie, insuline, etc.), ces résultats sont encore plus visibles pour les individus chez qui la bactérie était très présente. (12)

Le comportement des populations microbiennes colonisant le corps humain continue d’être scruté, notamment afin d’identifier et de comprendre les différences entre les catégories de personnes à risque et celles qui demeurent en bonne santé. Si la recherche de traitement contre le Covid-19 bat son plein, une meilleure connaissance des interactions entre hôte, bactéries et virus pourrait orienter les efforts de manière décisive. Dans ce domaine, nous sommes en pleine époque pionnière. Les probiotiques de nouvelle génération constituent des possibilités intéressantes de prophylaxie et de traitements adjuvants.

https://www.alternativesante.fr/coronavirus/covid-19-la-piste-du-microbiote-vers-un-nouveau-paradigme

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30 Commentaires

  1. Oui Pikachu, dans les années 80 90 ont expliquait tout par le psychisme qui commanderait tout. Y compris serait responsable du déclenchement de certaines maladies . Ce que l’on appelait les maladies psychosomatiques. Ce qui était déjà un progrès puisque l’on prenait en compte les symptômes de la personne alors qu’auparavant les gens qui développaient des maladies inexplicables et non répertoriées comme telles étaient considérées comme fous.
    Aujourd’hui les choses ont évolué, on n’explique plus tout par des problèmes liés au cerveau mais au contraire on prend en compte la maladie pour ce qu’elle est ,ainsi que ses symptômes . On respecte le malade et donc on cherche des solutions à ses maux . On parle plutôt de problèmes somatopsychiques . on s’est aperçu que les gens qui avaient des douleurs une souffrance auxquels la médecine s ne savait pas répondre devenaient dépressifs, angoissés . Il est clair que quelqu’un qui est guéri va retrouver le moral assez rapidement alors qu’une personne développant des symptômes auxquels les médecins n’ont pas de réponse va plonger dans la déprime car sa qualité de vie va être sérieusement entamée par l’incertitude et l’impact direct des symptômes sur sa vie de tous les jours. Ce qui va créer un cercle vicieux. Certains médecins disent de certains patients qu’il faut traiter le terrain quand une personne est affectée de maladie qui touche plusieurs de ses organes . Il faudrait une médecine pluridisciplinaire mais celle ci ne peut se réaliser que dans le cadre d’un hôpital et son autre handicap c’est bien sûr le coût. Il faut pour bien la réaliser monopoliser un lit d’hôpital sur plusieurs jours . Lits qui en principe sont réservés aux pathologies lourdes la mode étant à l’ambulatoire donc rester le moins de temps possible. Economie oblige! Pourtant dans certains cas il faudrait prendre du temps pour tester , examiner radiographier comparer entre différents spécialistes cela pourrait peut être faire progresser aussi la médecine parce que pour l’instant elle est encore très cloisonnée .

