Radicalisation des policiers ? Attention, Castaner présente des signes de ridiculisation !

Agent Nunez : “M’sieur, ms’ieur, je voudrais dénoncer la ridiculisation de mon collègue !”

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Effectivement, le Canard Enchaîné a raison de dénoncer cet agent de l’État en voie de ridiculisation car Castaner – c’est lui- en présente tous les signes précurseurs : la barbe hirsute, l’usage immodéré de la taqiya et des menaces sur ses propres collègues.

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En effet, auditionné par la commission des lois du Sénat après l’attaque à la préfecture de police, Christophe Castaner semblait se défausser sur les policiers qui auraient fauté en ne dénonçant pas l’agent radicalisé Harpon. En gros, “c’est pas moi, c’est eux, c’est de leur faute.”

Sauf que Castaner fait partie d’un gouvernement qui, par posture antiraciste et idéologie gauchiste, encourage l’embauche de la diversité surtout si elle est “racisée” et musulmane. Et qui ne trouve rien de mieux que de la mettre aux postes les plus sensibles (sécurité, renseignement…). Quiconque s’y oppose se voit traiter de raciste, de fasciste, de populiste ou d’islamophobe.

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Conséquences de cette discrimination positive : en signant la “charte pour la diversité” et ayant obtenu le “label diversité”, le ministère de l’Intérieur se retrouve avec des fonctionnaires de police à l’image de certains aliens de banlieue.

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Et malheureusement, toutes les institutions sont touchées : armée, gendarmerie, douanes…

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L’État demande donc à ses agents de dénoncer ceux qu’il a ouvertement fait entrer au sein des institutions les plus sensibles !

C’est alors la double peine pour les policiers : se faire casser par la hiérarchie en cas de non-dénonciation d’un musulman radicalisé (hou, quelle lâcheté !) ou se faire casser par la hierarchie en cas de dénonciation d’un musulman “normal” (Hou, quelle islamophobie !)

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Problème : à barbe et à nourriture halal identiques, à heures de prière égales, avec les mêmes épouses voilées, comment faire la différence entre un musulman “équilibré” et un autre “en voie de radicalisation” ? Y-aurait-il un mode d’emploi ? L’état dispensera-t-il des formations ?

En attendant, selon Le Parisien qui en fait des tonnes sur le sujet, la “psychose” et la “paranoïa” règnent dans les commissariats.

Morale de l’histoire : il est plus facile d’éborgner un Gilet Jaune que de dénoncer un collègue radicalisé.

* Pour aider nos amis policiers confrontés à l’hydre islamiste, nous proposons à la fin de l’article un modèle de lettre de dénonciation pour une meilleure “société de vigilance.”

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Deux policiers soupçonnés de radicalisation désarmés après la tuerie à la préfecture

En poste en région parisienne, ils sont soupçonnés de radicalisation. La psychose gagne les rangs policiers.

C’est l’une des répliques de l’affaire Mickaël Harpon. Après le traumatisme provoqué par l’absence de détection du tueur de la préfecture de police de Paris (PP), une certaine psychose gagne les rangs des policiers : et si d’autres collègues en poste cachaient leur radicalisation pour passer à l’acte le moment propice? Une interrogation qui peut vite tourner à la paranoïa.

Selon nos informations, les signalements se multiplient depuis l’attentat et deux policiers de la région parisienne ont d’ores et déjà été « désarmés ».

L’un d’eux a été suspendu à titre provisoire.

C’est que la préfecture de police, frappée au sein de son sanctuaire de la direction du renseignement, a haussé le ton. Dans une note du 7 octobre, Didier Lallement, le préfet de police, appelle les directeurs de service « à signaler immédiatement à [leur] hiérarchie les signes d’une possible radicalisation d’un agent ».

