La vie à Paris dans les années 1960… Tout l’air d’un paradis perdu…

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Quelques commentaires des internautes :

Le beau et vrai Paris, la capitale à l’image de la France qui rappelons-le était la 2e puissance économique mondiale (PIB) jusqu’en 1967. L’art de vivre, l’art de la discussion, la poésie, les lettres, la culture, les valeurs, le raffinement, la création, le plaisir de flâner.

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On ne parlait pas de terrorisme islamique, de fichés S, d’agents radicalisés infiltrés, de zones de non-droit tenues par des islamo-dealers, d’égorgements, de vols avec violence, d’incivilités, de feux spontanés, de saleté dans les rues… C’était juste avant la dernière vague migratoire.

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Incroyable ! Les trottoirs sont propres, les allées des parcs sont propres, les routes sont propres, même les caniveaux sont propres : pas un papier à terre, pas d’excréments. C’était la civilisation, aujourd’hui c’est la décadence. Anne Hidalgo, ne regardez pas cette vidéo !

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Il n’y avait pas d’islamo-gaucho à la tête de Paris. Poubelles ramassées tous les jours. Je prenais seul le métro à 6 ans sans que mes parents soient inquiets. J’attendais que le gardien de la paix me fasse signe pour traverser et aller chez le marchand de couleurs.

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Archives à garder précieusement, avant que les négateurs effacent les traces d’une civilisation qu’ils détestent, et que les bien-pensants perdent complètement la mémoire et déforment la vérité historique comme ils savent faire !

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Autrefois, on avait le sentiment d’appartenir à une communauté de destins. Aujourd’hui, il y a des communautés qui se haïssent entre elles. On a perdu ce qui fait le ciment d’un peuple.

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Le jardin du Luxembourg, les quais de Seine, les petites rues du cinquième que j’aimais tant arpenter après les cours. Bouquinistes, peintres de plein air, amuseurs de rue…nostalgie du Paris de la gaieté et de la bienveillance. L’arôme de la vie sociale embaumait mon cœur d’enfant.

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26 Commentaires

  1. La mobilisation générale pour aller faire je ne sais quoi en Algérie !! C’est ça votre paradis ??
    On n’utilise la mobilisation que lorsque la patrie est en danger, comme c’est le cas MAINTENANT !!!

    • C’est vrai Paco on oublie trop souvent de remercier nos illustres et excellents commentateurs qui nous complètent, nous instruisent, nous émerveillent, nous prouvent que nous ne sommes pas seuls et qu’il y a un paquet de gens de valeur dans notre camp

  2. Tout n’allait pas pour le mieux dans le meilleur des mondes mais on pouvait être heureux simplement. Puis, les gauchiasses ont pris les commandes et se fut le commencement de la fin…

  3. Bonjour Machinchose. Juste pour signaler que le fait de se marier n’amène pas à « fonder une famille ». Je crois qu’il s’agit du mot « ménage » qui serait mieux utilisé. On fonde une famille par mariage dans le cas ou aucun des deux conjoints n’a de famille, sinon, la fille du ménage va dans une autre famille et le fils du ménage suit la lignée familiale. A noter que maintenant la fille peut garder le nom de ses parents….Voilà, tout est bien. Aucun roi de France n’a « fondé de famille » en se mariant avec une fille d’Espagne ou d’Autriche….

    • @Berger

      je crois que vous n’avez pas saisi le sens du propos de MachinChose, parce qu’en le lisant, j’ai retrouvé mes propres mots, mes propres catégories mentales.
      Je vais donc me permettre de parler pour MachinChose et qu’il me corrige si j’ai trahi son propos : aujourd’hui, une bonne partie de la délinquance, de l’échec scolaire ou de l’échec dans la vie en général, vient du fait que des enfants viennent de familles « sans père ». Attention, c’est une vérite « statistique » donc pas absolue. Des enfants sans père grandissent parfois très bien et réussissent (par exemple l’entrepreneur Moad Altrad).
      L’idée est qu’aujourd’hui le mariage n’est plus un contrat qui vous responsabilise. Quand c’est cassé on jette.
      Avant quand c’était cassé, on réparait, on recousait. On avait avant tout des devoirs (en tant que parent, que conjoint) avant d’avoir des droits. Se marier pour fonder une famille exprime cette notion : s’engager, prendre une responsabilité sur soi, accepter une servitude, une contrainte.

