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Tout ça pour ça !
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Il y a dix jours il jouait les matamores, on va voir ce qu’on va voir, je serai le zorro des infâmes sergents Garcia, et puis il faut porter la contradiction aux lépreux, histoire de rectifier leurs mensonges.
Certains vous accusent de faire le jeu de Marion Maréchal et de ses proches…
C’est un faux procès. Ce n’est pas moi qui ai fait de cet événement un rendez-vous médiatique. C’est encore moins de mon fait si le camp conservateur, notre adversaire, a décidé de se reconfigurer et de projeter cette famille politique dans cette direction. L’avenir de la droite française est en train de se dessiner autour du courant d’idées des conservateurs. Cette évolution est le résultat de la «droite décomplexée» théorisée par Nicolas Sarkozy. Je ne m’en réjouis pas, je le constate. Le nier et faire l’autruche, comme l’a si bien fait la gauche pendant longtemps et comme ne doit surtout pas le faire le camp progressiste, ne peut conduire qu’à les laisser gonfler jusqu’à les voir arriver au pouvoir. Nous devons confronter notre projet de société au leur, que j’aurai l’occasion de dénoncer lors du débat le 28 septembre. Nos principaux adversaires, aujourd’hui, sont les conservateurs.
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Et aujourd’hui, il fuit, la queue entre les jambes, sous prétexte que 3 journaleux d’opinion dont on sait que quoi qu’ils voient et entendent, ils feront un article à charge, n’auraient pas été accrédités. Taché tout à coup soucieux de liberté de la presse et de liberté d’expression ? Diable !
En démocratie, on ne choisit ni ses contradicteurs, ni les journalistes, dont le pluralisme est indispensable au débat public. Dans ces conditions, je ne participerai pas à la #ConventionDeLaDroite https://t.co/F3DqkP9FXG
— Aurélien Taché (@Aurelientache) 25 septembre 2019
Le député du Val d’Oise Aurélien Taché devait intervenir à la convention organisée samedi autour d’Eric Zemmour et de Marion Maréchal. Après le refus d’accréditation opposé lundi par les organisateurs à trois journalistes de L’Express, Libération et l’Opinion, jugés insuffisamment « sympathiques », ainsi qu’à l’équipe de l’émission Quotidien, l’élu de La République en marche remet en cause sa participation à l’événement.
« J’ai répondu positivement parce que je les pensais prêts à débattre avec des progressistes et à tolérer la contradiction, explique Aurélien Taché. Soit ils se disent ouverts et prêts à respecter les fondamentaux démocrates, soit ils sont dans l’extrémisme. Choisir les journalistes est une atteinte fondamentale au principe du pluralisme d’opinion qui justifiait ma venue et sans lequel il n’y a pas de démocratie. »
De son côté, le philosophe Raphaël Enthoven, qui doit également prendre la parole lors de cet événement, a publié le tweet suivant :
Article édité à 12h15 : Après la publication d’une dépêche AFP sur le sujet mardi soir, l’annonce par la plupart des autres titres de presse écrite qu’ils ne couvriraient pas la Convention de la droite par solidarité, et les avertissements de plusieurs participants à la manifestation prêts à se décommander, les journalistes de L’Express, de Libération et de l’Opinion ont reçu leur accréditation mercredi en fin de matinée, tout comme l’équipe de l’émission Quotidien. Aurélien Taché maintient sa décision de ne plus se rendre à la Convention
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Allez on n’est pas méchants, nous, mais on ne peut faire autrement que de rappeler au caniche de Macron que son seigneur et maître bataille depuis son élection pour choisir les journalistes qui ont le droit de l’interviewer, ceux qui sont accrédités pour l’accompagner en voyage…
-suppression de la salle de presse de l’Elysée
-« Vous vous rendez compte, je suis un des éditorialistes les plus lus de France et le président ne me reçoit pas! » enrage un ponte de la profession, sûr de son importance. Candidat adulé des médias, qui n’aiment rien tant que la nouveauté, Emmanuel Macron a, sitôt son élection passée, mis volontairement de la distance avec les journalistes, cadenassant sa communication
-choix du roi pour les journalistes avec lesquels il échange
On a beaucoup parlé, chez les éditorialistes politiques, de la « comm » d’Emmanuel Macron depuis qu’il est président, de sa volonté de la restreindre ou d’obliger les journalistes à un minimum d’éthique ou de décence. Il ne souhaite pas être interpellé lors d’un voyage à l’étranger sur sa politique fiscale ou scolaire en France ; il voudrait choisir les journalistes accrédités qui l’accompagnent dans ces voyages ; il refuse l’accès automatique des médias à tout évènement élyséen, telle la visite récente – « privée » selon l’Elysée – de Barack Obama. On explique ce régime de diète communicationnelle par la volonté de rompre avec ses prédécesseurs de la ve République, qui cherchaient certainement à amadouer ou à séduire le peuple et les médias, tout en considérant que les formes établies de l’information politique, en particulier les habitudes établies avec la presse, ne devaient en aucun cas être bousculées.
