Un avion transportant exclusivement des garçons anglais issus de la haute société s’écrase durant le vol sur une île déserte. Le pilote et les adultes accompagnateurs périssent. Livrés à eux-mêmes dans une nature sauvage et paradisiaque, quinze enfants survivants tentent de s’organiser en reproduisant les schémas sociaux qui leur ont été inculqués. Mais bien vite le vernis craque, la fragile société vole en éclats et laisse peu à peu la place à une organisation tribale, sauvage et violente bâtie autour d’une religion rudimentaire et d’un chef charismatique nommé Jack.
Offrandes sacrificielles, chasse à l’homme, guerres sanglantes : la civilisation disparaît au profit d’un retour à un état proche de l’animal que les enfants les plus fragiles ou les plus raisonnables paient de leur existence.
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Les deux chefs qui s’opposent sont Ralph et Jack
Ralph : Ralph incarne ainsi le leader, il représente les idéaux de la société — l’ordre, la sécurité, la démocratie, l’égalité — et il tente d’inculquer le sens des responsabilités et de la discipline au groupe, même si c’est en vain. Il trouve une conque par terre et s’en sert pour rassembler les enfants, ceux-ci se tournent naturellement vers lui et le coquillage devient le symbole de leur petite démocratie. Contrairement aux autres enfants, il met tout en œuvre pour qu’on vienne les secourir.
Jack : Jack est un garçon mince et anguleux, assez laid, autoritaire, dominateur et agressif. C’est un pessimiste, qui se concentre uniquement sur les plaisirs et qui ne croit pas à leur sauvetage. Il est jaloux du statut de chef de Ralph lorsque celui-ci a été élu et tente sans cesse de le déstabiliser, de le défier. Il est aussi le chef de sa propre bande, qu’il appelle ses « chasseurs » et qui sont les plus grands de l’île. Ralph leur a donné au début deux tâches quotidiennes : d’une part, alimenter un feu dans la forêt pour qu’un bateau puisse les apercevoir et d’autre part, nourrir le clan en viande en chassant les cochons sauvages de l’île. Malheureusement, cette dernière tâche devient très vite une passion pour Jack et le feu est peu à peu délaissé, puis oublié, jusqu’à ce qu’un jour, alors que Jack réussit enfin à tuer un cochon et arrive au sommet de son influence sur sa bande, un bateau passe à proximité de l’île sans apercevoir de fumée. L’événement marque une première scission dans le groupe, même si Jack présente ses excuses devant Ralph, fou de rage. Jack invite le même soir toute la tribu pour manger le cochon tué et raconte ses exploits de chasse devant des enfants extasiés.
Pour le résumé détaillé, voir ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Sa_Majesté_des_mouches
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Bon sang, mais c’est bien sûr !
Quand j’ai entendu parler de Greta et de l’engouement des élites mondialisées pour elle, j’ai cru à une plaisanterie. Ce n’était pas possible, ce n’est pas possible.
Mais, le temps passant, et voyant l’hystérie collective se muer en phénomène d’adoration pour le mage, comme si le monde se transformait en véritable secte, je cherchais à analyser, à comprendre… en vain.
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Et puis, hier, grâce à l’article de François sur Iris Duquesne, j’ai compris ce qui est en train de se passer… et cela n’a pas commencé avec Greta !
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Cet engouement pour des ados qui n’ont rien d’exceptionnel, c’est le cas de le dire (ce ne sont pas des Blaise Pascal, qui, à 19 ans inventait la machine à calculer ni des petits Mozart déjà virtuoses à 5 ans…) rejoint l’obsession pour le « jeunisme », autrement dit le culte de la jeunesse. Seuls les jeunes et la jeunesse ont droit d’être les « héros » dans les séries, droit de figurer dans les pubs ; les crèmes miracle pour « avoir l’air »se vendent à prix d’or et on ne parlera pas du très juteux marché de la chirurgie esthétique. Tout cela accompagné de moqueries et mesures de rebut pour « les vieux cons » et autres intellos conspués dès l’école primaire par les adeptes de la force physique, des jeux videos et du crâne vide. Laquelle obsession trouve son aboutissement dans les lois et pratiques mettant l’enfant au centre de tout, en petit roi devant faire son bon plaisir. Interdiction de la fessée, intervention du psy au moindre petit choc subi par le chérubin, école à ses genoux, se gardant bien de le rudoyer, de le faire travailler, de le punir, de le faire grandir…
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La haine des « progressistes », des Macron et Soros pour les populistes et autres patriotes qui incarnent l’ordre établi, qui incarnent le respect dû aux plus âgés, qui incarnent l’attachement à la nation, à la patrie, aux lois, à la res publica va loin, très loin.
Avec une perverse et machiavélique détermination, en quelques lustres, ils ont modifié notre société, nos repères, nos valeurs… et pour être bien sûrs que nous ne les transmettrions pas à nos héritiers, ils ont fait de ces derniers des êtres égocentriques, avides de jouir, avides de consommer, avides de plaisirs faciles, inhabitués à l’effort et au travail… Il manquait la dernière étape, mettre ces gosses insupportables, ne valant rien, sur un piédestal et les transformer sinon en Pythie du moins en veau d’or, et leur donner le pouvoir d’injurier les adultes et de leur imposer leur loi. La scène calamiteuse qui s’est déroulée à New York la semaine dernière en est la démonstration éclatante. Sans Trump l’Occident était totalement et irrémédiablement ridiculisé et perdu.