  2. J’ai appris, parce que je suis concerné indirectement, que nous avions 1 kg de bactéries dans notre microbiote intestinal . Il y a de bonnes et de mauvaises bactéries . Le truc est de garder un bon équilibre intestinal car l’intestin a une fonction importante dans l’immunité pour lutter contre les maladies en général. Les MICI , maladies intestinales chroniques inflammatoires, font partie des pathologies provoquant cette immuno- dépression ,du fait qu’elles rendraient perméables les parois de l’intestin qui ferait que les vitamines ne seraient pas suffisamment conservées dans l’organisme pour être efficaces.
    Je ne vais pas rentrer dans les détail mais des recherches sont menées au niveau du microbiote pour réguler les problèmes liées aux MICI . Les chercheurs utilisent pour ce faire des antibiotiques et même des bactériophages et là ça nous ramène à ce qui nous intéresse . Bactériophages sous forme de virus infectant spécifiquement des bactéries !
    On se rend compte que le ventre et ses organes sont primordiales. Il ne suffit donc pas de soigner simplement les symptômes, il faut faire un travail d’investigation..
    L’enjeu dans les recherches est non seulement de trouver des traitements mais aussi et surtout de les commercialiser et ceci au moindre coût.
    Je suis persuadé que l’on a déjà des réponses efficaces pour certaines maladies mais que l’on n’a pas mis sur le marché car trop couteuses pour la société et la sécurité sociale
    Et je vais plus loin , des traitements existent vers lesquels on ne dirige pas l’ensemble des malades pour des raisons financières.
    Les médecins sont tenus de ne pas prescrire les traitements les plus efficaces mais ceux qui permettent de rendre supportables certains symptômes au moindre coût.
    Il y a des arbitrages fait par les autorités pour répondre à des critères financiers mais aussi liés à d’autres phénomènes .
    Pour cela ils se sont adjoint la collaboration des médecins et des associations liées à ces pathologies tout cela pour que les médecins veillent à “modérer” les dépenses pendant que les associations subventionnées se voient attribuer la mission conférée par les autorité médicales, et celles qui gèrent les caisses, de faire un travail de communication à travers une pédagogie pour faire admettre au patient d’utiliser des traitements alternatifs, dits naturels,ou faire des régimes qui n’ont pas prouvé de façon flagrante leur efficacité mais on le mérite de ne rien coûter à la sécu puisque pas remboursées !!!
    Pendant ce temps on s’aperçoit que des populations immigrées ont des pathologies spécifiques qui demandent des traitement au long court très coûteux immigrés auxquels se rajoutent ceux qui viennent même tout spécialement se faire soigner en France en laissant aux Français le soin de régler leur facture Voir l’article sur les MICI que je transmet en lien .
    Donc vous comprendrez aisément pourquoi il faut faire des arbitrages et des choix si on paye pour les uns on ne peut payer pour d’autres,qui peuvent toujours attendre!!!

    https://www.inserm.fr/information-en-sante/dossiers-information/maladies-inflammatoires-chroniques-intestin-mici

    • Pour abonder dans votre sens, j’avais vu un reportage sur Arte, sur le sujet de l’autisme. Il était clairement documenté par une mère qui avait filmé son fils autiste, que le problème venait du microbiote. Elle s’est démenée pour son fils et a cru en un biologiste (pas médecin) qui avait compris le problème du microbiote : des bactéries secrétent des toxines qui vont impacter le cerveau.
      Bref, elle participe alors avec lui à une expérience (administrer à l’enfant un cocktail d’antibiotiques sur mesure) et filme son fils.
      On voit l’enfant, de pur autiste devenir un enfant normal, plus de raideurs musculaires qui le font marcher sur la pointe des pieds, un comportement social qui redevient normal.
      Au bout d’un moment, on explique à la mère que l’expérience doit cesser, de mémoire, parce que sinon cela deviendrait un exercice illégal de la médecine, quelque chose de de goût là. Elle continue de filmer son fils qui ressombre dans l’autisme, de nouveau cet évitement des autres, ces raideurs musculaires.
      La déchéance. Triste documentaire et frappant : on sait d’où vient l’autisme, mais toujours pas de réponse médicale. Le problème ? Une médecine trop fragmentée : il existe bien des neurologues, des gastro-entérologues mais pas de médecin qui lierait les deux (puisque l’autisme est à cheval sur ces deux domaines).

  3. Merci pour ces precieuses infos, Alors le ,covid va éliminer les vieux ,faibles, et obèse de cette planète , j’en fais partie il me reste qu’à crever a ma façon , en me rendant utile…

  4. je vais me lancer dans la fabrication et la vente de moumoutes pour chauve souris

    modèles différents selon si Vespertillon, Rhinolophe,Vampire …..

    et enfin elles ne seront plus la risée des souris et autres hamsters a la tête chenue ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;et au coeur ingénu ;;; dixit Georges 😆

    • Le problème, c’est que ça ne marchera pas : les chauves-souris dorment la tête en bas.
      En revanche, si vous tenez compte de cet élément (que les chauves-souris dorment la tête en bas), la vraie bonne idée business à faire avec elles, c’est de leur vendre des couches-culottes sur-mesure. Imaginez comme il est triste pour une chauve-souris, de se réveiller la nuit parce que sa tête est mouillée, ou pire encore lorsqu’elle développe les troubles gastriques liés au coronavirus….

