Vous n’avez plus le droit de tirer les oreilles de votre garnement ni même de lui crier dessus.
Authentique. Ahurissant mais vrai.
Les salopards qui nous servent de députés ont obéi à Bruxelles et ont voté dans le pack de la loi « Egalité et citoyenneté », l’interdiction des châtiments corporels et des traitements cruels…
Ma foi, interdire d’enfermer un gosse à la cave ou dans le placard ou de le mettre sur le balcon par moins 10 cela me semble cohérent… et c’était déjà interdit par la loi et susceptible de poursuites en justice.
Mais cela ne suffisait pas, il est dorénavant interdit d’interdire, sauf à passer des heures de gentilles explications, avant ou après le forfait, le gamin vous riant au nez très vite, ayant compris, comme les délinquants à la mode Taubira-Urvoas, qu’ils ne risquent rien. Grisant sentiment d’impunité…
En clair, selon l‘Observatoire de la violence éducative ordinaire (OVEO), cela signifie que sont désormais interdits tous les actes de violence, qu’elle soit verbale et psychologique (crier, injurier, se moquer, humilier, mentir, menacer, culpabiliser, rejeter, chantage affectif…) mais aussi physique (gifler, fesser, pincer, tirer les oreilles ou les cheveux, donner des coups de pied, secouer, saisir brutalement, bousculer, pousser, contraindre l’enfant dans une position inconfortable, le priver de nourriture…).
Nous avions déjà, en juillet dernier, évoqué le ridicule de la chose dans deux articles que je vous invite à relire :
Ils sont allés jusqu’au bout, dans leur inculture crasse, ces députés et sénateurs qui ont obéi, le doigt sur la couture de pantalon, à Juncker.
Inculture ? Oui.
Déjà, les Grecs le disaient, le pire des maux, c’est l’ὕϐρις (hybris), la démesure.
Déjà Molière ridiculisait les excès, déjà Racine et Corneille, en ce siècle du classicisme, prouvaient par leurs oeuvres que le beau, le juste et ce qui rend la vie possible c’est la juste mesure…
Or sénateurs et députés, en votant cette directive stupide (une de plus) de Bruxelles, disent clairement qu’il s’agit de ré-éduquer le peuple. Ré-éduquer dans quel but ? Pour préserver nos petits ? Pas du tout, ne croyez pas ce que l’on vous dit….
Pas d’amende ni de prison (pas de peine ? alors tout est permis), il s’agit dans un premier temps de faire culpabiliser Madame Michu pour la petite fessée donnée au sale gosse qui se roule par terre au milieu du magasin. Il est évident que cela ne touchera en aucun cas le sadique qui maltraite par plaisir sa progéniture, un sadique, par essence, obéit à ses instincts et non à la loi.
Si la loi suffisait… il n’y aurait plus de viols, pourtant interdits et réprimés non ? On me répondra que le viol en pays occidental (non envahi par des hordes barbares) le viol reste rare, parce que toute la société a entériné l’interdit du viol, n’étant le fait que de détraqués, de monstres, de dégénérés, de souche ou venant de pays où la civilisation considère le viol comme permis.
Or, les châtiments excessifs, les sévices physiques ou moraux sont déjà interdits et punis par la loi. Nos enfants sont plutôt à l’abri, les enseignants n’ont pas le droit de les toucher fût-ce avec une fleur, alors qu’il y a moins d’un siècle les instituteurs utilisaient la méthode forte pour obliger les élèves à apprendre…
Il s’agit dans un seconde temps de faire disparaître nos réflexes de défense, nos capacités de répondre à la violence par la violence. Nous seulement ils veulent nous désarmer et nous interdire les pistolets, mais ils veulent nous castrer symboliquement, nous débarrasser de nos capacités naturelles de répondre à l’agresseur.
Ce qui risque d’arriver ? Des signalements à foison, des milliers d’enfants retirés à leur famille, comme c’est le cas en Suède, à la moindre entorse à la loi (comme par hasard, un grand nombre d’entre eux sont issus de l’immigration, les nouveaux venus ne connaissant pas les règles en usage, d’ailleurs…).
