Cet article de Causeur pose les bonnes questions.
Si les parents faisaient leur travail de parents, leurs enfants dehors les nuits d’émeutes, qu’ils aient 10 ou 18 ans, sont sous leur responsabilité et doivent être à la maison.
Seule Marine Le Pen, rappelons-le, propose cette responsabilisation des parents avec des sanctions pécuniaires…
Saint-Denis: scènes de la vie (barbare) ordinaire
Que font les parents?
Après deux nuits d’émeutes à Bobigny, Saint-Denis et Aulnay, on peut se demander où sont les parents des « jeunes » concernés…
« Échauffourées » selon Le Parisien, « incidents » pour Libération, une présidente de région qui s’apprête à « porter plainte », « seuil symbolique » franchi d’après Le Monde, une ministre de l’Éducation Nationale et un premier ministre indiquant que le gouvernement fera preuve de « la plus grande fermeté », des dégâts évalués à plus de 70 000 euros, 54 « jeunes » mis en garde à vue dont une quarantaine de lycéens mineurs… Scènes de la vie ordinaire en République française.
Un tir de mortier en guise de récréation
Lycée Suger. Saint-Denis, 93. Mardi 7 mars 2017. Un tir de mortier éclate. Le lycée polyvalent accueille 1300 élèves. Des incendies démarrent dans les toilettes, de l’essence est déversée dans un escalier, des « jeunes » attaquent le lycée. Tirs de fumigènes et de cocktails Molotov. Évacuation. Bataille rangée entre « jeunes » et policiers. Projectiles et barres de fer contre Flash-Ball et gaz lacrymo. Une centaine de « jeunes » prend la direction du centre-ville de Saint-Denis. Cette nuée hostile détruit le mobilier urbain, agresse des policiers et s’attaque aux autres lycées de la commune du 93. Le « 9-3 ». Devenue habituelle, l’expression indique bien que ce département est hors de la République. N’est-ce pas là que l’on rencontre des bars interdits aux femmes ou que des terroristes en fuite viennent se cacher ? Une flambée de violences, un début d’émeute. Des élèves ont peur, d’autres sont « euphoriques » disent les enseignants. Pour certains « jeunes » lycéens de 15 à 19 ans, c’est la fête. Beaucoup se contentent de filmer et de diffuser sur les réseaux sociaux. On accuse la police de violences. Sur Youtube. Ces « jeunes » sont des victimes affirme une mère.
Les institutions de la République sans cesse visées
Une mère en colère ne comprend pas pourquoi son fils a été « ramassé » par la police et emmené au commissariat « alors qu’il était sous la responsabilité de l’Éducation Nationale ». Sur les 54 « jeunes » gardés à vue, 8 sont déférés devant un juge pour violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique, attroupement armé et rébellion. Ils sont tous mineurs. Scène de la vie ordinaire : des « jeunes », surtout ne caractériser aucune origine sociale, géographique ou ethnique, mènent une opération de guérilla urbaine. Contre les institutions de la République. On ne compte plus les occurrences de ces violences. Des émeutes du même genre ont déjà eu lieu à Saint-Denis mi-février aux abords de la basilique. La presse étrangère, éberluée, observe la rue française et parle de scènes de « guerre civile ». Ces violences ne concernent pas seulement la France. Mais ici, elles sont devenues des scènes de la vie ordinaire. Quotidienne. Comparer le Saint-Denis nocturne contemporain à ce que Saint-Denis symbolise n’est pas anodin. Saint-Denis et Suger, grandeur de la France d’hier. Il y a entre les deux toute la distance séparant la civilisation et la barbarie. Cela doit être dit sans tabou.
