Plus les assassins tuent, plus nos gribouilles ouvrent plus largement les portes aux troupes d’occupation

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Mea culpa ! J’ai été coupable d’une des pires fautes en période de guerre : la naïveté.

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Pendant longtemps, j’ai constaté avec tristesse le refus de voir de nos dirigeants face à l’offensive de l’islam sur la France par l’immigration massive et la taqiyya, Cette invasion si bien dissimulée derrière le masque du mot « religion » qui lui donne toutes ses aises au pays « de la laïcité et des droits de l’homme ». Je gardais cependant un espoir : que la monstruosité des attentats commis par les musulmans les plus soucieux d’obéir au Coran et d’imiter le « Beau Modèle » provoquerait un sursaut.

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Il m’a fallu constater que les massacres au siège de Charlie Hebdo ou au Bataclan n’ont été suivis que de discours à l’eau de mélisse et de la combustion de quelques bougies. Pire : la peur que suscitent les « islamistes » amène nos bien-pensants à toujours plus de complaisance envers les « modérés », dans lesquels ils veulent voir un rempart à la violence. C’est-à-dire que, plus les assassins tuent, plus nos gribouilles recherchent des « accommodements raisonnables » avec leurs complices, ouvrent plus largement les portes aux troupes d’occupation, hâtent la fin de notre civilisation. Désormais, grâce à nos islamocollabos, les tueurs du djihad armé et les taupes de la taqiyya œuvrent en parfaite synergie.

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C’est dire que je vis dans un état de colère permanent sur fond de désespoir. Je me suis donc précipité sur le livre publié par Résistance républicaine, Objectif La Mecque quand j’ai appris qu’il traitait d’une possible issue au piège infernal dans lequel nous nous sommes enfermés. Qu’avait donc inventé l’auteur, Raoul Girodet, qui pût me réchauffer le cœur ?

La lecture m’a apporté un bonheur constant.

Le personnage principal, le général Jacques Laveur d’Usseygnoie, dit Raton, est de ces militaires bruts de décoffrage que j’aime bien : courageux, intransigeant sur l’honneur, dénué d’ambition personnelle, parlant vrai,,. Rescapé de Dien-Bien-Fu et des camps du Vietminh, vétéran de toutes les guerres de nos républiques, il perd sa femme dans un attentat particulièrement barbare à l’Opéra de Paris. Après une nuit blanche, il est résolu : il va lancer la contre-attaque au plus tôt. Coûte que coûte, il contraindra notre peuple à se réveiller et nos gouvernants à agir. Comment ? Il faut rendre tous les musulmans enragés au point de provoquer de leur part une vague de violence contre laquelle les « croisés », par simple instinct de survie, ne pourront que mobiliser toutes leurs forces contre le totalitarisme. Je ne veux pas dévoiler ici ce qu’il imagine pour enclencher cette montée aux extrêmes. Les curieux trouveront mention d’un précédent sur Internet : une action commise en 930 par une secte chiite dissidente, les Qarmates.

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Pour réaliser son plan, le général a besoin d’une équipe. Il la constitue avec des êtres de la même trempe que lui. Et c’est l’occasion pour l’auteur de nous présenter des hommes et des femmes dessinés au burin, avec une force et une netteté de trait qui m’ont emballé.

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Si tout l’islam s’enflamme, la France seule ne fera pas le poids. Il lui faudra le concours d’une grande nation. Le général trouve et convainc cet allié. (Les lecteurs de ce site devineront aisément quel pays pourrait être notre allié le plus sûr dans une telle conjecture.)

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Le projet suppose la résolution de problèmes techniques énormes. Là, l’auteur m’a littéralement soufflé par son talent, fait d’imagination, de connaissances, d’art du récit. Au fil des pages, il aligne des buts impossibles à atteindre et il donne la solution pour chacun d’eux. Non pas avec quelques ellipses et indications vagues, mais avec des détails techniques d’une grande précision : marques de différentes armes, composition d’un gaz asphyxiant, caractéristiques d’un tunnelier en fonction de la composition du terrain à creuser… C’est une sorte de série de « missions impossibles », qui est passionnante.

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Je ne dirai rien du coup de théâtre final, lui aussi surprenant.

 

Lisez et faites lire Objectif La Mecque

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Lisez ce livre. Vous y prendrez un plaisir extrême. Et faites-le lire à tous les encolérés que vous connaissez. Ils vous en sauront gré.               

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Pensez à vos cadeaux de Noël… Commandez dès maintenant, vous serez livré dans quelques jours.

Vous pouvez commander par courrier à Résistance républicaine, 101 avenue du Général Leclerc, 75685 Paris cedex 14 avec un chèque à l’ordre de Résistance républicaine.

Prix livraison comprise, pour l’étranger nous consulter.

1 exemplaire, 18 euros

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Objectif La Mecque

 

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7 Commentaires

  1. j’ai reçu le mien et ne l’ai pas encore commencé,

    s’il est bien, j’envisagerai des cadeaux de Noel, comme l’an dernier avec le livre de Pierre Cassen, qui n’a pas fait des heureux, mais tant pis !!

  2. Bonjour,
    ou se trouve le panier pour commander un livre, et payer par
    cb sans passer par paypal
    merci

    • BOnsoir quand vous avez ajouté dans le panier, et cliqué « acheter » on vous propose «  »paypal » ou « payer sans ouvrir de compte paypal »

  3. Oui, le livre est très bien écrit, sa trame anticipative fort crédible …On se trouve vraiment plongé dans l’action …
    J’en ai acheté cinq à offrir aussi bien à des amateurs d’aventures des temps modernes, qu’à ceux qui réfutent nos vues d’esprit de bon sens …

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