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La pauvre fille, sinistre inconnue et qui le serait restée si un ou deux snobinards cherchant des textes qui les excitent encore un peu n’étaient pas tombés un jour sur son bouquin à deux balles Baise-moi. Bref, une espèce de Schiappa en encore plus vulgaire, se prenant pour l’alpha et l’omega du monde et de l’existence. Tout tournant, c’est peu de le dire, autour de son cul.
Grand bien lui fasse, peu nous chaut. A chacun de trouver ce qu’il lui faut pour oublier qui qu’il a été trop aimé, qui qu’il ne l’a pas été assez, qui que ses parents dégénérés voulaient déjà exister à travers lui alors qu’il était simple bébé… On ne va pas faire de la psy de pacotille avec la Despentes, on va la laisser régler ses comptes avec ses parents comme bon lui semble.
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Nous, la Despentes, on s’en branle. Nous aussi on a du vocabulaire et du tempérament, qu’est-ce qu’elle croit la blondasse qui sait si peu où elle habite qu’elle ne sait toujours pas où elle en est avec les hommes, hétéro ? lesbienne ? La seule chose qu’elle sache, c’est qu’elle a déclaré la guerre au mâle blanc. Elle aussi. Pas très originale, la donzelle…
Et la voici donc qui soutient le coup de gueule de l’inexistante actrice Adèle Haenel (et quelques autres gourdasses du même acabit ) outrée que l’on pût, aux Césars, rendre hommage à un réalisateur de génie au lieu de décerner la médaille d’or du meilleur usage de la bite…
Adèle se lève et elle se casse. Ce soir du 28 février on n’a pas appris grand-chose qu’on ignorait sur la belle industrie du cinéma français par contre on a appris comment ça se porte, la robe de soirée. A la guerrière. Comme on marche sur des talons hauts : comme si on allait démolir le bâtiment entier, comment on avance le dos droit et la nuque raidie de colère et les épaules ouvertes. La plus belle image en quarante-cinq ans de cérémonie – Adèle Haenel quand elle descend les escaliers pour sortir et qu’elle vous applaudit et désormais on sait comment ça marche, quelqu’un qui se casse et vous dit merde. Je donne 80% de ma bibliothèque féministe pour cette image-là. Cette leçon-là. Adèle je sais pas si je te male gaze ou si je te female gaze mais je te love gaze en boucle sur mon téléphone pour cette sortie-là. Ton corps, tes yeux, ton dos, ta voix, tes gestes tout disait : oui on est les connasses, on est les humiliées, oui on n’a qu’à fermer nos gueules et manger vos coups, vous êtes les boss, vous avez le pouvoir et l’arrogance qui va avec mais on ne restera pas assis sans rien dire. Vous n’aurez pas notre respect. On se casse. Faites vos conneries entre vous. Célébrez-vous, humiliez-vous les uns les autres tuez, violez, exploitez, défoncez tout ce qui vous passe sous la main. On se lève et on se casse. C’est probablement une image annonciatrice des jours à venir. La différence ne se situe pas entre les hommes et les femmes, mais entre dominés et dominants, entre ceux qui entendent confisquer la narration et imposer leurs décisions et ceux qui vont se lever et se casser en gueulant. Nom de Zeus, que c’est mal écrit, que c’est vide, que d’évidences, que de contre-sens… on dirait Greta….
Et aussi :
« Le temps est venu pour les plus riches de faire passer ce beau message : le respect qu’on leur doit s’étendra désormais jusqu’à leur bite tachée du sang et de la merde des enfants qu’ils violent. »
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Je ne sache pas avoir jamais ressenti quelque respect que ce soit pour les plus riches, moi et encore moins pour leur « bite » tachée ou pas de sange ou de merde. Qui, ici, ami lecteur, a du respect et du désir pour Soros, riche d’entre les riches ?
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Et voilà l’arnaque. La Despentes, est un monstre, produit de l’extrême-gauchisme de ses parents qu’elle n’a pas su ignorer, produit de son adolescence fugueuse, fumeuse et testeuse de tout ce qui pouvait lui permettre de se sentir exister, produit de son âge adulte brinquebalant entre hommes, femmes, petits boulots, vente de son corps… Faut reconnaître qu’il y a du boulot et que si Freud n’était pas mort il avait assez avec elle toute seule pour écrire ses bouquins et fonder la psychanalyse.
