Si Macron était un homme, un vrai, voilà ce qu’il dirait aux Français

Illustration, le Général Salan, « soldat de la Grande Guerre » selon l’épitaphe qu’il a voulue sur sa tombe, un homme, un vrai, un chef de guerre, lui.

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Raoul Salan, né le à Roquecourbe (Tarn) et mort le à Paris, est un général français, et le militaire le plus décoré de France. Son état de service porte de 1917 à 1960 où il prend sa retraite. Il participe au putsch des généraux en 1961. Il est également le chef de l’Organisation armée secrète(OAS) qui lutte pour le maintien du statu quo de l’Algérie française. Il est condamné à la prison à perpétuité, puis amnistié en 1968 et réintégré dans le corps des officiers. Source wikipedia.

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Macron : j’ai fait un rêve...  par Christine Tasin

Macron doit s’adresser aux Français jeudi soir… 

Et si, et si… un pot de fleurs lui tombait sur la tête avant ? Et si une bonne fée, d’un coup de baguette magique, transformait le technocrate mondialiste en chef de guerre, en amoureux de sa patrie ? Que dirait-il, alors ? 

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Mes chers compatriotes, je viens vous demander pardon. Mille pardons. Même si je sais que vous aurez du mal à me pardonner et que nombre d’entre vous ne le pourront jamais. Je ne leur en veux pas, je les comprends.

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Je pourrais, bien sûr, vous demander pardon pour tout ce que je vous fais subir depuis que j’ai eu le malheur d’entrer dans le gouvernement Hollande, depuis que j’ai eu le malheur (pour vous, moi j’y ai trouvé de grands plaisirs et de nombreux avantages…) d’être élu à la tête de la France, il y a presque 3 ans.

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Je le pourrais, mais il faudrait que j’occupasse les ondes pendant plusieurs heures, j’ai tant à me faire pardonner… je vous lasserais et vous n’auriez pas la patience d’écouter l’essentiel. L’essentiel, c’est ici et maintenant, parce que nous sommes en guerre, comme je vous l’ai dit il y a quelques semaines. 

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Je suis venu, en ce 09 avril 2020, reconnaître devant vous que je suis un piètre chef de guerre. Pire, je ne suis pas un chef de guerre, pas du tout. D’ailleurs, la guerre, je ne l’ai jamais faite, même en rêve, je n’ai même pas fait de service militaire, c’est dire.  Or, comment prétendre à la magistrature suprême d’un pays si on n’est pas un chef de guerre ? 

Je ne suis pas de la trempe dont on fait les De Gaulle, les Jean Moulin, les Manouchian, les Salan, ni les Trump, les Orban, les Poutine, les Salvini sans doute… 

A quoi les reconnaît-on, tous ces gens-là ? A leur capacité à désobéir, à être libres, à suivre leur instinct, à risquer leur vie pour la vérité, pour la liberté, et à dire merde au pouvoir, merde aux institutions, merde aux journalistes, merde aux technocrates, merde à la clique… merde aussi à Big Pharma. Entre autres.

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Moi, hélas pour moi, hélas pour vous, mes chers compatriotes, je suis un pauvre type, je n’existe que si j’ai une nuée de courtisans autour de moi qui me soutiennent, m’applaudissent, me donnent à croire que je serais intelligent, utile, nécessaire…

C’est pour cela que depuis 3 mois j’ai mené le pays et vous, pauvres de mes concitoyens, au désastre ; n’ayons pas peur des mots.

C’est parce que je suis fort avec les faibles et faibles avec les forts qu’on en est là.

Je n’ai pas voulu me mettre à dos mes amis de Big Pharma, mes amis de la caste, mes amis de l’UE, mon amie Merkel… Je ne pouvais pas me résoudre à me retrouver la cible de leurs critiques, de leurs lazzis, de leur déception…

Haï des Français de base que j’ai traités sans me gêner d’illettrés, de fainéants, de Gaulois réfractaires, de gens sans culture, d’assassins et de colonialistes même parfois…

Haï des Gilets jaunes qui, au moins au début étaient les mêmes que ceux-là…

Haï des patriotes pour avoir signé le Traité de Marrakech, le traité d’Aix-la-Chapelle, pour avoir accéléré le Grand Remplacement et l’islamisation de notre pays..

