.
Le dhimmi Philippe Marlière, professeur de politique dans une université de Londres, écrivait hier sur Twitter : « Appel : l’islamophobie ne peut être une querelle sémantique à gauche. C’est un racisme et un délit. L’islamophobie discrimine et tue au quotidien. C’est donc un combat central à gauche qui doit lutter contre elle sans hésitation. »
.
Et il citait l’appel de militants associatifs de gauche publiés dans Libération « Islamophobie à gauche : halte à l’aveuglement, au déni, à la complicité ».
.
Par exemple, cette vipère de Laure Slimani, conseiller municipal à Rouen.
Et donc, alors que les derniers assassinés au nom d'une religion ne sont pas encore enterrés, une élue trouve pertinent d'attaquer la laïcité et de participer, avec des Brakni et des Bouhafs, à l'interdiction de la critique religieuse par l'utilisation d'un vocable liberticide. https://t.co/Fp9UDkfF7N
— Lily Dufret #Mila #Charlie #Paty #Liberté (@liberte_lily) October 5, 2019
.
Qu’est-ce qu’elle fout là ? Mais franchement, comment a-t-on pu en arriver là ? Jeanne d’Arc, reviens faire le ménage ici ! Il n’y a plus que des demeurés et des dhimmis et quelques résistants perdus dans la pampa.
.
Réponses des internautes à cet islamocollabo de Philippe Marlière, à Libé et à tous les islamistes et islamocollabos à qui ce média anti-français a ouvert ses colonnes :
.
Naëm Bestandji : La critique/rejet d’une idéologie religieuse n’est ni 1 racisme ni 1 délit (cf. code pénal).
Contrairement au djihadisme, l’islamophobie n’a tué personne en 2015, juillet 2016, etc.
Combat à gauche : lutter contre la pénétration de l’intégrisme musulman dans ses rangs.
.
Julien Martel : « Libération » confirme son basculement définitif à l’extrême-droite avec cet appel en faveur du nazislamisme. Il faudrait changer de nom : « L’Aberration » ou « La Soumission » lui iraient beaucoup mieux. Combien de pots-de-vin reçus du Qatar ou de l’Arabie saoudite en plus des millions de subventions du gouvernement islamocollabo qui lui aussi est sûrement arrosé copieusement ?
.
Julien R : En France, il est permis de critiquer toute religion ou idéologie. L’islam n’est pas une race, il y a des musulmans blancs et des anti-islam arabes. Dans le monde il y a bien plus de personnes tuées par le terrorisme islamiste que par une prétendue islamophobie.
.
.
Abou Tantrin : Un apostat est islamophobe, vous voulez interdire l’apostasie comme dans la charia ?
.
.
Le Doc : La fameuse islamophobie qui tue au quotidien. 🙃
.
Abou Tantrin : C’est l’islamisme qui tue en France, pas l’islamophobie.
.
.
Brach Karl : Je ne savais pas que l’islam était une race ! Stratégie des islamogauchistes et islamoindigénistes pour faire passer la critique de l’islamonazisme (idéologie) pour du racisme !
.
.
Antoine Brochon : L’islamophobie a fait combien de morts depuis 40 ans? Maintenant, reprenez la même période et comptez le nombre de victimes produites par l’islam.
.
namarre34 : C’est quoi comme race l’islam. C’est quoi ce pays, l’Islamie ? L’islamophobie n’est pas un délit, et vous et vos islamistes n’instaurerez pas le délit de blasphème.
.
Bruno Lugdunum : Non, l’islamophobie n’est pas un délit. La critique d’une religion est garantie par notre constitution. L’islamophobie tue ? Donnez des chiffres ! Une chose est sure : l’islam tue !
708 total views, 1 views today
L’islamophobie discrimine et tue au quotidien.
Bien sur, mais c’est bien sur, quand un cancrelat de l’islam poignarde un kouffar en criant allah akbar, c’est de l’islamophobie.
L’islamophobie n’est pas une forme de racisme car la religion n’est pas une race. Le délit n’est pas établi non plus car les phobies sont des affaires de psychologie ( agoraphobie, arachnophobie,…), éventuellement une opinion politique comme l’antifascisme ou autre et aucune opinion politique n’est un délit, la ligue des droits de l’homme est très claire sur le sujet.
pas mal, ça peut se comparer à une opinion politique, puisque l’islam est un système politique,
on a donc le droit d’être contre le-communisme, contre le-nazisme, et contre l’islamisme, et on a également le droit d’afficher ses opinions politiques