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Après avoir détruit la France profonde, ils découvrent que nos bistros de village avaient du bon !
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Ils s’en prennent à la France profonde (la «ruralité») depuis plus de 40 ans.
Ils ont détruit nos paysages avec les éoliennes, nos bocages, notre polyculture, nos écoles, nos cafés, bref, tout ce qui faisait la petite vie de la douce France.
Quel cynisme : ils nous ont tout enlevé, les campagnes se meurent et on peut même dire que des Français meurent de solitude et de faim. Alors avec cette initiative, voilà un lot de consolation pour les sans-dents !
Une fois que les Français de la campagne ont bien touché le fond, nos élites font mine de redécouvrir les bienfaits du bistrot du coin et accordent un petit os à ces chiens d’électeurs pour qu’ils oublient les milliards qui partent dans les quartiers où vivent les nouveaux-venus.
Marche arrière toute ! Rendez-nous TOUTE notre France, pas seulement nos bistrots !
Vous verrez qu’un jour, ils se rendront compte qu’on devrait faire marche arrière sur pas mal de choses pour que le pays tourne rond et arrêter la casse sur le plan humain !
Mais …la liste serait bien longue !
Le bistrot du bout de la rue ou le troquet du coin étaient consubstantiels à la France, sa culture, son patrimoine presque. L’association France Boissons, qui refuse de voir disparaître les derniers cafés de nos villages, réclame d’ailleurs leur inscription au patrimoine de l’humanité de l’Unesco.
Le groupe SOS tente de sauver ou implanter des cafés ruraux.
Faire revivre les cafés de nos villages. C’est l’objectif du Groupe SOS, fondé et présidé par Jean-Marc Borello. Invité sur l’antenne de RTL, le numéro 1 de l’économie sociale et solidaire en Europe explique vouloir ouvrir « 1.000 cafés ».
« Nous souhaitons lutter contre le sentiment d’abandon de nos villages, pour faire des rencontres, pour amener des services aux habitants : des points poste, une boulangerie, plus globalement, la vie », détaille Jean-Marc Borello.
Comment ça marche ? Un appel a été lancé aux communes de moins de 3.000 habitants dans lesquelles il n’y a plus de commerce. Ensuite, dans les communes choisies, un café y sera construit. « On paie un salaire à des gérants qui auront une formation un peu plus étendue car l’idée c’est qu’ils puissent être des aidants numériques pour permettre à ceux qui ne peuvent pas accéder aux systèmes numériques d’y arriver », explique Jean-Marc Borello, « puis on rénove un local, on en achète un ou on le loue ».
Tous les cafés seront différents
« Aucun ne ressemblera à un autre, il ne s’agit pas d’une franchise, ils seront tous différents en fonction des besoins de la commune : un aura un point boulangerie, l’autre, un point poste« , détaille le fondateur du Groupe SOS.
Le projet devrait rapidement voir le jour puisque le Groupe SOS a reçu 1.300 candidatures. 700 villages sont intéressés. Prochainement, 30 communes verront un café s’installer.
600 000 cafés en 1960
Il y avait 600 000 cafés en France en 1960, il n’en restait plus que 34 000 en 2016. Et 26 000 communes françaises n’en ont plus, selon l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie, qui a fait en 2018 sept propositions à destination du gouvernement pour endiguer ces disparitions, dans la lignée de l’action du groupe SOS.
Parmi les pistes évoquées : assouplissement des contraintes pour favoriser la transmission des entreprises, rétablissement des pré-enseignes dérogatoires pour les cafés, hôtels, restaurants, ou meilleure gestion des licences IV, qui permettent de vendre de l’alcool.
Les pouvoirs publics se sont aussi mobilisés pour sauver ces cafés qui, parfois, dépassent leur fonction première et constituent l’unique commerce multiservices de la commune. Les opérations de revitalisation des centres bourgs prennent en compte cette dimension.
A propos de ruralité…
On se prend à rêver que la disparition des troquets soit un électrochoc pour les décideurs. Au lieu de prendre des décisions qui détruisent la France, peut-être vont-ils un jour réfléchir aux conséquences en amont et prendre les problèmes dans le bon sens. Autre idée certainement plus efficace : que les Français changent de décideurs et arrêtent de croire aux solutions, pour nous sortir de la mouise, de ceux qui nous y ont mis. Et remettent en cause la façon dont l’argent est dépensé.
