"Victor Hugo n'a pas appris l'arabe à l'école" : Lapersonne fait un tabac au meeting de Marine

Dans son discours sur son engagement total et entier à Marine Le Pen, aux assises présidentielles du Front National, à Lyon le 4 février 2017 ; Franck de Lapersonne, comédien et metteur en scène dit à propos du mouvement d’Emmanuel Macron « En Marche » : « En Marche…arrière ! ».
Je ne résiste pas, voici le discours caustique de Franck de Lapersonne qui dit tout ou partie de ce que nous avons tous dans le coeur pour la France et sa culture, de notre envie de retrouver la liberté et nos espoirs…
Ça fait du bien , il y va franco.
 

Note de Christine Tasin

Voici un personnage comme on les aime, truculent, Gaulois, fabuleux orateur, chauffeur de salle, pertinent, cultivé, passionné par la culture française… Un personnage à la Trump.
 

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15 Commentaires

  1. Un jour en sortant d’une pharmacie je me suis fait insulter par une connasse pleine à craquer parce que je n’ai pas voulu lui tenir la porte
    Elle me reproche à moi de ne pas lui tenir la porte car  » je suis enceinte  »
    Moi: pas possible car je suis français
    Elle : plus pour longtemps bientôt ici tu sera plus chez toi car nous ont fabrique
    ( en se caressant le ventre ) les remplaçants.

    • Elle : plus pour longtemps…. »
      Comme c’est étonnant, ce message-là ils le retiennent plus facilement que nos valeurs.
      Pascal Bruckner était hier soir avec Y Calvi, il présentait son dernier livre et expliquait notamment l’origine de l’islamophobie, inventée par Kohmeiny en 1979 lorsqu’il quitta son refuge de Neaufle le chateau. A cette époque on le qualifiait de grand sage.!!!!
      Pascal en vient à développer la politique actuelle. Selon lui, la gauche utilise les musulmans contre le capitalisme mais le problème est que les musulmans utiliseraient la gauche (et ses valeurs) pour installer insidieusement leurs concepts de la charia. C’est un jeu dangereux.
      (NdCL) Rappelons nous les oscillations de Valls dans ces discours. Une fois il insiste sur les français qui doivent s’adapter, l’islam compatible avec la république, une autre fois en inaugurant une mosquée en Alsace, il rappelle aux musulmans, avec peu d’applaudissements, la laïcité et la devise de la République.
      Ce qui ne l’empêche pas d’embaucher NVB qu’il laisse détruire l’Education Nationale !

  2. Monsieur de Lapersonne il est en plus un comédien que j’aime bien. Très agréable surprise

  3. je me souviens de cet homme, a l’époque il était roux avec des cheveux, dans palace de ce pauvre jm.ribes, a l’époque ou il était a peut pres fréquentable.
    je suis agréablement surpris que ce monsieur se soit tourné du bon coté, ca rassure, ils ne sont pas tous pourris alors, peut être y en a t’il de récupérables, voir de curables!

  4. J’adore cet acteur, qui avec son courage (car il en faut) pour se mettre en danger en venant faire un discourt à un meeting de Marine.
    Bravo Monsieur et merci !

  5. Oui, il y a urgence à voter Marine, si on ne veut pas s’entendre jeter à la figure comme c’est arrivé à quelqu’un que je connais, par un de ceux qui nous ont envahis : « Dans vingt ans, la France sera à nous »! URGENCE !!!

  6. Vraiment étonnant , j’ai toujours pensé que c’était un bobo estampillé canal +.
    Finalement il y en a qui sortent de la dictature de la bien pensance , bravo.

  7. Monsieur De La Personne, Bravo ! Votre engagement, en tant que comédien, fait un bien fou au patriote.
    Ne lâchez rien le nombre de patriotes est grandissant et à besoin de représentants aussi talentueux que vous.

