.
Le théâtre impérial de Fontainebleau s’appelle depuis peu le « théâtre Cheikh Khalifa bin Zayed al Nahyan ». Ne blâmez pas les Émirats Arabes Unis, ils ont payé cette restauration.
Blâmez notre gouvernement, qui a permis cela et continue à brader notre patrimoine. (Christopher Lannes).
.
Christine Tasin, en 2014, avait déjà dénoncé ce qui était alors à l’état de projet -indigne-, dû à Hollande et Filipetti et parlait de « génocide culturel ».
Non seulement ils débaptisent et rebaptisent notre patrimoine, faisant disparaître ainsi des pans de notre patrimoine et de notre histoire, devenus du jour ou lendemain musulmans, par la grâce du quinquennat de Hollande et de celle d’une de ses nombreuses âmes damnées, Filipetti.
Non seulement ils vont chercher dans les Emirats arabes unis l’argent (que nous aurions si nous ne le dilapidions pas pour accueillir des immigrés, clandestins notamment) pour entretenir et restaurer notre patrimoine (quand ils ne le vendent pas au Qatar).
Non seulement ils donnent le nom d’un émir à un de nos théâtres impériaux, mais, en plus, ils piétinent allègrement notre habitude : en France, donner un nom c’est donner un sens ; or, le Cheikh Khalifa bin Zayed ne peut rien signifier pour nous, il n’a de sens que pour les nouvelles populations qui arrivent sur notre sol… Hollande-Filipetti anticipent et accélèrent ainsi notre déclin, notre disparition.
C’est un génocide culturel qui est en train de se faire, sous nos yeux.
.
On rappellera, circonstance aggravante, que Filipetti n’avait aucun état d’âme pour brocarder la présence du nom de l’entrepreneur lorrain Wendel au Centre Pompidou Metz: «Les musées se bradent à des entrepreneurs. Quand je vois le nom de Wendel (…) sur les murs du Centre Pompidou à Metz, cela me fait mal.»
Bref, résumons, si un entrepreneur lorrain verse de l’argent à un musée et qu’une inscription sur les murs du musée le rappelle, ça pue le fric, ça pue les patrons, ça pue la France. A jeter.
Si un émir musulman verse de l’argent pour l’entretien de notre patrimoine, c’est une générosité dont nous devons le remercier en donnant le nom du bâtiment au mécène. L’argent du pétrole, ça sent la rose, l’argent de l’islam, ça n’est que nectar et ambroisie pour nos gouvernants qui se prennent pour de nouveaux Dieux décidés à créer un homme nouveau.
On a pendu des aristocrates à la lanterne pour moins que ça…
.
Et voici donc que la 3ème étape des travaux est terminée et que l’un de nos ministres voyous a inauguré feu le théâtre Napoléon III.
LE CHANTIER DE RESTAURATION
Une phase d’étude préalable a permis de définir les différentes étapes du chantier de restauration qui se décompose en trois tranches :
– première tranche : restauration de la salle et de certains espaces périphériques (vestibule et salon impériaux, circulations et escaliers) ;
– deuxième tranche : achèvement de la restauration des espaces périphériques, notamment ceux du deuxième et du troisième étages ;
– troisième tranche : restauration de la scène et des équipements scéniques.
La première tranche des travaux a débuté au printemps 2013 et la maîtrise d’ouvrage en a été déléguée à l’Opérateur du patrimoine et des projets immobiliers de la Culture (OPPIC). En parallèle, un atelier de restauration du mobilier du théâtre s’est installé au cœur du château dans l’aile de la Belle Cheminée. Elle s’est achevée en avril 2014 et le théâtre a été ouvert à la visite en mai 2014 suite à l’inauguration en présence de la ministre de la Culture et de la Communication, Aurélie Filippetti, et de Cheikh Sultan bin Tannoun al Nahyan.
La deuxième et la troisième tranches des travaux ont débuté à l’été 2017 et se sont achevées au printemps 2019.
LA RENAISSANCE DU THÉÂTRE
Inauguré le 18 juin 2019 par Franck Riester, ministre de la Culture, et Son Altesse Cheikh Abdullah bin Zayed Al Nahyan, ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération internationale des Émirats arabes unis, le théâtre est à présent ouvert au public qui peut le découvrir grâce à des visites guidées et théâtralisées. Exceptionnellement, le théâtre pourra être à nouveau le cadre de spectacles tout en prenant les dispositions nécessaires pour préserver ce trésor intact du Second Empire.
