Il est de tradition, dans la culture de gauche, d’expliquer que les hordes fascistes constituent l’armée de réserve du Grand capital, et servent à briser le mouvement ouvrier, quand il devient trop dangereux pour ses intérêts de classe.
Dans ce contexte, il est intéressant de regarder ces images. Que voit-on ? Une milice très agressive, qui hurle « Paris, Paris, antifa » s’attaque au service d’ordre des Gilets jaunes, et menace l’intégrité physique de Jérôme Rodrigues, déjà gravement blessé la semaine dernière, et d’Éric Drouet. Il faut un moment exfiltrer les deux figures du mouvement pour assurer leur sécurité.
Le mouvement ouvrier, aujourd’hui, ceux qui remettent en cause les intérêts de classe des mondialistes, ce sont les Gilets jaunes. Ceux qui, protégés par Castaner, qui n’a jamais donné une consigne aux policiers pour procéder aux arrestations préventives des Black Blocs et des antifas, agressent ces résistants au Nouvel Ordre Mondial, ce sont les milices d’extrême gauche. Ce sont elles qui se livrent à de véritables ratonnades, dans les cortèges des Gilets jaunes, contre tout ce qui ressemble à un patriote. Ce sont elles qui ont agressé sauvagement un journaliste indépendant, d’origine asiatique, parce qu’il est accusé de ne pas être dans le camp du Bien.
L’ensemble de la gauche, sans la moindre exception, est complice de la violence de ces milices fascistes, parce qu’elles exercent une terreur sur les patriotes, et sur le seul parti qui s’oppose aux tenants de l’invasion migratoire et du mondialisme, le Front national. L’ensemble des partis, syndicats et associations ont toujours fermé les yeux sur les exactions de ces petits nazis en puissance, même quand leur service d’ordre était attaqué. Fait aggravant, l’ensemble de la gauche est complice de la grotesque mise en place de la commission parlementaire « contre les violences de l’extrême droite », alors que toute la classe politique sait que les seules violences dans les manifestations viennent des gauchistes et des racailles.
Ce régime, avec la complicité passive de toute la gauche, cherche depuis le début du mouvement des Gilets jaunes à les assimiler à l’extrême droite, pour le salir et le discréditer. Devant l’échec de la grossière manœuvre, il a lâché ses policiers, leur a donné des consignes de brutalité d’une violence inouïe, comme l’a démontré la manifestation de cet après-midi, à Paris et dans d’autres villes de France.
Pour justifier ces agressions, il a laissé faire les gauchistes et les casseurs, depuis le début du mouvement.
Aujourd’hui, une nouvelle étape a été franchie, avec cette agression, de type fasciste, commise contre les Gilets jaunes, leur service d’ordre et leurs leaders. Il est temps que les principaux porte-paroles du mouvement aient un discours très clair. Ils doivent annoncer qu’ils ne veulent plus des casseurs gauchistes, Black Blocs et antifas, et exiger de ce régime qu’il prenne toutes les dispositions pour protéger les manifestations. Et hors de question de faire le coup des extrêmes, et de demander en même temps l’exclusion de ce que les médias appellent les groupes d’extrême droite. Eux ne brûlent aucune voiture, n’agressent aucun policier gratuitement, et ne cassent aucune vitrine.
Ce qui est donc à l’ordre du jour est un mot d’ordre clair des porte-paroles Gilets jaunes, après l’agression des milices gauchistes de ce jour : dehors les antifas, dehors les Black Blocs.
Il est temps d’exiger de Castaner, qui doit être considéré comme complice de cette agression, la dissolution des milices gauchistes !
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Les barbouzes de manu !
Les antifas et blackblocs sont les alliés objectifs du pouvoir,
je parierais à un contre mille , qu’une branche ripoux de la police les appelle pour se faire donner un coup de main, et surtout foutre le boxon
pour cela les autres flics ont ordre de ne rien voir, de les laisser passer, et les laisser agir,
à savoir si parmi ces jeunes déchaînés et haineux, il n’y a pas des fils de gros bourges socialos, rejetons des zélites parigots,
on ne sait pas, car ils cachent leurs visages, c’est intentionnel
le gouvernement au lieu de préparer une énième loi dite anti-casseurs, qui est en fait, une loi antiGJ, déguisée, devrait s’occuper de mettre en cage ces sauvages vêtus de noirs et cagoulés qui ne sont connus de personne,
sont-ils fichés ?? pourquoi ne nous dit-on rien sur eux ??
qui les a mis sur pied, et dans quelle intention ??
quel excès de zèle à ficher les malheureux GJ et quelle laxisme vis-à-vis des mauvais garçons violents, casseurs, qui pourrissent les manifs
il faudrait demander au syndicat de flics, celui qui est honnête, de nous faire un topo sur l’immunité des anti-fas
En même temps, rien n’empêche de leur en foutre plein la gueule …
Bonjour,
Merci pour cet excellent article.
C’est le coeur du problème : comment des fils de bourgeois terrorisent les classes modestes de notre pays.
Il devient évident avec ce qui s’est passé, que les agresseurs interceptés hier par les gilets jaunes ne l’ont pas été par la sécurité Castaner-Macron. Or les gilets jaunes ne sont pas des professionnels de la sécurité. Les forces de l’ordre censées protéger cette manifestation de toute présence de casseurs ont laissé passer ceux-ci, sur ordre ? C’est évident… ne pas savoir reconnaître les casseurs pourtant identifiés par les GJ montre pour le moins une incompétence mais plus surement une volonté de laisser faire pour discréditer ce mouvement.