BREVE
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Les deux hommes étaient à bord d’un vol de Labrador à Terre-Neuve quand Dave Beck a prononcé le mot « Esquimau ».
Son ami Thomas Scott a répondu en demandant : « Tu le sens ? »
La conversation a été entendue par Peter Penashue, membre de la nation inuit et ancien député du Labrador, et par d’autres passagers.
Beck et Scott, qui travaillaient principalement comme plâtriers et peintres, avaient travaillé sur un projet de rénovation d’hôtel supervisé par Kankote Enterprises.
« Malgré plusieurs années de travail, les deux hommes ont été congédiés et leurs noms ont été traînés dans la boue, ce qui a réduit les perspectives d’emploi futures », rapporte le National File.
Beck a plaidé pour le pardon d’une manière extrêmement pathétique et pitoyable : « Je sais que ce n’est pas une excuse pour les remarques que j’ai faites, mes paroles qui ont blessé tant de gens, en particulier les autochtones. Je ne suis pas raciste. Je dirais que je suis culturellement non éduqué. Culturellement analphabète. », a-t-il dit à la CBC.
Ses excuses n’ont pas été suffisantes pour ce crime de discours politiquement incorrect.
Paul Joseph Jackson, le 16 décembre 2019.
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Eh oui, dans la novpensée politiquement correcte, esquimau est un terme raciste, tandis qu’Inuit, qui signifie « êtres humains », et donc que ceux qui ne sont pas Inuits ne sont pas humains, ne serait lui absolument pas raciste et certainement pas xénophobe : il ne peut pas l’être, puisqu’il émane d’une sacro-sainte « minorité ».
L’imbécillité sans fond et l’absurdité de cette pensée victimaire inventée par une gauche débile se retrouvent encore une fois illustrées par cet exemple.
Comme toujours, avec la « pensée » gauchiste, ce ne sont pas les actes ou les paroles qui sont blâmables, leur nature bonnne ou mauvaise dépend uniquement de la qualité de ceux qui les commettent ou les profèrent : et apparemment cela dépend de la race à laquelle tu appartiens, soit toujours coupable, soit toujours innocent, suivant que tu es blanc ou « non-blanc ».
Un blanc poignarde en légitime défense un non-blanc, c’est un crime raciste : le blanc est le coupable. Un non-blanc poignarde un blanc, le blanc a sali le couteau et endolori la main du non-blanc: le blanc est le seul coupable.
Bien entendu, un tel mode de pensée fondée sur l’appartenance raciale, alors que dans le même temps « les races n’existent pas » est parfaitement conforme aux canons de l’antiracisme, et donc par définition pas du tout raciste.
Ce qui est le plus grave, ce n’est pas que ce mode de pensée soit totalement absurde et délirant: c’est qu’il est pris au sérieux et s’impose comme une nouvelle norme morale, qui étend son délire non seulement dans les médias, mais aussi au niveau de la Justice et de l’enseignement universitaire.
La dictature mondiale se met en place !!!! Il est grand temps que les peuples amoureux de la Liberté se réveillent !!!!!
il y a une solution: que toutes les personnes qui sont culturellement analphabetes aillent travailler dans, ou créent une entreprise qui engage des personnes culturellement analphabetes. – cette entreprise pourrait même recevoir des subsides de l’état si elle met à son programme la rééducation des analphabetes.
Je mange toujours un eskimo accompagné d’une tête de nègre.
Un régal !
;-))))))
Mon pote esquimau s’accommodait très bien de cette appellation. Il prenait un siège à côté d’une jolie fille et il attendait l’entracte….
Il doit probablement y avoir un double-sens au terme « esquimau » (en anglais ou dans le parler populaire du coin) J’ai trouvé quelque chose!
« From what I’ve heard, Eskimo means « raw meat eaters » in an Aboriginal language. »
( dans https://www.linguee.fr/francais-anglais/search?source=auto&query=esquimau+sens+propre+comme+au+figur%C3%A9)
Autrement dit, en ces temps de veganisme, un peu la transposition de « cannibale » ?
Et notre chanteur Mouloud gît, interdit aussi ? Pffff.pôv Marcel.