Qu’est-ce qu’on est ringards, nous, les lépreux français, trouvant normal que nos théâtres, rues, places, portent le nom de nos grands hommes, politiques, scientifiques, inventeurs, écrivains, peintres… quand d’autres n’ont de cesse de leur donner le nom de terroristes palestiniens ou de gamines autistes quand il ne s’agit pas de leur donner le nom de musulmans finançant le terroriste qui tue les nôtres…
Mais ces gouvernants islamo-collabos oublient quelque chose d’essentiel, c’est la mémoire des peuples. Pas un Français ne parlera du théâtre cheikh machin. Dans l’usage, on continuera, pour les siècles des siècles, à parler du théâtre Napoléon III, comme on continue à parler de la Place de l’Étoile, personne n’utilisant le nom qui lui a été donné en 1970 « Place Charles de Gaulle ». Et pourtant, là on avait de bonnes raisons d’accepter le nom et de l’utiliser.
La résistance, c’est aussi cela. Nous sommes le peuple. Nous sommes la France.
Christine Tasin
Dans le cadre d’un accord passé, entre le gouvernement français et celui de l’Emirat d’Abou Dabi, parallèle à celui créant le musée universel du Louvre Abou Dabi, une enveloppe de 10 millions d’euros a été allouée par Son Altesse le Cheikh Khalifa bin Zayed al Nahyan au financement de la restauration du Théâtre impérial du château de Fontainebleau. En reconnaissance de cette action, le ministre de la Culture et de la Communication, Renaud Donnedieu de Vabres, a décidé le 27 avril 2007, en présence de l’autorité de la Culture et du Patrimoine d’Abou Dabi, Son Altesse Cheikh Sultan bin Tannoun al Nahyan, de donner au théâtre Impérial le nom de son mécène.
LE THÉÂTRE IMPÉRIAL DE FONTAINEBLEAU : DERNIER TÉMOIN D’UN THÉÂTRE DE COUR
Le théâtre fut aménagé à la demande de Napoléon III, entre 1853 et 1856, par l’architecte Hector Lefuel afin de remplacer l’ancienne Comédie, construite au XVIIIème siècle dans l’aile de la Belle cheminée et qui ne donnait plus satisfaction. Le choix se porta naturellement sur une partie inachevée du château, la moitié occidentale de « l’aile neuve des Princes », aujourd’hui dénommée aile Louis XV. Contraint par l’implantation des façades et le volume des combles, Lefuel réussit néanmoins, avec beaucoup de brio et d’ingéniosité, à y installer une salle moderne de 400 places et tous les services attenants : vestibules, dégagements, escaliers, salons, scène et autres locaux dévolus aux acteurs, musiciens et machinistes. Tirant le meilleur parti de la configuration du bâtiment, l’architecte attitré de Napoléon III construisit une salle très étirée, en forme d’ellipse. Elle comporte quatre niveaux distincts, répondant à la hiérarchie sociale imposée à cette époque : le niveau du parterre, la première corbeille incluant la loge impériale, la seconde corbeille et, enfin, des loges grillées au dernier niveau. La conjugaison des soieries capitonnées, des moquettes fleuries et des ornements peints ou en carton-pierre doré confère à cet ensemble une atmosphère chatoyante et moelleuse. Ce théâtre est directement inspiré du petit théâtre de la reine Marie-Antoinette à Versailles, sans doute en vue de satisfaire au goût de l’impératrice Eugénie qui lui vouait une grande admiration. Inauguré en mai 1857 lors de la visite du grand-duc Constantin de Russie, frère du tsar Alexandre II, le théâtre ne fut utilisé que pour une quinzaine de représentations, ce qui explique l’état de conservation exceptionnel de la salle. L’intérêt du théâtre réside également dans ses dispositions scéniques, intactes, qui n’eurent à souffrir d’aucune modification ultérieure pour les moderniser. Bon nombre des équipements qui y sont conservés pourraient s’avérer encore plus anciens et avoir été récupérés de l’ancienne salle de Comédie, détruite par le feu en 1856 mais dont les décors et ouvrages scéniques avaient été déjà démontés. Longtemps fermé au public et tombé en désuétude, isolé du reste du château, le Théâtre impérial va pouvoir, grâce à cette importante campagne de restauration, sortir enfin de l’oubli.
https://www.chateaudefontainebleau.fr/Restauration-du-theatre-Imperial,773
1,290 total views, 3 views today
Comme je l’ ai déjà dit , macron n’est pas le seul responsable de notre débâcle , il n’es que le dernier maillon dune chaînes de traîtres et dégénérés dirigeants qui ont vendu et spolier notre patrimoine, en le donnant a nos ennemis’ car a terme notre pays deviendra la république islamique français.
vous voulez savoir où va votre argent? par exemple ici: http://www.rfi.fr/afrique/20191112-france-rdc-65-millions-euros-aides?fbclid=IwAR32Rg09cz1fiAFYZKpXsAtig3UFRkf0BjwUYVCJQKdw99QZA0O9CmcsnvA
La colonisation, c’est la captation des richesses de l’Afrique par les Européens. La décolonisation, c’est l’inverse 🙂
Sauf que dans la colonisation l’Afrique a profité aussi de nos richesses.