  8. Ce post m’offre l’occasion de glisser le mien au motif qu’il abonde, aussi, dans notre sens.
    Je n’en suis pas l’auteur. J’achète régulièrement les Figaro Hors Série et Figaro Histoire. Pour nos écoliers qui sont privés de l’historique de notre glorieux passé, ainsi qu’à l’Histoire tout court, ces revues constituent un excellent outil de connaissances.
    Bref, lu dans les pages de ce dernier numéro, consacré aux « Neuf mystères de la Révolution Russe », page 22, un article de Michel de Jaeghère qui nous parle du livre de Laurent Dandrieu :
    – « Eglise et immigration, le grand malaise. Le pape et le suicide de la civilisation européenne », paru aux Presses de la Renaissance (308 pages – 17,90 euros).
    C’est du boulot, mais je ne résiste pas, non plus, à l’instar de « Marcher sur des Oeufs » au plaisir de vous faire partager ces vérités, signées au coin du bon sens. Qualité dont sont dépourvus tant de nos contemporains !
    « Depuis que le christianisme est apparu sur terre, les chrétiens se sont interrogés sur leur double nature d’animal social, voués au bien commun de leur nation, et de fils de Dieu, appelés à servir un royaume qui n’est pas de ce monde. L’Eglise leur a longtemps proposé de tenir les deux bouts de la chaîne : la radicalité évangélique et les impératifs d’ordre et de raison hérités du monde gréco-romain. De saint Augustin à saint Thomas d’Aquin, son enseignement les a invités à concilier les obligations de la piété filiale, qui leur commande de considérer leur patrie, leur civilisation, leur culture comme un patrimoine à sauvegarder, à transmettre, avec la conscience d’être sur la terre des étrangers de passage, qui ne sauraient considérer comme un absolu leur vie d’ici-bas.
    Le discours que tient aujourd’hui le pape François sur la crise migratoire a spectaculairement rompu avec cet équilibre. En proclamant que « le chrétien laisse venir tout le monde » (22 juin 2016), en multipliant petites phrases, visites à grand spectacle et gestes médiatiques, il paraît avoir fait de l’ouverture de l’Europe à l’immigration de masse une sorte de devoir moral. Comme si la parole du Christ « J’étais un étranger et vous m’avez accueilli » (Matthieur 25, 35) avait délégitimé par avance toute politique de maîtrise des frontières, toute Eglise devait se faire au contraire le complice et l’agent d’un brassage général des populations.
    Rédacteur en chef des pages culturelles de Valeurs actuelles, chroniqueur religieux en même temps que biographe inspiré de Fran Angelico et de Woody Allen, Laurent Dandrieu s’est efforcé de comprendre comment on en est arrivé là. Analysant avec une grande rigueur, une honnêteté intellectuelle exemplaire l’ensemble de l’enseignement de l’Eglise sur la question depuis Pie XII, il met en lumière l’aveuglement singulier qui semble l’avoir conduite, au fil du temps, d’une légitime charité envers les démunis à la promotion d’une politique qui nie les spécificités de l’islam, fait l’impasse sur le choc des cultures, méconnaît les droits des nations, et singulièrement, celui des autorités politiques à protéger la Cité des menaces qui pèsent sur elle, et passe par pertes et profits la civilisation européenne au nom de la « culture de la rencontre ».
    Analyse aussi bien l’impact de la crise migratoire que les degrés d’assentiment que la doctrine catholique impose à ses fidèles (il y fustige très opportunément la tendance de nombreux chrétiens à considérer comme infaillible tout propos de rencontre tombé de la bouche du pape régnant ; à tenir pour rien au contraire des siècles d’enseignements antérieurs), son livre est plus encore l’occasion d’une méditation extraordinairement éclairante sur l’inévitable tension qui règne entre des règles morales conçues pour régir le comportement des individus, et les obligations spécifiques à la politique : celles qui relèvent des vertus de force, de prudence et de tempérance sans qui les idées chrétiennes deviennent folles. « De même qu’une justice qui remettrait les dettes, où l’on pardonnerait sans punir, une diplomatie où l’on tendrait la joue gauche, ou une économie où l’ouvrier de la onzièrme heure recevrait le même salaire que celui qui a oeuvré tout le jour, conduiraient à coup sûr une société à l’anarchie et à la ruine, de même vouloir appliquer sans autre forme de procès la parabole du Bon Samaritain, qui voit un homme secourir et prendre soin d’un inconnu rencontré sur sa route, à des millions de migrants qui de pressent à nos frontières, ne pourrait que plonger le contient européen dans une spirale de chaos ».
    « Le discours du Christ, souligne-t-il est un discours de personne à personne, il indique comment se conduire avec son prochain ». Aux politiques, sauf à sombrer dans les délires de la morale kantienne, il appartient en revanche de prendre en compte l’impact de leurs décisions sur ceux qui en subiront concrètement les conséquences.
    Petits Blancs confrontés dans des quartiers ghettos à la réalité d’une immigration fantasmée comme une chance par ceux qui n’en ont qu’une connaissance livresque, ceux-ci sont les grands oubliés d’un discours ecclésial qui paraît plus avide de recueillir l’approbation des élites que de prendre en compte leur modeste « périphérie existentielle ». A la disparition de leur bien-être, de leur culture, de leur identité, ils sont appelés à se résigner par un humanitarisme de tréteaux de foire qui place sur leurs épaules un fardeau qu’ils sont seuls à porter.
    Oeuvre d’un catholique hanté par la collaboration de l’Eglise à ce qui lui apparaît comme un suicide de l’Occident, le livre de Laurent Dandrieu est un appel au ressaisisement ». Fin de citation.
    Demain, ou dans les prochains jours, je copierai depuis la même revue « La gauche Barabapapa »… Jubilatoire…

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