« Ils sont où les parents ? »
La civilisation repose sur l’autorité. « Ils sont où les parents ? », se demandait sur France Inter, le 15 février dernier, une jeune femme issue de l’immigration. Après deux nuits d’émeutes à Bobigny, Saint-Denis et Aulnay. La jeune femme évoquait les centaines de « jeunes » incendiaires s’attaquant aux forces de l’ordre. En effet : « Ils sont où les parents ? ». La perte de l’autorité, depuis longtemps signalée par des intellectuels comme Finkielkraut, est la principale cause de ces violences. Autorité des parents. Autorité de l’école. Autorité de la République. Difficile, l’autorité, dira-t-on, quand on envisage de pénaliser la fessée. Quand une claque à un élève est une maltraitance, parfois « raciste ». On parle de légaliser le cannabis, d’interdire fessées et claques, de multiplier les salles de shoot… La République a le devoir d’imposer son autorité. Aux familles, d’abord. En responsabilisant les parents. Responsabilisation qui passe par la sanction financière. Les familles ont le devoir d’empêcher leurs adolescents de passer la nuit dehors. Que des « jeunes » de CM2 ou de 6e traînent la nuit est irresponsable. Ces « jeunes » doivent être à leur place : chez eux. Cette responsabilité incombe aux familles. Elles doivent rétablir l’ordre dans leurs appartements. La République a le devoir de mettre des mots sur le réel : les « jeunes » issus de l’immigration qui mettent le bordel dans les rues et les lycées doivent être rappelés à l’ordre et punis. Les familles concernées sont minoritaires et connues des services. Elles doivent être sanctionnées.
Où est la limite ?
Qu’un lycée soit attaqué n’est pas anodin. Les « jeunes » s’en prennent au lieu du savoir. Le lycée Suger est un lycée polyvalent, associant lycée général, technologique et professionnel. Des lycées conçus comme « outils de mixité sociale ». Il sera intéressant de connaître le parcours des « jeunes » en question, tant scolaire qu’ethnique. L’idée peut sembler généreuse : créer des passerelles entre les filières. C’est pourtant mettre la charrue avant les bœufs. L’école ne recommencera pas à jouer son rôle tant que les adolescents ne seront pas réellement encadrés. À commencer par le savoir de base : lire, écrire, compter. Savoir écrire une phrase correcte. Et tant que la notion de limite ne leur sera pas de nouveau imposée. Les adolescents multiplient les incivilités car ces bases ne le sont plus. La limite. Ce qui faisait, jusqu’à une époque récente, que tout jeune savait comment on s’adresse à un adulte, à un représentant du savoir ou de la République en particulier, comment on se comporte en collectivité, où jeter ses canettes et autres papiers de kebab. Tant que le minimum du vivre en commun ne sera plus acquis, aucun prétendu « vivre-ensemble » ne risque d’être possible.
Où est passée la langue ?
Dans les vidéos des événements, filmés avec des smartphones, on entend distinctement de jeunes filles ricaner, s’amuser de ce qu’elles voient dans un vocabulaire qui dit beaucoup de l’état de l’école : « téma, téma… (…) Wesh, ya la chaleur du feu, y sont passés en balles, wesh. Y zont couru wesh ». Le ton est rigolard, l’excitation perceptible. Cela résume la perte de toute autorité, à commencer par celle du langage et de la culture. Passer une heure dans la cour de récréation d’un collège du « 9-3 » suffit pour entendre que la langue française n’y est plus parlée. Plutôt un sabir déculturé. Et nombre de langues étrangères. La culture dominante n’est pas la culture française mais celle des banlieues multiculturelles, du rap, des casquettes et du shit. L’État a le devoir de rétablir l’ordre républicain et l’ordre de la culture française au sein des établissements scolaires. Une remise en ordre qui passe par la transmission de ce qui fait nation et communauté française : une culture, des valeurs et une langue commune.
