En ce moment dans les rédactions, c’est effervescence putassière : des journalistes américains viennent de saisir l’opinion en montrant des images d’enfants séparés de leurs parents clandestins. Du coup, au New York Times, au Monde, à El Pais ou au Corriere della sera, on fait tourner les cafés dans les réunions de rédac’ pour tenir le meilleur angle d’attaque publicitaire, pardon journalistique pour frapper le monstre de la Maison-Blanche.
Après avoir affabulé sur un prétendu retour des camps de concentration (alors que ces enfants ne sont derrière les barreaux qu’un temps très court, le temps d’examiner la situation de leurs délinquants de parents), voilà que le Time se fend d’une manipulation grossière, sertie d’un montage ignoble, en Une de son magazine.
«Bienvenue en Amérique.» En pleurs, Yanela Varela, 2 ans, fait la couverture de Time de cette semaine. Dans un photomontage sur fonds rouge, un président des États-Unis mesurant trois fois sa taille toise la jeune hondurienne apeurée. La photo de la fillette a été prise le 12 juin dans la ville de McAllen, au Texas, par John Moore, un photographe qui a obtenu le prix Pulitzer et travaille pour l’agence Getty Images. Elle est vite devenue sur les réseaux sociaux une icône, symbole de la douleur provoquée par la séparation des familles. L’image a même contribué à déclencher des donations d’un total de plus de 18 millions de dollars à une association texane d’aide aux migrants appelée RAICES.
Sauf que la jeune Yanela Varela n’a jamais été séparée de sa mère, contrairement à ce qu’affirmaient plusieurs articles. Au Honduras, la responsable de la Direction de protection des migrants au ministère des Affaires étrangères, Lisa Medrano, est formelle. «La fillette, qui va avoir deux ans, n’a pas été séparée», explique-t-elle à l’AFP. Le père de l’enfant, Denis Varela, a aussi confirmé au Washington Post que sa femme Sandra Sanchez, 32 ans, n’avait pas été séparée de Yanela et que les deux étaient actuellement retenues dans un centre pour migrants de McAllen, au Texas. «La petite fille n’a pas été emmenée en larmes par des agents de la police frontalière des États-Unis, sa mère est venue la chercher et elles ont été emmenées ensemble», a été contraint de reconnaître le Time.
Pour autant, le magazine a choisi de maintenir sa couverture jugée trompeuse par la Maison-Blanche. «La photographie du 12 juin de la petite Hondurienne de 2 ans est devenue le symbole le plus visible du débat sur l’immigration en cours aux États-Unis et il y a une raison pour cela», a affirmé dans un communiqué aux médias américains le rédacteur en chef de Time, Edward Felsenthal. «Dans le cadre de la politique appliquée par l’administration, avant son revirement de cette semaine, ceux qui traversaient la frontière illégalement étaient l’objet de poursuites criminelles, qui entraînaient à leur tour la séparation des enfants et des parents. Notre couverture et notre reportage saisissent les enjeux de ce moment», argumente Edward Felsenthal.
Source : Le Figaro
« Notre couverture et notre reportage saisissent les enjeux de ce moment. » Les enjeux du moment, c’est de vendre l’image qu’on a décrétée vendable au bon peuple ?
Le journalisme, ce sont les symboles, maintenant? On ne fait même plus semblant de dire la vérité?
Sous Obama, près de 2,5 millions d’immigrés clandestins ont été expulsés des États-Unis. Plus que sous tous les autres présidents américains.
Trump, contrairement à son prédécesseur, n’a pas envie de faire payer les pots cassés de cet envahissement aux Américains. Rappelons que ce sont eux qui financent l’hébergement, la nourriture et les soins des immigrants illégaux et de leurs enfants.
Il suit donc la jurisprudence mise en place sous Bill Clinton. Sous Obama, les enfants étaient tout autant séparés de leurs parents dans le cadre de l’examen de leur situation. La différence est que ce dernier pratiquait régulièrement l’expulsion immédiate, sans passage devant un juge. Avec les conséquences que l’on sait : les « migrants » revenaient inévitablement tenter leur chance au pays de l’oncle Barack.
Pour refermer ce véritable tonneau des Danaïdes et éviter aux petits travailleurs américains de payer la note, Donald Trump a mis en place la « tolérance zéro ». Les clandestins font ainsi systématiquement l’objet d’une poursuite judiciaire fédérale. Une sanction leur est appliquée, de manière à les dissuader de violer la loi.
La politique d’asile demeure inchangée, à présent que l’interdiction d’entrée pour les ressortissants de onze pays musulmans est levée. Les États-Unis accordent 100 000 visas par an à des demandeurs obtenant le statut de réfugiés. Les pays qui se soulèvent depuis un an contre le « racisme » américain peuvent-ils tous en dire autant ?
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Fake new , comme le petit Ylan, chaque medium joue au maximum sur les émotions primaires de ses lecteurs,
Trump devrait porter plainte, et demander des dommages et intérêts,
Ces salopards tordent le cou à la vérité allègrement, on ne peut pas les laisser abuser le public indéfiniment
A- LER- TE !!!!