Le développement de ce que nous voyons déjà depuis des années, tant les mentalités ont intériorisé le fait qu’il fallait discuter avec les enfants et non les taper, des gosses qui, à la maternelle, n’ont jamais entendu « non » de la part de leurs parents et ne sont pas élevés. Il y a toujours eu des gens plus doués que d’autres pour se faire obéir, par l’autorité naturelle et la persuasion, dans toucher un cheveu du gosse, et d’autres ayant besoin de montrer qui est le maître par la fessée symbolique. Ces derniers, on va les montrer du doigt, on va les encourager à se faire manger la laine sur le dos. Et la société qui se prépare va être encore pire que celle que nous vivons… Il y aura de moins en moins de volontaires pour devenir instituteur ou professeur, je peux vous le garantir… Mais ce n’est pas le pire.
Quant aux procès pour mauvais traitement faits par des couples en cours de divorce voulant régler leurs compter par l’intermédiaire de leurs gosses, aux procès suite à pseudo-dénonciation faite par des ados rebelles… ils vont être légion. Sans pour autant que les salopards qui torturent et martyrisent leurs enfants s’arrêtent de le faire.
On voudrait nous faire croire que l’interdiction des châtiments corporels ferait drastiquement baisser le nombre d’enfants martyrisés :
Selon l’INSERM, en France, 730 enfants meurent chaque année de maltraitance. En Suède, où les châtiments corporels sont interdits depuis 1979, on dénombre 3 morts par an.
https://www.infochretienne.com/cest-vote-fessee-dorenavant-interdite-loi-francaise%E2%80%A8/
On s’inquiétera d’abord de l’indépendance de l’Inserm par rapport à Bruxelles.
http://www.inserm.fr/qu-est-ce-que-l-inserm/programmes-europeens
Et on aimerait savoir combien il y avait d’enfants mourant de maltraitance en Suède avant 1979…
Par ailleurs on constate que la Suède, avec son long héritage de respect de l’autre (immigrant, enfant…) a fini par faire disparaître sa propre culture, ses propres valeurs. La Suède a produit des gens incapables de colère, de violence, et donc prêts à se faire remplacer par des barbares élevés, eux, dans une culture de la violence.
Parce que la Suède, c’est que ce sera la France demain.
Et devant l’interdiction voulue par Bruxelles qui a mis la pression sur Hollande, c’est bien notre capacité à nous défendre, à imposer le respect de nos règles qui est mise en cause, dont on veut l’interdiction. Parce que devenue un réflexe.
Ce qui se passe en nos pays est monstrueux.
Vivement des Trump dans tous les pays d’Europe, qu’on arrête de marcher sur la tête.
En attendant, pour ceux qui pensent que le modèle suédois que nos députés et sénateurs viennent de nous imposer ou du moins prétendent nous imposer, un petit rappel :
Les Suédois, ces enfants gâtés à qui on a laissé le pouvoir
La Suède, pionnière dans l’évolution de l’éducation avec son interdiction de la fessée, se demande si elle n’est pas allée trop loin en engendrant une génération d’enfants-rois.
« D’une certaine façon les enfants en Suède sont vraiment mal élevés », indique à l’AFP David Eberhard, psychiatre et père de six enfants.
« Ils crient s’il y a des adultes qui parlent à table, ils vous interrompent sans arrêt et ils exigent la même place que les adultes », relève-t-il.
Son livre « Comment les enfants ont pris le pouvoir » explique que l’interdiction des châtiments corporels que la Suède a été la première au monde en 1979 à introduire dans son code pénal a peu à peu dérivé en interdiction de corriger les enfants de quelque manière que ce soit.
« Bien sûr il faut écouter ses enfants mais en Suède c’est allé trop loin. Ils ont tendance à tout décider dans les familles: quand se coucher, quoi manger, où partir en vacances, même la chaîne de télévision », estime-t-il, qualifiant les enfants suédois de mal préparés à la vie adulte.
« On voit beaucoup de jeunes qui sont déçus de la vie: leurs attentes sont trop élevées et la vie trop dure pour eux. Cela se manifeste par des troubles de l’anxiété et des gestes d’autodestruction, qui ont augmenté de manière spectaculaire en Suède », ajoute le psychiatre.
Ses thèses sont contestées par d’autres, comme le thérapeute familial Martin Forster, qui relève qu’à une échelle mondiale les enfants et adolescents suédois se disent parmi les plus heureux de leur sort.
« La Suède a véritablement été inspirée par l’idée que les enfants devraient être davantage placés au centre des préoccupations et écoutés », explique-t-il.
Selon lui « le fait que les enfants décident de trop de choses, c’est une question de valeurs. Des points de vue différents sur l’éducation et l’enfance génèrent des cultures différentes ».