Haï des gauchistes pour mes réformes, de retraite entre autres…

J’ai eu peur, mes chers compatriotes, je vous l’avoue ce soir. J’ai eu peur d’être jeté, rejeté de tous, obligé de démissionner sauf à m’enfermer dans mon palais glacé, voué à ne plus en sortir que sous les huées.

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Alors, quand Buzyn la traîtresse m’a parlé de la chloroquine utilisée en Chine dès janvier contre le coronavirus, j’ai compris que j’allais avoir tous mes soutiens politiques contre moi, en France, à Bruxelles, dans le monde. Je savais qu’ils étaient tous sur la ligne de départ pour trouver le traitement et/ou le vaccin qui allait faire de Sanofi une multinationale milliardaire… Alors j’ai été lâche, mes chers compatriotes. J’ai accepté que Buzyn mette sur la liste des produits dangereux la chloroquine délivrée sans ordonnance depuis 50 ans… Quand j’ai contre-signé l’arrêté je me suis même dit que j’avais de la chance, le ridicule ne tue pas.

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Cela aurait pu passer à peu près inaperçu si le petit génie de Marseille – un vrai chef de guerre, lui aussi, sachant dire non, sachant désobéir- n’était pas entré en rébellion et, devenu la coqueluche du peuple, de Trump, des Chinois, des Italiens… de la planète tout entière, ne m’avait pas ridiculisé à mort avec mon arrêté interdisant le médicament qui sauvait.

Mea culpa, mes chers compatriotes. Mea maxima culpa, mes chers compatriotes. J’ai sur les mains le sang de la plupart des victimes du coronavirus, vos parents, grands-parents, vos enfants, même car certains jeunes gens ont eux aussi perdu la vie. Je ne m’en remettrai jamais et la seule façon que j’aie trouvée pour me faire pardonner c’est de vous annoncer que, dès ce soir, tout médecin pourra librement prescrire de la chloroquine, que les pharmacies pourront à nouveau en délivrer et que j’ai sollicité Sanofi pour en accélérer la fabrication. Je sais que cela ne ramènera pas vos morts, je n’oserai plus jamais vous regarder en face, mes chers compatriotes… 

Je sais que, face à l’horreur dont je suis responsable, mes autres insuffisances, mes mensonges, mes faiblesses, mes atermoiements sont tout aussi criminels. Si, depuis 3 ans que je suis au pouvoir, j’avais donné à la santé et aux hôpitaux les moyens dont ils ont besoin, les lits, les respirateurs, les masques, si j’avais fermé les frontières dès le début de l’épidémie… nous n’en serions pas là où nous en sommes. Nous ne laisserions pas nos anciens mourir en Ephad faute de lits et de respirateurs en hôpital. Mais Bruxelles me poussait, me parlait de critères de convergence, me parlait d’économies à faire dans les domaines régaliens, me parlait d’autres priorités, les migrants, les quartiers… Et comme je ne suis pas un chef de guerre, comme je suis lâche, comme je suis vénal, comme je suis un mondialiste détestant la nation et n’aimant que les sociétés multiculturelles, comme je suis un médiocre, j’ai fait ce qu’ils attendaient de moi, tous. Et pour éviter que cela ne se voie trop, je me suis entouré d’autres médiocres, encore plus médiocres que moi, de simples serviteurs du système…Des incapables qui n’ont pas vu que, jour après jour, ils étaient la risée des Français et qu’ils faisaient monter la haine contre nous, contre moi. Et à présent, il est trop tard. La messe est dite.

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Je comprendrais, mes chers compatriotes, que vous ne vouliez plus de moi à la tête du pays. Je vous donne ma parole de donner ma démission quand nous serons sortis de la crise et que nous pourrons à nouveau vivre normalement. En attendant, et d’ici là, je m’engage à vous servir et à agir en chef de guerre. Pour commencer, c’est Didier Raoult qui, dorénavant, nous dictera les mesures nécessaires pour lutter contre cette pandémie.

Vive la République, vive la France.

Emmanuel Macron, le 09 avril 2020, après qu’un pot de fleurs lui est tombé sur la tête.