      Par exemple, si à l’époque un jeune homme ayant fricoté avec une demoiselle l’avait mise enceinte, alors il se devait de l’épouser. C’était comme ça. Le père du jeune homme l’y obligeait !
      Donc c’est cette notion de responsabilité qui prévalait et que traduit l’expression de MachinChose.

      • @pikachu et @MachinChose

        « Donc c’est cette notion de responsabilité qui prévalait et que traduit l’expression de MachinChose. »

        Je suis parfaitement d’accord avec l’esprit de vos commentaires. Se marier est un « engagement » et le véritable engagement fait peur ainsi que la notion de « devoir ».

        Cela va de pair (« père » aussi je suis d’accord !) avec la perte de sens générale où tout se vaut, où le « générationnel » n’existe pas (donc pourquoi être déférent et poli à son égard ?) ainsi que la « transmission » au nom de ce qui serait la sainte évolution, comme si l’être était issu d’une sorte de temps « présent » (c’est pour cela que l’éprouvette est devenue possible), sans passé, complètement « rationalisé » donc déshumanisé

  4. l’ancien monde ……élégance politesse propreté et savoir vivre , tout le contraire d’aujourd’hui qui ressemble de plus en plus a un égout !

  5. Un immense Merci pour ces photos et video.
    Tout n’était sans doute pas parfait, mais il faut montrer sans relâche ces films et photos aux jeunes générations pour qu’elles découvrent ce qu’est la réalité de la civilisation occidentale, leur civilisation et prennent conscience de l’horreur que représentent ces prétendus multiculturalisme et vivre ensemble

  6. Je regarde de temps en temps sur YouTube des vidéos de l’INA, sur cette époque, il y a des documentaires du CNRS, qui faisait des études d’anthropologie contemporaine, sur les Bougnats, les prolétaires du XIIIème arrondissement, un « chef de bande » de l’époque et je suis toujours ébahi par ce que j’y vois : une tenue, une dignité, un français soigné même chez les « petites gens », le « chef de bande » s’exprime très bien. C’est évidemment un monde perdu. La locution n’était pas seulement « syntaxiquement » soignée, elle avait un rythme plus lent, moins agité, plus serein.
    On le retrouve dans une série radiophonique dénommée « les Maîtres du Mystère »,
    Aujourd’hui, je ne supporte plus d’entendre parler le français des jeunes ou même de la télé : une expression me rend malade: « du coup », « du coup » par ci, « du coup » par là, « du coup » en début de phrase, en milieu de phrase ». Comme si un pesticide puissant avait « désherbé » notre langue et qu’il n’y restait qu’une nouvelle espèce d’herbe folle qui aurait infesté le langage parlé, prenant racine parce que le lieu se desertifie.
    Il faudrait créer une association de lutte contre l’usage du « du coup ».

    • Bonjour
      Il y a aussi « le trop » à toutes les scauces , du genre , « c’est trop bon , c’est trop cool , c’est trop style , c’est trop bien , ect… » . Bin oui , faut fare d’jeun’s .
      Je regrète aussi les ballades à paris le dimanche dans les années 60/70 , les vieux métros en bois vert et rouge , les premiers métros sur pneus ,la Samaritaine , le Printemps , musées , tour Effel , Orly , ect…..
      Je suis née à Villeneuve saint George , j’y vécu j’usqu’à 6 ou 7 ans , ensuite à Ris orangis( une citée neuve en haut du plateau) ou venait de se construire le tout premier carrefour (ou le deuxieme ?) , un an à sainte genevieve des bois avant de partir pour la seine et marne . Le point communétait le calme et la tranquilité des ces villes . Quelques voyoux quand même , à Ris orangis , notre cave a été fracturé pour voler la mobylette qui s’y trouvait , quelques jour plus tard après une plainte , la police retrouve la mob (repeinte en rouge) . Le père du jeune voleur est venut cher mes parent avec sont fils pour que celui ci présente ses excuses et dédommage mes parents . Aujourd’hui c’est impensable , au pire menace de représailles pour cause de plainte . Pauvre France .
      alain

      • Oui, c’était une autre époque.
        Quelle perte.
        Histoire semblable à la votre, pour mon vélo. Quelqu’un avait pris mon vélo, et quelqu’un que je ne connaissais pas le rapporta chez moi.

