Où l’on découvre que la Russie de Poutine, malgré un passif très lourd de dizaines d’années de régime soviétique, se porte mieux, sur tous les points, que la France de Macron, que la plupart des pays de l’UE.
Ne serait-ce pas parce que, justement, la Russie est indépendante et n’obéit pas aux injonctions des technocrates de Bruxelles qu’elle se porte mieux que la France ?
Comme Trump, Poutine a déclaré la guerre à la bureaucratie, aux normes, aux règlements… pendant que Juncker et Macron passent leur vie à ajouter des mille-feuilles aux mille-feuilles.
Un article que j’ai publié il y a près de cinq ans, « Poutine aux élites occidentales : Le temps de jouer est terminé », s’est avéré être la chose la plus populaire que j’ai écrite jusqu’à présent, ayant recueilli plus de 200 000 lectures au cours des années qui
Poutine pense maintenant que les élites occidentales sont des pourceaux
ont suivi. J’y écrivais sur le discours de Poutine à la conférence du Valdai Club en 2014. Dans ce discours, il définissait les nouvelles règles selon lesquelles la Russie mène sa politique étrangère : ouvertement, à la vue de tous, en tant que nation souveraine parmi d’autres nations souveraines, affirmant ses intérêts nationaux et exigeant d’être traitée en égale. Une fois de plus, les élites occidentales ne l’ont pas écouté. Au lieu d’une coopération mutuellement bénéfique, elles ont continué à parler un langage fait d’accusations vides de sens et de sanctions contre-productives tout autant qu’inoffensives.
Ainsi, dans son discours d’hier à l’Assemblée nationale russe, Poutine a fait preuve d’un dédain et d’un mépris total pour ses « partenaires occidentaux », comme il les appelle habituellement. Cette fois, il les a traités de « pourceaux ».
Le discours annuel du président devant l’Assemblée nationale est une affaire d’importance. L’Assemblée nationale russe n’a rien à voir avec celle du Venezuela, par exemple, qui n’est en réalité qu’une non-entité obscure nommée Juan qui enregistre des vidéos Youtube dans son appartement. En Russie, le discours rassemble un who’s-who de la politique russe, y compris des ministres, des membres du personnel du Kremlin, du Parlement (Douma d’État), des gouverneurs régionaux, des chefs d’entreprises et des experts politiques, ainsi qu’une foule énorme de journalistes. L’un des points saillants de l’allocution de cette année a été le niveau de tension très élevé dans la salle : l’atmosphère semblait chargée d’électricité.
La raison de la nervosité de l’échelon supérieur de la bureaucratie de l’État russe est vite devenu évidente : Le discours de Poutine était en partie des ordres de marche et en partie une harangue. Ses projets pour les deux prochaines années sont extrêmement ambitieux, comme il l’a lui-même admis. La marche est placée très haut, a-t-il dit, et ceux qui ne sont pas prêts à relever le défi n’ont pas à s’en approcher. Il reste encore beaucoup de travail à faire pour presque tous ceux qui étaient réunis dans cette salle, et ceux qui vont échouer dans leurs tâches ne seront probablement pas présents la prochaine fois parce que leur carrière se sera fini en disgrâce.
Ce discours ne contenait presque pas de mauvaises nouvelles et pas mal de très bonnes nouvelles. Les réserves financières de la Russie sont plus que suffisantes pour couvrir la totalité de sa dette extérieure, tant publique que privée. Les exportations de ressources non énergétiques sont en plein essor à tel point que la Russie n’a plus besoin des exportations de pétrole et de gaz pour maintenir une balance commerciale positive. La Russie est maintenant largement immunisée contre les sanctions occidentales. Les projets d’intégration avec l’Eurasie se déroulent très bien. Les investissements du gouvernement russe dans l’industrie portent leurs fruits.