Dire les mots qui fâchent sans tabous
Dans la France contemporaine, des parents majoritairement issus de l’immigration ne contrôlent pas leurs enfants, ces derniers n’obéissent plus à leurs professeurs, pas plus aux forces de l’ordre. Ces « jeunes », que l’on se refuse à nommer autrement par déni du réel, ont perdu tout sens de la limite, dans tous les aspects du quotidien, plus préoccupés de shit et de « nique la France » que d’autre chose. Ces « jeunes » n’apprennent rien, ne travaillent pas, refusent toute notion d’effort et sont persuadés, « wesh, téma », d’être dans le vrai. Pourquoi ? Le problème est politique. Au lieu d’inscrire ces « jeunes » dans une culture et une civilisation enracinées, on leur répète combien ils sont victimes, combien ils ont raison de « niquer la France », combien il est excusable, après les souffrances dont furent victimes leurs ancêtres et dont la France serait coupable, qu’ils crachent à la figure de leurs enseignants, disent « ferme ta gueule » à un professeur quand il commence un cours sur les Hébreux ou attaquent des policiers à coup de barres de fer. Une époque viendra où des comptes seront demandés aux hommes et aux femmes politiques directement responsables de la situation actuelle, situation d’une gravité sans égale, unique à l’échelle des pays développés, et directement issue de l’idéologie libérale libertaire au pouvoir depuis quarante ans. Pour ladite idéologie, l’avenir est dans le communautarisme tandis que l’autorité serait par nature une forme d’oppression. Ce n’est pas seulement une conception politique, c’est une faute.
http://www.causeur.fr/saint-denis-heurts-lycee-suger-violence-43160.html
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La pire des catastrophe ce serait l’arrivée au pouvoir d’un Macron qui est en fin de compte un hollande bis. Il durcirait les lois contre les travailleurs mais permettrait de faire perdurer cette impunité des racailles dans les banlieues
Ces exactions sont d’autant plus révoltantes qu’elles sont gratuites puisqu’elles n’émanent pas de revendications sociales clairement exprimées ni de discriminations d’aucunes sortes.
Au contraire de la « France périphérique » ainsi que les villes moyennes de province qui n’ont rien,
la banlieue monopolise les infrastructures les plus récentes et les plus couteuses pour la France.
On ne manque de rien pour faire du sport, se soigner, se cultiver, se déplacer même sans dépenser d’argent avec les quotients familiaux.
Je sais , j’y habite!
De plus on bénéficie de la proximité de Paris et son rayonnement;
Par contre on monopolise aussi le record de délinquance d’incivilité de toutes sortes des taxes locales qui flambent autant que les lycées saccagés par la racaille désœuvrée…..de pollution aussi!
Pour éviter qu’un quinquennat cauchemardesque ne puisse succéder au précédent qui s’achève dans des émeutes de voyous que Macron ne fera pas cesser si par malheur il accède au pouvoir puisqu’il a été cherché son vote banlieue jusqu’en Algérie par sa repentance autoproclamée, il faut absolument voter Marine Lepen pour faire cesser de prendre la France pour un laboratoire d’essai des trouvailles de « terra nova ».
Il faut que les parents des émeutiers soient punis à la source c’est à dire suspendre las allocs de toutes sortes jusqu’à remboursement des dégâts causés et leur droit de vote supprimé s’ils en bénéficiaient jusque là.
On retirait bien le droit de vote aux commerçants qui faisaient faillite!
Car c’est une honte de faire des enfants juste pour bénéficier des aides sociales et après les laisser à l’abandon en accusant la société de ce que l’on est pas capable d’assumer.
D’autre part supprimer le collège unique rétablir la discipline en soutenant les profs dans cet exercice avec toujours la possibilité d’utiliser le droit de suspendre les allocations si les parents ne répondent pas présents.
J’ai entendu un ancien prof sur radio courtoisie parler du métier qu’il a exercé pendant 10 ans dans des quartiers « difficiles » et nous expliquer que ce collège unique est une gabegie financière et démagogique car il fait croire que tous les jeunes partent du même niveau et pourraient arriver au même niveau et laisse des élèves végéter et se morfondre en se rendant tout les jour de plus en plus compte qu’ils n’y arriveront pas cela générant une extrême frustration..
Ne se révolteraient-ils pas aussi un peu contre le système de fabrication d’échecs qu’est devenu ce collège unique que le parti socialiste a mis en place depuis des lustres et qui les rend fous?
Ne pourrait-on pas les diriger dans une filière professionnelle et manuelle dès l’âge de 14 ans pour leur permettre de pouvoir gagner leur vie rapidement sans passer par la case trafic de shit et devenir responsables, fiers, et être de vraies chances pour la France!