Elle a été retrouvée morte dans sa ferme vétuste de Rodelle (Aveyron), gisant au pied de son lit. Josette, une agricultrice de 65 ans, y survivait depuis plusieurs années dans le dénuement le plus complet.
Depuis le décès de sa mère il y a 5 ans, elle vivait seule dans la ferme familiale de Rodelle, un village d’un gros millier d’habitants au nord de Rodez.
Selon le témoignage du maire Jean-Michel Lalle, Josette, 65 ans, ne parlait à personne et, « personne ne rentrait chez elle ».
Tout juste pouvait-t-on parfois l’apercevoir sur son tracteur, s’occupant seule de ses 50 hectares de terrain.
Mais ces derniers temps, on la croisait moins souvent. Elle avait beaucoup maigri. Sa vieille Citröen, chargée de foin, était en panne. Faute d’avoir été payé, le boulanger ne lui apportait plus de pain.
Mais Josette ne demandait rien. Des voisins avaient bien averti la mairie.
Mais la situation n’était pas facile. Elle vivait complètement recluse.
Les vacances de Noël sont passées par là. L’année 2020 est arrivée. Josette a été retrouvée mardi matin 22 janvier gisant au pied de son lit. Dans sa ferme, la plupart de ses animaux n’avaient pas survécu.
Voir le reportage :
1/ Quand les migrants arrivent :
* réquisition de logements
* restauration de gendarmeries
* venue des Assistantes Sociales & des Assoces
2/ Quand Josette ne peut plus :
* se déplacer (voiture HS)
* PAYER son PAIN…
Elle MEURT…
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Josette est morte mais c’est de sa faute !
Elle était âgée ! Elle n’était que blanche ! Elle n’était pas musulmane !
Pourquoi donc l’aurait-on aidée ? Elle ne remplissait pas les bons critères.
Et de plus, elle avait la pudeur des gens pauvres, ceux qui se laissent mourir sans se plaindre…. pas comme certains autres.
Cela fait enrager de voir que des gens qui nous ont nourri se retrouver dans le dénuement le plus complet jusqu’à crever dans la misère . Honte à la France non pas d’être raciste ni d’avoir colonisé ni d’avoir eu des moments de coup de pompe mais honte à elle quand elle laisse son peuple nourricier mourir dans l’indifférence générale quand elle a autant de sollicitude pour ces futurs envahisseurs parasites qui de parasites deviendront les maitres qui achèveront ce semblant de pays qui n’a plus rien à apporter au monde sinon le mauvais exemple. La France est devenue le pays qui doit servir de contre exemple aux autres nations . ce qu’il ne faut pas faire c’est ce que fait la France en ce moment!
Le modernisme aussi a tué les petits cafés de villages. Jadis, il n’y avait pas de télé pour accaparer les gens, ils avaient envie de sortir de chez eux pour faire des rencontres. Le café permettait la convivialité en tapant une belote ou en jouant à la manille coinchée!
Honte à cette ripoublique méprisant ses enfants de souche qui ont bossés ou continue de bosser alors qu’ils devraient profiter et jouir de leurs retraites si durement gagner ,quand ils peuvent la prendre , sauf à décédé comme la pauvre Josette dans la solitude et la misère .
Paix à son âme .
Josette, elle est » crevée » au pied de son lit , comme un vieux chien dans le fossé………jeté sur le tas de fumier de la vie. Dans mon petit village de 132 habitants, notre Maire, copain d’école et cultivateur de son état, n’aurait jamais laissé faire ça. Elle ne s’est pas rendue compte que se convertir à l’islam lui aurait sauvé la vie…….
Merci les enc…. de parigots, qui nous font les poches pour donner nos sous aux africains et aux macaques muzz qui n’ont qu’à tendre la main après avoir agressé nos filles et nos femmes.
Ces ordures dans leurs salons dorés se demanderont en 2020 » comment en sommes nous arrivés là » ?. Peut être que Jean Lassalle pourrait leur donner une réponse …. mais certainement pas J.L. Mélanchiotte.
Mon choix est fait et je l’assume : RN et Bardella.
J’ai 72 ans et un gros problème de dos, mais avec 15 -20 ans de moins, je serais bien allé cogner du politicard à Paris.
Quand on voit le gros Gégé Larcher confortablement posé sur son cul de sénateur, prêt à éclater ……, je pense à Josette.
