C’est la question que l’on peut se poser à la lecture du témoignage de cette prof de banlieue publié dans Valeurs actuelles.
[Journal de bord d’une prof de banlieue]
Locaux dégradés, indiscipline et démission de la direction : 6 janvier, rentrée comme les autres dans un lycée abandonné de la République
Madame Germain (son nom a été changé) est enseignante dans un de ces lycées de banlieue abandonnés depuis longtemps par l’Éducation nationale. Dans ce journal de bord irrégulier, elle raconte son quotidien. Ce lundi 6 janvier de rentrée des classes est tristement banal.
8 heures, rentrée au collège : la cour est un dépotoir ; je circule entre les montagnes de déchets entreposés face à la poubelle. Je ne sais pas ce qui m’interpelle le plus entre la saleté évidente des élèves et le fait que cela n’a pas été nettoyé au cours des vacances. Les couloirs ne sont pas mieux : yaourts écrasés, pains moisis, papiers et emballages en tout genre… ce qui nous impose un véritable parcours d’obstacles toute la journée. Je filme, en fait part à mes collègues, personne n’a l’air spécialement choqué, le directeur m’assure qu’il l’a signalé dans la matinée, mes collègues semblent blasés, presque habitués. Je m’obstine à la cantine pour exprimer mon choc mais on me dit de me calmer, qu’on ne peut rien faire de plus.
Ce n’est pas la première fois que cela arrive. Déjà, le 1er septembre, nous investissions nos classes qui n’avaient pas été nettoyées de l’été : tables, sol… J’avais dû m’en charger moi-même avant l’arrivée des élèves. Et je ne parle pas du papier toilette qui manquait. Cela s’ajoute au peu d’estime que nous avons de nous-mêmes dans cet établissement,que ce soit les professeurs ou les élèves. Vient le moment de prendre les choses en main : soit on prend des sanctions et les élèves nettoient leurs locaux soit l’école s’en charge.
Élèves absents et en retard, devoirs non faits, affaires disparues…
Je ne parle pas de l’absence des élèves et du retard dans tous les cours, des affaires disparues et des devoirs non faits le jour de la rentrée. Je ne parle pas non plus du conseil de discipline pour une de nos élèves le soir-même, de la surprise de découvrir un nouvel élève arrivant dans ma classe de 4e, exclu de son ancien collège pour violence, après avoir été exclu d’un autre établissement pour les mêmes faits (le troisième depuis octobre qui arrive dans ma classe). Ou de l’indiscipline de l’ensemble des quatrième et troisième devant un intervenant venant leur expliquer le parcours professionnel pour travailler dans les métiers de l’aviation : alors que les élèves chahutent et méprisent l’intervenant, je dois leur faire remplir une fiche orientation.
« Pourquoi ne remplis-tu pas ta fiche ?, dois-je demander au nouvel élève arrivé le matin même.
— Ben parce que je n’ai pas envie », me répond-il le plus tranquillement du monde devant toute la classe.
L’après-midi, les troisièmes me supplient de leur donner le nom de mon pays d’origine (toujours incapables d’admettre que je suis française) et celui de ma remplaçante venue avant Noël. C’est important pour nous me répondent-ils.
Dans les couloirs à la pause, un groupe d’élèves parle le turc devant ma classe. Je ne comprends rien.
Je retrouve le soir-même un de mes élèves devant le collège, à la sortie. Il habite à l’hôtel à côté mais cela fait des semaines que nous ne l’avons pas vu. Celui-ci n’a aucune justification à me donner, simplement qu’il n’a pas envie de venir. Un attroupement se forme autour de moi, je tente d’arracher quelques aveux, je capitule finalement en lui rappelant son devoir et en lui disant que je l’attends en cours le lendemain matin. Mes élèves assistant à la scène m’assurent qu’ils viendront toquer à son appartement pour s’assurer de sa venue. Je vérifie que son réveil est bien réglé à 7h40 et je l’envoie chez lui en m’assurant qu’il ne fait pas de détour. Brève illusion, je suis certaine qu’on ne le verra plus avant au moins un mois : cela fait 3 ans qu’il est au collège, nous sommes habitués…
Dans le bus qui me conduit à la gare, je passe quand même un bref coup de fil au directeur qui me faisait part de ses absences le matin même, pour lui dire ma joie de le savoir vivant malgré le drame de cette situation. Il me dit de laisser tomber, qu’on ne peut plus rien faire pour lui.