Le gouvernement a amassé d’énormes capitaux qu’il consacrera maintenant à des programmes nationaux conçus pour aider la population, pour aider les Russes à vivre plus longtemps, à vivre en meilleure santé et à avoir plus d’enfants. « Plus d’enfants – moins d’impôts » était l’un des slogans les plus accrocheurs. Voici les autres sujets importants du discours :
L’éradication de la pauvreté résiduelle ;
Des taux hypothécaires bas et subventionnés pour les familles ayant deux enfants ou plus ;
Des pensions indexées sur l’inflation au-delà des niveaux de revenu minimum officiels (corrigées et versées rétroactivement) ;
L’accès à Internet haut débit pour chaque école ;
Un accès universel aux soins de santé grâce à un réseau de cliniques rurales ;
Plusieurs nouvelles cliniques oncologiques de classe mondiale ;
Le soutien aux jeunes entreprises technologiques ;
Un programme de « contrat social » qui aide les gens à démarrer de petites entreprises ;
Un autre programme appelé « billet pour l’avenir » qui permet aux élèves de sixième année de choisir un cheminement de carrière comprenant des programmes d’études dirigés, des tutorats et des stages ;
De nombreux nouveaux projets d’infrastructures comme l’autoroute bientôt ouverte entre Moscou et Saint-Pétersbourg ;
La collecte et le recyclage des ordures et la réduction de la pollution atmosphérique dans une douzaine de grandes villes.
La liste est encore longue.
Aucune opposition à ces propositions dignes de mention n’a été exprimée dans les commentaires qui ont suivi dans les émissions d’information et les talk-shows ; après tout, qui pourrait être contre le fait de dépenser des capitaux accumulés dans des projets qui aident la population ?
Peut-être l’objectif le plus ambitieux fixé par Poutine était-il de refaire tout le système de réglementation du gouvernement russe, tant fédéral que régional, dans tous les domaines de la vie publique et du commerce. Au cours des deux prochaines années, tous les aspects de la réglementation seront examinés afin de déterminer si elle est nécessaire et si elle répond aux besoins contemporains et si elle doit ou pas être éliminée. Cela allégera considérablement le fardeau de la conformité à la réglementation et réduira le coût des affaires. Un autre objectif était de continuer à développer le secteur des exportations agricoles, déjà en plein essor. L’année dernière, la Russie est parvenue à l’autosuffisance en matière de semences de blé, mais l’objectif global est d’atteindre l’autosuffisance alimentaire totale et de devenir un fournisseur mondial de produits alimentaires écologiquement propres. (Comme Poutine l’a souligné, la Russie reste le seul grand producteur agricole au monde à ne pas avoir été contaminé par des poisons OGM de fabrication américaine). Un autre objectif est de développer davantage l’industrie touristique russe, qui est déjà en plein essor, en introduisant des visas touristiques électroniques qui seront beaucoup plus faciles à obtenir.
L’année dernière, le discours a surpris le monde dans sa deuxième partie, dans laquelle Poutine avait dévoilé tout un ensemble de nouveaux systèmes d’armes russes qui annihilent effectivement toute supériorité militaire américaine. Cette année, il n’a ajouté qu’un seul nouveau système : un missile de croisière supersonique appelé « Zirkon » avec une portée de 1000 km qui vole à Mach 9. Mais il a également fourni un rapport d’étape sur tous les autres : tout se déroule comme prévu ; certains nouveaux armements ont déjà été livrés, d’autres sont en production de masse, les autres sont en cours de test. Il s’est prononcé en faveur de relations normalisées avec l’UE, mais a accusé les États-Unis de faire preuve d’« hostilité », ajoutant que la Russie ne menace personne et n’est pas intéressée par la confrontation.
Les paroles les plus vives de Poutine ont été réservées à la décision américaine d’abandonner le traité FNI. Il a déclaré que les États-Unis avaient agi de mauvaise foi, accusant la Russie de violer le traité alors qu’eux-mêmes l’avaient déjà violé, en particulier les articles 5 et 6, en déployant en Roumanie et en Pologne des systèmes de lancement à double usage qui peuvent être utilisés à la fois pour la défense aérienne et pour les armes nucléaires offensives que le traité interdit spécifiquement. Les missiles de croisière Tomahawk à tête nucléaire, que les États-Unis pourraient déployer en Pologne et en Roumanie, représenteraient bien sûr un risque, mais ne fourniraient pas aux États-Unis l’avantage d’une capacité de première frappe, puisque ces missiles de croisière sont obsolètes au point que même les défenses aériennes de l’ère soviétique en Syrie ont pu abattre la plupart de ceux que les États-Unis leur ont envoyé pour les punir de la « fausse » attaque à Douma avec des armes chimiques.