La guillotine n’est pas le » Karcher » de Sarkosy ( toujours en réparation….) Il suffit de l’afuter
C’est écoeurant et inimaginable ce qu’ils sont en train de faire de la France !
Je ne souhaite rien de bon à ces monstres ni à aucun membre de leur famille.
toutes ces lois débiles qui valent pour la grande ville et ne veulent plus rien dire à la campagne où « on » nous les impose malgré tout,,
on empêche les gens de vivre leur vie comme ils l’entendent, et on n’aide surtout pas le FDS,
le FDS peut crever la gueule ouverte, et qu’il crève en silence surtout,
Il ne fera jamais le sujet des blablas de la TV, ces blablas où règnent les furieuses détentrices de la Vérité immigrationniste, amoureuses hystériques de l’islam, de ses foulards et de ses imams
l’autre jour, j’ai vu une publicité pour SOS Méditerranée à l’émission de la 5, émission médicale,
croyez-vous qu’ils iraient voir ce qui arrive à Josette, cette courageuse agricultrice française ?? qui travaille jusqu’à 65 ans et qui meurt sans aucune aide sociale, aide réservée aux envahisseurs,
La 5 vous demande de faire un geste (financier) en faveur de ces pauvres migrants qu’on va importer et qui seront à la charge des différentes Josette qui triment dans nos campagnes dans l’abandon et l’indifférence la plus totale
Je n’ai pas la télé. Je peux juste regarder quelques émission en « replay »;mais je n’ai pas eu l’occasion de voir la 5. Si ce que vous dites est vrai, frejusien@, je pense que la 5 est pro immigration, pro macron, pro islam.
iL FAUT D’AUTANT PLUS SE BATTRE POUR LA RETRAITE MISERABLE DE NOS PAUVRES AGRICULTEURS, dont Josette.
Le blog Sos de Borello est une émanation macronienne; Que l’on donne à l’assoc ou aux migrants c’est pareil. Nous devons faire autre chose, au plus près de nos paysans, pas des clandestins « ruraux » des shitoles .
Bonjour@Fomalo,
est-ce que tu connais une seule chaîne qui ne soit pas pro-macro ?
elles ont toutes fait un tel raffut pour faire élire le bellâtre que nous supportons depuis deux ans,
je ne sais pas si c’est à cause des subventions, ou tout simplement parce que les propriétaires sont les gros détenteurs du pognon et du pouvoir
J’en ai connu quelques uns de ces troquets, il y a 55 ans …………certains affichaient « içi on peut apporter son manger »
il t’ en coutait un canon de vin pour deux……
en ces temps, tu te payais un plein cornet de crevettes sur le port de Carry le rouet ou a Sausset pour presque rien, que tu allais bouffer en consommant un ou deux ballons de blanc,
les kebabs et les immondes pizzas y ont remplacé crevettes, suppions et calmars
« içi on peut apporter son manger »..j’ai connu ça aussi, jusque dans les années soixante-dix, en traversant la France en été depuis Marseille à la Bretagne ou la Vendée. Près de la fac de la Lombarderie à Nantes, le café accueillait à 8 h30 les ouvriers du tiers 6h à 14h avec un casse croûte/chopine/café à 2Frs pendant la pause, et le soir après les T.D ou les répets on allait se boire un vin chaud sucré cannelle/girofle en hiver (3 f’rs pour 7 personnes) dans la cour pour les non-fumeurs, avant de rentrer à la maison. A Paris en 1979 et 1980 j’ai connu rue Royer Collard un petit restau de 8 tables où l’on mangeait copieusement entrée-plat du jour-dessert- un verre de rouge pour 10 francs…avec le menu pour les jours suivants!Toutes les professions et les âges s’y côtoyaient; seule obligation 35 minutes….
Ils meurt de solitudes, de faims et vous avez oublié de froid, car beaucoup d’entre eux n’ont plus les moyens de se chauffer en hiver.
Je me suis interessée à acheter une petite maison de ville pour mes vieux jours. J’ai été attérée de constater que la plupart des maisons étaient des taudis. n’avaient-ils plus les moyens d’entretenir leur bien, je l’ignore mais j’ai été confrontée brutalement à ce que certains peuvent vivre à l’heure actuelle. On s’occupe bien trop des migrants en oubliant que nous avons de la misère en France, plein de SDF dans la rue, comment voulez-vous que tout ça se termine ? j’en ai marre de voir que notre vie a changé dans le mauvais sens en donnant la priorité à des gens qui ne la méritent pas. Chacun chez soi !
