Chelles : qu’a donc fait Bilal, 8 ans, pour que son professeur soit obligé de le frapper ?

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Ma question n’apparaît nulle part. Ni la question, ni, forcément, la réponse, qu’on n’aura jamais, sauf à ce que le professeur concerné nous raconte (contact@resistancerepublicaine.com).

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Vous pouvez lire l’article du Parisien consacré au fait-divers, chercher quelque part un communiqué d’associations de parents d’élèves, un autre de l’Inspecteur d’Académie, un autre du recteur. RIEN.

Partout on tape à coups redoublés sur la jeune prof,  vacataire et remplaçante, qui aurait littéralement pété les plombs.  C’est à elle que je pense, aujourd’hui. C’est pour elle que j’ai l’estomac serré. C’est pour elle que j’ai peur. Non seulement l’Inspection Académique l’a jetée comme une vieille chaussette, sans même l’entendre !!!!! (ils font quoi les syndicats EN ????), non seulement elle est salie partout et n’a pas intérêt à revenir à Chelles sauf à risquer l’agression, mais en plus la mère du « pauvre » Bilal porte plainte contre elle… Le pire est encore à venir.  C’est pour elle que je suis dans une colère folle, dans une révolte folle.

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Or, dans ce monde, dans ce milieu avide de crier « pas d’amalgame », avide d’expliquer et justifier l’injustifiable, même des attentats islamiques, ici rien ni personne pour comprendre, pour savoir, pour expliquer. Rien. Haro sur l’instite. Haro sur celle qui ne s’est pas laissée faire. 

« Ce n’est pas de la colère de la part de l’enseignante. C’est de la folie. »

Bilal*, 8 ans, a été littéralement passé à tabac

Bilal s’est fait taper par la maîtresse !

, l’enseignante a tiré l’oreille de Bilal, lui a donné des claques, l’a tiré par le pull… Imen complète le récit : « Elle avait attrapé Bilal par le dos et l’avait mis dans un coin. » Et c’est après que les coups ont plu.

On notera en passant la perversité du Parisien, qui a mis un lien sous « tirer l’oreille » menant… à un article sur le harcèlement que subissent certains élèves de la part de leurs camarades !

Ce qui a entraîné une grande culpabilisation de la part d’un enfant de 8 ans, qui est juste parvenu à dire à sa mère : « J’ai eu très peur de la maîtresse. Ses yeux allaient sortir de sa tête. »

Une enseignante a eu un comportement totalement inadapté

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Tout le monde, donc,  de pleurer sur le petit Bilal, sur sa mère Imen, sur ses petits camarades Anna (prénom modifié) dont la mère s’appelle Kheira.

Qu’est-ce qui a poussé une jeune vacataire, arrivée il y a peu dans la classe si on en croit l’article (qu’est-il arrivé au professeur en titre ? Il a pété les plombs ? Il est en dépression nerveuse ? Il est légitime de poser la question, non ?).

Tout ce qu’on sait c’est que la maîtresse a réuni toute la classe pour dire que Bilal l’avait cherché.

Je vois très bien quant à moi ce qui a pu se passer, le gosse qui parle à haute voix, qui provoque, qui refuse d’obéir aux consignes… jusqu’à ce que la prof l’expédie au coin… coin qu’il refuse de rejoindre, ce qui oblige l’instite à l’y propulser manu militari, sauf à perdre la face. Et à se mettre dans une colère monstre. Qui n’aurait pas réagi ainsi ? 

Mais cela n’interpelle pas la mère de Bilal. Comment ça, une femme, une kouffarde en plus, qui ose toucher au petit mâle ? Qui ose l’humilier, le tabasser, le blesser… n’en jetons plus. 

Et la photo complaisante exhibée par le Parisien :

 

Qu’est-ce qu’elle prouve ? Que Bilal a été griffé par sa petite soeur ? Qu’il s’est si bien débattu pour refuser d’aller au coin que la maîtresse a dû l’agripper de toutes ses forces pour l’y contraindre et l’a griffé en passant ? 

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Je connais l’école, je connais les enfants, je connais les écoles des quartiers islamisés, ce qui est le cas à Chelles si on en juge aux prénoms, modifiés ou pas, des intervenants. Cela peut être l’horreur pour les enseignants. C’est, souvent, l’horreur pour les enseignants, surtout sans expérience, surtout femmes, surtout kouffars. C’est la réalité. 

Et quand La Journée de la jupe est sortie… personne n’a prétendu que le réalisateur avait fumé. Personne. Même si on a eu droit comme d’habitude à la politique de l’excuse. Faut comprendre… Comprendre quoi ? Le refus de la France, le communautarisme, la violence induite par l’islam vis-à-vis des mécréants et des femmes ? 