Après tout elle peut intéresser un moment la Despentes. Sa gueule, ses émois ou une pub à la télé… ça peut faire passer le temps.
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Je ne parle pas de ce qu’elle pense. Ça ne pense pas une Despentes, ça éructe, ça crie, ça dégueule, ça engueule, ça boit, ça bouffe, ça suce, ça fume…
Quant à savoir ce qu’est l’art, ce qu’est le talent… ce n’est pas pour elle. Seule l’indigeste banalité quotidienne l’excite… Le reste, la beauté, la transcendance… inconnu au bataillon pour la Despentes, cette pauvre chose.
Alors elle a voulu à tout prix apporter son soutien aux gauchiasses ne supportant pas qu’un véritable prix, un véritable oscar pût être offert à un Blanc, à un homme qui plus est, à un homme à qui quelques femmes prétendraient avoir des choses à reprocher (ce qui est leur problème et non celui de toutes les femmes, moi je dis ça je ne dis rien…).
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Mais les salons parisiens ne sont pas tout… il reste ça et là des âmes justes, des être intègres capables d’exhumer des poubelles de twitter des déclarations pour le moins interpellantes… et impardonnables, tout bonnement.
Virginie Despentes voudrait la peau de Polanski mais hier elle aimait les tueurs de Charlie. « Je les ai aimés [les frères Kouachi] dans leur maladresse quand je les ai vus armes à la main en hurlant: « On a vengé le prophète ! et ne pas trouver le ton juste pour le dire »» pic.twitter.com/fk0ZH1CS0d
— Gabriela Manzoni (@ManzoniGabriela) March 2, 2020
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Fusillée sur place. Bonne à cacher sa gueule de dégénérée et à éviter de la ramener un bon moment, non ? Même pas puisque au plus haut niveau politique on dit la même chose qu’elle… du Ministre de la culture Riester à N’Diaye la voix de son maître en passant par Schiappa, tous ces gens veulent épurer le cinéma français coupable de ne pas être fait que de Ladj Ly (repris de justice pourtant…) et d’Omar Sy qui défendent l’islam qui enferme les femmes, condamne à mort Asia Bibi et donne la moitié de l’héritage des femmes aux hommes.
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Note de François des Groux : elle a été également bien habillée pour l’hiver par Valeurs actuelles
« Quand elle évoque le mâle blanc, Despentes ne se contrôle plus. Elle ressemble à un Bisounours en train de piquer une colère devant son bol de soupe. Le Blanc est ivrogne, menteur, escroc, violeur en puissance, toujours à harceler les filles dès qu’il a bu un verre de trop.
Pour l’écrivain, les migrants sont pourtant la future élite du pays
Bref, l’homme blanc est un porc de toute éternité et il faut le remplacer. Par les minorités : musulmans, homosexuels, transsexuels, drogués, etc. (Chez Despentes, même les dealers des cités sont « super aimables » !) Et par les migrants, bien sûr. C’est donc vers ces « bateaux entiers de beaux gosses » que l’écrivain lorgne avec gourmandise. Despentes n’habite pas la même planète que nous. »
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Naturellement les gauchos de voler à son secours… Le nouvel obs en tête…
Où l’on découvre que les mauvaises langues n’auraient rien compris et que le « backlash » (nouveau nom du « retour de bâton » réservé aux féministes ;-)) subi par la Despentes serait fort injuste.
C’est évidemment malhonnête, et c’est ne rien avoir compris à son texte post-attentats, dans lequel elle explique que pendant 48h, sous l’effet de sidération, elle a aimé tout le monde : les victimes, les dessinateurs de Charlie, « les crétins qui commençaient à radoter que les Arabes ceci ou cela », et les terroristes. Oui, c’est dérangeant, choquant. Sauf que son texte ne s’arrête pas là. Il n’est en rien une déclaration d’amour aux frères Kouachi. Il est, en revanche, une déclaration de guerre à la masculinité – eh oui, encore une fois – dans ce qu’elle a de plus toxique :
« Parce que c’est ça, au final, ce que nous vivons depuis une semaine : les hommes nous rappellent qui commande, et comment. Avec la force, dans la terreur, et la souveraineté qui leur serait essentiellement conférée. Puisqu’ils n’enfantent pas, ils tuent. »
Qu’est-ce qu’on était bêtes ! On n’avait pas compris que les frères Kouachi étaient juste des frustrés de ne pas avoir accouché, qui auraient tiré sur toute l’équipe de Charlie Hebdo pour se consoler d’avoir un service trois-pièces. Bref leur maladie c’est leur genre… rien à voir avec l’islam, rien à voir avec la liberté d’expression, rien de rien qu’elle vous dit la Despentes et qu’ils vous disent au Nouvel obs.
