Ces jeunes de 2020 complètement à côté de la plaque : illustration en 3 histoires

Photo : Régression pathétique des timbrés, c’est rigolo de faire le mort !

Mais qu’ont-ils dans la caboche ?

Certains jeunes (pas tous heureusement mais le gros de la troupe ?) sont complètement immatures, sans structure et sans boussole, et totalement à côté des réalités.

Ils partent carrément en vrille. C’est MOI, MOI, MOI. C’est le règne du RAF,  Rien à F…..

Ne compte que leur petite personne. Le jeu, le plaisir, l’intérêt à court terme.

Ils semblent vivre dans un monde virtuel. Rien n’est concret, ces individus semblent flotter au-dessus des réalités. Leur attitude traduit l’exact opposé de l’engagement, de l’attention portée aux autres, de  l’action.

On a affaire à un troupeau d’abrutis déboussolés sorti des écoles (ou qui s’y trouve encore), prêts à suivre n’importe quel joueur de flûte qui les mènera à la noyade sans se poser de questions.

Voici trois anecdotes choisies  pour illustrer la vision (et surtout l’absence de vision) qu’ont certains jeunes de leur place dans la société.

Ces  trois exemples pathétiques puissent-ils être un appel salutaire à se ressaisir, à construire, à s’impliquer dans le réel…

-Je ne respecte pas les victimes. La vie n’a pas de sens : c’est juste  un grand jeu marrant où on joue à faire le mort.

-Je ne respecte pas les lois : je ne vois pas pourquoi je paierais mes déplacements.

-Je dénie la réalité : dans leur bulle, ces étudiants de la Sorbonne Bisounours pour qui les problèmes du 93 sont une question d’ «image ».

La vie est un grand jeu marrant où on joue à faire le mort.

https://actu.fr/bretagne/saint-brieuc_22278/insolite-pauline-fait-morte-fait-adeptes_31134889.html

 

…quand des Français vivent l’horreur dans leur chair, des « artistes » s’amusent comme des petits fous.

Pauline Bathazar fait la morte dans la rue, pour réveiller les consciences. Ils sont nombreux à lui avoir emboîté le pas à travers la Bretagne et au-delà.

 

Dans la vidéo de France3, elle avoue sans complexe qu’elle ne sait absolument « ce que ça veut dire ». Mais c’est rigolo.

 

 « La Belle au bois dormant ». C’est le nom de rue de Pauline Balthazar Cabioch, lorsqu’elle décide de faire la morte au premier carrefour venu. Une extravagance qui a interpellé de nombreux adeptes qui se sont mis à faire comme elle.

 

« Une bande de décédés »

« Ça me plaît assez de me dire qu’aujourd’hui, on est une sorte de bande de décédés, disséminés un peu partout.

Les gens s’écrasent dans la rue, n’importe où, comme je peux le faire, et ils m’envoient leurs propres photos ».

 

Que Pauline partage sur les réseaux avec beaucoup de plaisir. Elle a d’ailleurs dédié une page Facebook au projet de « La belle au Bois Dormant » sur laquelle on peut voir tous les clichés, dans des décors aussi divers que variés.

Au départ, c’était un truc pour rigoler avec des copains dans le cadre privé ».

 

Et face à la réaction des spectateurs, « ça a commencé à prendre du sens. La Belle au Bois Dormant, c’est son prince qui vient la réveiller.

Mais nous, qu’est-ce qui nous réveille ? On traverse la vie, comme ça, sans être dans une attention très forte.

On discute avec les gens sur les réseaux sociaux alors que l’on pourrait avoir quelqu’un en face de soi… »

Combattre l’inattention.

Pauline ne veut pas être moralisatrice. « Je ne suis pas un exemple. Moi-même je suis complètement accro aux réseaux sociaux, qui finalement ne sont qu’une manière d’être dans l’inattention ».
Et elle admet : « J’ai aussi souvent très envie de me voiler la face, quand je vois brûler les koalas en Australie par exemple. On est obligée de se voiler la face pour avancer, quelque part ».

Pauline ne veut pas apporter de réponse toute faite à ce qu’elle appelle « l’inattention ». Mais elle interroge.

Et sa façon de percuter les gens, c’est de faire la morte.

Le choc

Saint-Brieuc. Dans la cuisine du Centre Cury où Pauline se retrouve avec d’autres artistes. (©La Belle au Bois Dormant)

Ce qui n’était qu’un délire entre potes, pas du tout réfléchi au départ, est aujourd’hui plus travaillé :

« Je choisis mon décor, la mise en scène, le cadrage… Et je m’écrase « .