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Le but est bien évidemment que, dans les écoles des quartiers islamisés, les Kouffars ne veuillent plus enseigner, afin qu’on soit entre soi. Cela s’appelle l’islamisation de la France. Cela s’appelle le djihad. Et cela s’appelle l’immense dhimmitude de nos Présidents, Ministres de l’Education Nationale, Recteurs, inspecteurs, et autres enseignants non musulmans faisant le travail d’islamisation de notre pays. 

Pas une manifestation des collègues de cette enseignante pour la soutenir ? Pas une confidence sur les réseaux sociaux pour dire l’horreur d’enseigner à Chelles ?

Bande de salauds. Je vous hais.

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Vous voulez rire, malgré tout ? L’inévitable et ridicule cellule psy va passer dans l’établissement.

Qu’est-ce qui est prévu pour la maîtresse qui a dû vivre la journée la plus traumatisante de sa vie, sans parler des questions existentielles sur son choix de métier ? Rien ! Qu’elle crève, elle n’est ni immigrée ni musulmane. 

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Si par un heureux hasard elle nous lisait, qu’elle nous contacte contact@resistancerepublicaine.com. Nous serions heureux de lui donner la parole et de la soutenir. 

 

 

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27 Comments

  1. En CE1 une instit m’a pris en grippe,une paires de gifles bien voyantes,je n’étais vraiment pas turbulent,ma mère s’est déplacée,du coup j’ai redoublé cette classe,un handicap si tôt dans la scolarité,cela se passait en 67-68.
    Des années de collège et de lycée je ne conserve que le souvenir de fonctionnaires gauchistes peu soucieux de notre réussite,inutile de préciser que je garde une dent contre le public.
    En ce qui concerne cette jeune femme je ne peux que compatir comme tout un chacun,toutefois reconnaissons que les enseignants sont les premiers à nous avoir mis dedans,ils continuent à répandre le discours de l’intégration et de l’accueil à tout prix.

  2. > Si par un heureux hasard elle nous lisait
    Pour que le hasard fasse bien les choses, il faut un peu l’aider :
    Imprimer l’article et l’envoyer par la poste à l’ADRESSE POSTALE PUBLIQUE de l’école en question (dont le nom est donné dans l’article de Le Parisien) que vous trouverez sur la page
    https://www.education.gouv.fr/annuaire/77-seine-et-marne/chelles/etab/ecole-elementaire-pierre-et-marie-curie.html
    Pour imprimer facilement l’article, c’est pas compliqué :
    Cliquer sur la barre verte « Print Friendly » en bas à gauche du présent article.
    (ou accès direct : https://www.printfriendly.com/p/g/EWCYXp )
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    Dans cette version PDF de l’article, les deux mentions de l’adresse de courrier électronique sur laquelle contacter RR (dans la première et la dernière phrase) sont remplacées par « [email protected] » donc il vous faut recopier l’adresse électronique correcte à la main.
    Signer au bas de la dernière page, dans l’espace resté blanc, avec votre prénom et ville (inutile de bêtement donner vos coordonnés complètes à une bande de dhimmis).
    Il ne vous reste plus qu’à espérer que, devant l’afflux de lettres toutes identiques, un dhimmi dans cette école aura un sursaut de combativité et fera, d’une manière ou d’une autre, parvenir discrètement ce courrier à l’intéressée.
    Voilà, faire acte concret de résistance, ça commence en investissant un timbre.