Mais la gauche qui parait-il est issue des classes populaires et laborieuses dévalorise en permanence les métiers manuels au profit de la médiocratie.
Je rétablis une vérité: le collège unique n’est pas une création des socialistes, mais bien de René Haby, ministre de Giscard.
On doit reprocher beaucoup de méfaits aux socialistes et autres gauchistes, ce n’est pas la peine d’en rajouter. Et on doit aussi constater que la droite n’a pas non plus été en reste dans les erreurs commises – cf regroupement familial.
Il est assez cocasse d’ailleurs de voir le collège unique défendu becs et ongles par les socialistes aujourd’hui, NVB en tête (une vraie furie dès qu’on aborde le sujet), alors qu’ils auraient tout loisir de critiquer leurs adversaires… enfin on comprend bien pourquoi. Idéologie, quand tu nous tiens…
Ce sont tous les politiques qui ont failli depuis 45 ans, par amateurisme, incompétence, inculture, vision naïve et décalage d’avec la réalité…
Il faut envoyer les faiseurs de trouble dans leur pays d’origine parents compris toute la smala tout simplement!
Et payer le pays d’origine pour s’en occuper ,cela nous évitera des frais sans fin!Voila tant par individu ,un forfait affaire réglée Français ou pas !
Pas besoin de Guantanamo!!
Pas onéreux et efficace, pas de déchéance de nationalité retour aux origines tout simplement!Si ils ne sont pas heureux chez nous il importe qu’ils retrouvent la joie et le bonheur de retrouver leurs racines!!
« où sont les parents »? Chez eux, mais absents!
Il doit y avoir les 2 :
ceux qui sont dépassés par les événements, et ceux qui peut-être les encouragent!
Dans le 2 cas, tout est question d’éducation! Leur ont-ils inculqué cette éducation? Tout porte à croire que non!
TB l’anti western !
la cavalerie qui n’arrive jamais ou trop tard….
Qu’il est loin le temps de notre enfance, années 1950 -1960. Rentrés de l’école ou du collège, pas question d’aller jouer dehors avec les copains. Les parents nous imposaient la discipline. Leçons à étudier pour le lendemain, préparation des compositions trimestrielles, pendant la scolarité primaire. En secondaire, préparation des devoirs à rendre, lecons à apprendre, tests à préparer. Il fallait avoir une bonne moyenne pour passer dans la classe supérieure l’année suivante, sinon, honte suprême, on redoublait! Résultat : aujourd’hui nous maîtrisons le français, le calcul, les langues étrangères, histoire et géographie, etc. Bref, notre éducation a été excellente et nous a permis d’avoir un métier. Personnellement, à partir de 18 ans, si je sortais le soir mon père m’imposait d’être rentré à 22 heures. Et avec un père militaire, mieux vallait obéir. J’ai eu la majorité à 21 ans. Aujourd’hui sexagénaire, je ne remercierai jamais assez parents, instituteurs et professeurs de m’avoir prodigué un excellent enseignement et une éducation qui m’a permis de ne pas devenir un délinquant.
Nous ne les avons pas vus mais entendus à la radio… Et à l’accent nous savons tout de suite « qui » sont les parents…
En outre, sans rapport avec cet article, mais pour info : Madame Figaro nous informe que NIKE lance le hidjabs pour sportives (Christine je vous envoie le msg avec photos sur contact@resistancer….
Le géant américain a dévoilé sa première collection de voiles, quelques jours après une campagne de promotion du sport au Moyen-Orient.
L’année dernière, Jean Paul Brighelli publiait un article qu’il titrait magnifiquement :
» retour au western ! la fabrique de héros »
http://www.causeur.fr/heros-histoire-western-wayne-38392.html
La France est maintenant devenue un western ! ou plutôt un anti-western :
En Amérique, les territoires des Indiens étaient envahis et ont peut considérer que les Indiens se défendaient quand ils attaquaient des diligences , des forts, …..,
« la cavalerie » arrivait toujours, à la fin, et ….
