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Macron nous prend pour des cons. Ce n’est pas nouveau, certes. Mais ça va mieux en le disant.
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La peur de la défaite, cuisante, annoncée, pour LREM hante Macron jour et nuit. Et comme il n’a pas assez de brillants candidats LREM capables de mener une liste et de gagner – il a déjà pris même les plus niaiseux comme députés- il envoie ses ministres dans la bataille des municipales.
Or, on se souviendra que Macron en personne tenait à ce que les Ministres n’aient pas de mandats locaux afin et qu’ils se consacrent à leurs fonctions ministérielles et afin, aussi, d’écarter tout conflit d’intérêt :
En mai 2017, Emmanuel Macron a demandé à son tour aux ministres nouvellement nommés de démissionner de leurs fonctions exécutives locales. L’article 1er du projet de loi constitutionnelle inscrit définitivement cette règle à l’article 23 de la Constitution. Selon l’exposé des motifs du projet de loi, il s’agit « d’écarter les situations de conflits d’intérêts, les ministres devant, par ailleurs, se consacrer pleinement à leurs fonctions ».
Conformément au discours du président de la République devant le Parlement réuni en Congrès le 3 juillet 2017, le Premier ministre, Édouard Philippe, a présenté le 4 avril 2018 une réforme des institutions. Celle-ci est structurée en trois projets de lois, constitutionnelle, organique et ordinaire, intitulées « pour une démocratie plus représentative, responsable et efficace ». Ces textes posent l’interdiction pour les ministres d’exercer des responsabilités locales et la limitation du cumul des mandats dans le temps pour les parlementaires et les exécutifs locaux.
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Et voilà qu’un article du Parisien nous apprend que Macron fait feu de tout bois pour que ses Ministres mènent des listes électorales. Sans doute pense-t-il que le Français moyen, un peu neu-neu, vote plus facilement pour le Ministre parisien envoyé à la pêche aux voix que pour le concitoyen qui a les deux pieds dans la boue de nos campagnes…
Il est vrai que, tant qu’à faire, Macron ne propose à ses Ministres que des grandes villes, là où on ne marche pas dans la boue, là où il y a suffisamment de bobos et d’immigrés/descendants d’immigrés pour avoir une chance de récolter des voix et de gagner… et les villes et les voix à l’échelle de la France.
Macron a déjà perdu les Européennes, il n’a pas envie de voir le RN lui passer devant, à nouveau… Panique à bord du paquebot Elysée.
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Il n’empêche…
Si c’est pas du foutage de gueule, qu’est-ce que c’est ?
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Voici que le Havrais moyen est susceptible de voter, une fois de plus, pour les beaux yeux (;-)) d’Edouard Philippe, que Macron veut envoyer au feu, pour le voir passer la main dès le lendemain de l’élection…
Je sais bien que c’est une pratique courante, mais ce n’est pas pour autant qu’elle est et souhaitable et acceptable !
Mais la Macronie vaut bien une messe et une manipulation de plus !
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Ministres, engagez-vous! À cinq mois des municipales, voilà le son de cloche martelé par l’Elysée alors que LREM peine à trouver des têtes d’affiche pour mener ce combat ô combien risqué pour la majorité. La musique n’est pas nouvelle. Cela fait des mois qu’Emmanuel Macron lui-même ne cesse de bousculer les membres du gouvernement — pour la plupart issus de la société civile — afin qu’ils aillent se frotter à un scrutin local. « Il en a assez du procès en déconnexion qu’on nous fait tout le temps, s’agace un conseiller. Nos ministres sont très compétents, mais on voit aussi qu’il y a un problème de légitimité pour ceux qui n’ont jamais été candidat à quoi que ce soit. »
Fin septembre, en plein conseil des ministres, le chef de l’Etat n’a pas dit autre chose. Alors que le débat s’engageait autour de la table sur la difficulté d’être ministre et en même temps lancé dans une campagne municipale, Macron a coupé court à la discussion en assénant, froidement : « C’est bien que les ministres soient candidats… » Message reçu? Visiblement trop peu. Même si, à ce stade, certains ont déjà affiché des ambitions, bien qu’ils ne se dévoileront clairement qu’à partir de janvier.