Et en plus ce sont des incultes, manipulateurs et menteurs ces gens-là qui ignorent, précisément, la nature misogyne et archaïque de l’islam. Mais il est tellement plus facile et confortable de s’attaquer à un Polansky, homme blanc, de génie… C’est ce qu’ils ne lui pardonnent pas, tant leur médiocrité apparaît par comparaison.
Courez voir « J’accuse », le nouveau chef-d’oeuvre de Polanski
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En voyant sa tête, on pourrait mentionner ceci sur une grande affiche :
Voyez où ça mène :
« Les enfants ne vous droguez pas
sinon vous lui ressemblerez
et serez délabrés… »
Elle représente l’antithèse du fameux : « Kalos Kagathos » grec.
Elle est emblématique du déclin total de l’occident.
Heureusement que toutes les femmes ne lui ressemblent pas car nous n’aurions pas d’autre choix (nous les mâles animés par notre libido) que la Zooph…Censuré !
Je sais : je suis très méchant tandis que Virginie est très gentille surtout avec les victimes des frères Kouac…
Faites savoir, concrètement, par courrier, à Virginie Despentes, que vous partagez pleinement l’opinion exprimée à son encontre dans cet article :
Imprimer l’article et l’envoyer par la poste à son ADRESSE POSTALE PUBLIQUE.
L’agent littéraire de Virginie Despentes est François Samuelson
https://nouvelleecole.org/42-francois-samuelson-transformer-lencre-or/
Vous trouverez l’adresse postale publique de son agence, Intertalent (pas Interflora…) sur la page
http://www.intertalent.fr/
(Si vous cliquez sur « Télécharger la liste des talents », vous constaterez que, effectivement, Virgine Despentes figure sur la liste.)
Vous pouvez donc écrire à Virginie Despentes à l’adresse ci-dessus.
Pour imprimer facilement l’article, c’est pas compliqué :
Cliquer sur la barre verte « Print Friendly » en bas à gauche du présent article.
(ou accès direct : https://www.printfriendly.com/p/g/jpkxEg )
Dans la fenêtre d’impression qui s’ouvre, choisir la taille de texte 90% et la taille d’image 50%.
Ceci fait, cliquer sur l’icône PDF.
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Désormais vous pouvez imprimer l’article dans sa version PDF de 4 pleines pages, en deux feuilles : la première feuille imprimée recto-verso avec les pages 1 & 2, et la deuxième feuille imprimée recto-verso avec les pages 3 & 4.
Signer au bas de la dernière page, dans l’espace resté blanc, avec votre prénom et ville (inutile de bêtement donner vos coordonnés complètes à une collaboratriste horizontale des envahisseurs).
Voilà, faire acte concret de résistance, ça commence en investissant un timbre.
Elle va être bientôt servie , des dizaines de milliers de migrants arrivent !!!
Cette femme a-t-elle une fille ? ??
Parce que je m’inquiéterais pour elle.
Parce que là ils ne vont pas lui demander son avis à la gonzesse , les musulmans qui viennent de Syrie, qui plus est! L’homme blanc de plus ou moins de 50 ans pour eux est un faiblard avec les femmes .
Peut-être veut elle goûter ce qu’est une vraie société patriarcale à la mode musulmane ? Pour créer le choc nécessaire à la réflexion!!!
Outre la sortie ratée de la Adèle (ce qui en dit long sur son niveau d’actrice), il est ressorti d’elle une intetview dans laquelle est nomme son écrivain préféré : Céline …
JE NE CONNAIS PAS cette gonzesse et vu la gueule qu’elle a
elle ne risque pas de me faire bander
ni même je ne risque pas de lire 1 ligne de ses écrits
j ‘ai déjà perdu 5 mn ici pour ce texte de RR
En voyant le visage de la malheureuse je comprends le titre grossier de son bouquin,il s’agit d’un appel désespéré !