Démission de l’Éducation Nationale…
(…)
La République abandonne-t-elle son Ecole comme le dit l’enseignante ?
Eléments de réponse à cette question :
-effectivement, en un sens, la République a démissionné et les objectifs ne sont plus les mêmes qu’avant. Les adultes sont « blasés ».
Enseigner en « territoire occupé ».
-mais il y a beaucoup de non-dits sur les causes du mal dans ce témoignage (sauf quelques indices en filigrane): comment la République pourrait-elle avoir les mêmes ambitions que par le passé avec un tel public d’élèves ?
Certains parlent turc entre eux ! Comment imaginer qu’ils partagent la culture française ?
Quel est le regard de ces Français d’origine étrangère sur la France ?
Qui est responsable de cette situation et qui pourra redresser la barre ? On parle là d’une totale remise à plat nécessaire tant le chemin à accomplir est long.
On voit que le problème principal n’est pas que les locaux soient dégradés mais plutôt que certains se comportent en vandales. Non, la République ne pourra pas remplacer indéfiniment tout ce qui est volontairement cassé : ce sont les comportements qu’il faut changer. Sinon mettre les indésirables à la porte.
Et quid de l’islam ? Le thème est rarement abordé : comment enseigner en territoire musulman avec des élèves aux antipodes de nos valeurs ?
Les petits élèves de la IIIème République n’avaient pas forcément des conditions matérielles idéales. Mais l’ambition du pays était bien là, immense, sacrée, indéfectible (nous y reviendrons dans un second article).
Pour échapper à la déliquescence, il appartient maintenant au peuple de reprendre en main son pays, son école, son destin.
2018, Créteil : “Tu me mets présent”… Un lycéen braque une enseignante avec une arme.
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Mein Koranpf leur explique que tout ce qui est sur terre est mis à leur disposition par allah et qu’ils n’ont qu’à se servir. Alors pourquoi apprendre ? J’ai envie de ta voiture, je la prend, c’est allah qui me la donne. Si tu te rebiffe, je te tue ! Je ne risque rien, je suis déséquilibré, victime du colonialisme, déshérité, abandonné par la République, etc.
« …Quel est le regard de ces Français d’origine étrangère sur la France ?… » Ils ne sont pas Français ! Ils ne se sentent pas Français et ne veulent pas l’être. Ils sont juste là pour conquérir un territoire, profiter de ses richesses et n’obéir à personne en aucune circonstance. Ces gens là brûlent impunément des policiers dans leur voiture, vous ne croyez tout de même pas qu’une prof va avoir une once d’autorité sur eux. Allons ! Une grande fille comme vous…
Les gauchiasses et autres LREM osent se gargariser du mot Républicain tout en excluant le parti de Marine de cette même République.
Ne savent-ils pas que l’école est le ferment de cette République , les premiers enseignants de cette République s’appelaient des Hussards pour dire qu’il a fallu mener un vrai combat pour que les valeurs de la République puissent s’imposer à une société qui avait remis à la religion la responsabilité de former la jeunesse. On constate bien que l’ immigration de masse est anti Républicaine puisque les profs sont obligés de ne plus les appliquer ces valeurs ou de composer avec qui je le rappelle sont autant contraignantes pour chacun par la discipline qu’elles imposent pour créer ce fameux égalitarisme que bénéfique pour l’ensemble de la société. Ce n’est pas dans nos valeurs d’accepter autant d’étranger sur notre sol mais le fait de dangereux docteurs folamour qui ont pris la France pour un laboratoire à l’échelle d’un pays !! On voit bien que comme les flics les enseignants sont en première ligne pour faire croire qu’il existe encore un semblant de République en France par contre dès que l’on remonte dans la hiérarchie on voit que la volonté est à l’abandon de ces principes mais sans se salir les mains , on a décidé délibérément sacrifier les profs et les flics sur l’autel de ce p…n de mondialisme. Si ces catégories de professions ont accepté le deal pour être les agneaux à égorger ce n’est pas que leur problème cela veut dire que la France est foutue et qu’elle ne sera plus jamais le phare qu’elle était pour beaucoup de nation et qu’elle enterre aussi l’illusion d’habitants de la planètes qui se disaient lorsque leurs dirigeants manquent aux plus essentiels de leur devoir qu’il y avait toujours un espoir que les choses changent grâce au miracle de démocratie qu’était la France dans le monde , les autres modèles qui étaient socialistes ayant été plutôt imposés de l’extérieur que plébiscités par les peuples concernés . Le seul espoir qui reste aux plus démunis et de submerger ceux des pays qui le sont moins et de créer les problèmes que nous connaissons trop bien ;
Ma mère avait été agressée par une CPF dans son collège.