C’est le cas de Gérald Darmanin à Tourcoing (Nord), Sébastien Lecornu à Vernon (Eure), Franck Riester à Coulommiers (Seine-et-Marne), Gabriel Attal à Vanves (Hauts-de-Seine) et bien sûr Édouard Philippe dont le nom revient avec insistance pour Le Havre (Seine-Maritime). « Il ne dira rien avant le début de l’année », commente sobrement Matignon. À savoir s’ils seront tête de liste ou pas, mystère… Et surtout comment ils géreront leurs deux agendas si tel est le cas.
« Ça manque d’audace et de courage »
« Mais c’est encore trop peu. Surtout, quand on voit que ceux qui y vont sont déjà des maires sortants. Ça manque d’audace et de courage chez les autres ! Comme s’ils avaient peur de quitter leur zone de confort ministériel », maugréé un proche du président qui n’ignore pas que la règle pour les battus sera probablement implacable : quitter le gouvernement. « Mais c’est avec les soldats qu’on fait la guerre. La vocation des ministres, c’est d’aller au combat électoral », scande, bravache, Darmanin, dimanche dernier sur BFMTV. Contrairement à Muriel Pénicaud qui, sur Europe 1-C News, s’est justifiée le même jour par une petite pirouette : « J’ai choisi de ne pas me présenter aux municipales. Ça a un gros avantage… je vais faire campagne partout en allant soutenir nos candidats. »
Résultat, voilà Macron obligé d’entrer lui-même dans l’arène en pressant certains ministres à sortir du bois. C’est le cas de Brune Poirson, l’actuelle secrétaire d’Etat à la Transition écologique, qu’il verrait bien à Avignon (Vaucluse), selon une indiscrétion du JDD. Actuellement en train de défendre sa loi sur l’économie circulaire, elle n’a pas souhaité confirmer ce lundi la rumeur. Sauf que le scénario a bel et bien les faveurs de l’Elysée : « c’est un visage connu, elle est de la région, elle a même été élue députée du Vaucluse en 2017 », rappelle-t-on. « Elle hésite encore. C’est un pari risqué », glisse néanmoins un ministre.
Contrairement à un autre qui semble avoir plus de fourmis dans les jambes : Didier Guillaume, à Biarritz. Originaire de la Drôme, le ministre de l’Agriculture envisagerait en effet de se présenter dans les Pyrénées-Atlantiques, où il a sa résidence principale. « Je dirais ce que je veux pour Biarritz très bientôt », a-t-il récemment confié à un de ses collègues. « Bref, on ne peut pas dire que ça se bouscule encore beaucoup au portillon. Mais on progresse… », ironise un conseiller de Macron.
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« Mais la Macronie vaut bien une messe et une manipulation de plus ! »
Ca vaut également un incendie « accidentel »…
On parle encore de ce caleçon?
Es ce que les cons de Français vont encore gober..!!!???: » BIEN SÛR »..!!
macron va se faire écrabouiller, réduire à néant, liquider, ratatiner, dissoudre , on n’entendra plus parler de lui après les municipales,
il lui restera à plier bagage et libérer l’Elysée
macron, ses complices politiques, les collabos, les merdias à sa botte et autres soumis à La Racaille En Marche, le jugement des français se résumera en deux mots : « au poteau ». Et ils l’auront bien cherché. Il existe désormais des millions de personnes qui joueraient volontiers le rôle salvateur de bourreau.
L’araignée mac cron étend sa toile « d’à régner ».
Souhaitons que les citoyens patriotes éventent la manoeuvre !
Il faut dire que la liste d’attente est longue pour un poste de Sinistre…
Espérons que certains non veautants quittent leurs oeillères., et voient les grands sabots sous la cheminée, car cet inepte va encore tenter de nous…..
Qu’il prenne une bonne drouate aux elections prochaines et qu’il degage a la suivante ce megalo .