Parlant du rêve américain d’un système de défense aérienne global, Poutine a appelé les États-Unis à « abandonner ces illusions ». Les Américains peuvent penser ce qu’ils veulent, dit-il, mais la question se pose : « Sont-ils encore capables de faire des maths ? » On se le demande.
Premièrement, les Américains peuvent penser ce qu’ils veulent … parce qu’ils sont Américains. Les Russes ne peuvent pas se permettre le luxe de penser de façon complètement absurde. Ceux dont la pensée n’est pas fondée sur les faits et la logique ont tendance à se faire traiter selon le terme russe de « likbez » assez rapidement. Cela se traduit littéralement comme « liquidation de l’analphabétisme » et cette expression est généralement utilisée pour faire taire les ignorants. Mais aux États-Unis, des manifestations choquantes d’ignorance sont tout à fait acceptables. Par exemple, vous n’avez pas besoin de regarder plus loin que le « Green New Deal », étonnamment stupide, qui est vanté par une jeune femme fraichement élue au Congrès mais plutôt idiote (qu’en est-il d’une appellation gender-neutre ?) Alexandria Ocasio-Cortez. Si elle était russe, elle aurait déjà fait rire tout le monde, même dans les campagnes.
« Mais sont-ils encore capable de faire des maths ? » Apparemment non ! Il existe un autre terme russe – « matchast » – qui est littéralement traduisible par « partie matérielle », mais qui représente la compréhension qui ne peut être obtenue que par la connaissance des mathématiques, des sciences exactes et de l’ingénierie. En Russie, des ignorants comme Ocasio-Cortez, qui pensent que les besoins de transport peuvent être satisfaits par des véhicules électriques alimentés par l’énergie éolienne et solaire, se font fermer la porte en se faisant expliquer d’aller étudier le « matchast » alors qu’aux États-Unis, on leur permet de courir librement dans les salles du Congrès. Dans ce cas, si les Américains pouvaient « faire des calculs », ils comprendraient rapidement qu’il n’existe aucun système défensif concevable qui serait efficace contre les nouvelles armes russes, qu’il n’existe aucune arme offensive concevable qui empêcherait la Russie de lancer une frappe de représailles irrépressible et que, par conséquent, la « nouvelle course aux armements », (que certains Américains ont été assez bêtes pour annoncer), est effectivement terminée et la Russie a gagné. Voir ci-dessus : La Russie ne dépense pas son argent pour des armes, elle le dépense pour aider son peuple. Les États-Unis peuvent gaspiller des sommes d’argent arbitraires pour des armes, mais cela ne fera pas un iota de différence : une attaque contre la Russie sera la dernière chose qu’ils feront jamais.
La Russie n’a pas l’intention d’être la première à violer le traité FNI, mais si les États-Unis déploient des armes nucléaires à portée intermédiaire contre la Russie, la Russie réagira en conséquence, en ciblant non seulement les territoires d’où elle est menacée mais aussi les lieux où les décisions de la menacer sont prises. Washington, Bruxelles et d’autres capitales de l’OTAN figureraient clairement sur cette liste. Cela ne devrait pas être une nouvelle ; la Russie a déjà annoncé que la prochaine guerre, s’il y en a une, ne sera pas menée sur le sol russe. La Russie prévoit de porter le feu à l’ennemi immédiatement. Bien sûr, il n’y aura pas de guerre, à condition que les Américains soient assez sains d’esprit pour se rendre compte qu’attaquer la Russie équivaut, sur le plan fonctionnel, à se faire sauter avec des armes nucléaires. Sont-ils assez sains d’esprit ? Telle est la question qui tient le monde en otage.
