Pas loin de la tombe de Chirac, des Femen-zombies manifestent contre les « féminicides »

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Une semaine après l’enterrement de Jacques Chirac au cimetière du Montparnasse, des « Femen » viennent défiler au même endroit en tenues de Zombies dépoitraillées pour dénoncer les féminicides du terrible patriarcat occidental.

Les victimes d’un nouveau génocide se nomment Nelly, Salomé, Michelle, Béatrice ou Céline…

Tiens, pour une fois, pas de diversité dans les prénoms… Fatima, Yasmine, Amina, Fatoumata n’existent pas… Bizarre, non ?

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« Pas une de plus » : contre les féminicides, les Femen rassemblées au cimetière Montparnasse

Les activistes, qui étaient une centaine, ont voulu représenter les 114 femmes victimes de féminicides conjugaux depuis janvier.

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La peau et les cheveux grisés par de l’argile, une centaine de Femen ont traversé en silence samedi 5 octobre le cimetière du Montparnasse, à Paris, pour dénoncer les féminicides et réclamer au gouvernement « une mobilisation plus forte ».

Chacune portait une pancarte noire en forme de stèle, où figuraient les noms de femmes tuées par leur conjoint ou ex-compagnon cette année: « Taïna, 20 ans, 3e féminicide », « Michèle, 72 ans, 10e féminicide », « Fabienne, 51 ans, 36e féminicide », « Marie-Alice, 53 ans, 51e féminicide », « Audrey, 37 ans, 66e féminicide », « Denise, 58 ans, 92e féminicide », « Clothilde, 35 ans, 96e féminicide », « Salomé, 21 ans, 100e féminicide ».

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« Pas une de plus », « Plus écoutées mortes que vivantes », avaient crié les manifestantes dans les rues voisines, avant d’entrer calmement dans le cimetière. Défilant sous la pluie, les Femen avaient inscrit en lettres blanches sur leur buste dénudé « Je ne voulais pas mourir », « Je l’ai quitté, il m’a tuée » ou « On me prendra au sérieux quand je serai morte ».

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En représentant les 114 femmes victimes de féminicides recensées par un collectif depuis le début de l’année, les Femen ont voulu interpeller le « pouvoir en place », a expliqué l’une d’entre elles dans une déclaration :

« Nous rappelons que la plupart [de ces femmes] avant d’être assassinées, avaient été victimes de violences intrafamiliales et avaient alerté la société civile, la police, la justice, des menaces qui pesaient sur elles Un mois après le début du Grenelle » contre les violences conjugales, lancé le 3 septembre, « la mobilisation ne doit pas faiblir. Les féminicides ne sont pas une fatalité, mais bien un fléau que l’on peut endiguer », a-t-elle martelé…

https://www.nouvelobs.com/societe/20191006.OBS19386/pas-une-de-plus-contre-les-feminicides-les-femen-rassemblees-au-cimetiere-montparnasse.html

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5 Commentaires

  1. Ces femmes ont un grave problème qu’elles exposent et projettent sur les « vilains hommes » dans le manque de respect en plus, si c’est comme cela qu’elles espèrent être considérées…

    Elles exposent vulgairement un « symbole » féminin pour revendiquer une féminité (sens large du terme) qui, à généraliser leurs revendications à l’image masculine, visiblement leur pose problème.

    Je suis d’accord avec les commentaires ci-dessus, ce genre d’attitude est même plus bas que les pâquerettes.

  2. Je ne vois pas le rapport de la violence conjugale avec les seins nus. C’est comme les féministes québécoises qui manifestaient la nuit tombée habillées en noir, parfaitement invisibles, pour exiger la possibilité de sortir la nuit sans danger.

    Dans les deux cas il y a un petit problème que les super neurones de ces « féministes » ne cernent pas. Se balader en tant que femmes le torse nu rappelle leur détresse à tous, les hommes en particulier, en manque de sexualité pour toutes sortes de raisons et met en relief l’absurdité de l’argument de la nudité enlaidie par des gribouillages sur la peau et l’hostilité sur leurs visages pour contrer la violence conjugale. Et clairement, de tous les arguments disponibles elles choisissent avant tout la nudité car elles crèvent de besoin d’attention sur leur personne sexuée femme jeune et leur choix est l’agression visuelle en montrant leurs seins bien tristement seuls et sans amour plutôt qu’une bonne réflexion sur elles-mêmes pour arriver à l’attention affective harmonieuse qu’en réalité elles réclament inconsciemment. Et pour la nuit, c’est mieux d’être visible pour manifester et les rues sont dangereuses la nuit pour tout le monde car l’obscurité et l’absence de monde sont propices à la dissimulation et l’attaque. Donc manifester contre les lois de la nature c’est un peu vain et égocentrique à œillères par rapport à la réalité pour tout le monde. Elles pourraient manifester contre les escrocs tant qu’à faire et les policiers seront ébahis de leur génie… Elles ont pas encore identifié les escrocs de l’islam mais on parle de neurones « féministes » là, pas d’Einstein. La grande échelle, la perspective, c’est pas leur truc aux « féministes ». Pour le sort des iraniennes refusant le voile, elles n’ont pas encore situé l’Iran sur le globe terrestre ni les prisons sur ce territoire d’un califat en expansion mondiale avec sa charia qui institutionnalise la violence conjugale comme levier d’organisation familiale ordonné par l’Etat.

    • Bien dit.
      Leur concept de « féminicide » ne concerne pas la « diversité » parce qu’il serait stigmatisant ou islamophobe. Les migrants qui violent et tuent des femmes occidentales ne maîtrisent pas nos codes culturels, voilà tout.

    • Je vous rejoins sur les neuronnes
      On est au ras des paquerettes, celles dont elles se servent pour orner leur cheveux.
      A qui offrent-elles leur nudité ?
      Pas à moi en tous cas et je n’en veux pas.
      Je préfère les femmes qui aiment les hommes.

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