Vu les temps difficiles que l’on vit, je veux bien me dévouer, mais ce sera payant!
moi ça me fait rire (jaune) les connasses à la despentes , qui veulent jouer au gavroche et qui crachent sur les riches , alors qu’elle est pleine de fric et son compagnon le très pathétique philipe manœuvre n’est pas un smicard à ce que je sache ! qu’un vrai précaire , un smicard , un ouvrier , un employé… bref des exploités et des vrais insurgés ,crachent sur les riches et le système c’est normal et saint . mais qu’une petite bourgeoise pleine aux AS à la despentes , fasse l’insurgée , c’est pénible ! il y’en a mare de toutes ces marie Antoinette de gauches bobos !
dans l’un de ses livres, king kong théorie (où elle parle de viol ) , elle accuse le groupe trust à propos d’un passage dans le titre anti social , ou ils disent » impossible de violer cette femme pleins de vices » . elle a strictement rien compris à la chanson , elle a oublié de préciser le passage complet de la chanson qui est : » tu voudrais donner des yeux à la justice , impossible de violer cette femme pleins de vice » bernie bonvoisin (chanteur de trust) voulait dire qu’il était impossible de violer la loi et ne faisait aucunement l’apologie d’un viol de femme (la femme pleins de vices , étant la justice ) ! je trouve madame despente que vous allez un peu vite en jugement et que la réflexion d’un texte n’est pas votre fort . lorsque on écrit et que l’on se dit écrivain comme vous , vous devriez relire et peut-être vous relire plus souvent . ou mieux cesser d’écrire !
Cette pauvre chose est réellement un vaccin contre les femmes… Elle rejoint la cohorte des féministes dépourvues de neurones comme cette Adèle Machinchose ou telle autre dont j’ai oublié le nom qui déclare aimer Céline, ouvertement antisémite, mais ne sait pas séparer l’homme – ici Polanski – et son oeuvre. Désolée mais comme ces idiotes sont interchangeables j’ai beaucoup de difficulté à me rappeler leurs noms un court instant ressortis du gouffre de l’ignorance pour y replonger aussi vite !
De mon point de vue, il ne s’agit pas de séparer l’homme de l’oeuvre puisque l’homme n’a pas été condamné.
Il bénéficie donc de la présomption d’innocence.
Polanski a donc raison d’invoquer « l’Etat de droit », d’autant plus qu’il est très difficile de se défendre contre une accusation de viol.
Les gens puissants sont les plus exposés à un chantage de ce genre… on peut comprendre qu’il ait préféré échapper aux rouages d’une justice aléatoire.
Surtout la justice américaine où une transaction moyennant de gros sous pas toujours naturellement dus peut éteindre l’action publique… ce qui n’est pas très digne et favorise les chantages.
Et les milliers de viols souvent suivis de meurtres dont se rendent coupables les migrants et autres chances pour la France ça la laisse indifférente ???
A voir sa gueule on dirait qu’elle aime ça! mais pas avec les blancs!
sssssssssssalope.
Non, ça c’est autre chose, permit par la nomenklatura.
Je ne sais pas si elle est mal baiser ou trop ou pas assez, mais ce laideron à migrants est un véritable tue l’amour.
Je n’ai aucune sympathie particulière pour Virginie Despentes dont je connais d’ailleur peu l’oeuvre, ni d’une façon plus générale pour ce courant néo-féministe radicalisée à l’extrême mais je n’irai pas voler au secours de Polanski qui a été mis en cause dans une dizaine d’affaires impliquant parfois des adolescentes et peut-être d’ailleurs d’autres personne qui ne se sont pas fait connaître, toutes les victimes ne suivent par forcément les injonctions de #Metoo.
Le talent n’excuse pas tout et la pédophilie reste la pédopholie même si ça concerne des adolescentes plutôt que des enfants.
Que ce film apparemment réussi ait obtenu un Prix aux Césars, quoi de plus normal. Fallait-il pour autant attribuer un Prix à son réalisateur Polanski, il me semble que non. On peut très bien récompenser une oeuvre sans accorder de distinction à son auteur quand son comportement dans sa vie privée est condamnable.