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29 Commentaires

  1. @françois des groux; tu sais; pour ceux qui ont connu cette période et qui s’y sont impliqués c’est un déchirement, une plaie béante qui se réouvre, surtout d’avoir conscience qu’eux ne sont plus en mesure de faire quoi que ce soit et que, finalement, étant devenus comme l’indique Conan des parias; les jeunes d’aujourd’hui ne sont pas foutus d’en prendre exemple.

    • Il faudrait, pour en prendre exemple, que les jeunes apprennent une autre Histoire de France.

      J’ai des enfants et quand je lis leurs manuels scolaires, je suis effaré. C’est comme si on les préparait à leur islamisation future, à la culpabilité, à la repentance et à la soumission..
      Heureusement, ils ont un père féru d’histoire 🙂

      De toute façon, les « historiens » gauchistes à la De Cock ont tout fait pour rendre détestables les idées de Nation, de fierté, de patriotisme.

      Programme du début de l’année au collège : civilisation arabo-islamique, esclavagisme et colonialisme…

      Mais les ex-Français d’Algérie, d’Afrique noire ou d’Indochine n’existent pas. Ou sinon, « en mal ».

  2. @François de Groux; Conan a tout à fait raison; cela étant il n’y a pas que les paras qui sont devenus parias; il y a tous ceux et celles qui se sont impliqués pour sauver l’Algérie Française.
    D’ailleurs je suis persuadé que tous ces parias de la raie publique sont les mêmes qui tentent désespéremment de faire prendre conscience du danger actuel que court la France. Mais tout comme il y a 60 ans ils ne sont pas écouté.
    J’en profite pour saluer tous ces parias qui se manifestent sur RR.

    • J’en suis bien conscient.

      Trop jeune, je n’ai pas connu cette période. Mais j’ai les récits de mon père et de ses frères et de leurs 28 à 30 mois de service.

  3. Bonjour à toutes et tous, J’espère que vous avez bien dormi et que le bon roi salomon vous a rassuré.
    Je crois avoir déjà dit ou écrit que dans les Français à qui je devais tirer mon chapeau il y avait particulièrement Christine et Pierre
     » Non rien de gonflé, je pense ce que je dis et je dis ce que je pense, et je l’écris, forcément. »
    C’est et çà sera toujours ma façon de penser également, sachant que cette position ne plait pas à tout le monde; mais au moins on est honnête envers soi-même et POUR FAIRE PLAISIR à pierre, paul, jacques, madeleine on ne se trahit pas.
    Donc Christine il faut poursuivre.
    Quant à Pierre: un grand coup de chapeau notamment dans cette interpellation envers le guignol qui dirige l’Etat.
    Indiscutablement il a osé faire, dire à la face du monde ce qu’il pensait – ce que nous pensions – de l’ignoble individu de l’élysée.
    En aurais-je eu moi-même le courage?
    Bravo à vous deux.

  4. Si !!! déjà dans ce cas caresserait il des délinquants noirs à demi nus ?

  5. Merci, Chère Christine, d’avoir osé ce coup de chapeau au grand français qu’a été le Général Salan.
    C’était gonflé !
    Ce qui reste des quelques parias perdus qui l’avaient suivi te sont très reconnaissants.

    • Non rien de gonflé, je pense ce que je dis et je dis ce que je pense, et je l’écris, forcément.

  6. C’est illusoire que quelqu’un me donne un seul nom d’homme politique qui a reconnus une erreur et faire marche arrière ?