En France, maintenant, nous avons la même situation, inversée. Ce sont les envahisseurs, et non les envahis qui se livrent à ces actes.
Quand les Indiens entraient sur » le sentier de la guerre « , ils se fardaient de » peintures de guerre « , ils faisaient des signaux de fumée.
– Nous avons les » peintures de guerre » , et depuis longtemps : burqa, voile, kamis, burkini ….
– les signaux de fumée ? ça crame partout !
– Nous avons les attaques de diligence : bus ( banlieue, Nantes …. ), RER
– Nous avons les attaques de forts ( commissariats, écoles, mairies, lycées )
– nous avons aussi les massacres ( inutile de préciser )
Mais, » la cavalerie » n’arrive jamais : elle a des ordres !
L’anti-western français n’est pas non plus une » fabrique de héros » :
– les racailles islamistes sont des misérables
– ceux qui laissent faire le sont tout autant
Vive le western ! Le vrai !
Pour moi c’est comme enfoncer une porte ouverte et je crains que on ne s’en sorte jamais..car nos enfants ne sont pas dehors, la nuit qui plus est, quand ils sont mineurs … et j’ai toujours dit que les associations si prompt à dénoncer le soi disant racisme – vous savez , celui qui permet de mieux culpabiliser , pour après mieux imposer ses préceptes – devraient s’occuper des enfants issus de l’immigration pour leur permettre de s’en sortir dans la vie ! oui faire des enfants ce n’est pas les laisser dans la rue ! et quand j’ai lu qu’un enfant de 5 ans était avec son frère et les copains ados en train de mettre à sac une école maternelle, et bien non ! ce sont les parents qui doivent s’occuper de leur enfant de 5 ans ! Bon ! les politiques de gauche, au lieu de pleurer, de manifester et de disserter sur ce qui devrait relever du bon sens, ne veulent toujours pas prendre conscience , et donc feront toujours semblant de se demander » que se passe t il dans les banlieues » ! !et feront toujours payer le contribuable !
où sont les parents ? bon on le sait , surtout que souvent il n’y a qu’un parent, et c’est donc pratique de demander à l’Etat de prendre en charge leur progéniture ! Fut un temps , un juge d’une ville du sud de la France convoquaient les parents à la barre en même temps que le rejeton pour bien montrer que c’était lui, le parent, le responsable !
A Béziers le Maire avait interdit aux ados d’être dehors après une certaine heure, résultat la CDH avait crié au loup !
Bon , il y a de quoi être inquiet , c’est inéluctable Bravo pour cet article le dernier paragraphe dit tout : Dire les mots qui fâchent ! ….
Vous avez raison, c’est une faute politique, et je dirais même des fautes politiques graves et criminels, planifiés d’avance.
Et quand des dirigeants ne procèdent pas à la protection de la population et ses devoir régaliens pour le peuple du pays qu’ils doivent représenter, nous pouvons appeler cela de la persécution et de la maltraitance du peuple, de l’humiliation par laxisme criminel par d’autres peuples, en fermant les yeux de la part des dirigeants et de l’incitation à la haine contre le peuple de France.
Que nous pouvons encore qualifier de haine voué contre le peuple de France, en raison de son appartenance ethnique et culturel et raciale, avec le métissage raciste et multiculturel cosmopolite ethnocidaire, richesses obligatoires à supporter de force contre la volonté du peuple, en raison son appartenance raciale et comme une atteinte à sa dignité raciale, ethnique et culturel
Sont aussi de la répression, de la maltraitance et de l’humiliation contre le peuple de France où le racisme et autres jetés à la figure des français, sont comme des insultes proférés l’égare des français, qu’il faut considérer comme de la maltraitance de la part des élus du peuple.
Tous ces comportements contre le peuple de France, victime de la répression dictatorial, avec la complicité de l’union européenne et tous ses adhérents europhiles criminels, sont digne des comportements des dictatures Nazis, Fascistes, communistes et l’Islam réunis, que seul sont capables de faire contre des populations en France, en Europe, comme dans le monde entier.