Et de citer comme indices : « les changements vestimentaires et alimentaires, le refus de serrer la main du personnel féminin, un repli sur soi, le rejet de l’autorité »…

« Cette note a mis le feu aux poudres, témoigne un policier parisien. À la DOPC, une des directions de la PP, des policiers ont voulu signaler un gardien de la paix car il ne faisait plus la bise aux filles alors qu’il n’est pas même pas musulman. C’était plus de la misogynie. »

Suspendu « par principe de précaution »

Deux cas ont déjà fait l’objet d’un processus disciplinaire. De sources concordantes, il s’agit d’abord d’un capitaine de police affecté à la brigade d’exécution des décisions de justice, un service de la PJ parisienne chargée de traquer les fugitifs. Âgé de 39 ans, ce chef de groupe a été prié de rendre son arme de service ce jeudi matin et a été suspendu « par principe de précaution ». Le comportement de cet officier avait été signalé dès 2011 après qu’il a contracté un mariage avec une avocate de confession musulmane.

Selon ses collègues, il s’ostracise, se laisse pousser la barbe, refuse tout contact avec le personnel féminin et s’épanche de plus en plus sur la religion. Il s’adonne aussi à la prière au bureau.

Une enquête administrative et de sécurité est alors diligentée par l’Inspection générale de la police nationale et la Direction du renseignement de la PP. Celle-ci conclut que l’agent est certes religieux, mais pas radicalisé.

En 2018, le policier est transféré sur un poste moins opérationnel mais néanmoins sensible : il a en charge le Fijait, le fichier qui recense les auteurs d’infractions terroristes.

Plus aucune alerte n’est émise. Au contraire, le fonctionnaire, séparé depuis de son épouse, s’est rasé la barbe et ne semble plus aussi isolé. Mais à la lumière de la tuerie de la PP, ses collègues s’inquiètent d’une possible « taqiya », une technique de dissimulation prônée par les islamistes, et le signalent. Les autorités préfèrent jouer la prudence. Sa suspension laisse dubitative certains policiers, d’autant que ses méthodes de management jugées trop rudes avaient été critiquées en interne. C’est sur son cas qu’a été interrogé Christophe Castaner, ce jeudi matin, par la commission des lois du Sénat.

Le second policier désarmé cette semaine est un gardien de la paix en poste au commissariat de Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine). Il n’a pas été suspendu à ce stade.

Âgé de 34 ans, ce converti avait déjà été révoqué de la police en septembre 2018, une sanction contestée et annulée en début d’année par le tribunal administratif. Son comportement avait été jugé prosélyte et sectaire : il incitait les jeunes adjoints de sécurité à faire la prière et refusait les contacts avec les femmes. Il avait par ailleurs croisé l’auteur de l’attaque contre des militaires de l’opération Sentinelle à Levallois-Perret en 2017 et avait prêté son arme et son badge police à un ami du terroriste à l’occasion d’une photo. Ce qui lui a valu d’être entendu comme témoin à la sous-direction antiterroriste…

« Personne n’a été formé »

… « Le problème, ajoute David Le Bars, secrétaire général des commissaires de la police nationale, c’est que personne n’a été formé aux signes de la radicalisation et on manque de connaissance sur l’islam…

http://www.leparisien.fr/faits-divers/deux-policiers-desarmes-apres-la-tuerie-a-la-prefecture-10-10-2019-8170620.php

Modèle de lettre de dénonciation des agents radicalisés

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10 Commentaires

  1. votre gentillesse me touche a un point rarement atteint

    merci encore a vous tous mes amis patriotes amoureux de notre chere France insultée par une population qui n’ a rien a faire chez nous

  2. Zut alors, je croyais que Machinchose avait pris des vacances, pas qu’il était subclaquant!
    Je fais de l’humour noir, je sais, mais je flippe depuis toujours de perdre les amis même inconnus, de mon âge; je ne parle même pas de ceux qui sont octogénaires et ont atteint les quatre – vingt cinq ans, et dont le destin me réveille la nuit, parce que j’en connais un paquet!
    Bon retour @Machinchose. Vous avez encore de longues années avec nous!