Inerte, complètement relâchée, démantibulée.

En pleine rue, au beau milieu d’un escalier, dans une œuvre d’art… Le tableau est forcément dérangeant.

 

D’autres artistes

D’autres artistes l’on fait avant elle. Stephanie Leigh, artiste anglophone plus connue sous le nom de Stefdies sur Instagram, a réalisé toute une série de photos où « elle fait la morte » dans des lieux grandioses ou du moins très populaires : au pied du Golden Gate à San Fransisco, de la Tour Eiffel, à Madrid ou au Mexique.

(…)

Des portraits incongrus qui rappellent évidemment ceux de Pauline, « très heureuse d’appartenir à cette espèce de société secrète ». Une société secrète de morts bien vivants.

[les familles de vraies victimes apprécieront].

 

 

 

Laura 21 ans étudiante en arts et de famille aisée

 Elle ne voit pas pourquoi elle devait payer pour se déplacer…

https://twitter.com/i/status/1223332685914882048

 

Ces étudiants parisiens veulent attirer les touristes…

 

dans l’enfer du 93 !

 

…quand des gens vivent l’enfer, des étudiants parisiens ne trouvent pas mieux que dénoncer la mauvaise image de ce  secteur musulman.

 

L’enfer du 93 ? Juste un problème d’ «image».

Des étudiants de la Sorbonne travaillent sur la valorisation culturelle de certaines zones du 93 au potentiel touristique énorme, mais dont l’image reste encore écornée.

Comment attirer des touristes dans des zones au potentiel exceptionnel, mais dont l’image reste encore décriée? C’est l’exercice sur lequel planchent depuis quelques semaines des étudiants en tourisme culturel de l’université Sorbonne-Nouvelle, à Paris, dans le cadre de leur Master 1. Et leur terre d’expérimentation se nomme… la Seine-Saint-Denis.

Ou plutôt, certains secteurs du 93 : Romainville, autour du nouveau centre d’art contemporain géré par la fondation Fiminco; du côté des Quatre-Chemins à Pantin, où des étudiants travaillent notamment sur un parcours autour des métiers d’art, ou encore aux Docks de Saint-Ouen.

 

[la réalité de Saint Ouen, article du 3 février…]

En immersion dans la cité de la drogue, au cœur des puces de Saint-Ouen [

 

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/en-immersion-dans-la-cite-de-la-drogue-au-coeur-des-puces-de-saint-ouen-03-02-2020-8250975.php

Dans ce quartier de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), au cœur des puces célèbres dans le monde entier, la vie de 160 familles est rythmée par ces interventions des forces de l’ordre, commandées par l’omniprésence des trafiquants de drogue depuis des années.

Un marché local estimé par les enquêteurs entre 15 000 et 30 000 euros de chiffre d’affaires par jour. Soit entre 700 et 1500 clients journaliers, qui viennent acheter leur dose d’herbe ou de cannabis à 20 euros en moyenne. Soit encore un chiffre d’affaires annuel de dix millions d’euros !

« C’est le plus gros point de deal de Saint-Ouen », assure un policier. Et pour gérer une telle « entreprise », il faut une organisation parfaitement huilée et très hiérarchisée. Depuis le « chouf » (guetteur), jusqu’au vendeur, au trésorier et au chef du réseau, chacun tient une place bien définie.

 

 

[Cathédrale, basilique…un monument en vaut un autre !]

Mercredi après-midi, un cours en immersion sur le terrain était organisé à Saint-Denis. Un groupe de cinq étudiants est chargé de construire un parcours dans la ville, avec pour point d’orgue la fameuse basilique et ses nécropoles royales.

« On s’est dit qu’il serait intéressant de travailler ici quelques mois après l’incendie à Notre-Dame de Paris, explique Simon, 25 ans, l’un de ces étudiants. C’est l’occasion de s’intéresser à la façon dont on peut attirer des touristes qui ne peuvent plus visiter Notre-Dame. » Chef-d’œuvre de l’art gothique, la basilique de Saint-Denis n’attire aujourd’hui que 150 000 visiteurs par an, au mieux.

 

Ces étudiants organiseront bientôt une visite, un samedi après-midi, pour des salariés d’un cabinet de recrutement parisien. Mercredi, c’était le tour de chauffe auprès de leurs camarades de promotion, avec un parcours entre la gare et le centre-ville.

Première étape rue Auguste-Delaune, où peu auraient l’idée de faire une halte. Le groupe lève les yeux sur une façade où des visages apparaissent sur des fenêtres murées. L’une des guides du jour, Lauren, 24 ans, présente le parcours baptisé « Fenêtres sur rue », réalisé en fin d’année dernière.