C’est en parlant d’eux que Poutine a utilisé le mot le plus blessant de tout son discours. Parlant de la malhonnêteté et de la mauvaise foi des Américains qui accusent la Russie de violer le traité FNI alors que c’est eux-mêmes qui le violent, il a ajouté : « … et les vassaux américains grouinent avec eux ». Il est assez difficile de trouver une traduction adéquate pour le verbe russe « подхрюкивать » ; « grouiner avec » est le plus proche que je peux trouver. L’image mentale est celle d’un chœur de petits cochons accompagnant un gros pourceau. L’implication est évidente : Poutine pense que les Américains sont des pourceaux, et que leurs vassaux de l’OTAN le sont aussi. Par conséquent, ils ne devraient pas s’attendre à ce que Poutine déroule le tapis rouge devant eux et, de toute façon, il sera trop occupé à aider les Russes à vivre une vie meilleure pour s’occuper d’eux.
http://lesakerfrancophone.fr/poutine-pense-maintenant-que-les-elites-occidentales-sont-des-pourceaux
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La Russie se redresse et la France plonge, pourtant on nous a vendu l’UE comme une possibilité de garder notre place parmi les grandes nations
en jouant sur la coopération entre états membres . A ce jeux on a perdu notre statut nous sommes une ex puissance dangereuse . Pourquoi? par la fait que nous avons toujours une puissance nucléaire militaire et civile mais que nous sommes déstabilisés par une immigration qui n’est pas du tout républicaine mais fortement islamisées avec une délinquance très forte chez des jeunes qui ne reconnaissent pas dans cette France Républicaine avec des racines chrétiennes , ce qui n’empêche pas cette population d’avoir une action sur la vie politique si bien que de nombreux observateurs ne trouveraient pas incongru qu’un musulman arrive au pouvoir par le communautarisme boosté par le regroupement familial et les multiples naissances qui en découlent.
Avec toutes les conséquences catastrophiques que cela impliquerait quand on sait l’animosité qu’ entretiennent les musulmans contre Israël qui ne manquerait pas de se défendre et d’entrainer d’autres nations avec elle c’est un scénario peut -être catastrophe mais il est à la mesure du cauchemar que nous sommes en train de vivre les yeux ouverts!
Il y a 30 ans ,qui aurait pu prévoir une telle explosion de la population immigrée sur notre sol ?
Venez faire un tour à Moscou et vous allez vite comprendre. Grand luxe, propreté, sécurité font bon ménage. Les russes sont patriotes et nationalistes. En Russie, c’est les russes d’abord ! Ils sont fiers de leur pays et le défendent.
Poutine va ouvrir des cliniques en milieu rural, et en France micron et la salope vendue aux labos, continuent à fermer des maternités,
encore un scandale digne du pays tiers-mondiste qu’est devene la France : une femme a perdu son bébé après avoir attendu 2h l’hélicoptère qui devait la transporter à l’hôpital, la maternité de sa commune venant de fermer,
réponse de l’administration : une enquête sera ouverte, cela va surement consoler les malheureux parents,
et pour les rasséréner on pourra leur annoncer que la France va régler les salaires des fonctionnaires au Mali, en bons gauchistes, ils applaudiront et oublieront la mort de leur bébé
Au début de la présidence de Trump, j’avais entrevu, avec joie, un rapprochement avec Vladimir Poutine… Les deux hommes ont eu, à plusieurs reprises, de longues conversations. Il semble que tout cela soit passé aux oubliettes et c’est fort dommage. Quant à la démocrate Alexandria Ocasio-Cortez, j’ai renoncé à écouter ses dangereuses élucubrations.
Ne serait ce pas le mot » couiner » ?
Finalement les stupides sanctions des occidentaux contre la Russie et Poutine ont été bénéfiques en tout point de vue pour cet immense pays .
Cet acharnement à mettre sur le dos de Poutine tout ce qui va de travers dans le monde l’a rendu plus fort ! A quand un homme , où une femme , de cette trempe en France 🇫🇷 ?
Vous avez raison; je dois avoir encore quelques restes d’incrédulité quant à nos dirigeants et leurs méthodes.
Il est vrai et incontestable que la Russie de Wladimir Poutine n’a strictement rien de commun avec l’URSS des Lénine, Staline, Kroutchev, etc..