C’est encore un exemple du même mécanisme : les citoyens payent leurs impôts pour que le pays puisse fonctionner. Le gouvernement emploie cet argent pour maintenir l’armée à faire la police à l’étranger + donner des subventions au Tiers Monde + construire des métros en Afrique + des contributions à des organismes internationaux + l’UE + etc. etc. + entretenir les immigrés + subventionner des « artistes », des festivals, des radio-télés , etc. etc. (quelqu’un de mieux informé devrait en faire une liste) Quand l’état a fini d’employer l’argent du citoyen dans ces dépenses « fantaisistes » il ne reste plus rien pour les choses sérieuses : l’école, l’hôpital, les pensions, les routes, le patrimoine etc… alors ou bien on laisse tout s’écrouler, ou bien on mendie chez les riches et on se retrouve avec les pays européens vendus aux arabes… mais c’est pareil partout : significatif = dans l’hôtellerie, qui sont les clients bichonnés ? ben ceux qui ont du fric : les arabes, les russes et les chinois… c’est encore une fois « les autres avant les nôtres » Quand le peuple votera pour des patriotes on pourra restaurer notre patrimoine avant de construire des métros à l’étranger.
Il y en a qui ont dû toucher de gros « cheiks » bien mis à l’abri dans les paradis fiscaux pour avoir permis la grande braderie du patrimoine de France.
C’est de ce côté là qu’il faudrait enquêter, c’est certainement plus compliqué là!
et l’Elysée « »Zobi fi zoukouk »…..
chaque fois, que ce genre de situation est relaté, impossible de m’ empêcher de penser qu il y a moins un petit siècle, ces détritus dits Abous Dhabi ou Qatar, ou Bahrein, se faisaient la guerre pour un chèvre volée, pour une beauté pouilleuse violée, pour une chamelle enlevée…………..
Et lire « Son Altesse Nique ton Père et Encule ta soeur », éclat de rire homerique, devant ces Bassesses Merdiques Bedouines
de la même bassesse qu un Giscard devenu D’ Estaing en raquant
le même genre de loufiats
Peut-être alors que « dans l’usage » on ne parlera plus du tout du « Louvre » d’Abou Dhabi , lorsqu’il aura explosé??
Putain, il va falloir faire le ménage et il va y avoir du boulotbientôt ça va péter et je le souhaiterais presque. J’en connais un et même plusieurs, de l’élysée notament qui vont devoir se barrer chez les serpillères sur la tête pour sauver leur cul.
Christian jour, je fais confiance à certains pour veiller au grain, avoir l’œil , afin de ne pas les laisser filer , ces traitres, il faut qu’ils payent pour tous les désastres qu’ils ont causé, qu’ils causent encore, et causeront encore longtemps, si par malheur , il n’étaient pas chassés de là où ils sont, accrochés, agrippés comme les moules à un rocher.
« Dans l’usage, on continuera, pour les siècles des siècles, à parler du théâtre Napoléon III… »
C’est évident !
Petite erreur à corriger, la décision de cette cession a été prise sous Sarkozy !
Tout comme dans un autre registre, la théorie du genre a été introduite dans les programmes scolaires en septembre 2011 par Luc Chatel ( je comprends pourquoi sa femme a fini par se suicider, vivre avec une telle raclure )!
Tout cela pour dire que d’un côté ou de l’autre, ce sont les mêmes qui poursuivent la destruction programmée depuis belle lurette de la France et ce n’est qu’une infime partie visible !
seul les noms illustres survivent, les leurs seront vite oubliés ou méprisés!
les noms ca va et ca vient, un nom n’est pas immortel et souvent il sombre dans l’oublie, que se souviendra t’on dans un ou deux siècles de toutes les raclures qui auront bradés notre patrimoine et notre culture a votre avis, ces gens ne sont qu’une virgule dans le grand livre de l’histoire et tout leur fric et toutes leurs relations n’y changeront rien, l’oublie et l’anonymat les guettes irrémédiablement!
« … ces gens ne sont qu’une virgule dans le grand livre de l’histoire… » J’aurais plutôt tendance à penser : » Une virgule sur un mur de chiottes publiques. » Mais je ne suis pas poète…