        C’était vraiment un autre temps, notre langue était alors une belle langue. Sincèrement, quand j’entends le français d’aujourd’hui, je ne vois pas à quel titre elle se prévaudrait d’une quelconque supériorité sur d’autres langues, rien n’y est beau, particulièrement précis, le pouvoir d’expressivité de notre langue est semblable au pouvoir de trancher d’un couteau émoussé.

        Pour le « tro' », oui, ça avait démarré à la fin des années 90, début des années 2000. J’expliquais à mes neveux : on ne dit pas c’est trop bon, mais c’est très bon. Quand c’est trop, c’est signe que ce n’est pas bon, qu’il y en a en excès et c’est donc négatif. Le vrai mot est « très ».
        Le « neuf-trois » est un autre exemple d’analphabétisation, ou de paresse mentale (ou les deux). On remarquera que personne ne dit le neuf-un ou le neuf-deux ou le neuf-quatre. Evidemment, ce n’est qu’à Saint-Denis que l’on utilise ce vocable, comme par hasard, le département le plus islamisé et comprenant le plus grand nombre d’étrangers en France.

  7. « Poubelles ramassées tous les jours.  »

    Eh oui, c’était les années 60…

    Poubelles ramassées même « deux » fois par jour (idem pour le passage du facteur en vélo simple en plus)….. et pas avec les mêmes équipements où il fallait courir derrière la benne pour la rattraper avec des poubelles pas au top, sales voire débordantes qui obligeaient le personnel à ramasser les détritus,

    Actuellement, camions propres derrière lesquels ils n’ont même plus à courir qui attend immobile que la « machine » (pas les hommes) vide la poubelle. Et bien sûr, il faut que l’usager tourne bien sa poubelle pour faciliter sa prise en mains par le « professionnel » (il faut quelle formation au fait là pour juste mettre une poubelle devant le système qui va la vider ?).

    Et maintenant, le personnel qui ne touche même plus aux poubelles avec un ramassage tous les « 15 jours » (oui, ça change !) dans certaines villes, font grève près de chez moi, malgré les immondices qui s’amoncèlent dans les poubelles (à un passage toutes les semaines ou tous les 15 jours vous imaginez…) car ils trouvent leur matériel peu adapté et demandent « 200 euros » de plus par mois de salaire (qui n’en veut 200 euros de plus sur leur salaire ?) !

    Et ne parlons pas du prix pour le contribuable : 200 euros l’an pour une personne soit plus de 3 euros la poubelle…. à moitié vide les trois-quarts du temps.

    Et aussi, en 1960, pas de désherbant ou si peu et moins de machines et plus de travail « à la main » et pourtant, villes « propres » que l’on constate… ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.

  8. Un paradis !!!
    Sauf pour les couillons qu’on envoyait faire trois ans de service militaire en Algérie…
    On se demande encore pourquoi on les retrouve tous chez nous !!

  9. Sur 76 carnations clairement identifiables, il n’y a qu’un seul visage bronzé (ou en caché par une ombre sous le banne du restaurant)

  10. Oui les années 60 je confirme en plus nous étions dans une guerre en Algérie qui nous coutait pas mal d’argent puis vient les années 70 et l’arrivée des fakirs de la politique qui ont changé notre bonheur en Or pour eux . Toute la classe politique sans exception est coupable de la chute de notre pays , pas un ne s’est comportés en patriote ils ont fait leur blé et c’est tout se souciant peu du reste . Ensuite l’Europe et la mondialisation confiant le volant a Bruxelles les a dégagé de toutes responsabilités , maintenant nous sommes en route pour tous les standards bas du monde comme le souhaite Macron et ses amis de la haute finance ,notre industrie , la santé et l’école son de très bons exemples .