      • pikachu

        merde!!

        tu as raison !!

        ou alors elles font comme moi, j’ enlève mon audioprothèse avant de dormir

        et ça résoud en même temps le vrai problème qu elles ont de pisser et chier sur soi!

        des moumoutes trés absorbantes

        j’ ai souvent raconté a mes petits enfants comment, enfants, nous capturions ces pauvres bêtes en les chassant avec un piège d’ épines d’accacia
        me suis fait mordre une fois
        trés douloureux!
        on les revendait a des matrones arabes qui en faisaient des philtres de magie noire

        l’ argent dit de poche étant inconnu alors, fallait se demerder
        ce qui rapportait le plus: chauves souris, scorpions et chardonnerets

        • Ah oui, donc ces bêtises là existaient vraiment.

          Et ce que vous dites est encore plus clair. Une connaissance arabe tunisienne me disait que son mari (de la région de Djerba), lui disait qu’il était connu que manger chez les Juifs protégeait du Sh’h’our. Je comprends mieux maintenant : la cachroute interdisant tous ces exotismes, on était sûr, en allant manger chez les Juifs, de ne pas ingurgiter de ces saletés.

          • hé oui Pikachu !

            c’est bien vrai !!

            le S’hour fabriqué avec même parfois de la cervelle d’ un mort récent detérré se pratiquait chez ces déchettes

            bonne nouvelle, le pelerinage de la Ghriba de Djerba est annulé

  5. Donc si cela était prouvé il s’agit d’une arme bactériologique qui ciblerait une population spécifique a savoir,européenne ,,agée ,et obèse !
    Nous nageons en plein dans une troisième guerre mondiale plus mortelle que l’arme atomique .Mais cette hypothèse correspond a ce qui nous arrive !
    est-ce encore une fois une coincidence!
    Si cela est le cas qui aura trempé dans l’élaboration de ce virus et pourquoi!
    L’argent ?,diminution des retraités ?
    Il est clair que les chauves souris n’ont plus rien a faire dans cette histoire!
    Tout ce tralala et ce charivari pour rien?

    • masculine, âgée et obèse sont en effet les populations les plus dotées en Prevotella. Sinon, c’est surtout notre mode de consommation d’aliments ultratransformés et stérilisés qui perturbent notre flore intestinale.
      Cela pourrait expliquer, outre le blocus violent, que la Chine (1400 millions) et la France (67 millions) aient souffert de 3000 morts chacune; que les enfants soient moins touchés (protection de la flore maternelle et faible quantité de Prevotella a ces âges) et les femmes aussi (défense naturelle renforcée, cette bactérie “adorant” attaquer le vagin)

  6. Je vous conseille d’acheter de l’amoxycilline et autre azythromicine. J’ai dans l’idée que les prix vont flamber sitôt qu’il ne sera plus possible de cacher le danger bactérien du Covid19… Mais nous avons encore un peu de temps devant nous : il reste encore quelques anciens en vie dans les EHPAD.

  7. Merci pour ces précieuses informations, qui rendent la politique du confinement encore plus inadaptée: l’approche du Professeur Raoult et d’autres étant la bonne: soigner les malades, au lieu de les confiner avec du paracétamol!

  8. Curieuse coïncidence, je discutais justement avec une amie de l’implication de la flore (microbiote) intestinale dans les maladies respiratoires et donc du covid 19 pas plus tard qu’il y a deux jours, notamment en raison des dysbioses provoquées par un mauvais régime ou… un jeûne partiel (restriction calorique) comme celui induit par la grippe (perte d’appétit).

