Faute de Plaquenil, la débrouillardise des généralistes, cela marche !

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Depuis le début de l’épidémie, les médias et les pouvoirs publics restent concentrés sur le fait qu’il n’existe pas de traitement pour guérir les malades du Covid; soit ça passe tout seul avec le seul paracétamol pour soulager les douleurs et la fièvre, soit ça devient grave et alors là, c’est le séjour en réanimation qui s’impose.

Bien sûr, il y a eu les publications chinoises concernant l’intérêt de l’hydroxychloroquine en première intention dès le début de la maladie et le Professeur Raoult a amélioré le traitement en adjoignant de l’azythromycine.

On connaît ses résultats et l’engouement que cela suscite à Marseille et  on connait aussi  malheureusement l’interdiction de prescrire le Plaquenil par les médecins de ville.

Certaines études ont montré également l’intérêt du zinc en complément .

Depuis certains médecins de première ligne, que sont les médecins généralistes, laissés seuls avec leur débrouillardise, sans test et dépourvus de chloroquine, ont essayé des protocoles de traitement avec des molécules autorisées (azythromycine +  sulfate de zinc) sans attendre les résultats des grandes études universitaires du type Discovery qui s’intéressent surtout aux malades moribonds.

Et ça fonctionne !

Bien sûr, ils n’ont pas fait d’études en double aveugle contre placebo avec une cohorte de milliers de patients mais entre ne rien faire et proposer un traitement sans danger, il y a toute une marge que certains ont franchi avec succès pour leurs malades.

Ce qui est étonnant, c’est que BFMTV n’en parle pas, que seuls sont interrogés les brillants hospitalo-universitaires tel Karine Lacombe.

L’embêtant , c’est que les témoignages remontent aussi bien en France qu’ à l’étranger et que l’on va se poser des questions.

Pourquoi avoir interdit le Plaquenil ?

Pourquoi n’avoir pas lancé un vaste programme de dépistage de la population ?

Pourquoi n’avoir pas tenu compte de ces remontées de terrain et proposer un protocole de traitement à tous les médecins généralistes afin de limiter les entrées en réanimation et limiter la durée du confinement?

Pourquoi n’avoir pas lancé une vaste étude auprès des médecins de premier recours sur ces traitements ?

Pourquoi les médias aux ordres se sont ils intéressés uniquement à la réanimation  avec force reportage sur des services débordés et  au confinement généralisé  jugé indispensable malgré toutes les conséquences socio-économiques qui va en découler ?

Et si  pour finir on voulait absolument nous imposer le vaccin indispensable pour  nous sortir du confinement puisque – on vous le dit – il n y a pas de traitement  !

https://www.caducee.net/actualite-medicale/14826/covid19-un-medecin-americain-aurait-traite-avec-succes-plus-de-500-patients-avec-l-hydroxychloroquine.html#  

https://www.alternativesante.fr/coronavirus/covid-19-la-piste-du-microbiote-vers-un-nouveau-paradigme 

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/des-medecins-ont-trouve-un-223202

https://www.republicain-lorrain.fr/sante/2020/04/11/un-medecin-mosellan-constate-l-efficacite-d-un-protocole-a-base-d-azithromycine

Dr Philippe de Joux

Médecin généraliste

https://ripostelaique.com/__trashed-8.html

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6 Commentaires

  1. Le Premier Monde possède une tradition d’hygiène apprise au cours des pandémies précédentes telles que la tuberculose (pour laquelle il n’y avait pas de médicaments, mes parents ont vu mourir leurs cousins et amis…) ou la polio et la discipline qui va avec.
    Quand j’étais enfant nous apprenions de ne jamais boire dans le verre d’un autre, ni d’employer ses couverts, ni de mordre dans un aliment d’une autre personne. Les baiser et embrassades étaient réservés au cercle intime. On nous a enseigné à nous laver les mains ; en entrant en classe il fallait montrer les mains à la maitresse. Il y avait une campagne pour ne pas cracher par terre. Nous avons eu les WC.
    Il y a eu une longue guerre contre la tuberculose : chaque année nous avions, à l’école une radioscopie des poumons et un test : la cuti –
    Puis sont arrivées les années insouciantes… pendant lesquelles on a tout oublié : on n’a même plus eu peur des maladies vénériennes… en fait nous avons vécu une parenthèse de bon temps…
    Et puis est arrivé le SIDA…
    Et maintenant le virus chinois… les virus ne meurent pas, ils mutent … les vaccins ne servent à rien car ils sont toujours en retard sur les virus.
    Les années insouciantes sont révolues, la réalité est de retour…

  2. en effet , il y a des incompréhensions depuis le début, je dis aussi que je ne suis pas médecin et ne me prononce pas pour l’usage du Plaquénil !
    Mais vraiment il y a des problèmes : pas d’usage de masques ne serait ce que pour les policiers qui vérifient nos papiers, à qui ILS étaient INTERDIT, car ils en auraient eu par leur propre moyen, que c’était pareil , c’était interdit pour eux ! Puis les transports en commun , pas interdit ! Tout au début, mais on l’a déjà dit, des ressortissants chinois qui arrivaient par avion et qui n’étaient pas contrôlés ni mis en quarantaine , alors que c’était le B A BA, ..j’étais pétrifiée !
    L’hydroxychloriquine dont le gouvernement a permis le traitement ( qui est il pour donner son ordonnance ?) , mais à condition qu’il soit administré en fin de contamination alors que le Prof Raoult disait en début de maladie ! Des cliniques qui suppliaient qu’on leur donne des malades, alors qu’elles proposaient des lits et que des militaires étaient réquisitionnés pour monter un hôpital dont on ne parle plus d’ailleurs ; INVRAISEMBLABLE !
    Alors oui , on peut se poser la question : on voudrait laisser mourir des citoyens, qu’on ne s’y prendrait pas autrement ! Je crois que dès aujourd’hui on peut préparer des questions à donner à des députés, non Lrem , afin de préparer la commission d’enquête, qui j’espère aura bien lieu !!

  3. Sauf si le vaccin est prévu pour posséder des choses que l’on veut cacher et inoculer au plus grand nombre, pourquoi?

  4. Je suis aller au laboratoire ce matin me faire faire une prise de sang. comme tout les mois. Etant opéré du coeur pour une valve, je suis obliger de faire contrôler la fluidité de mon sang (INR) pour ajuster mon traitement. L’infirmière me fait ça très bien et à travers mon masque je lui demande si puisqu’ils ont un échantillon de mon sang si ils n’en profitent pas pour contrôler si j’ai le virus. Réponse de la gentille infirmière, » non car c’est votre docteur qui doit en faire la demande et seulement si vous avez des symptômes » .
    Voilà vous pouvez crever tranquille car la recherche du virus n’est pas systématique.

    • Bonjour,

      Mon frère, qui est médecin, et dont la femme a visiblement chopé le virus se voit refuser d’être testé !

  5. Bonjour
    Pour comprendre ce comportement.
    Il faudrait simplement chercher à qui profite le crime???
    L’argent n’a pas d’odeur, surtout pour ceux qui en sont gavés…
    Mais dans ce genre de profit, il me semble que se sont les mêmes destinataires, personnes n’ignore cet État de fait.
    Dans le genre humain, il y a les intéressés, les intéressants et les autres sans dents.
    Souffrez!!!
    Mais surtout en silence.
    Bonne journée.
    Protegez-vous!!!

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