Perdre son emploi est une sanction extrême. Les « esquimaux » préfèrent être appelés par leur nom de communauté genre « innu » ou « inuit », d’après ce que je sais. Un des gars a dit « tu le sens? » après le mot « esquimau ». Cela m’a rappelé qu’une amie avait un grand livre de salon avec photos en papier glacé sur l’arctique du continent américain. Il y avait une photo du début du XXième siècle sur laquelle figuraient cinq autochtones dans une cabane, vêtus à l’occidentale, visiblement en situation de vie très précaire dans ces conditions climatiques. Et sous la photo la légende disait qu’il y avait dans cette cabane une saisissante mauvaise odeur. On devinait des adultes qui travaillaient toute la journée sans possibilité de se laver ni de changer de vêtements.
Récemment j’ai lu un article sur les odeurs corporelles qui varient d’une race à l’autre et qui ne sont pas facilement supportées par les races entre elles, alors si on ajoute l’absence d’hygiène corporelle, c’est le pompon de la révulsion.
Lorsque j’ai commencé à cotoyer les nouveau immigrants musulmans divers au Québec, ce qui les distinguait c’était leur saisissante mauvaise odeur de sueur l’été en contraste avec l’absence d’odeur de sueur chez les québécois de souche soucieux de ne pas indisposer leur entourage avec des odeurs inopportunes. Le manque d’hygiène et les épices produisent une odeur saisissante et insupportable chez les musulmans. check réalité. Ils n’ont aucune disposition pour éviter à l’entourage le calvaire de renifler leurs exudations corporelles.
De plus, les accusateurs autochtones qui ont condamné les deux gars de l’histoire, ne sont pas eux-même des irréprochables. Dans leurs communautés il y a une épidémie d’inceste, de violence conjugale et de suicides d’enfants. Je suis certaine qu’ils n’ont pas un langage « châtié » chez eux et qu’ils ne perdent pas leur revenu de subsistance pour un écart de langage.
Ce qui revient à dire que les progressistes qui foudroient au nom du politiquement correct fonctionnent comme la charia. Ils érigent le mensonge en loi. En islam, il y a le mensonge du scénario des mineures forcées d’épouser un vieux musulman pédophile auquel elles doivent le « respect », respecter un salaud que la charia autorise de les violer quotidiennement et de les frapper.
Pour les deux gars, un reproche sans conséquences aurait suffit à leur rappeler qu’ils ne doivent pas ventiler en public la réalité de leur quotidien…
J’aime beaucoup les esquimaux glacés
Big other is watching us!
Si on a plus le droit de prononcer le mot « Esquimau » puisqu’il semble que maintenant ce soit raciste et qu’il faut dire je suppose Inuit bien que les inuits ne soient qu’une partie du peuple « Esquimau », alors comment doit on appeler les barres glacées recouvertes d’une pellicule de chocolat et que l’on tient avec un bâtonnet plat en bois et qui s’appellent « Esquimaux » ?
De la même manière comment doit on appeler la figure que l’on réalise lors des épreuves de kayak, qui consiste à faire un tour complet du kayak sur lui même et qu’on appelle « Esquimautage »?
ère de délation et de surveillance !
le gouvernement mondial se met en place, en établissant des dictatures un peu partout, il sera facile par la suite de tout regrouper sous les mêmes ordres qu’ils appliquent grâce à leurs séides infiltrés,
finita la liberté de pensée, la liberté de parole, la liberté d’action déjà très très réduite
Je vois pas en quoi le mot esquimau puisse choquer qui que se soit.il y a rien de raciste là Dedans.
Esquimau signifie « mangeur de viande crue ». C’est une expression dite colonialiste bien qu’elle décrive une réalité objective. Au Canada multiculturel, la réalité est l’ennemie de la Vérité interprétative.
Il faut dire Inuit, du nom que les esquimaux se donnent entre eux.
Ca devient très grave ! Même ici en France dans la sphère privée il faut maintenant mesurer ses propos , j’en ai vu fermer les fenêtres de l’appartement selon le sujet abordé dans la conversation . Malgré cela les murs ont parfois des oreilles ! Il règne aujourd’hui une ambiance générale malsaine ……vraiment malsaine ! ça pue !