« À Saint-Denis, entre 150 et 200 fenêtres sont murées ce qui peut donner une image négative de la ville. Or ici, le street art va servir à changer cette image. »

le parcours baptisé « Fenêtres sur rue »,

Des lieux trop souvent oubliés des touristes [!!!]

Croisant quelques vendeurs à la sauvette, le parcours se poursuit dans le brouhaha de la rue de la République où Sarah, 21 ans, rappelle les conséquences encore visibles de l’assaut mené rue du Corbillon après les attentats de novembre 2015.

 

Saint-Denis, mercredi 29 janvier. Des étudiants en tourisme culturel travaillent sur la valorisation de certaines zones au potentiel touristique énorme, mais à l’image décriée, comme le centre-ville de Saint-Denis. Ici, Sarah présente la stèle en hommage aux victimes de l’esclavage.

Après la visite de la basilique, le tour s’achève devant la stèle en hommage aux victimes de l’esclavage. « Il y a 213 noms, qui rappellent les 213 années de l’esclavage », poursuit Sarah.

 

Le lieu, à deux pas de la basilique, est bien souvent oublié des visiteurs. « C’est notre mission : se servir de sites remarquables, rassurants, pour les guider ailleurs », poursuit Simon, qui explique qu’il ne s’agit pas de mener « une visite classique, mais plutôt une expérience culturelle. Si on ne se souvient pas d’une date, ce n’est pas grave ! On va plutôt s’intéresser aux sensations des visiteurs. »

 

Lauren le rappelle : avant d’y travailler, les étudiants « avaient tous quelques clichés » sur Saint-Denis. « Mais désormais, on a envie de faire découvrir la ville, de partager notre expérience. »

 

Profs complices.

Leur professeur les écoute attentivement, œil passionné et bienveillant. Car Louis-Pierre Samain est un spécialiste du sujet. Avec son cabinet ancRHage, il organise des visites en banlieue auprès de salariés, souvent Parisiens, dont les sociétés franchissent le périphérique.

C’est lui qui a eu l’idée de les faire travailler sur « des territoires en déficit d’image, mais accessibles en transports. » À ses yeux, Saint-Denis représente un « cas d’école».

« En termes de patrimoine et d’histoire, c’est le top du top, rappelle-t-il aux élèves. Mais en même temps, la ville est confrontée à ce manque d’attractivité qui, pour votre secteur d’activité, est un terrain passionnant, d’une richesse infinie. »

Source 

[La réalité du 93]

[Mais qu’est ce qui peut bien chasser les fonctionnaires du 93 ? De quoi ont-ils si peur là-bas ?]

 

L’Etat promet une prime de 10,000 euros aux fonctionnaires qui parviendront à survivre 5 ans en Seine-Saint-Denis 

Comme lorsque les fonctionnaires sont affectés dans les colonies tropicales françaises que sont les DOM-TOM, les recrues de l’État qui seront affectées à la Seine-Saint-Denis vont désormais bénéficier de primes pour qu’elles acceptent de rester sur place.

 

En 50 ans, la France a réussi l’exploit de créer ex nihilo des colonies africaines sur son propre territoire métropolitain.

source image

Avril 2019 (inauguration de la mosquée de Saint-Denis par les officiels en fin de vidéo, à regarder à partir de la minute 51…)