    Le ramadan pourrait dans cette optique faire des ravages chez nos amis musulmans. Ça pourrait peut-être enfin leur ouvrir les yeux… après la fermeture du pèlerinage démontrant son inutilité (alors qu’il est censé vous protéger et vous inonder de bienfaits), ça commencerait à faire beaucoup. C’est tout le bien que je leur souhaite.

    Pour en revenir à la flore intestinale, j’étais tombé par hasard sur des articles récents traitant de ce sujet. Cocorico, la France est en pointe sur le sujet : ce sont des études menées à l’Institut Pasteur du CHU de Lille. Une bonne flore intestinale produit des substances, acétates, butyrates, etc qui participeraient à la protection contre les infections pulmonaires.

    A noter qu’on a découvert aussi très récemment une flore pulmonaire, qui serait reliée à l’intestinale. D’où le lien de cause à effet.
    [du coup je me demande si le covid ne pourrait pas aussi attaquer des bactéries pulmonaires: nouvelle piste à creuser?]

    Donc cette piste est tout à fait crédible et à suivre.

    ___

    Pour ceux qui veulent creuser le sujet (ces articles ne parlaient pas encore de la Prevotella, ça c’est nouveau pour moi):

    https://www.sciencesetavenir.fr/sante/grippe-des-surinfections-bacteriennes-liees-a-des-perturbations-du-microbiote-intestinal_142169

    https://www.medisite.fr/la-grippe-grippe-votre-microbiote-intestinal-a-lorigine-de-complications.5560166.196466.html
    https://www.medisite.fr/la-grippe-grippe-votre-microbiote-intestinal-a-lorigine-de-complications.5560166.196466.html?page=1

    https://dailygeekshow.com/grippe-microbite-intestinal-surinfection/

    https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/31748-Le-microbiote-intestinal-responsable-surinfections-bacteriennes

    Et sur la flore pulmonaire:

    https://sante.lefigaro.fr/article/de-bonnes-bacteries-aussi-dans-nos-poumons/

    Au fait, la conclusion de ces articles est qu’en cas de grippe (et peut-être de covid), il faut se forcer à manger normalement et en quantités suffisantes (habituelles).

    • Bonjour,

      C’est en effet un sujet très à la mode en sciences …

      Un numéro spécial de “Pour la Science” sur le microbiote, il y a quelques mois, et plusieurs articles depuis.

      • Merci, je vais essayer de trouver cela. Auriez-vous la référence exacte pour le numéro spécial? S’agit-il du n°95 sur l’intestin (avril-juin 2017)?

  9. Merci Christine pour votre opiniâtreté à nous dénicher d’aussi intéressantes informations. On ne les trouve pas dans les mer- euh médias habituels…

  10. En cette période, c’est curieux comme tout s’emboîte  …

    L’ulcère à l’estomac ou au duodénum se soignait autrefois par divers médicaments visant à réduire l’acidité gastrique.  
    + régime alimentaire strict.

    Ça marchait parfois, mais ça recommençait toujours.

    Un chercheur australien pensait que c’était une bactérie qui était en cause .
      ” Helicobacter pylori ” qu’on l’appelle. ( pas le chercheur )

    Le médecin en question se l’est injectée. Pof ! : ulcère de l’estomac ! Direct !

    Il a pris des antibiotiques. Pof ! : guéri définitivement, tout en continuant à boire de la bière  ( 😉 ).

    Maintenant tous ces ulcères gastriques sont soignés aux antibiotiques, directement.

    En 2005, lui et un autre Australien ont reçu le prix Nobel de médecine pour cette découverte.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Barry_J._Marshall  

    Article de 2006 dans le Figaro :

    https://www.lefigaro.fr/sciences/2006/10/02/01008-20061002ARTWWW90454-un_nobel_pour_la_decouverte_des_secrets_de_lulcere.php

    Bon, vous me direz : les antibiotiques, c’est les putains de laboratoires qui les fabriquent.