Aujourd’hui je me sentirais fier d’être Russe. Hélas ce n’est pas le cas. Donc je demeure ce petit français de m…… qui n’a pas le courage d’éliminer les traitres au pouvoir.
Cependant je m’interroge sur la réaction des français (je parle à présent des veaux) s’il se produisait une rupture avec la Russie et si cette rupture pouvait déboucher sur un conflit? Certes c’est sans doute de la science fiction; mais tout de même interrogeons nous: que ferons les Français? se révolteront-ils contre le pouvoir qui les envoie au casse-pipe?
Ma chère Christine ce serait bien, vous qui avez la plume facile, de nous concocter un article sur cette interrogation.
Cher Moktar la question est intéressante mais il me semble que poser actuellement cette question serait une mauvais message envoyé, du genre « Poutine est-il dangereux, s’apprête-t-il à nous faire la guerre ? Je pense qu’il faut attendre une autre occasion
Bonjour Moktar.
Je pensais précisément ce matin, à la fierté qui me devient de plus en plus difficile d’être et de me sentir Français. Et c’est tés exactement à Poutine, à la Russie de Vladimir Vladimirovitch Poutine que je pensais. De mon petit séjour sur ce continent, j’ai gardé un souvenir mitigé. J’y ai fulminé contre l’américanisation forcenée que j’ai pu observer dans ce pays, mais j’en ai rapporté globalement un sentiment positif. Je me souviens avoir pris l’avion, la veille de l’attentat à l’aéroport de Moscou…
Dans ma maison, deux drapeaux ! Le bleu blanc rouge et le blanc bleu rouge. Poutine est le chef d’État le plus emblématique à l’heure actuelle, à mes yeux. Et nous, nous avons des mamamouchis, des choupinet… merdre de merdre !
et oui kammarrad; doit-on continuer à être fier d’être Français? Et ce n’est pas d’aujourd’hui que nous sommes la risée du monde.
Le béret, le camembert, le litre de rouge…. telle est la représentation du Français.
Cela étant peut-être qu’émergera dans le futur quelque âme patriotique tel que ce le fut jadis
Bonne idée ! Achetons tous un béret et portons-le hardiment, ce sera un signe de ralliement. On peut ajouter la baguette sous le bras et épingler le gros pins de RR.
@ moktar ,
vous oubliez qu’a l’époque de l’ URSS l’islam était interdit . alors que poutine installe des états islamistes en pleins cœur de l’Europe comme la Tchétchénie par exemple . regardez la photo qui illustre l’article , au premier rang nous y’ voyons des imams .
quant a Trump , il est en train de créer la Grande Albanie , au dépend des serbes , des macédoniens et des grecques . lus dans courrier international . prochainement je vous en ferais un article comme promis .
Bonjour,
Au début de l’Etat soviétique, l’islam a été encouragé par les dirigeants bolchéviques :
http://resistancerepublicaine.com/2017/04/14/melenchon-incarne-lalliance-de-la-faucille-et-du-croissant-nee-au-congres-de-bakou-en-1920/
http://resistancerepublicaine.com/2017/01/30/la-gauche-francaise-reduite-a-trois-sectes-islamo-gauchistes/
Et alors? que voulez-vous dire de façon claire? Je ne suis pas un stratège en géo-politique, aussi je me garde bien d’émettre un avis ou une réponse à votre intervention. Je me satisfais d’analyser ce qui se passe dans mon pays et qui ne se produit dans aucun autre pays au monde et surtout ni en russie ni aux US.
Citez moi un seul pays où des racailles veulent prendre d’assaut une caserne de CRS; citez moi un seul pays au monde où des racailles investissent une caserne de bérets rouges, etc..etc..
C’est de cela cher ami qu’il faut parler et non tenter d’évoquer les points négatifs de stratégie d’un autre Chef d’Etat autrement plus qualifié que notre petite raclure.
Donc je maintiens mes deux interventions. Au fait êtes-vous aller récemment en Russie?
Si non! prévoyez vous un petit séjour qui vous suffira amplement pour constater ‘évolution de ce pays.
Poutine sauvera la France , ou ce qu’il en restera , après son islamisation.