  3. Cette colère que vous exprimez Christine c’est celle qui devrait être celle de tout le corps enseignant .A votre manière vous sauvez l’honneur de cette profession. Car cette stagiaire est plus une victime qu’autre chose . Victime en amont de la gauchiasserie qui fait de ce genre de gamins des rois intouchables et transforment les enseignants en surveillants de garderie de mômes complètement hystériques, tellement ils sont dans l’impunité la plus totale,en et même temps poussés par leur communautés à refuser l’autorité du français et plus encore celle de la femme!
    En aval tous ces bons à rien de syndicats de profs brillent par leur absence toujours prêts à se mobiliser pour un oui ou un non y compris des sujets qui n’ont rien à voir avec l’EN . Ces syndicats, devraient tous, au préalable, soutenir protéger leur collègue et après seulement la convier à s’expliquer et non pas la livrer, démunie, au lynchage médiatique . Pareil pour la hiérarchie qui est responsable du comportement des enseignants sous leur autorité, comme de leur intégrité physique et morale qui sont souvent mises à mal dans un société qui depuis peu a rendu une population intouchable, dans le sens propre, comme figuré et on a beau avoir huit ans on sait cela et on peu en jouer, dans le sens propre comme figuré !! Cette démission collective ,face au communautarisme quand ce n’est pas de la collaboration est emblématique de ce qui se passe dans la société Française dans son ensemble. Parce que je veux bien que l’on ait pas le droit
    de taper un môme mais quelqu’un croit il que cela ne se pratique pas dans les familles de ces enfants?? Eux ont toujours de bonnes raisons de frapper leurs mômes mais refusent qu’une mécréante se permette ce qu’il pratiquent eux en tout impunité et souvent sans raison et ce ne sera pas la communauté avoisinante qui dénoncera les faits, donc, pédagogiquement les dés sont pipés!!,
    Ne parlons pas du rôle des médias en l’occurrence « le Parisien », toujours prêt à taper sur les réseaux sociaux qui traiteraient les faits de façon schématiques et populiste mais qui achèvent là le tableau des pourris en faisant un article complètement à charge contre l’enseignante, alors que lorsqu’il s’agit d’ un élève de la diversité qui agresse de façon violente son prof , on ne sait pas quoi faire pour excuser son comportement ; on met l’avis du psy ont cherche à comprendre ce qui a motivé le geste etc ..;.. Je n’ ‘aurais pas soutenu cette prof stagiaire dans d’autres circonstances; dans une société qui soit apaisée ou les parents d’élèves collaborent d’eux même et sont en empathie avec les profs où les communautés étrangères n’imposent pas leur lois, leurs coutumes leurs religions, leurs hostilités et leurs refus de notre société Française . Il est vrai que comme occupant d’un pays on ne peut accepter que l’on puisse enseigner l’amour du pays occupé. La logique des choses voudraient que ce soit l’exact contraire . Il faut pour faciliter cela de bons collabos , qui cassent le roman national pour mieux encenser les bienfaits de l’envahissement , et dans le corps enseignant ,on ne manque pas de personnages de cet acabit!!!

  4. Marseille quartier Nord ,il y a 22 ans .
    Moi, la maĺtresse CM1 -en remplacement-
    Gosse lance un papier ,
    Moi : – ramasse
    Lui : – tu n’as qu’à le ramasser toi même !!!!
    Moi (remontée à bloc ) – tu ramasses et tout de suite ,tu ne sais pas ce qui t’attend !
    À noter : je ne savais pas ce qui pouvait l’attendre ! en roulant les épaules et avec un regard dédaigneux le sale gosse avait obéi MAIS il y a de l’eau qui est passé sous les ponts .
    Je pourrais continuer ,je vous épargne !!!! Quant à moi j’ai quitté ma Ville que j’adorais pour arriver dans le Sud Ouest .

  5. beaucoup de gamins d’aujourd’hui sont mal élevés par leurs parents, qu’ils soient « de souche » ou non. Ceux-ci soutiennent leurs enfants mordicus. C’est toujours de la faute de la « maîtresse » qui se fait insulter par les parents quand l’enfant est puni à l’cole!

  6. « L’horreur d’enseigner à Chelles ». Alors cette bonne ville, plutôt paisible, a bien changé depuis que j’y ai habité et fait toute ma scolarité de la maternelle au lycée (j’ai obtenu mon bac au lycée Gaston Bachelard à la fin des années 1980).
    Pendant que j’y étais, je n’ai jamais entendu parler de ce genre d’affaire, preuve que à Chelles, comme ailleurs, le climat se dégrade à vue d’oeil.
    J’y ai cependant toujours des attaches puisque mes parents y habitent toujours. Par ailleurs, je saisis cette opportunité pour signaler que le maire sortant, M. Brice Rabaste (LR), candidat à sa succession, s’est rallié toute honte bue à Macron.
    Alors si des Chellois traînent par ici, ils savent ce qu’il leur reste à faire : pas une voix pour ce bonhomme !

  7. J’ai zoome sur la photo et effectivement ça ressemble plus à des piqures d’insectes,bizarre cette histoire .

  8. C’est une prof, jeune. Elle ne contactera jamais un vilain site « d’extrême droâte ».

  9. Les trois petits points rouges : des piqûres de punaises de lit, probablement.Ou peut-être des puces.

  10. Merci pour cet article très émouvant.
    Les nouveaux inquisiteurs ont semble-t-il oublié la maxime « audiatur et altera pars », tant il est vrai que le Zeitgeist privilégie désormais le lynchage des kouffar, un jihad tous azimuts avec la bénédiction des dhimmis au pouvoir

  11. Moi aussi comme je hais tout ça et comme ça me fatigue ! Il y a de quoi désespérer !

  12. il y’a de quoi pété les plomb ! lorsque j’étais enfant en primaire ,ils (les norvégiens) cassés déjà les cou…. a tous le monde ! et ça c’était fin 70’s début 80’s . j’ose même pas imaginer aujourd’hui !