  7. On ne multipliera pas les citations de Philip K. Dick, Huxley ou Orwell. Simplement souvenons nous de ce que disaient les frères Bogdanov, il y a très longtemps. Oh certes, on peut les qualifier de poseurs, de rois de l’esbroufe, mais ils n’ont jamais été des imbéciles.
    Ils disaient donc que la bonne science-fiction, dans les romans ou les films, ne nous parlaient pas d’un futur complètement délirant, avec des extra-terrestres bizarres surgis d’on ne sait où sans raison, ou des voitures volantes. Non, leur postulat était que la SF nous parlait de notre contemporanéité. De ce que notre société pourrait devenir en extrapolant à partir des données scientifiques et sociologiques du présent. Ils parlaient à plus juste titre de « speculative fiction ».
    Ainsi la série « Les envahisseurs » à la fin des années 60 évoquait-elle, pour qui savait voir, la guerre froide. Nous étions en plein cœur de cette période.
    Inutile de démontrer à quel point « 1984 » décrit un monde dictatorial qui n’a rien à voir avec le nazisme et combien ce cauchemar Orwellien ressemble au monde de 2020. Certes, inspiré par la dictature soviétique. A ce propos, petite anecdote : à la sortie du film « 1984 » , film de Michael Radford, l’Humanité avait consacré une page de critique au film et en avait profité pour descendre en flèche George Orwell, avec une mauvaise foi odieuse, ne voyant dans son roman qu’une critique du communisme et le traitant de fasciste (méthode connue) ; ce qui ne faisait que démontrer que le parti communiste français n’avait malgré ses dénégations pas coupé le cordon avec le stalinisme.
    Même le très hollywoodien « Robocop » démontre la puissance des sociétés privées qui détiennent le vrai pouvoir et auxquelles sont inféodés les politiques.
    Mais jusque là, on constatait juste une dérive vers des phénomènes inquiétants de confiscation par les élites de nos libertés individuelles, disons un grignotage progressif.
    Aujourd’hui, nous avons d’ immenses puissances d’argent détenues par quelques individus qui ont dans leurs mains la vie de milliards d’êtres humains. Lorsque j’étais écolier, j’étais scandalisé du pouvoir que pouvaient détenir les seigneurs féodaux sur la population de leurs royaumes ou de leurs villages. Les milliardaires d’aujourd’hui sont cent mille fois plus puissants et dangereux. Ils se prennent littéralement pour des dieux, la vie humaine n’est pas importante : après tout, l’être humain n’est pas rare : des milliards ! Comment aux yeux de ces demi-dieux la vie d’un être humain pourrait-elle dès lors avoir de la valeur ? Pour des êtres qui ne pensent qu’en termes de marché, seul un produit rare peut être précieux.
    Revenons à la science-fiction :
    On dirait que les choses s’accélèrent. Les Bogdanov constataient que la Science-Fiction cristallisait nos inquiétudes, qu’elle était une loupe pour observer notre société présente.
    En 2020 ceux qui dirigent le monde font tout, dirait-on, pour que la réalité qu’ils font subir à leurs contemporains ressemble aux pires cauchemars imaginés par les auteurs de speculative fiction :
    – Les idées d’Attali sur la vieillesse et l’euthanasie, la situation présente dans les EHPAD : L’Age de Cristal ou Soleil Vert
    – La gouvernance mondiale chère elle aussi à Soros, Attali, Macron et autres larbins de Bilderberg : La Guerre des Etoiles
    – La manipulation des media, l’inversion des valeurs, la création d’ennemis permanents qui ne sont que le reflet négatif et complémentaire d’un pouvoir sans réelle opposition : 1984, bien sûr.
    Aujourd’hui ceux qu’on traite de fascistes sont ceux qui défendent la vie, la paix dans leur patrie, on fustige l’islamisme mais on déroule le tapis rouge à l’islam ; on va-t-en guerre en Syrie, mais on laisse le Djihad détruire des vies en France, on transforme l’histoire dans les manuels scolaires.
    – L’invasion migratoire : Le Camp des saints
    – La menace islamique : Soumission de Houellebecq
    Et on pourrait prendre mille autres exemples de la volonté de ceux qui ont le pouvoir d’asservir, encore et toujours plus. A un moment donné on ne peut que se demander : puisqu’ils ont tout, des palais, un luxe inimaginable, qu’ils achètent tout, les politiciens, le sexe, des territoires privés dont ils ne visiteront dans leur vie qu’une partie, que peut-il leur manquer ?
    Rien. Alors ils veulent s’enivrer avec encore plus : pourquoi ne pas tester à grande échelle cette puissance exorbitante, ce pouvoir de vie et de mort sur le monde ? Je suis intimement persuadé que c’est cette ivresse de puissance perverse et malsaine qui les motive.
    Nous ne sommes pas dirigés par des êtres avides de puissance et d’argent. C’est cela, mais bien pire.
    Ils sont complètement pervers, malades, dérangés, de Soros à Bezos, de Attali à Bill Gates. Il faut en finir avec ces monstres psychopathes, petit à petit, avec nos moyens respectifs.

