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Il n’y aura bientôt plus de poisson chez les poissonniers, qui se préparent à fermer boutique au cours des jours à venir.
La raison ? Le confinement, le coronavirus ? Pas du tout.
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La raison c’est que, depuis que cantines scolaires et restaurants sont fermés, il ne se vend plus assez de poisson, que les cours s’effondrent donc et que, à la criée, même des langoustines à 6,80 euros ne trouvent pas preneur…
Les patrons de bateaux de pêche décident donc, les uns après les autres, de ne pas repartir en haute mer… pour ramener un poisson dont trop peu de personnes veulent… et qui ne couvre donc pas leurs frais.
C’est pourquoi le gouvernement envisagerait de fermer les criées… qui fonctionnent de plus en plus à vide, faute d’acheteurs, avec du poisson à un prix défiant toute concurrence… dont personne ne veut.
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Coronavirus. Le port de pêche de Lorient va-t-il se confiner, la criée fermera-t-elle ?
Depuis la semaine dernière le marché du poisson frais ralenti jour après jour. Les dernières mesures prises par l’État n’ont fait qu’accentuer la tendance. Le port de pêche de Lorient est en réunion de crise ce lundi 16 mars 2020.
Une réunion de crise se tient ce lundi 16 mars 2020 au port de pêche de Lorient. Elle réunit tous les acteurs de la filière : pêcheurs, mareyeurs, poissonniers, transporteurs, direction du port, représentant du personnel, etc. Sur la table ? L’épidémie de coronavirus et ses effets sur l’activité du pays.
Fermer la criée ?
Les questions ? Faut-il, doit-on, fermer le port de pêche ? La criée de Boulogne s’interroge elle aussi. Les bateaux vont-ils continuer à pêcher quand la commercialisation du poisson frais rencontre bug sur bug ?
Du poisson mais quels acheteurs ?
Ce lundi matin, sur deux tonnes de langoustines présentées à la vente, près de 500 kg n’ont pas trouvé acheteurs immédiatement. Une seconde vente a permis d’écouler la marchandise. Mais les prix sont tombés : 6,80 € le kilo. C’est le prix minimum en dessous duquel le produit est retiré de la vente.
Depuis plusieurs jours, le poisson, toutes espèces confondues, perd en valeur. La julienne, habituellement autour de 4 € le kilo sous criée, partait difficilement à 2 €. Elle était à 1,40 € ce lundi matin, et encore il s’agissait de julienne de ligne mieux cotée. Celle des chalutiers du large ne dépassait pas 1 €.
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Beaucoup trop d’intermédiaires entre le pêcheur et le consommateur peut-être non???
La situation s’est améliorée à Lorient à la criée vendredi 20 mars.
https://www.ouest-france.fr/bretagne/lorient-56100/lorient-cette-fois-toute-la-langoustine-ete-vendue-la-criee-6786651
J’ai vu que les producteurs des salades vertes ont les mêmes problèmes avec leur production. Les problèmes de vente de produits frais arrivent, bien sûr, parce que les cantines et les restos sont fermés, mais aussi à cause des blocages dans toutes les chaines de distribution. Les marches locales peuvent être interdites à n’importe quel moment. Dans les supermarchés, après qu’on a fait la queue pendant 1 heure et demie on achète assez peu de produits périssables. Tout cela est une conséquence du confinement de population mal organisé. Et on peut poser la question, est-ce que cette dégradation d’économie française a été fait volontairement ou non ?
« On manque régulièrement de certains médicaments parce qu’on a confié à la Chine la confection de nombre d’excipients et même de médicaments »
Ben oui, mais pas que :
Coronavirus : l’Inde restreint l’exportation de nombreux médicaments dont l’Europe est dépendante.
L’épidémie de coronavirus a conduit l’Inde à restreindre l’exportation de dizaines de médicaments, dont le paracétamol et divers antibiotiques, faisant craindre une pénurie mondiale de médicaments indispensables.
http://www.fdesouche.com/1345263-coronavirus-linde-restreint-lexportation-de-nombreux-medicaments-dont-leurope-est-dependante
Ah les cons !
Et voici que Erdogan a bloqué nos masques fabriqués en Turquie à la frontière…
j’avais commandé (Amazon) des masques (32€). Mais, surprise venant de Turquie, la douane demandait env 31€ de taxe ! j’ai refusé et Amazon m’a remboursé.
Le poisson subit aujourd’hui le même sort que le cochon il y a quelque années….
suppression du cochon dans la restauration « municipale » remplacement de la population par …. etc…
Le plan du débile de l’Elysée fonctionne très bien mais il conduit à une explosion dont il ne se relèvera pas. Il veut tuer, c’est sa seule raison de vivre. Il tue avec le virus et il veut que les popualtions crèvent aussi de faim (confinement et fermetures de l’alimentation). Nous sommes donc au bord du gouffre. Espérons que macron et ses complces feront un grand pas en avant Mais quand le peuple a faim, qu’est-ce qu’il fait ?
La mère nature est en train d’envoyer un fort message pour tout ça.
Demain, si ça ne s’arrange pas elle fera en sorte de l’arranger elle même par un message multiplié par 1000.
jeudi 23 avril est une grande date pour les cinglés de France puisque c’est le début du ramadan. Les pue du bec (essayer de sentir l’haleine de quelqu’un qui ne boit pas du lever au coucher su soleil…hormis la langue qui colle au palais cela sent très très mauvais mais allah est content alors !!!) vont aller faire leurs petites cou courses comme d’habitude donc ils vont REdiffuser le virus même si celui-ci commence a reculer alors en 2020 il faut interdire le ramadan sur le sol de France. Et concernant le poisson il faut un pêche responsable avec un poisson accessible au peuple qui consommera ce poisson français si notre pouvoir d’achat le permet. Arrêtons de faire venir les crevettes de Madagascar, le saumon d’élevage des pays nordiques,… Péchons français, mangeons français.
Il paraît clair que tout ce qui a trait à l’alimentation relève du service public. C’est d’une hypocrisie totale de laisser cela au secteur privé alors que c’est précisément ce qui reste ouvert même en pleine crise, ce qui caractérise une continuité qui est de l’essence du service public, une « loi du service public ».