Elle nous disait à l’époque en avoir beaucoup souffert et aurait même déposé une plainte à la gendarmerie.
Aujourd’hui elle nous dit que c’était faux. Déposer plainte ? Pas question.
La pleurnicherie arrive vite : » ils partent de trop loin…faut leur laisser le temps…bientôt ils seront intégrés… »
Même discours pour ceux de maintenant. C’est la faute de notre politique de la ville pas assez présente. Et quand le coq lui dit qu’au lieu de passer leur temps à glander ils feraient mieux d’apprendre leurs leçons…c’est le coq qui est raciste.
Y en aurait des solutions…
Et je rajouterai,pourquoi ils travailleraient à l’école, avenir,:dealer ou se marier et faire des tas de gosses et attendre les aides ,RSA,allocs,apl etc ,la vie est belle pour eux ,merci la république française.
Prof ,comme policier et pompier,est un métier à risques ,ils ne veulent rien foutre et bien qu’ils les laissent tomber ,ne pas perdre son temps avec ces racailles ,qu’ils se concentrent sur ceux qui veulent travailler, tant pis pour eux si ils laissent passer leur chance .
c’est d’ailleurs pour ça que le taré qui pose ses fesses à l’élysée s’est empressé de prélever l’impôt à la source des fois que les français en auraient marre de payer pour entretenir ces cafards mais hélas les cafards ça se reproduit vite et c’est dégueulasse ben comme dans l’article aucune hygiéne pas de savoir vivre pas d’éducation ils sont incivilisés et n’ont rien à faire chez nous
La FRANCE est devenue un égout
à moins d ‘habiter dans une commune de moins de 500 âmes loin d ‘une ville ( même moyenne) avec pas trop d ‘accessibilité routière et aucun transport en commun , sans cantine , sans piscine , sans poste , sans logement dit sociaux etc …
autrement dit il faut vivre en ermite
mais malgré tout il faut bien sécuriser son domicile , et en cas d ‘intrusion attendre plus d ‘1 heure la gendarmerie et qui ne se contentera de constater …
Pas compliqué, avec l’aide de nos pouvoirs publics et celle de nos impôts, ils feront de la France ce qu’ils ont fait de leur beaux pays légués par les horribles colons français !!…
De toute façon ils sont indécrottable, inéducable, et je me demande toujours ce qu’ils foutent chez nous. Dehors. Ce ne sont que des parasites qui vivent sur notre dos, comme des tiques sur un chien, alors si on éradiquent les tiques………..
Toutefois, pour les chèvres, ils ont de quoi…
La valise ou le cercueil !!!! point barre !!! il n’y a pas d’autres solutions. Alors patriotes préparez-vous.
Ce que les français ne veulent pas comprendre c’est que la plupart de ces gens viennent ici pour s’accaparer du pays, ils n’ont aucune envie de vraiment s’intégrer. De plus en plus seront nombreux, de plus en plus feront la loi, finalement ils auront le pays. Et pour arriver à ça, Ils commencent par détruire tout ce qu’a fait ce pays.
Bouteflika et Erdogan l’ont dit clairement. Il faut faire bouger ses neurones pour le comprendre.
J’ai un espoir, c’est que la prochaine fois (dans 1 millions d’années) on s’y prendra peut être mieux pour gérer une nouvelle France.
Cependant, je ne suis pas certaine que dans leur pays d’origine ils se comporteraient ainsi, d’une part il y a de fortes chances qu’ils soient mis au travail dès leur plus jeune âge et, d’autre part, ceux qui ont la chance de s’instruire sérieusement, ne la gâcheront jamais, avec le soutien de leurs parents. En France que tu f… rien de ta vie scolaire n’a aucune incidence sur ta vie future, l’État Providence veille à ce tu possèdes un smartphone, un permis gratuit (sur ce point même pas la peine de se c…. le c… pour l’obtenir, on « emprunte » éventuellement un véhicule en cas de nécessité) – quelquefois que tu aurais des vélléités de recherches d’emploi – des aides sociales en tout genre, un appart’ avec un loyer très symbolique, et que tu peux faire du black à côté en dealant, pourquoi s’en faire, hum ?