CURIEUX ! Juste en ce moment ???!!!
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Arrestation de 10 personnes liées à l’«ultradroite», pour un projet d’attentat contre des musulmans
::: https://francais.rt.com/france/51885-arrestation-10-personnes-liees-ultradroite-planifiant-attaques-musulmans
24 juin 2018
Une dizaine d’individus soupçonnés d’avoir planifié des attaques contre des musulmans ont été interpellés dans plusieurs endroits de France. Selon LCI, la cellule souhaitait se venger des attaques islamistes commises en France.
10 individus «liés à l’ultradroite radicale» ont été arrêtés le soir du 23 juin en France par les services antiterroristes pour un projet d’attaque contre des musulmans, selon des sources judiciaire à l’AFP. Les interpellations ont eu lieu dans plusieurs endroits du territoire national, et notamment en Corse.
D’après la même source, les suspects projetaient un «passage à l’acte violent aux contours mal définis à ce stade, ciblant des personnes de confession musulmane». Selon une autre source citée par l’agence de presse, la cellule visait «des cibles présumées en lien avec l’islam radical».
LCI affirme que ces individus étaient regroupés en un groupuscule, baptisé Action des forces opérationnelles ou AFO. Ils auraient souhaité se venger des attentats commis en France, selon la chaîne de télévision.
Détails à suivre…
Mc NezRond, le docteur de l’UE mène une course vitale contre la lèpre ; son sérum de vérité : la censure ; son traitement à long terme : la répression ; sa formule magique : la dictature au service de la merdcratie.
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«Il ne reste que la censure» : YouTube ferme les autres chaînes de TV Libertés sans donner de raison
::: https://francais.rt.com/france/51883-il-ne-reste-que-censure-youtube-ferme-autre-chaines-tv-libertes-sans-donner-motif
Une semaine après avoir fermé sa chaîne principale, ce sont les autres chaînes de TV Libertés qui ont été «arbitrairement» fermées par YouTube. Interrogé par RT France, Martial Bild y décèle une «volonté politique» évidente de sanctionner son média.
Après avoir fermé la chaîne du journal de TV Libertés le 14 juin, invoquant une violation des droits d’auteur, YouTube a décidé le 23 juin de fermer les autres chaînes du média accessibles sur sa plateforme.
Interrogé par RT France, le directeur de la rédaction de TV Libertés, Martial Bild, explique que cette décision «unilatérale» et «arbitraire» du géant de l’internet a cette fois-ci été prise sans avertissement préalable ni qu’aucune raison ne soit avancée. «Il n’y a même plus l’argument juridique, il ne reste que la censure», dénonce Martial Bild. Le journaliste rappelle en outre que le média conteste la justification juridique avancée par YouTube lors de la fermeture de la chaîne principale. Il la juge «dérisoire» au motif que le droit de citation ne constitue pas une atteinte aux droits d’auteur. Et il précise que TV Libertés avait, en gage de bonne foi, modifié la vidéo incriminée.
Ce qui n’a donc pas eu pour effet d’infléchir la position de la plateforme vidéo qui s’est attaquée aux autres chaînes du groupe, sans nouer la moindre communication avec le média. «Il n’y a que l’AFP qui trouve un interlocuteur de YouTube à interroger, nous n’en avons pas eu. Pas un appel, pas un correspondant, personne», dénonce Martial Bild.
TV Libertés y voit une volonté politique
Le journaliste voit dans cet enchaînement d’événements la marque d’une volonté politique de s’en prendre au média, qui constitue selon lui un contre-pouvoir. Il rappelle notamment que TV Libertés ne se prive pas pour dénoncer, entre autres, la politique du gouvernement. «C’est à ce moment là qu’on nous bâillonne», affirme-t-il.
Mais selon Martial Bild, les questions financières ne seraient en outre pas étrangères à la cabale dont il estime son média victime. «Dans les droits d’auteurs, il y a des questions financières, et ce sont les forces d’argent qui dirigent aujourd’hui notre monde et notre politique, y compris en France. Nous sommes opposés à ces forces d’argent», affirme-t-il.
Si le coup est dur pour la chaîne, qui perd «en viralité» en disparaissant de YouTube, Martial Bild se veut rassurant quant à l’avenir de son média : «Nous assurons nos téléspectateurs qu’ils pourront suivre l’ensemble des programmes de TV Libertés. Nous le ferons en faisant appel à toutes les plateformes qui se sentent encore indépendantes et libres.» Au-delà de la présence sur d’autres plateformes, le journaliste compte sur la mobilisation de ses téléspectateurs pour partager au maximum les contenus du média, assurant que «toutes les bonnes volontés [étaient] les bienvenues».
Et de conclure sur une note résolument offensive : «Il n’y a pas de censure qui ne puisse être dépassée, ni de totalitarisme qui ne puisse tomber.»
L’heure devient plus que grave ! Ils ont tellement crié « aux heures les plus sombres » depuis les élections 2007 en jouant finalement à « c’est celui qu’il le dit qu’il est ! ».
Oui, et sans le vouloir, ils font en même temps un énorme coup de pub pour Tv Libertés dont tous les médias de réinfosphère ont parlé!