  11. c’était une France ou il y’avait encore des industries aussi , c’était une France avec des valeurs et une classe ouvrière forte avec ses faubourgs ,c’était une France qui n’était pas encore gentrifiée aussi !
    car croyez moi j’habite une ville en voie de gentrification et les parisiens hypsters , bobos pleins de cocaïne (le samedi matin ils font le marché bio et le soir ils s’enfilent de la cocke) qui font chier les gens qui veulent dormir le soir (car eux fils de bourgeois , se foutent du peuple ) qui viennent s’installer dans nos régions et qui font augmenter les prix du foncier et qui vous toisent avec leurs mépris , hé bien ils ne valent pas mieux que les immigrées , eux aussi ce sont des racailles .
    il y’a la racaille du bas , mais il y’a la racaille du haut aussi , il ne faut pas l’oublier celle là !
    qui a fait venir les immigrées en France ? pas les prolos en touts cas , mais bien la bourgeoisie !
    et ces cette même bourgeoisie qui prônent l’anti racisme et le vivre ensembles , mais qui eux ne le pratique pas !

  12. et……………… vous remarquerez l’ absence de ces chiens qui ont remplacé largement depuis les frustrations d’affection….

    ces chiens qui chient partout et dans les merdes onctueuses desquelles tu enfonces ta godasse….

    grâce à leurs « maitres » puants , dont beaucoup exposent plutôt le clébard à deux mille euros dernier cri….

    on est loin du bastardon de mémère qui accompagnait l’existence d’une vieille dame solitaire

    et on était entre faces de craie……..

    pas d’ agressions , pas de coups de couteau, pas de crachats par terre

  13. Notre-Dame était encore entière, les macdo et kebab n’existaient pas encore. on allait à la boulangerie acheter du pain et des sandwiches au jambon fabriqués artisanalement.
    dans ma rue, il y avait une librairie-papeterie, un magasin occupé par une petite vieille dame qui vendait des bonbons aux écoliers qui sortaient de l’école laïque où nous chantions des chansons de Noël enseignées par un prof de chant qui portait un petit chapeau (la kippa n’était alors pas de mise, à l’époque). On ôtait nos casquettes, bérets et autres couvre-chefs en entrant dans l’école. on se levait au garde-à vous pour saluer un visiteur adulte, que ce soit un prof ou le dirlo. on entrait en classe deux par deux en colonnes, avec interdiction de parler ou de se tenir à la main-courante de l’escalier…. c’était le temps du respect et de la politesse, même si quelques fois il pleuvait des gnons dans la cour de récré!

  14. c’était l’ époque ou sur les boites aux lettres on lisait Monsieur et Madame Untel

    celle ou on se mariait pour fonder une famille

    ma tante Louise, qui demeurait Gare de l’ est avait cinq mômes, tous propres et polis, bien éduqués avant tout

    celle ou on disait « pardon, excusez moi, je vous en prie, désolé, merci, avec en général un sourire …………passé mystérieux pour nos jeunes, complètement largués

    le métro avait une première classe -le wagon rouge- l’ église était pleine le Dimanche

    allez! stop! c’est bien un paradis envolé………..J’ EN AURAIS LES LARMES AUX YEUX

    comme tous les plus de 70 ans sur ce site

    et l’ autre grand con au multi-salaires qui veut en faire rentrer 50 millions de plus alors qu il suffirait de virer les 15 millions de trop qui ont salopé notre belle France

    cette grosse tache-Delevoye- finalement, il est viré et sans plus ?

    pas d’ enquete ? pas de mise en examen ? pas de garde a vue ? pas de suites ??

    comme les Cahuzac, Fillon, De Rugy, Lang …toutes ces eclaboussures de merdes qui pensent etre devenus intouchables dés qu ils accèdent a ces fonctions de qui vont en faire des voyous décorables ??

    Vivement un Homard a la Wagner pour leur jouer « le crépuscule des vieux » et les « tué » ces cochons

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