Le despote Sékou Touré, ancêtre politique d’ Houria Bouteldja…

Dans un article récent de « Résistance Républicaine », Jean-Paul Saint –Marc évoquait le fils de Sékou Touré, esclavagiste des temps modernes et expulsé des Etats-Unis pour ce fait.

http://resistancerepublicaine.com/2019/04/26/usa-7-ans-de-prison-pour-le-fils-de-lex-president-guineen-sekou-toure-et-sa-femme-pour-esclavage/

Il serait bon, à ce propos, de parler de sa crapule de père, Sékou Touré lui-même, pour nos plus jeunes lecteurs.

Je m’inspire dans ce qui suit de l’article de Wikipédia dont je mets les citations en encadré. (Wikipédia, bien politiquement correct comme toujours, qui escamote bien des horreurs de Sékou Touré, comme la sinistre « diète noire » qui faisait frémir à l’époque).

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ahmed_Sékou_Touré

C’est le genre de canaille qui est au panthéon  des « Indigènes de la République ».

Sékou Touré coche toutes les cases : il est l’alter-ego d’une Houria Bouteldja.

Comme elle, Sékou Touré  a une haute opinion de sa religion musulmane : il fréquente assidûment les écoles coraniques, dès sa jeunesse.

Comme elle, Sékou Touré nourrit une véritable haine envers  la France : il  rompra toutes ses relations avec elle.

Comme elle, sa haine des Blancs se nourrit de sa propre insuffisance : il assassinera d’ailleurs  des Guinéens pour le simple fait qu’ils sont mariés à des Françaises.

 

Son ami Raymond-Marie Tchidimbo, (qu’il fera incarcérer huit ans durant dans les gêoles du Camp Boiro), premier évêque autochtone guinéen, estime que sa rancune progressive contre « le colonialisme » et sa haine épidermique du « Blanc » sont dus en partie à l’insuccès de ses études primaires et secondaires dans le système scolaire colonial2.

Il ajoute que plusieurs Guinéens mariés à des ressortissantes Françaises, et d’autres, ayant simplement effectué leurs études en France, ont été emprisonnés, voire exécutés, au cours de sa sanglante dictature.

Comme elle, il défend un panafricanisme fondé sur une commune admiration de fanatiques afro-américains comme Malcom X ou Stokely Carmichael.

Mais à la différence d’Houria Bouteldja, Sékou Touré accède au pouvoir et il va pouvoir donner la  pleine mesure de ses « talents ».

Il prend le pouvoir en 1958 lors de la décolonisation de la Guinée.

Nourri des idées de Lénine, il ruine rapidement l’économie  du pays tout en bénéficiant de l’admiration des autres pays africains.

Rapidement la terreur et  la cruauté de Sékou Touré vont  s’abattre sur la Guinée:

Au fil du temps, la paranoïa croissante de Sékou Touré conduit à l’arrestation de nombreux opposants politiques présumés .

Selon Amnesty International, quelque 50 000 personnes auraient été assassinées sous le régime de Touré, de 1958 à 1984. Le Camp Boiro reste le symbole de cette répression violente où, selon une estimation, 5 000 personnes sont exécutées parfois après des tortures inhumaines dénoncées alors par Amnesty International

 À travers la police secrète et les exécutions dans les camps de détention, Sékou Touré fait régner sur le pays un régime de terreur, contraignant des milliers de Guinéens à fuir la répression. Des dizaines de milliers de dissidents guinéens cherchent à fuir le pays.

 

 

 Ne faites pas ce que j’ai fait. J’ai tué tous les cadres de la Guinée et tous mes amis. 

 

Confidences de Sékou Touré faite à Balla Keïta, ancien ministre ivoirien et relatée par Maïmouna Bâ Maréga, auteure des Mémoires d’une rescapée de la dictature de Sékou Touré – Nouvelles éditions ivoiriennes-CEDA, 2018, Abidjan, 11

Voici le long témoignage, glaçant d’horreur, d’une victime de Sékou Touré, détenue au sinistre camp de  Boiro:

https://www.campboiro.org/bibliotheque/ardho/sinistre_geole/cellule49.html

Sékou Touré meurt en 1984.

Mais bien au chaud dans un hôpital de « Blancs », aux Etats-Unis.

Encore un point commun avec Bouteldja et ses sembables : on hait la France, on proclame  préferer la liberté  à la pauvreté :

« Nous préférons la pauvreté dans la liberté à la richesse dans l’esclavage ».

Sékou Touré

Oui, mais quand même, la  soupe est meilleure chez les Blancs !

Oui, Sékou Touré est bien l’ancêtre politique de bien des Français de papiers, installés en France.

Avec son islam fanatique,  sa haine de la France, sa haine des Blancs, sa nullité personnelle crasse.

Quand il a pris le pouvoir ce fut le pire pour les Guinéens : l’installation d’un pouvoir totalitaire.

N’oublions jamais que c’est le même fanatisme totalitaire qui anime nos modernes Français de papiers.

Il serait bon de l’avoir bien présent à l’esprit si nous voulons éviter aux nôtres leurs matins qui chantent …

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2 Commentaires

  1. Ici, dans nous rangs, nous en sommes conscients. Reste à convaincre le reste de la population…

    Il suffit pourtant de les regarder pour comprendre. Si l’on est un peu « intuitif » on imagine sans mal, à leurs expressions et postures (ils n’ont pas besoin de parler, pour moi du moins) que leurs projets nous concernant serait la solution finale – et encore dans les pires conditions : tortures raffinées, etc….

    Alors, « les Amis », comme dirait Pierre, il est temps de réagir et de refuser de nous faire coloniser !

    • C’est notre « éducation » nationale elle-même, avec son bourrage de mou sur le pillage de leurs pays par la France « coloniale » qui suscite et leur mal-être et leur désir de revanche !
      Le tout avec nos impôts, comme de bien entendu !!…
      Alors que ceux restés au pays seraient plutôt heureux de voir revenir les français, aux lieu et place de leurs dictateurs corrompus …

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