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17 Commentaires

  1. Nous la doctrine que nous avions et les idoles que nous nous faisions , ne portaient pas les djellabah ni le nikab ni les sarouels , mais des guitares , et des pantalons pattes d’eph , ils ne forçaient personne à faire quoique ce soit ni à se droguer , ils chantaient leurs expérience sans l’imposer à qui que ce soit . Certains sont morts d’avoir voulu trop profiter de la vie . Cette génération beaucoup de gens de mon âge l’on vécu , c’était je ne te fais pas « c…r, tu ne me fais pas c..r , nous ne nous faisons pas c..r! C’était ma conception de la liberté. Ce n’était pas un génération de donneurs de leçon! Alors comment en est on arrivé à cette société où vous avez un trio de preneurs de tête entre les musulmans sur lesquels je ne m’appesantirais pas plus tellement nombre de gens ici dan RR le feront mieux que moi , il y a ensuite les gauchos écolos immigrationistes à migrants ,les progressistes toutes ces « bonnes consciences qui tentent d’ établir une nouvelle religion tout en étant eux mêmes bouffeurs de curé et enfin les chanteurs de rap qui passent leur temps à donner leur vérité avec leur slogans assénés avec une telle violence que, j’ai l’impression parfois qu’ils engueulent quelqu’un, des fois,je me demande, quand je les entend, si ce sont des fachos ou des supports d’hitler tellement ils emploient la même violence que le fuhrer dans leurs propos . Le rap en France n’échappe pas à la main mise de la religion musulmane et sa mentalité , c’est un formidable vecteur en direction d’une jeunesse peu formée à l’esprit critique depuis que les politiques gâteux qui font du jeunisme à outrance en s’ interdisant de remettre en cause ce qui est émis par un ado y compris des appels à s’attaquer aux libertés!!! Il n’y a d’ailleurs que les rappeurs qui ont le liberté d’expressions, jalousement défendus par nos juges du mur des cons qui doivent se trémousser ridiculement sur NTM ou autres stars vieillissantes du rap et à partir de là se croient pouvoir en tirer des conclusions ! Si tout cela abouti à vouloir lyncher une gamine , ce qui peut paraitre pathétique et ridicule est une faute grave dont ils devront répondre. Si des gens meurent à cause de la RATP , je vais légitimement faire non seulement l’amalgame avec tous ces musulmans qui ne protestent, même si beaucoup subissent une pression familial et sociales énorme qui va dans le sens des plus radicaux des religieux ,mais surtout faire l’amalgame avec tous ces gauchos et ceux qui se revendiquent progressistes, il faut l’oser en pareilles circonstances où ils trouvent normales ces fatwas d’un autre âge contre une jeune fille de 16 ans! Eux n’ont aucune excuse!!

  2. Ces jeunes crétins font les morts et ils ne se doutent sûrement pas que d’autres jeunes beaucoup plus testostéronés leur donneront dans un futur à déterminer le coup de grâce.

  3. Pour faire plus vrai et plus crédible, l’idiote qui simule une mort sur la voie publique aurait du ajouter au décor une mare de sang, un couteau et un drapeau de l’état islamique.
    C’eût été juste de l’anticipation.

  4. La vidéo de l’inauguration de la mosquée. Je saute au hasard à la minute 18: « Hakim, est l’un des adjoints au maire (comme les officiels de la mosquée, il fait son chemin dans la vie avec uniquement son prénom du jardin d’enfants)….est un fervent musulman » (innocence impliquée par le ton du commentaire destiné à un public aux neurones tiersmondisées). Quand on connait l’islam et ses horreurs, cette vidéo véhicule un gros mensonge anthropologique. J’ai grandi et vécu au Québec avant l’immigration musulmane et je ne m’acclimate pas à la violence musulmane palpable dans les ambiances et déployée dans les faits. Les musulmans se mentent à eux-mêmes lorsqu’ils paradent alors que leur for intérieur est terrorisé autant qu’ils s’efforcent de terroriser les autres. L’islam est un régime de pouvoir par la haine et la terreur. C’est écrit sur leur visage toujours porteur d’une grimace de contradiction agressive entre leur doctrine maléfique et les lois universelles de la Création qu’ils violent.

  5. Eh oui.
    Ma dernière remercie grandement la greluche étudiante en arts à cause de qui, l’art et les étudiants qui triment ont mauvaise réputation et à cause de qui le prix du ticket augmente d’année en année. Surtout que la greluche en question n’a pas l’air de loger au CROUS, mais dans un confortable studio payé avec les sous de pôpa, môman.

    En ce qui concerne les « artistes » qui se mettent en scène, sachez que la dernière fois que l’un d’entre vous, fort jeune, a tenté le coup au milieu de la chaussée, je l’ai ramené chez ses parents et ai copieusement engueulé tout le monde. Pôv rebelle de canapé.

    Faire du tourisme dans le 9.3? Quand j’y retourne c’est avec le fantasme d’être armée jusqu’au dents et de tout nettoyer!

    Autres exemples de décérébrés:

     » C’est pas bien de juger Madame »
     » je ne vous juge pas, je vous évalue. Par ailleurs, juger, vous ne faites que ça à longueur de journée. Vous critiquez vos camarades dans la cour au sujet des vêtements, des coiffures, des physiques. Vous passez votre temps à regarder des émissions comme Koh Lanta, The voice, les TV réalités où l’on juge et exclue… alors vos réflexions d’adolescents vous pouvez vous les garder »
     » Mais madame, c’est pas grave c’est de la TV »
     » Ben voyons »

     » Madame j’comprends pas la question »
     » Laquelle? »
     » Pour quelle raison De Guiche veut-il que Roxane épouse Valvert? »
     » Oui et que ne comprenez vous pas? »
     » Bah c’est quoi un valvert? »
    Je précise que cela fait 5 semaines que nous travaillons dessus et qu’il y a 5 ans dans un autre établissement et avec le même niveau, je n’avais rencontré aucune difficultés….