Il y a quelques années, j’avais discuté avec un petit patron de bistro qui liquidait son troquet pour cause de faillite. dans la région morgienne (près du Léman, en Suisse)
Il m’avait expliqué que deux choses avaient tué tous les bistros de campagne:
1) l’interdiction de fumer
2) le zéro pour mille.
Vous comprenez, me disait-il, à 11 heures, les paysans arrivaient avec leur tracteur ou leur bagnole, se mettaient en petits groupes, commandaient 3 dl de blanc par-ci, 3 dl de blanc par-là, un, deux paquets de clopes. Ce qui fait qu’à midi, quand il s’en retournaient chez eux pour manger la soupe, et bien, moi, j’avais déjà fait mon chiffre d’affaire! tout le reste de la journée « était pur bénèf*.
Puis il y a eu ces p*** de lois européennes, les mecs ne pouvaient plus fumer à l’intérieur, et les flics attendaient les gars au rond-point d’à coté pour leur faire souffler dans le ballon!
à la fin, plus personnes ne venaient, moi, maintenant, je n’ai plus qu’à fermer boutique…
Voilà comment on tue nos campagnes.
Et oui on préfère aider les soit disant pauvres des autres pays plutôt que les notre , où étaient les assistantes sociales ? quant ces gens là ne veulent plus se laisser approcher c’est qu’ils sont descendues trop bas , l’entourage a une responsabilité comme le boulanger pour les trois bouts de pain par jour . Mais aussi a la campagne il y a le dieu terre et don certains devaient attendre avec impatience la chute de cette dame et racheter le tout pour une bouchée de pain.
C’est tout simplement lamentable.
A la vitesse où les locaux sont remplacés, imposés par les préfets, ce sont plutôt des kebabs qui vont ouvrir.
des kebabs qui vont ouvrir, bin oui juste le temps de blanchir l’argent des différents trafics et hop six mois après le kebab est fermé.
bonjour ,
en plus des immigrés , il y’a aussi les bobos qui remplacent les locos . ces ordures chassent économiquement l’autochtone !
»après avoir détruits la France profonde , ils découvrent que nos bistrots de villages avaient du bon » . ha bon ? qui découvrent quoi ? les bobos bien sur ! fils de bourges qui viennent coloniser les provinces . je trouve ça dégoutant et indécent des fils de bourgeois trentenaires et quadragénaires , qui viennent a la campagne (alors qu’ils sont sûr-diplômés , cadres ou rentiers..) racheter terres et fonciers , pour s’amuser aux néo paysans , enlevant ainsi le pain de la bouche aux autochtones et aux plus pauvres . après nos villes voilà qu’ils gentrifie nos campagnes . Soleil Vert , vous l’avait vus le film ? bien là c’est pareil , la campagnes ,la nature , la vielle France et ses vieux faubourg ouvriers qui étaient bucoliques , plaisent aux bobos et bien sur quand un endroit( fût t’il populaires ) plait au bourgeois , hé bien le populeux se barre et est condamné a vivre dans des villes , dans des taudis loués a des voleurs , dans la promiscuité avec un voisinage de merde , comme dans Soleil Vert ! et peux êtres (si c’est pas déjà le cas) on boufferas des rations de galettes nommées soleil bleus ou des pilules (car la viande et les légumes devenus trop cher et rares , serons réservés au plus aisés ) fabriqués avec des protéines de cadavres humains ?! l’avenir je le vois comme ça !
si c’est ça le monde que les bourgeois nous préparent (c’est déjà a moitié le cas ) . dite moi , j’ai quoi a défendre ? pourquoi être patriote , alors ? puisque toute appartient a une caste , don je ne fait pas parti ? michel onfray , posé déjà cette question dans un numéro d’ Elément . être patriote oui , mais encore faut t’il avoir quelques chose a défendre !
Pauvre Josette
Pauvre FRANCE abandonnée
Dans le temps en virée à vélo l ‘on pouvait boire 1 café ou 1 viandox l ‘hiver &
l ‘été 1 diabolo menthe en traversant les villages, le midi sortir le repas du sac et boire 1 canon , l ‘on était pas riche , mais heureux , maintenant , c ‘est le vide , les patelins sont morts .
Travaillant à droite à gauche sur les routes , il y avait toujours un bistrot pour réchauffer la gamelle et y boire 1 demi ou 1 /4 de rouge suivit d ‘un café et un calva…