Je suis désolée mais il n’est pas question de juger et d’excuser quoi que ce soit. Il s’agit de ne pas mélanger les genres. La justice juge. Le quidam peut juger moralement l’être humain. Il n’ y a aucune raison pour refuser un prix dû au talent sous prétexte que le gars ne serait (peut-être ) pas blanc comme neige au niveau des moeurs. C’est inacceptable, si le film est primé c’est parce que son auteur est un génie du cinéma, il n’y a aucune raison de ne pas le reconnaître. et faire des amalgames entre vie privée et création artistique est monstrueux et totalitaire. Rincoera votre position est indéfendable
« Il n’est pas question de juger et d’excuser quoi que ce soit » dîtes-vous. Je ne suis pas complètement d’accord. Ce que l’on ne peut excuser et ce que l’on devrait plus souvent faire remarquer, c’est que POLANSKI s’est soustrait et a toujours tout fait pour échapper à la justice américaine qui l’a condamné pour des faits gravissimes et avérés. Pour le reste, qu’il ait profité de sa situation pour s’envoyer des femmes, jeunes ou moins jeunes, actrices-ou-candidates actrices-moyennant-coucheries, c’est trop banal dans le monde du show-bizz (et d’autres mondes, en tous lieux et de tous temps) pour être totalement et a priori condamnable. Me semble t’il..
@ Rinocero
Si vous êtes cohérent avec vous-même vous devriez également vous indigner contre les récompenses attribuées à un type condamné pour avoir enlevé et séquestré un homme qui avait eu le malheur d’avoir couché avec la soeur d’un de ses potes – et dont « l’oeuvre » n’est qu’un lieu commun de victimisation à outrance et à (tenter de) faire pleurer Margot, digne d’un navet célébré par la bienpensance, j’ai nommé le très estimable dans la vulgarité Ladj Ly qui s’est permis d’insulter et donner des leçons de moraline à ceux qui ne pensent pas comme lui il n’y a guère, sauf erreur.
Or, rien de tout cela ne ressort de votre commentaire. Deux poids deux mesures ?
J’ai vu le film : grandiose, superbe, bref, du Polanski un chef d’oeuvre comme d’habitude. J’ai enfin compris ce que fût en son temps l’affaire Dreyfus une honte pour l’armée de ne vouloir pas reconnaitre qu’ils avaient accusé un innocent mais préférait le laisser en tôle au lieu de reconnaître leurs erreurs. Dujardin était extraordinaire dans son rôle de redresseur de torts. Si vous n’avez pas vu le film, courez le voir, vous ne le regretterez pas. Autrement l’acharnement de la folle Despentes est à l’image d’ l’hypocrisie de ce qui se passe dans le milieu du cinéma. Les candidates n’hésitent pas à coucher pour obtenir un rôle mais après elles crient au viol.
« Les candidates n’hésitent pas à coucher pour obtenir un rôle mais après elles crient au viol. »
J’y mettrais ma main au feu, ma bite me servant pour pisser. entre autre !
Tout à fait d’accord.
Les féministes crient « au viol » dès qu’une femme dit regretter une relation sexuelle qu’elle ne disirait pas vraiment mais qu’elle n’a pas su refuser parcequ’elle pensait que c’était son intérêt de se laisser faire.
On n’entend pas ces salopes dénoncer les vrais crimes commis sur des femmes, parfois agées, dans la rue ou chez elles, agressées par surprise, frappées, attachées, violées et parfois tuées par un agresseur dont elles ne voient même pas le visage.
Visiblement pour les féministes, il y a des viols dégueulasses que l’on excuse et d’autres plus discutables que l’on ne supporte pas.
On a bien affaire à des hystériques au comportement névrotique.
Quelle belle saloperie celle là ! Je ne dis pas « Salope ! » Ce mot la concerne un type de femme. Cette despentes est une chose, n’est qu’une chose. Une saloperie !
Son torche–cul sera recyclé en papier hygiénique.
Avec sa tête et son inconscience ( tous les Amiens sont beaux et gentils) elle se fera serrer dans une ruelle sombre sous peu. Mais ça ne la guérira pas
ah la gueule de la donzelle, bon elle est sur la mauvaise pente, surtout descendante!
Pour l’avoir vu, super film, super interprétation de Jean DUJARDIN !
Grande œuvre que ces connasses ne peuvent pas comprendre !