  13. Si le petit Bilal a été passé à tabac, il doit bien en rester quelques traces que la « maman » devrait s’empresser d’afficher par quelques beaux clichés sur les réseaux sociaux.

    L’égratignure que l’on voit n’est pas très convaincante.

    Le silence – obligé?- de l’enseignante qui a fait l’erreur de lever la main sur un élève est tout aussi troublant.

    Un fait divers de plus dans ce pays apaisé, où il fait bon vivre ensemble parmi toutes ces cultures qui nous enrichissent.

  14. Beaucoup de professeurs arrêtent après seulement 4 ou 5 ans de professorat. Il manque d’ailleurs beaucoup d’enseignants en Belgique.

  15. Quand je vois le comportement des gosses en général je n’ai qu’une envie, leur taper dessus. Un jour personne ne voudra plus enseigner car les instits ne peuvent rien, dire, rien faire. Je suppose que le comportement de ce gosse a été tel que l’institutrice a dû péter les plombs et je ne la blâme pas.

  16. Pauvre gamin, de méchants professeurs veulent absolument l’instruire, en faire un citoyen français, alors que son plan de carrière est tout simplement d’entrer dans la grande fraternité de la racaille. Devenir un dealer, un jihadiste, un terroriste. Son projet : nuire autant que possible au pays qui a tout donné à ses parents, peut-être même ses grands-parents.
    Offrons-lui la fin qu’il mérite et qu’il souhaite : une balle dans la nuque. Il sera mort en héros, en caïd…

  17. Tabassé ?
    Il a une simple éraflure au niveau des trapèzes !
    C’est tout ce que je vois. Et encore reste à savoir à quoi elle est due.

  18. Je n’y étais pas, mais je peux imaginer. Choisissez dans le tas.
    « Woula j’te nique moi! Sale pute d’où ça tu me parles j’te nique ta mère la pute suce ma teub sale connasse etc etc etc.  » Et que la pov’maman en fait des tonnes sur quoi, on dirait trois piqûres de moustique. Mais attention!!! Les municipales approchent. L’electoRAT!

  19. Enseigner quoi à ces brêles au QI d’huîtres fossilisées. Ils ne sont pas foutu d’apprendre quoi que ce soit. Une amie, enseignante du primaire me disait, vivement la retraite je n’en peux plus, pas moyen de faire un cour complet avec ces morpions et les parents vous attendent à la sorti si vous avez le malheur de réprimander leur fils. C’est de suite des insultes et des menaces de mort, alors plus rien à foutre, ils apprennent ou ils n’apprennent pas, je m’en fous. J’aiderai ceux qui veulent travailler, les autres bastât.
    Voilà où on en est en France. Quand je dis qu’ils ont tout pourri……….

  20. les temps on bien changés
    enfin , c ‘est la populace qui a changé
    voilà où l ‘on en est avec l ‘invasion de cancrelats
    c ‘est foutu !

    à mon époque le gamin qui avait le malheur de dire qqchose sur l ‘instit en rentrant chez lui , le père sortait la ceinture

    • @ pier
      J’ai connu ça aussi …
      Les parents n’allaient pas se plaindre, au contraire : en plus de la rouste, c’était l’inscription aux cours des congés scolaires d’été auprès de l’instit en question !!!…..
      Cela ne m’a pas desservi. Au contraire !
      Mais là, il y a un contexte insurmontable car toute la société est gangrénée et nos jeunes hommes le slip aux chevilles …parce qu’élevés, instruits et informés dans la bisounourserie !!…

    • A mon époque (années 50), c’était pareil: « s’il t’en a collé une, c’est que tu l’avais méritée ».
      En voilà une deuxième.
      Et quand le père allait voir le directeur, ce n’était pas accompagné d’un avocat. C’était pour lui dire: « il a bien fait ».
      Malgré tous ces affreux traumatismes, je n’ai réussi qu’à être ingénieur, DES, et même, horreur supreme, Officier d’Etat Major!
      La France est foutue, Mme Michu, croyez moi!

  21. Tout à fait d’accord avec vous, Christine. Pour avoir été enseignante en élémentaire dans le public, la lecture des articles à charge consacrés depuis hier soir à ce « pétage » de plombs m’a inspiré plus de sympathie envers l’enseignante qu’envers cet enfant, dont le comportement a dû être odieux pour déclencher tout cela… Je suis partie une fois mes quinze ans effectués, en « retraite famille nombreuse » et je ne le regrette pas. Tout mon soutien à cette jeune femme.

    • Alors. Reclarifions les choses. Je connais cette personne. Cest une personne immigrée d’Afrique. Donc il n’est absolument pas question d’islamisation , cessez vos stéréotypes et conclusions houleuses racistes. Merci.

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