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Oui ils nous amènent peu à peu, mais sûrement, à installer la loi des enfants, en même temps que la loi des migrants chez nous.
Bientôt les enfants siègeront dans toutes les instances des pays atteints par cette fièvre mondiale. Les éco-délégués de Blanquer, ce n’est que le tout début…
Nous sommes tous de futures « Majestés des mouches », têtes (de truie) décapitées offertes au monstre de la mondialisation… Oui leur but est bien de créer chez nous la loi de la jungle, en utilisant à la fois notre belle jeunesse, la nôtre, désaxée, dégénérée, pourrie au cannabis et élevée dans la haine de l’ordre et des lépreux et celles des autres, violents, agressifs, faisant la loi dans les cités et les transports en commun…
Peu à peu ils nous poussent au cimetière alors que nous ne sommes pas encore morts. Et pour cela ils ont inventé la pire manière qui soit, du jamais vu : ils ont fait de nos enfants des ennemis, des Jack en puissance prêts à tuer pour avoir le pouvoir et le garder.
toujours ma même réponse: les électeurs votent pour
je puis ajouter: les adultes ne font rien contre
Ouf… J’ai eu peur, mais quand j’ai vu qui est ce Jack : « Jack est un garçon mince et anguleux, assez laid, autoritaire, dominateur et agressif », j’ai comjpris qu’il ne s’agissait pas de moi… Je ne suis pas (plus) mince ni anguleux, je ne suis pas encore trop laid, je ne suis ni autoritaire ni dominateur ni agressif… Vous m’avez donné un coup au coeur Christine. Toute plaisanterie mise à part, où la connerie va-t-elle s’arrêter ?
Les jeunes ne sont devenus des enfants-rois que parce que leurs parents, génération 68, ont reculé devant l’Education, étant eux-mêmes des enfants gâtés-pourris.
L’égoïsme que vous ciblez est-il un phénomène récent ? Personnellement, je n’ai aucun culte pour le « jeunisme » mais je suis bien capable de constater que la génération à laquelle j’appartiens a vécu comme si elle avait à sa disposition non pas une planète – mais cinq ou six, sans jamais se soucier de la conséquence de ses choix… Et le bilan est vraiment terrible.
Ne me dîtes pas que vous approuvez la culture intensive ?
C’est bien sur le site de RR que j’ai vu mette les fermes-usines en accusation : vaches, veaux, cochons, poules, qui sont élevés sans jamais connaître l’extérieur, un brin d’herbe et qui, après une vie de calvaire vont directement à l’abattoir !
Et bien, je ne respecte pas cette cohorte de contemporains qui se sont fait complices de ce mode d’élevage et tant mieux si nos jeunes s’en offusquent et le refusent !
Et c’est idem pour le consumérisme à outrance, etc… Le gaspillage alimentaire et j’en passe !
Il suffit d’avoir un peu de conscience pour rejeter ces crimes contre la Nature, nul besoin d’être manipulé(es)… Si certains et certaines le sont, le problème de l’Ecologie, de la surexploitation de nos ressources demeure, lui.
Rien à voir avec Soros et cie.
Question dégénérés on a déjà ce qu’il faut chez nous et putain ON EST BIEN EQUIPE !!!!!!
https://twitter.com/terracid/status/1107246219380826113
» la ville dont le prince est un enfant »
C’est une pièce de Montherlant, je crois .
Nous y sommes : macron, greta !
Avez-vous vu le film « les révoltés de l’an 2000 » ?
C’est sorti dans les années 70.
Un couple de touristes échouent dans une île grecque apparemment charmante. Mais horreur…les enfants y font la loi…et ça ne finira pas bien.
Il y a aussi une grosse similitude avec les démoncrates US acharnés contre DT.
Lundi 23 septembre sur France4 un docu sur la jeunesse hitrlérienne… Sidérant comme on rejoue le scénario avec la jeunesse actuelle qui explique aux adultes comment vivre, des députés qui applaudissent comme à l’Onul quand on leur annonce des horreurs, les enfants qui sont l’avenir du monde et surveillent les adultes,….à donner froid dans le dos comme nous y sommes maintenant avec des avancées vers le totalitarisme qui ne font plus de doutes, c’est joué par les médias, les parlements, les dictateurs officiels ou cachés, les peoples, les « scientifiques », le pape, les juges, les assocs, beaucoup de monde pour surveiller et orienter ! Toute la même situation que pendant « les années sombres » comme ils disent mais font la même chose.
Fantastique article, et qui fait froid dans le dos…
Mauvaise traduction. ‘cry themselves out’ veut dire ‘laisser l’enfant pleurer jusqu’à ce qu’il s’arrête de son propre accord’. ‘Tough love’ c’est être stricte pour leurs propre bien et survie.
merci je corrige
petit ajout:
« used to getting their own way » = habitués à ce que les laisse faire ce qu’ils veulent, (au lieu de « habitués à se frayer un chemin »)
« PC establishment crowd » est traduit par « gosses », en fait, « PC » = politiquement correct, « establishment » = élite et « crowd » = (ici) groupe, bande – donc on peut laisser l’interprétation « gosses », bien que l’expression fasse plutôt référence aux « bien-pensants » d’une manière générale. »