    Ce qui est d’ores et déjà à notre portée, c’est d’ intervenir auprès de nos politiciens, députés, maires, sans relâche. Et leur rappeler qui les a faits rois. Ne rien laisser passer. Aller les emmerder quand ils font une réunion publique. Oser leur dire NON, oser leur dire qu’ils ne sont ni nos pères ni nos chefs. Qu’ils ont des comptes à nous rendre. Et le faire à la moindre tentation qu’ils auraient de prendre une décision sans notre avis. Ne pas les laisser en paix. Et le faire même lorsqu’ils ne sont que les édiles d’une petite commune.
    Parce que nous ne sommes pas des chiffres, ni des données statistiques, ni des morceaux de glaise que modèleraient à volonté des demi ou des trois-quarts de dieux, qui, au fond, chient de la même façon que nous. Et parce que nous ne laisserons pas nos vies devenir une putain de cauchemar de science-fiction.

    Et parce qu’il faut se souvenir de cette histoire qui se racontait autrefois en Union Soviétique :
    Il y avait un Grand dragon, autrefois sur terre, qui régnait en maître sur tous les animaux de la création. Pour se nourrir, il les dévorait. Chaque jour, il se promenait dans les bois et les steppes avec un carnet en main et programmait son repas du lendemain ou de la semaine. Il allait voir l’âne et lui disait : « toi, l’âne, demain je te mange ». Le pauvre animal avait beau argumenter, dire qu’il avait des bouches à nourrir, le dragon demeurait intraitable, et sur son carnet il inscrivait l’âne à son menu du lendemain. Ainsi procédait-il. «  Toi, l’éléphant , je t’inscrit pour mardi, pour mon repas du soir. » Il ne restait aux proies qu’à profiter des quelques heures qu’il leur restait avant de finir dans le ventre du dragon.
    Un jour cependant, notre maître du monde avise un petit lapin, qui gambade de façon insouciante dans l’herbe fraîche :
    – Hé, toi, qui es tu ?
    – Je suis un lapin, Seigneur dragon !
    – Bien. Je te mange pour mon petit-déjeuner, voyons…vendredi prochain ! Et il prend note sur son carnet.
    Le lapin se dresse sur ses deux pattes de derrière et croise celles de devant, lève la tête vers l’immense dragon qui le toise :
    – NON ! fait le petit lapin.
    – Comment ça, NON ?
    – NON !
    – NON ? Tu es sûr ?
    – Oui. C’est NON !
    – NON ? Bon, alors je te raye ! Et il biffe le nom du petit lapin qui continuera à vivre très longtemps et ne finira jamais comme petit-déjeuner du dragon.

    Gardez ça à l’esprit : ils ne sont des dragons que parce qu’à un moment donné nous les laissons être des dragons.

  8. Tiens, v’là que mon ami vieux bidasse se lance dans RR !
    oryx par ailleurs….

  9. Nous n’avions encore jamais vu un « chef de guerre » ne sachant se servir que d’un fusil de chasse…. il faut reconnaître que les lapins, eux, n’en ont pas
    Ce machin n’est même pas à la hauteur pour cirer les pompes.

  10. Si Sa Majesté me permet un retrait…

    « Je ne suis pas de la trempe dont on fait les De Gaulle, les Jean Moulin, les Manouchian, les Salan, ni les Trump, les Orban, les Poutine, les Salvini sans doute… »

    « Je ne suis pas de la trempe dont on fait les De Gaulle, les Jean Moulin, les Manouchian, les Salan »

    Le discours est adressé aux Français et nous disposons d’un réservoir référentiel bien plus intéressant que celui de l’Oncle Sam ou du Rambo du Kremlin. Orban, Salvini et Boris Johnson – à qui je souhaite un prompt rétablissement – sont certes des personnalités déterminées mais Marianne n’a pas à jalouser l’étranger. Marianne a tout en son sein.

    Si Sa Majesté me permet une retraite…

  11. Quand allez vous comprendre que vous avez affaire à un Golem non pas juif mais une créature mondialocapitalomusulmane . l’heure n’est plus à la compilation quotidienne des méfaits pour ma part je n’attends que des harangues guerrières qui souleveront les foules.