    • Et les levures de la bière que boit l’australien, aident-elles à équilibrer la flore intestinale ?
      Peut-on imaginer se soigner en buvant de la bière ?
      😉

      • En Australie, même les kangourous aiment la bière ….😉

        « Il y eut une longue pause, durant laquelle Benny émit de petits bruits de bouche compatissants, et enfin le kangourou ouvrit ses deux yeux injectés de sang. Je vous jure qu’à cet instant, il a grimacé… Puis il bondit soudain par-dessus la palissade et partit comme un bolide vers la brasserie. »

        ( L’ivresse du kangourou – Kenneth Cook )

  11. En réalité, cela rejoint complètement ce que disait le médecin Gilles Besnainou:
    que disait-il ?
    Il disait qu’au début, les médecins se sont fait avoir parce qu’on leur avait dit : “c’est un virus, les antibiotiques (qui ciblent les bactéries, et les virus ne sont pas des bactéries, ce ne sont même pas des êtres vivants) ne servent à rien.”
    Quand ils se sont mis à faire ce qu’ils faisaient toujours, à represcrire des antibiotiques, alors ils ont commencé à voir des résultats.
    Il est vrai, avéré, vrai de vrai que les antibiotiques ne servent à rien contre un virus, pourtant, ici, on voit qu’ils ont un effet, on peut donc en déduire qu’il y a aussi un problème bactérien associé.
    C’est ce que disait Besnainou : “prescrivez des antibiotiques, ça marche”.

    https://www.youtube.com/watch?v=yCTyKEAFXtw

      • Christine, merci pour cet article très documenté, mais une pensée me vient immédiatement à l’esprit :

        ll suffit de modifier l’une de ces bactéries afin de pouvoir “sélectionner” le type de population que l’on veut toucher…

        Ce qui veut dire, et c’était avéré, que les 2 protéines de HIV identifiées dans le COVID-19, et par le Pr MONTAGNE, et par d’autres chercheurs, sachant que cela n’a pu être le fait de la nature, sont une arme bactériologique, même si certains articles nous l’avaient déjà appris…

        Cela veut donc également dire qu’il faut s’attendre à d’autres saloperies, qui cibleront plus particulièrement l’individu blanc issu d’un pays occidental…

        Je comprends donc d’autant mieux les “vaccins obligatoires” du bill gates, sachant que la convergence entre les domaines techniques tels l’informatique, la biologie, la nanotechnologie, l’intelligence artificielle, et peut-être d’autres domaines encore, veulent être IMPOSES par ce dernier !!!

        En effet, je n’ai pas encore fouillé le net, mais je pense à un contrôle des individus qui passerait par l’inoculation d’un “vaccin”, permettant d’analyser et de transmettre, et ce en permanence, toutes sortes d’informations concernant le porteur de ce sérum de contrôle…

        Ainsi, il suffit de passer devant des capteurs, sorte de bornes (comme pour la téléphonie en 4 et bientôt 5G), pour que ces informations soient transmis à un système de gestion de base de données spécifique…

        J’étais dans l’informatique, je connais donc un peu mieux que la moyenne des personnes le fonctionnement d’une telle base, et ses applications possibles, combinées à la nanotechnologie, la biologie et l’intelligence artificielle…

        Aller, pour se détendre, vu à l’instant par ma femme :
        https://www.facebook.com/shydak.mc/videos/2695092863946095

        Le français a beaucoup d’humour, je n’ai jamais vu autant de moqueries, et sur le gouvernement, et sur tous les sujets qui découlent de la situation actuelle !! :-)))

    • Le nom réel de la bactérie est sûrement ” prevotallah “.
      On sait très bien comment ça pourrait se soigner, mais il est interdit d’utiliser et même de posséder le médicament.

      • bonjour
        pourrais t on avoir la source exacte de cette étude svp? ( auteur de l etude etc..)
        en ces temps, je me méfie bceaucoup de tout ce qui peut etre publié …
        un grand merci !

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