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Ils ont pour obsession d’aseptiser les comportements et le langage dans tous les domaines.
Les ministres partent. La chasse aux sorcières reste.
France 3
Une prof de sciences a osé faire disséquer une souris à ses élèves !
Grotesque :
Autocritique immédiate exigée !
Scandale de la souris : comme sous Mao, la prof de sciences a dû faire son autocritique.
La ministre qui avait peur des souris.
Cette ministre (photo ci-dessus) avait interdit l’étude des organes de la souris en classe.
Soi-disant, il ne fallait pas faire peur aux petits écoliers pourtant amenés à vivre dans une société où fleurissent à chaque coin de rue et d’écran toutes les horreurs possibles.
Méfions-nous de ceux qui veulent mettre nos enfants dans du coton et en faire des castrés pour l’avènement du meilleur des mondes.
Bizarrement, ce sont les mêmes qui créent les conditions d’une société hyper violente.
Les chérubins que l’on fait mine de mettre sous cloche pour préserver leur innocence seront exposés dans la vie aux agressions, aux violences, aux attaques de toutes sortes, au moins indirectement : mais ce n’est pas le sujet, on ne veut pas voir ni savoir ni même que certains disent la vérité.
Il est plus facile d’interdire la « violence » envers les souris en classe que celle des monstres de la vie réelle.
Puisqu’il faut vivre ensemble.
Mots interdits aux âmes sensibles : même logique qu’avec la souris, il ne faut pas « choquer » la jeunesse.
« Race »
Ah tiens, étrange idéologie, ce sont les mêmes bonnes âmes qui nous interdisent de nommer les choses.
Pour notre bien paraît-il, et l’avènement d’une société merveilleuse avec uniquement des gens formidables, où on est tous copains.
Par conséquent, le chapitre sur les races humaines reproduit ci-dessous (manuel de 1959) appartient au passé.
L’idéologie du coton et de la mise sous cloche de nos gamins a eu le dernier mot.
L’approche scientifique menacée…
Entre le politiquement correct et le vent musulman qui souffle de plus en plus fort, gageons que les profs vont bientôt se voir interdire de montrer un vêlage ou une mise bas de chatons : pour protéger nos petits chéris, qu’on vous dit, et ne pas les choquer, ni avoir les ministres, les journalistes et les parents sur le dos.
PS : plus besoin de les gazer, les souris s’achètent congelées (comme pour nourrir vos reptiles), comme cela était préconisé jusqu’au début des années 2000…en primaire au CM. Une mutitude de sites en proposent
Extraits d’un
MANUEL de sciences naturelles de 3ème
de 1959
(non censuré !)
Souris…
Races (vous souri-ez toujours ?)
Sources :
https://manuelsanciens.blogspot.com/2019/10/paniel-sciences-naturelles-cours-obre.html
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Je pense, qu’il manque un éclairage fondamental à cet article.
D’une manière générale, la société française sombre et c’est désormais une société à deux vitesses qui se dessine. L’éducation est désormais clairement un marqueur social : les familles aisées, ou pauvres mais qui misent tout sur l’éducation de leurs enfants, les mettent en écoles privées. L’école publique, à part, peut-être dans certaines écoles parisiennes, est une école bas de gamme.
C’est le but de l’Education Nationale : réduire les inégalités sociales en tirant tous les élèves vers le bas.
Bref, protéger ses enfants de la médiocrité, des teigneux, de l’antisémitisme, du harcèlement scolaire oblige à zapper l’école publique.
Ma chienne ( animal pas ma femme .. idiot ) est née « cocker « et elle se sent bien en cocker mais hier j’étais de mauvaise humeur et je lui ai dit que les cockers était une race de chien à la con et bien ça réaction à été immédiate elle m’a montré les dents : salle race salle race de merde vive les bergers allemands
Au moins ils comprennent pas le français…… hihihi 🦄
Le monde est devenu FOU mon brave il nous faut du sang frais une nouvelle
…………….race ………..🐵🙈🙉🙊🐒
Canadien par la grâce d’un déplacement professionnel de mon papa ancien résistant, j’ai passé 7 ans entre Kuujuak et Schefferville au nord de la baie d’Hudson à l’âge de 12 à 19 ans à chasser, pêcher, trapper, tanner des peaux quand nous avions des congés d’école……..
(***) Et on avait de VRAIS PARENTS ! Qui nous laissaient libres mais étaient toujours là en cas de coup dur…..Pas des lopettes de gauche,tatouées,percés, pas coiffés…. Qui nous enseignent des conneries et nous faisaient part de leurs fantasmes etc.
Quelle belle jeunesse j’ai eu…..avec de vrais gents, comme ceux qu’on voit dans le programme télé: seul face à l’Alaska
je ne comprends pas
tous les jours dans la rue il y en a 1 avec 1 couteau pour disséquer des blancs
Il n’y a plus de race mais il faut partout « métisser », c’est bizarre….
Dans les années 70 nous avons disséqué le ver de terre, la souris et la grenouille.
Pour la grenouille c’était encore pire puisqu’on la disséquait vivante, on enlevait le coeur et on le mettait dans une solution saline où il continuait de battre. Ceci afin de démontrer que c’était un organe autonome.
De la même manière pour montrer le réflexe médullaire, on prenait une grenouille vivante, on la décérébrait puis on remarquait alors qu’elle n’avait plus de cerveau que les réflexes existaient toujours donc qu’il y avait un neurone associatif action-réaction dans la moelle épinière.
Toujours sur les grenouilles nous reproduisions les expériences de Galvani.
Et nous faisions tout cela dans la joie et la bonne humeur, pleins de curiosité et on riait quand de temps en temps quand une fille s’évanouissait sous le coup de l’émotion car à cette époque là nous n’étions pas des chochottes non genrés comme maintenant mais des durs de durs.
et c’est ce qui nous a permis plus tard, à l’école de médecine, d’aborder plus sereinement la dissection des cadavres humains.
Comme chez les chiens: aucune différence entre un teckel et un saint Bernard.
Bonjour,
Merci pour cet article : l’interventionnisme incessant des parents à l’école est l’un des aspects de sa ruine …
Je ne vois pas ma mère, il y a 50 ans, intervenir dans quoi que cela soit des enseignements de mes professeurs.
Il est vrai que, dans beaucoup de ses aspects, l’école a cessé d’être respectable …
Quelle époque : des parent, parfois bêtes à manger du foin, se mêlent de l’enseignement (à chier…) de profs guère plus malins qu’eux… Quant à la génération coca-McDo-SMS-pétards-fainiasses, qu’en dire, sinon des choses extrêmement désagréables ?…
L’école française d’aujourd’hui est insupportable et imbécile. Le niveau a chuté pour que tout le monde ait le même bas niveau.