  3. @Machinchose,
    bon retour parmi nous,
    je me doutais de qq chose comme ça, j’espère que te voilà complètement rétabli,

  4. Pour ce qui est de la “ridiculisation” Castaner fait fort avec le lièvre soi-disant soulevé depuis hier sur Dupont de Ligonnes l’écossais retrouvé!!!! Voilà donc que les empreintes digitales ne correspondent pas à l’ADN …Zut alors, qu’en sera-t-il après les manips génétiques sur lesquelles vont plancher les députés ? Là c’est un coup de Jarnac pour le pockeriste.. il y a forcément quelqu’un qui convoite sa peau (lisse) !!

  5. Je n’en reviens de cette charte de la Diversité, nous le devons à Sarkosy, c’est grave.

    C’est lui qui a parlé de premier aussi de l’Islam de France” qu’il a voulu instituer. J’en avais parlé à une politique de son parti et lui avais dit dès le départ que c’était une grave erreur car cela inscrivait cette religion qui n’a rien à voir avec nos racines, dans la symbolique de notre pays et donc lui donnait une place “particulière” présageant des suites pas très “catholiques” (sens figuré)….

    Je ne me trompais pas. Les politiques, plus pressés d’être dans le “faire” que dans “l’être”, réfléchissent trop peu au sens que cela véhicule et les problèmes déjà pourtant inscrits pour la suite dès le départ si l’on voulait y réfléchir un peu, arrivent inévitablement.

    Après, dur à gérer…

    C’est terrible, j’imagine l’ambiance au niveau de la Police… Cela va arriver aussi à beaucoup de Français et c’est humain.

    Maintenant, je me dis que ce sera difficile de repérer, ils donnent les signes qui seraient d’alerte aussi (quoique faire la bise à tout le monde ce n’est pas obligé surtout sur un lieu de travail)… donc dans leur taqya ils vont pouvoir s’en inspirer, ce n’est pas gagné.

    C’est impossible à mon sens de faire une sélection sur des bases comportementales donc.

    Je suggère autre chose : avant dans la police ou la gendarmerie on ne pouvait être recruté si son épouse ou autre proche tenait un lieu considéré comme pas très moral comme un bar, etc…. donc il y a des règles possibles à mettre en place (retrouvons nos traditions).

    Dans ce sens, vu le risque que posent les rites musulmans (déjà là.. car, en plus des revendications du voile faire la prière sur le lieu de travail est à proscrire en France) et leur lien possible avec des comportements extrêmes (sens des écritures professées et ce que l’on vit d’horreur en son nom), je préconise que dans l’état actuel des choses, aucun adepte de cette religion ne devrait pouvoir accéder à ces postes (au moins), y compris en politique.

    C’est le minimum du “principe de précaution”.

    Je ne sais pas comment cela va évoluer là, mais en tous les cas, sentir les autorités de police ou autre sur les nerfs et dans une paranoïa justifiée par les évènements on comprend, est aussi inquiétant pour la prise en charge des problèmes liés à leur fonction.

    Le point positif : je pense que tout cela fait évoluer les choses dans le bon sens. Lentement, mais sûrement…..

  6. … « Le problème, ajoute David Le Bars, secrétaire général des commissaires de la police nationale, c’est que personne n’a été formé aux signes de la radicalisation et ……………….on manque de connaissance sur l’islam……….

    moralité: si la maison poulaga avait promu RR, les enseignements de Machinchose auraient profité a la boutique, et quasiment pour rien!

    heureux de vous retrouver aprés un problème de santé sérieux et
    coupé de mon PC durant prés d’ un mois

    • Ha, enfin !
      Certains, dont moi-même, commençaient à s’inquiéter de votre absence !
      J’espère que vous allez mieux pour nous faire profiter à nouveau de vos commentaires pertinents et instruits.

    • Bonjour avec plaisir Machinchose ! Vos commentaires me manquaient et je me demandais si vous alliez revenir nous les faire partager.

      Bien à vous.

    • Ouf ! Je m’inquiétais en effet d’un éventuel problème de santé, champagne, Machinchose est de retour chez nous, chez lui !

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