Hello
Qui se souvient des films « classe 84 , classe 87 , le proviseur », à leurs sorties ces films étaient des fictions . Aujourd’hui ces fictions sont largement dépassées par la réalité , seul différence , dans ces films les profs ou le proviseur rendent coup pour coup et éradiquent les « sauvageons ». Exemple à suivre .
a+
alain
il faut revoir les loi et même la constitution qui n est absolument plus adaptée a ce pays.il faut sanctionner les juges complices de cete etat de guerre civil ensuite remettre au boulot tous les flics planqués et surtout sanctionner financièrement (suppression d allocs)les parents qui crache a la gueule de la France et des français en encaissant le pognon des aides tout en envoyant leurs morpions a la rue pourrir la vie des citoyens.2 sanctions la troisième déchéance de nationalité et retour dans leur pays d origine ayant tous 2 nationales contrairement a ce que l on veut nous faire croire.sinon prison.dans les années 80 le metro de new york et la ville etait devenue un coupe gorge rodolph gulianni jeune procureur est devenu maire et a prôné aupres de sa police la tolérance zero.5 ans plus tard sa ville était une des plus sure au usa.si vous attaqué la racaille au porte feuille toute cette violence disparaitra d elle même. il suffit juste d avoir un petit peu de courage politique ce qui manque a tous les candidats collabos de la catastrophe qui s annonce.
ils vont bien finir par mettre ça sur le dos du FN
tous ces enculées de gauchos
« où sont les parents »? Chez eux, mais absents!
Il doit y avoir les 2 :
ceux qui sont dépassés par les événements, et ceux qui peut-être les encouragent!
Dans le 2 cas, tout est question d’éducation! Leur ont-ils inculqué cette éducation? Tout porte à croire que non!
Financièrement, ils s’en fichent de la suppression des allocs,
d’autres activités sont drôlement plus lucratives!
J’ai exercé en Collège de périphérie d’une grande ville .
Quand il y avait un problème , la mère venait seule,
puis le « grand » frère,ou l’ « oncle » qui se présentait comme tel .
Jamais le père : « il n’est pas là ! »
ou était-il ? jamais de réponse .
Le problème était que ces pères n’assumaient jamais leurs responsabilités .
pardon attaqué;
J’aimerais bien voir la gueule de ces jeunes qui ont attaquer le lycée. Je veux bien croire qu’il y ai des Français de souche, mais………………………..
Quand je vois les reportages aux infos sur ces zoos que sont devenues les cités, je me dis qu’à un moment il faudra entourer tout ça de barbelés et de CRS et les empêcher d’en sortir. Ne plus réparer les dégâts qu’ils occasionnent et les obliger à vivre sur leur tas d’ordures. Ça a l’air très radical, mais il ne faut pas perdre de vue qu’un seul des leurs peut mettre un sacré bazar dans un établissement scolaire encore propre, les ados nourris au vivre ensemble trouvent que ça fait bien de parler et de se comporter comme une racaille. Par expérience de la classe de mon dernier, c’était très calme au premier trimestre, puis arrivée d’un noir viré d’un collège voisin, son carnet de signalements rempli en un temps record et la tranquillité de la classe au rayon souvenirs. Résultat : les gamins qui le trouve cool et le suivent dans ses bêtises ont vu leur signalements se multiplier et certains sont même déjà passés en conseil éducatif (en un seul trimestre).
Tout à fait d’accord avec vous Marie et j’ajouterais: à la première connerie on touche au portefeuille et à la troisième on vire toute la famille au pays d’origine avec ou sans accord de celui ci.
Marie n’insultez pas les zoos.
A la « Vallée des singes » à Rocamadour, les Magots se baladent en liberté, Ils attendent patiemment le touriste. Vous leur tendez quelques Cornflakes qu’ils vous prennent dans la main….sans agressivité.
Même ils ne vous poursuivent pas pour en réclamer plus.
A noter: cette « Vallée des singes » à Rocamadour n’est pas une ZUS!