  12. Mille MERCI Christine pour votre combat , ainsi que pour Pierre … cela fait très longtemps que je suis un lecteur assidu de vos Chroniques … et vous êtes bien les seuls à porter la voix des trop rares Patriotes … J’ai 70 ans à présent , j’ai fait mon Service Militaire en 1970 « les derniers » je suis un Patriote alors que lorsque j’écris le nom de mon pays j’ai supprimé sa majuscule et je suis bien malheureux de voir les couleurs de mon Drapeau si fanées … OU est l’homme providentiel qui saura sortir ce qui fut encore un Pays il y a 45 ans ??? je puis vous affirmer que tout mon RESPECT vous est Acquis Christine … Merci encore à vous … et vivent les Filles , toujours en première ligne …

    • Merci Alain pour ce message si émouvant, toutes mes amitiés, il faut qu’on tienne bon il y aura forcément une sortie du tunnel

  13. J’aimerais que votre rêve se réalise.
    Je pense que Macron, de toutes façons, sait qu’il rentre dans une zone dangereuse. La rancune et la rancoeur à son égard, suscitées par cette interdiction de la chloroquine et qui est comprise (à raison) par tous, comme un arrêt de mort froid et cynique le font rentrer dans une zone de vrais risques. Il est donc possible que justement par lâcheté, pour sauver sa vie, il fasse machine arrière.

  14. Mille mercis Christine pour cet article dans lequel tu évoques cet immense soldat que fut le Général Raoul SALAN; immense soldat qu’aucun autre ne pourra jamais égalé, y compris notre écrivain..pique..mal.
    Il faudrait, en effet, pour la France un nouveau général de la trempe du Mandarin et qui s’entoure, tel que ce fut dans le passé, d’hommes et de femmes capables de défendre les couleurs de la France.
    Mais………j’en doute.
    Quant à Macron et tous ses sbires, je l’ai déjà dit et écrit, la peine de mort serait pour eux une délivrance.
    Un confinement de tous ces mécréants à Cayenne serait beaucoup plus salutaire.

  15. Oui on peut toujours rêver, et c’est exactement ce que j’aimerais entendre de la bouche de ce coprolithe de fond de fosse septique qui alors remonterait dans mon estime, mais ce n’est qu’un rêve..

  16. Puisque nous sommes en GUERRE Je souhaite , mais je rêve , d ‘ un NUREMBERG 2

    Mais avec aussi dans le box des accusés les anciens responsables depuis 30 ans au moins

  17. Tellement bien dit /écrit !
    Lui qui sort de l’école chretienne ,devrait savoir que nous sommes dans la Semaine Sainte . Temps de pénitence et de repentir , le bon moment pour être humble et faire l’acte de contrition !
    Tout cela ne s’est passé qu’en rêve .
    Ah le beau rêve et le réveil à la realité est très difficile !
    Quand même ,bonne journée,Christine .
    Jeanne

    .

  18. Faites savoir, concrètement, par lettre, au président Micron, que vous partagez pleinement l’opinion exprimée à son encontre dans cet article :
    Imprimer l’article et l’envoyer par la poste à son ADRESSE POSTALE PUBLIQUE que vous trouverez sur la page
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    au paragraphe « 2. Écrivez au président de la République par voie postale »
    Rappel : pour écrire au président PAS BESOIN DE TIMBRE, L’AFFRANCHISSEMENT EST GRATUIT.
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    Signer au bas de la dernière page, dans l’espace resté blanc, avec votre prénom et ville (inutile de bêtement donner vos coordonnés complètes à un collabo des envahisseurs).
    Voilà, faire acte concret de résistance, ça commence en investissant… rien, même pas un timbre.
    Raison de plus pour ne pas vous priver de participer !

    • @Laurent; j’ai mis à profit et votre suggestion et la façon de s’y prendre. Dès que j’aurai une réponse – car je n’en doute pas…vous non plus d’ailleurs) je la transmets soit à Christine, soit à Pierre voire les deux à la fois.
      Mais en toute franchise je pense qu’elle partira en classement vertical.

  19. C’est pas un pot de fleurs mais toute la jardinière qu’il faudrait…

  20. Magnifique Christine ! Merci.
    Même émouvant tant cet individu fait de mal à son peuple, oui.
    …………
    ………….
    ………….
    Mais
    …………
    …………
    ………….
    qui l’a élu à 63 %.

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