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Les dégénérés progressent chaque jour…
Après le caca nerveux des gourdasses ne supportant pas que Polansky ait obtenu un César plus que mérité…
Voilà que des employés américains d’Hachette font un caca nerveux parce que Hachette se préparait à sortir le dernier bouquin autobiographique de Woody Allen, au motif que des accusations de viol auraient été portées contre lui par son ancienne compagne Mia Farrow, l’ayant accusé d’avoir violé leur fille adoptive… au moment où Woody la quittait pour épouser une autre fille adoptive de Mia (bon, elle a eu 4 enfants et en a adopté 11 autres, ne me demandez pas qui est qui, je résume. Si vous voulez en savoir davantage, il faut aller sur wikipedia.).
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Pas de jugement, pas de preuves… des accusations relayées par le frère de la supposée victime qui a participé aux dénonciations de Weinstein, ce qui n’en fait pas un témoin forcément fiable contre Woody Allen… Si ce que dit Mia Farrow est vrai c’est abominable, et on sait que Wooody Allen qui a dit beaucoup de choses sur lui dans son oeuvre géniale n’est pas un modèle d’équilibre, mais dans ce monde de tarés hollywoodiens et de dégénérés dans tous les sens du terme tout est possible, y compris d’instrumentaliser un prétendu viol d’enfant pour se venger d’un homme… Tout ça date d’il y a plus de 20 ans, et les accusations sans preuves perdurent et reviennent sur le devant de la scène, régulièrement.
(Pier, dans les commentaires, nous a donné le lien d’un article de Dreuz où le fils de Mia et Woody démontre, enquêtes sociales à l’appui, que Mia aurait menti et manipulé tout son monde.)
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Mais là n’est pas le sujet de notre article.
Le sujet est que, juste au moment où le dernier bouquin de Woody Allen, Apropos of Nothing, sort, quelques employés découvrent que, horreur, ils travailleraient à sortir le livre d’un homme accusé de pédophilie, de viol etc.
Et voilà une levée de bouclier qui ne laisse pas indifférente la direction de la filiale américaine d’Hachette, Grand Central Publishing… qui veille au bien-être de ses employés (sic !):
« En tant qu’éditeur, nous veillons chaque jour dans notre travail à ce que des voix diverses et des points de vue contradictoires puissent être entendus. En tant qu’entreprise, nous sommes également déterminés à offrir une ambiance de travail stimulante et accueillante pour tous nos employés ».
Bref, pour éviter le « scandale » d’avoir quelques dizaines d’employés furax, on déchire les contrats, on refuse le droit à l’accusé de raconter sa vie et donc sa version des choses, on refuse le droit à un cinéaste de talent le droit d’expliquer aux cinéphiles ce qu’ils attendent avec impatience… Une fois de plus, les minorités imposent leur loi au plus grand nombre !
On ne sait si Hachette annulera la sortie du bouquin dans d’autres pays ou bien se contentera de donner des gages aux Américains. Le livre est toujours disponible en pré-commande sur Amazon et annoncé en édition française le 29 avril.
Assailli de critiques, le groupe Hachette a annulé, vendredi 6 mars, la publication des mémoires du célébrissime réalisateur new-yorkais Woody Allen. Le livre, censé retracer en détail la vie professionnelle et personnelle du prolifique cinéaste de 84 ans, auteur de films cultes comme Manhattan et Annie Hall, devait être publié le 7 avril aux Etats-Unis par une filiale d’Hachette, Grand Central Publishing.
« La décision d’annuler le livre de M. Allen a été difficile (…), nous n’annulons pas de livre à la légère », a indiqué dans un e-mail à l’AFP Sophie Cottrell, porte-parole de Hachette Book Group USA (HBG). L’annonce intervient au lendemain d’une manifestation de dizaines d’employés d’Hachette, qui sont sortis de leurs bureaux à New York pour dénoncer la publication du livre du cinéaste, accusé d’avoir agressé sexuellement sa fille adoptive Dylan Farrow en 1992, ce qu’il nie.
« Ces derniers jours, la direction de HGB a eu de longues discussions avec le personnel et d’autres. Après avoir écouté, nous sommes arrivés à la conclusion que maintenir la publication n’était pas faisable pour HBG », a ajouté Sophie Cottrell, précisant qu’Hachette rendrait « tous les droits »achetés au réalisateur.
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Mais le pire, dans cette affaire, est que Hachette, comme Larousse… appartient à Lagardère… dont l’actionnaire principal est le Qatar. Depuis , Qatar Investment Authority, filiale du fonds souverain de l’émirat du Qatar, est devenu l’actionnaire principal du groupe Lagardère.(wikiipedia).
Le Qatar qui finance le voile et les mosquées, et donc les prêches où il est question d’Aïcha, épousée à 6 ans par Mahomet et dépucelée par lui à 9 ans. Qatar qui pratique l’islam wahhabite, le plus rigoriste, qui explique les mariages forcés avec des gamines de 10 ans…
Apparemment, ils n’ont pas d’état d’âme, les employés de Hachette USA, quand les victimes sont des gamines musulmanes et les auteurs avérés des viols des barbus, avec ou sans l’argent des pétro-dollars.
