59,90 € SEULEMENT !
Une jeune homme de ma connaissance a pour projet d’acheter aux Domaines une ancienne ambulance militaire 4×4, de préférence encore équipée de ses accessoires, pour la remplir de médicaments et partir « faire de l’humanitaire » dans quelque contrée aussi lointaine qu’exotique.
Lors de ma venue à Paris pour l’émission « Livre Libre » de TV-Libertés, pour présenter mon livre « Citoyens ce roman est le vôtre », j’avais évoqué les nombreux Sans-abri français vus dans le métro dans cet article :
http://resistancerepublicaine.com/2016/12/30/3-jours-a-paris-en-fete-et-belle-malgre-tout-tout-quoi/
Si j’avais eu l’opportunité de réserver mon billet de train avec un mois d’avance, je l’aurais payé 58 € au lieu de bien plus. Pour utiliser le métro, le ticket est à 1,90€.
En consultant les annonces de ce type de véhicule d’occasion, on trouve par exemple un Citroën C5 4×4 âgé de 28 ans, 300.000km, en état très moyen, pour 700 €. On trouve aussi un Steyr-Puch Pinzgauer 6×6 en bien meilleur état, mais là c’est à partir de 6000 €, il faut aller le chercher en Suisse et arriver à l’immatriculer en France -et ça c’est comme jouer au loto…
Alors voilà, jeune homme, au lieu de dépenser autant d’argent dans une opération hasardeuse, pour partir ensuite dans une expédition hautement risquée, il existe un moyen de « faire de l’humanitaire » à moindres frais et risques :
Tu collectes ce que tu peux auprès de donateurs patriotes -ça c’est plus difficile à trouver que des donateurs mondialistes- tu économises le prix d’une ambulance et de ses frais annexes (immatriculation, remise en état, assurance, carburant) ça fait une somme que tu pourras utiliser plus directement… Tu achètes à l’avance un billet de train pour Paris à 58 €. Arrivé à Paris-Gare de Lyon tu prends un ticket de métro au distributeur automatique à 1,90 €. Tu viens donc de dépenser uniquement 59,90 €. Tu valides le ticket pour accéder à l’espace du réseau métropolitain,et là…
Te voilà découvrant des Sans-Abri à la fréquence moyenne d’au moins un toutes les deux ou trois stations. Oh certes, question exotisme, c’est pas terrible les couloirs du métro, avec des courants d’air en plus… Les avantages ? Tu auras peu de concurrence, mis à part quelques militants identitaires ou d’autres maraudeurs bénévoles, mais il y a tant à faire qu’il y aura de la place pour vous tous. Plus encore, tu pourras œuvrer dans la plus totale discrétion, aucune télévision ou autre média ne viendra perturber ton action. Parce que tu comprends, les Sans-abri français, c’est d’un banal ! Tandis que faire pleurer dans les chaumières à coups de photos exceptionnellement non floutées (mais mises en scène de façon aussi habile qu’abjecte) avec les malheurs de tous ces pauvres gens provenant de pays musulmans ou en passe de le devenir, c’est très tendance ! Un avantage encore, tu auras sans doute en retour l’expression de remerciements exprimés en français, que tu ne seras certes pas venu chercher, mais qui changent de toutes ces exigences communautaristes occultant, si réalité est, la détresse et le besoin immédiat de nourriture. Ces gens à qui tu apporteras ton aide généreuse ne seront pas vêtus par les meilleures marques de fringues, ils n’auront pas le dernier modèle de multimédia, ils n’auront que leur misère de Français oubliés par les idéalistes de pacotille et les politiciens vendus à la mondialisation. Tu réaliseras ainsi une véritable œuvre humanitaire, loin des caméras et des discours opportunistes. Et pour pas cher, un prix de grande surface vantant ses promotions : 59,90 € seulement !
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les mères Thérésa des envahisseurs muzz !
c’est très tendance, on est dans le coup, on surf sur la vague du moment, on suscite l’admiration…
Eh oui, il y en a qui ont besoin de cela pour se valoriser… Ce n’est même pas de l’altruisme mais de l’auto-gratification mise en action dans le désir de renvoyer une image « admirée ».
Pour d’autres c’est leur « mea culpa » tant ils sont pétris de culpabilité (qui trouve bien sûr ses racines dans leur histoire personnelle, et donc relève de la projection de ses propres conflits à l’extérieur, ainsi bien loin de l’altruisme !).
La notion d’aide est complexe tout comme ses motivations bien souvent inconscientes et pas si généreuses que cela parfois. A partir du moment où elle est déconnectée du bon sens et de la réalité, ce n’est pas de l’altruisme ni de la charité n’en déplaise à certains.
Un mot sur lequel il conviendrait de réfléchir tant il est employé très souvent dans les discours : que viendrait dire le terme « démuni » ? Il y aurait des gens qui n’auraient « aucunes capacités » ? Qui seraient donc « inférieurs » aux autres ?
Tout à fait d’accord et dans un premier temps. Mais s’occuper des SDF ne fait pas gagner de pognon aux organisateurs de cette grande migration, comme le montrait le reportage d’Envoyé Spécial la semaine dernière… Dans le même ordre d’idée j’ai regardé il y a quelques jours une émission dans laquelle on voyait en Ethiopie une voie ferrée, vestige des « méfaits de la colonisation française », et qui fonctionnait encore tant bien que mal avec des machines à bout de souffle, rafistolées, et des voitures dont certaines datent de 1910, circulant sur des rails qui ondulent sous la chaleur! Dans les gares, des écriteaux d’époque en Français… Et bien je suis certain que nous avons dans les gares de France des dizaines de machines diesel qui marchent encore et des centaines de voitures qui pourrissent lentement. A l’échelle d’un pays le transport de ces machines n’est pas une somme rédhibitoire et en les aidant comme ça on fixerait sans doute des centaines de personnes dans leur pays.
Mais pourquoi serions-nous toujours obligés de les aider ? Ne seraient-ils pas capables de se prendre en main ? …… Sommes-nous nés pour aider toute le monde, le monde entier ? A-t-on nous le droit de vivre ?….
Questions de fond à se poser actuellement.
Combien de bungalow l’état aurait pu construire pour abriter nos SDF, avec les milliards d’€ distribués à des gens malhonnêtes qui s’invitent dans notre pays et nous crachent dessus?
Bien dit ! …..dans le temps j’ai eu un patron qui achetait le midi des sandwichs pour les SDF de la rue ou nous étions .