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L’Etat macronien se couche devant les musulmans !
Double page, dans le « Figaro », sur l’infiltration par l’islam des services publics.
On peut lire, par exemple, un article sur l’infiltration de la RATP et de la SNCF.
Le ton est résolument optimiste, en substance :
« Tout est réglé depuis longtemps.Les problèmes appartiennent au passé« .
Ceux qui, comme quoi, ont pu voir un barbu à la barbe hirsute des salafistes, au volant d’un bus RATP, en plein Paris, il y a peu, penseront différemment.
(En orange ma note).
L’Administration pénitentiaire désarmée face à ses surveillants et ses aumôniers islamistes
L’attentat commis par Harpon au sein de la préfecture de police de Paris a été un coup de semonce pour l’Administration pénitentiaire, qui commence à systématiser sa politique de contrôle.
Ils sont une dizaine selon l’Administration pénitentiaire, entre trente et trente-cinq d’après les organisations syndicales.
Ces agents de l’Administration pénitentiaire auraient été repérés comme des surveillants de prison radicalisés islamiques.
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Les barbus des Baumettes, qui avaient tenté de se regrouper à l’établissement spécialisé pour mineurs de Lavaur ont certes défrayé la chronique, à l’été dernier tout comme plus récemment, ce surveillant en poste à la «souricière» du palais de justice de Paris, écarté à la demande des chefs de juridiction, le procureur Rémy Heitz et le président Jean-Michel Hayat.
Deux cas qui témoignent à eux seuls de la difficulté pour l’Administration pénitentiaire d’exfiltrer des personnels jugés à risque.
Car en l’absence de faute de service, même les muter est compliqué, sinon impossible. Aussi le suivi et la surveillance discrète sont souvent le seul protocole possible.
D’autant que les signalements émanent des chefs d’établissement informés par les surveillants sur le terrain ou par les services de renseignement parfois externes.
Hors de questions de produire les «notes blanches» de ces services lors des recours administratifs que les professionnels radicalisés ne manquent pas de faire quand ils sont épinglés.
La direction de l’Administration pénitentiaire a aussi un œil sur les mouvements de personnels qui demandent à être mutés vers les établissements se situant dans des zones géographiques connues pour leur activisme islamique, en premier lieu la région toulousaine et le Sud-Est.
Une commission ad hoc a été créée pour assurer le suivi de ces signalements. Elle se réunit a minima une fois par mois mais peut se réunir en urgence.
Manque de candidats
L’attentat commis par Mickaël Harpon au sein de la préfecture de police de Paris a été un coup de semonce pour l’Administration pénitentiaire, qui commence à systématiser sa politique de contrôle.
Notamment en matière de recrutement.
«Trop souvent, nous avions les informations alors que les personnels avaient déjà leur contrat en main. Il devenait alors quasiment impossible de les exfiltrer», souligne ce très bon connaisseur du dossier.
Au sein de la cellule de recrutement, un agent est désormais spécialement dédié pour passer les recrues au moment de leur épreuve orale au crible des différents fichiers du ministère de l’Intérieur.
S’il y a l’obligation de “faire” et de montrer que l’on fait pour réduire les risques, il n’y a pas obligation de résultat
Wilfried Fonck, secrétaire nationale de l’Ufap-pénitentiaire
«Mais ce n’est pas systématique car les candidats sont trop nombreux et l’Administration pénitentiaire sait que “l’Intérieur” doit aussi passer au crible tous ceux qui postulent pour être policiers ou travailler dans l’armée. S’il y a l’obligation de “faire” et de montrer que l’on fait pour réduire les risques, il n’y a pas obligation de résultat», souligne Wilfried Fonck, secrétaire national de l’Ufap-pénitentiaire qui regrette aussi que «ce ne soit pas un agent issu du renseignement pénitentiaire qui soit en charge d’une telle mission».
Les bons connaisseurs du dossier pointent aussi du doigt l’absence d’enquête de terrain.
En cas de soupçon, un message discret sera passé au président de jury.
L’Administration pénitentiaire commence aussi à s’intéresser à ceux qui interviennent en détention au titre des associations et des partenariats public-privé.