     » Madame j’comprends pas la question i, v »
     » Pardon? Quelle question? »
     » la question i, v »
     » Lisez l’intitulé SVP »
    Lecture de l’élève…
     » ah la question 4″

    • Pourquoi voter macron??
      Parce qu’il est BEAUUUUUUU!!!!
      Je n’oublierais pas ça de sitôt!

  6. Bien sûr ils n’ont pas à trimer pour gagner la croûte . S’ils devaient faire douze heures de travail par jour et cela six jours par semaine , ces troud’culs n’auraient ni le temps ni le courage de faire les zigottos !

  7. Je ne ris pas! Tous ces jeunes se demandent ce qu’ils f… en ce monde et je les comprends. QUAND pensera-t-on aborder le seul vrai problème du monde, la surpopulation?

  8. 50% des « Français » dont 62% des femmes sont opposés au blasphème contre l’islam.

    Une étude d’opinion commandée par Charlie Hebdo auprès de l’IFOP au sujet de l’Affaire Mila nous donne un magnifique aperçu de la France d’après. Ce n’est ni la France de Saint Louis ni la France de Voltaire, ni même la France du Père Combes.
    C’est la France de Mohamed, le dealer de shit reconverti dans le salafisme.

    https://charliehebdo.fr/2020/02/actualite/droit-au-blaspheme-50%e2%80%89-des-francais-sont-pour-50%e2%80%89-des-francais-sont-contre/

    Chez les 18-24 ans, 6 individus sur 10 répondent que toute insulte à l’islam est une « atteinte » à la oumma, la communauté des croyants.
    Ce qui signifie que la déférence face à la Secte du Bédouin est la règle d’or.
    Le moins que l’on puisse dire, c’est que nous sommes devenus musulmans en moins de temps que prévu.
    Le clou du spectacle : 50% des Froncés favorables à l’interdiction du blasphème.
    Dans dix ans, ce sera 60 ou 65%.
    D’ici là, Mila aura soit été assassinée par les salafistes de la République soit se sera enfuie à l’étranger. Entre-temps, une loi contre la « haine en ligne » aura complété l’arsenal de la répression anti-blanche dite « antiraciste ».
    Le vrai chiffre significatif ici, en plus des 18-24 ans et des musulmans, c’est le suivant : 62% des femmes sont opposés au droit au blasphème.
    Bon courage!

  9. Ha ha ha, j’ai bien ri !

    Faut-il s’ennuyer autant dans la vie pour jouer, adultes, à une variante du « un, deux, trois, soleil » ?

  10. je viens de revoir la photo de la tarée en bleu sur l’ escalier

    je suis sur que vous auriez eu le même bonheur que moi a lui mettre un violent coup de grolles dans son entre-fesses

    en lui intimant l’ ordre donné a Lazare

    « Balthazar!! baisse ton falzar !! et bande a l’ aise!!

    non! ce n’ est pas tout a fait ça, mais le coup de botte suffira

    et quelle symbolique de néant……………Tellement revélératrice de l’ espoir que leur cervelle métastasée peut véhiculer, la mort en guise de vie!!

  11. réveil salutaire pour ceux qui ne veulent surtout pas se reveiller!

    j’ ai retenu

    « Laura 21 ans étudiante en arts (future chômeuse)  »

    et Jules m’ a bien fait rigoler en résumant magnifiquement le resultat qui attend tous ces paumés

    ça m’ a rappelé la « sociologie » de Vincennes , vaste vomitoire dans laquelle s’ engoufrèrent, dans les années 70 tous ceux qui avaient loupé leur bac ou qui a 40 ans étaient fiers d’ exhiber une carte d’étudiant !!

    notre « étudiante en Arts » aurait mille fois mieux et plus utile si elle avait choisi un « métier d’ Art » du genre ébéniste, refectioniste de meubles historiques, peintre réparatrice,
    mais non! t ‘y penses pas! ilfaut avoir du talent pour ça et…………TRAVAILLER de ses mains…….POUAH !

    • Bonjour Machinchose ,
       » Laura étudiante 21 ans en arts (future chômeuse ).
      future chômeuse certes ,mais qui touchera le rsa et les rentes que lui enverront papa et maman , pour ouvrir sa galerie  »d’arts » .
      j’en connais qui touchent des rentes de 2000euros en plus du rsa et des apl ! c’est ça les bobos .

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