Bande de sauvages, employés et violeurs, qui se permettent de cracher sur l’homme blanc, sur l’homme blanc supérieur car de génie, histoire de taper une fois de plus sur l’Occident.
Et il dit quoi, de tout ça, Lagardère ?
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Il y a pas mal d’années que je ne suis pas retournée au cinéma voir un Woody, et pourtant Dieu que j’ai été fan, Dieu qu’il m’a émerveillée dans quelques films magiques, et drôles, il n’y a pas d’autres mots. Mais son cinéma était devenu par trop nombriliste, intellectualisant, anecdotique depuis au moins 10 ans.
Par contre, il me suffit d’évoquer entre autres Annie Hall, Hannah et ses soeurs, Broadway Danny Rose, La Rose pourpre du Caire, Manhattan, Alice… pour retrouver le bonheur de ces séances passées devant le grand écran en sa compagnie. Je ne jetterai pas le bébé avec l’eau du bain.
Merci à lui pour ces moments extraordinaires… Sa vie privée ne regarde que lui, ses proches et la justice. Pour le reste, place au cinéma, place au talent.
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J’ai l’impresdion que l’on ne veut plus de qualité mais de l’idéologie. Cette tendance est née, je pense , dans l’école des années 80. Les profs et l’EN déjà très endoctrinés à gauche , privilégiaient déjà des études de textes et préconisaient les lectures traitants de faits de société en lieu et places des auteurs classique et des philosophes. Et demandaient aux élèvent de développer autour de ces thèmes. Pourquoi?Parce qu’il était très facile pour le prof, en conclusion, d’asséner ses vérités ,souvent partisanes ,sur les faits en question à des élèves médusés . Et de pratiquer ce lavage de cerveaux idéologique que nous déplorons aujourd’hui qui explique cette pensée unique inscrite très profond dans les têtes.
Beaucoup de ces films Français de l’exception culturelle sont emprunts et parfois même dégoulinent de cette bien pensance de gauche que l’on croirait que les réalisateurs sont des militants .
Ils sont jugés ,d’ailleurs, par les journaux autorisés que sont, Télérama ou Libé, à l’aune du degré de conformité à la doxa ambiante et non pas sur la qualité artistique de l’oeuvre . Je dis cela parce que je l’ai constaté à maintes reprises . Moi c’est bien simple dès que je sens qu’il y une once de prise de tête gauchiasse ça me fait l’effet d’un repoussoir. Surtout quand cela s’accompagne en plus d’une posture qui fait le grand écart avec la réalité. et que tout le monde sonne donc faux, de la mise en scène jusqu’aux acteurs! Et ils osent toucher à Polansky ou Woody Allen. Les cons ça ose tout etc…
Bonjour Mme Tasin, désolé de vous contredire, mais je ne suis pas d’accord pour mettre sur le même plan les affaires Polanski et Woody Allen.
Je rappelle que Polanski a été condamné pour viol et sodomie sur une gamine de 13 ans qu’il avait fait boire et drogué. Par contre Woody Allen est présumé innocent, sauf si devait être condamné au terme d’un procès (qui n’a pas l’air de devoir se produire à ce jour).
Pas d’accord non plus avec la formule : « Sa vie privée ne regarde que lui, ses proches et la justice. » Polanski a été condamné, mais n’a jamais effectué sa peine de prison.
S’il avait reçu son César après avoir purgé sa peine, ce serait différent. Un peu comme Bertrand Cantat, il aurait payé sa dette et aurait le droit qu’on lui fiche la paix avec une histoire terminée. Mais ce n’est pas le cas.
Je ne me prononcerai pas sur les conflit familiaux entre Woody Allen et une partie de sa famille.
Néanmoins ce qui est étonnant dans son cas c’est qu’il ait épousé sa fille adoptive. Même Frédéric Miterrand n’a pas épousé son fils adoptif.
non c’est pas la fille adoptive de Woody mais celle d’un des précédents maris de Mia, Previn
https://www.dreuz.info/2020/03/07/conclusion-des-deux-enquetes-des-services-sociaux-dylan-na-pas-ete-abusee-par-woody-allen/
Merci pier pour ce lien. C’est un excellent témoignage d’un des fils de Mia Farrow qui la révèle comme une mère violente, hystérique et manipulatrice. Deux de ses enfants se sont suicidés. Le revers de la médaille féministe MeToo.
Que de tintouin au sujet de Roman Polanski quand on pense à Jack Lang -à Cohn Bendit etc… qui sont des pédophiles notoires jamais mis en prison mais toujours en liberté, alors qu’on arrête de s’acharner sur Polanski qui lui nous a concocté des chefs d’oeuvre , ça suffit.Ce sont des erreurs de jeunesse pour lesquelles il a suffisamment payé – l’acharnement des USA sur lui est un comble.
C est tout simplement l hôpital qui se moque de la charité.
Des prédateurs sexuels entre eux.