Les professionnels s’inquiètent des aumôneries musulmanes soumises au manque de candidats et à un turnover record.
«Chaque année, nous avons des cas d’aumôniers qui franchissent la ligne rouge», souligne ce bon connaisseur du dossier.
Ce fut le cas en 2016, à la prison de Borgo, en Corse, dont l’aumônier a été réintégré faute de preuves.
«Contrairement aux cultes chrétiens, nous ne pouvons assister à la prière du vendredi sous peine de tollé»,
NDLR : Vous avez bien lu. L’administration se couche devant les musulmans. Au lieu de dire : c’est la présence d’un observateur ou que dalle, la « Justice » de Belloubet se couche.
rappelle Wilfried Fonck, de l’Ufap.
«Faute d’un interlocuteur unique, nous avons autant de prêches que d’aumôniers. Il faudrait un engagement clair de ces aumôneries pour distinguer le religieux du politique. Ce n’est pas le cas», regrette le syndicaliste.
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En clair ce sont tous des amateurs ou peut être des complice allez savoir? toujours est-il en l’état actuelle de la situation je ne vois pas de solution sans un changement profond de notre politique et du regard porté moyen terme sur notre sécurité , a l’évidence avec des gens nouveaux .
Rechercher et identifier les agents ‘ radicalisés ‘ employés dans les services publics est stérile et ridicule. La seule solution est de révoquer tous les musulmans présents dans les services publics puis, d’interdire l’islam partout en Europe.
Même en prison les muzzs font la loi, leur loi. Marre de les chouchouter jusque dans les prisons. Encore une foi c’est l’état macronique qui s’aplati devant ces parasites envahisseurs.
Il faut supprimer ces faux aumôniers qui ne sont là que pour raviver la flamme du djihad,
et ça prétend vouloir lutter contre la radicalisation !!!
ils doivent bien savoir qu’ils font tout le contraire, tout en voulant nous faire croire à leur sincérité
Entre le mot MUTER et .UTER il n’y a qu’une lettre qui diffère, laquelle ??
Les Spetnatz le connaissent, le Mossad aussi……..
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« Les professionnels s’inquiètent des aumôneries musulmanes soumises au manque de candidats et à un turnover record. »
«Chaque année, nous avons des cas d’aumôniers qui franchissent la ligne rouge», souligne ce bon connaisseur du dossier. » Ha Ha Ha!
Tout à fait d’accord avec frejusien@.Il a raison.IL N’Y A PAS D’AUMONIER EN ISLAMIE.
A Beziers il y a six ans, les imams qui déléguaient aux aumôniers chrétiens bénévoles le soin de »secourir moralement » les musulmans incarcérés, demandaient combien ils seraient « payés » pour une heure de permanence ! Ouala ouala… Je ne crois pas que le maire R.M. avec sa charte signée avec deux mosquées sur huit ait pu résoudre la question. Les portables , paquets de sheet et alcools divers pleuvent à foison pour remonter moralement les prisonniers. (sans étiquette, of course…)
Vous êtes mal,les gardiens de prison,un jour,l’état,va vous empêcher d’arrêter …les révoltes,..!!??,vous serez les premières victimes du chaos,les banlieues,après,tous les flics,l’armé….les »NON MUSULMANS »bien-sûr,puis,les roumis,oui,le scénario doit être a peu-prés bon..!!??
Juste en regardant un peu plus sérieusement le cas de la police Castagnettes a parlé de 106 cas de radicalisés (mais on doit être loin du compte) pour 149700 policiers. Simple règle de 3 pour 67 millions d’habitants en France (je ne parle pas de français car ils sont musulmans avant d’être français) cela fait 47500 radicalisés soit plus de de communes en France sans parler de la tagiya qui est un pilier de ce que leurs ‘papas et mamans’ leurs apprennent dés le plus jeune âge
« Il faudrait un engagement clair de ces aumôneries pour distinguer le religieux du politique. »
Encore un qui n’a toujours pas compris qu’en musulmanie, ces 2 éléments sont indissociables et sont dictés par un livre unique, le coran.