[…]
Mais a-t-il résolu le problème en tenant à distance les journalistes d’information et les éditorialistes politiques, voire en prétendant contrôler lesquels peuvent ou non l’accompagner dans ses déplacements ?
Lors de ses déplacements à l’étranger, comme récemment en Afrique de l’Est, Macron convie aussi des journalistes diplomatiques, des spécialistes qui n’iront pas chercher la petite phrase, dans son A330. Surtout, il continue à échanger en direct avec quelques journalistes de confiance, à l’ancienne, depuis l’application Telegram.
–L’accréditation de Gaspard Glanz, journaliste ayant couvert les manifestations des GJ, de façon sans doute trop sympathique à la conférence de presse de Macron refusée en avril dernier.
Mais Macron a le droit, lui, de choisir les journalistes…
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Mais Taché ne savait plus comment se sortir de ce mauvais pas : le médiocre Taché face au brillant Zemmour qui n’allait en faire qu’une bouchée ? Sauve qui peut !
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Éric Tégner, sur le site de la « Convention de la droite » informait qu’avec 120 accréditations accordées aux journalistes, il ne sera plus possible d’en délivrer plus et qu’ ils seraient très serrés les uns contre les autres ( il n’était pas fait mention des torchons journalistiques mentionnés dans l’article).
J’avais lu aussi ( je ne sais plus où mais il me semble dans un tweet de l’islamo-tache ) qu’il refusait de participer à cause de la présence des médias Sputnik et RT.
Je crois plutôt qu’il s’est dégonflé comme une beaudruche après avoir lu les nombreux tweets qui ironisaient sur le fait qu’il allait se faire DÉ-MON-TER par les intervenants.Il s’est rendu compte qu’il allait » s’en prendre plein la g-eule pour pas un rond « !. C’est peut-être dommage en fait, pour une fois aurai pû nous faire rigoler un peu… !
La convention de la droite sera-t-elle diffusée en direct sur le web? Ce serait une bonne chose
La campagne de réélection de Trump a permis de récolter un million de dollars en trois heures après l’annonce de l’enquête de destitution
Source : RT-Espagnol
Décidément à la république en marche il y a vraiment que des petits trou du cul , c’est beau de voir une telle bravoure ,la meme Que le chef .💩💩💩
Il faudra que l’on m’explique comment on peut se prétendre « progressiste » quand on approuve la politique ultralibérale à l’américaine, qui a conduit à dévorer les ressources terrestres plus vite qu’elles ne peuvent se régénérer.
Cette face de rat goebbelsien est aussi un serpent !!!
ll a vu qu’il allait se faire éclater la tronche par ses contradicteurs, journalistiquement parlant, lui, le caniche de la tapette de l’Elysée !!!
A quand le jour où ce genre d’ETRON se fera éclater la gueule par ses protégés, les muzzs ?
Après avoir qualifié les policiers de «barbares», Mélenchon veut une protection de la gendarmerie
:::: https://francais.rt.com/france/66155-apres-avoir-qualifie-policiers-barbares-melenchon-veut-une-protection-de-la-gendarmerie
25 sept. 2019,
GRANDE GUEULE !
J’adore l’esprit de tolérance de la grosse tâche de députaille de l’Oise .
« J’ai répondu positivement parce que je les pensais prêts à débattre avec des progressistes et à tolérer la contradiction, explique Aurélien Taché. »
Comme on dit par chez moi ; petits bras , grande gueule mais court sur pattes !