Le débat sur le mauvais comportement des enfants revient régulièrement dans les discussions sur l’école, qui peut en paraître victime.
Début octobre, Ola Olofsson décrivait dans le journal où il travaille son effarement après s’être rendu dans la classe de sa fille. « Deux garçons s’insultaient, et je n’avais même pas idée qu’à sept ans on connaissait des mots pareils. Quand j’ai essayé d’intervenir ils m’ont insulté et dit de me mêler de mes affaires », raconte-t-il à l’AFP.
Près de 800 internautes ont commenté sa chronique. Dont un enseignant de maternelle qui a rapporté ces paroles d’élèves de quatre ou cinq ans à qui on donne une tâche: « Tu crois que j’ai envie? » Ou encore: « L’autre jour un enfant de quatre ans m’a craché dessus quand je lui ai demandé d’arrêter de grimper sur des étagères ».
Le gouvernement a tenté de réagir.
Après une étude en 2010 sur le bien-être de l’enfant, il a offert aux parents en difficulté un cours d’éducation appelé « Tous les enfants au centre ». Sa philosophie: « des liens solides entre enfants et parents sont le meilleur socle à l’éducation harmonieuse d’individus sûrs d’eux et indépendants à l’âge adulte ».
L’un de ses principaux enseignements est que la punition ne garantit pas un bon comportement à long terme, et qu’instituer des limites à ne pas dépasser sous peine de sanction n’est pas toujours la panacée.
« Les parents sont surtout formés à adopter le point de vue de l’enfant. Si on veut qu’il coopère, la meilleure manière est d’avoir avec lui une relation étroite », souligne la psychologue Kajsa Lönn-Rhodin, l’une des conceptrices du cours.
« Je pense que c’est un plus grave problème quand les enfants sont maltraités (…), quand ils reçoivent une éducation brutale », estime-t-elle.
Marie Märestad et son mari ont suivi le cours en 2012, à un moment où ils n’arrivaient plus à raisonner leurs filles de deux et trois ans à table.
« On a découvert qu’on leur faisait constamment des réflexions, qu’elles se chamaillaient beaucoup (…) On avait beaucoup de disputes le matin au moment de s’habiller », se souvient cette mère de 39 ans, entraîneur à domicile.
« Notre cadette faisait des crises et rien ne marchait (…) On a eu des moments assez difficiles alors on a pensé que ce serait une bonne idée d’avoir des tuyaux, des conseils », raconte-t-elle, interrogée dans sa maison de Stockholm.
Le cours l’a aidée à « ne pas se battre sur tous les fronts » et mieux dialoguer. Mais pour elle, les enfants dominent souvent dans les foyers suédois. « On le voit avec beaucoup de nos amis, ce sont les enfants qui commandent, on dirait« .
D’après Hugo Lagercrantz, professeur de pédiatrie à l’université Karolinska de Stockholm, la forte adhésion des Suédois à la démocratie et à l’égalitarisme en a amené beaucoup à vouloir faire ami-ami avec leurs enfants.
« Les parents essayent d’être trop démocratiques (…) Ils devraient se comporter en parents et prendre les décisions, pas essayer d’être sympa tout le temps », déclare-t-il.
Il voit pourtant certains avantages à ce style éducatif. « Les enfants suédois sont très francs et savent exprimer leur avis », affirme-t-il. « La Suède n’est pas très portée sur la hiérarchie et d’une certaine manière c’est une très bonne chose. C’est une des raisons pour lesquelles le pays va relativement bien d’un point de vue économique ».
Hier ils étaient incapables de dire non aux enfants, à présent, ils sont, en plus, incapables de dire non aux immigrés qui imposent leur modèle, leurs croyances, leur brutalité…
La Suède, capitale du viol en Occident ? Qu’on se le dise…
https://fr.gatestoneinstitute.org/7320/suede-viol
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http://www.fdesouche.com/805743-malmo-suede-les-habitants-de-la-ville-plurielle-fetent-le-reveillon-au-mortier
Merci Fallaci je ne suis pas observatrice, mais je ne vois que des feux d’artifice, pourquoi est-il question de mortier ?
Bonjour Christine,
Je vous adresse ainsi qu’à votre équipe, une année 2017 comblée de réussite et, j’en profite pour vous remercier et honorer votre immense travail et talents dont vous nous gratifiez fidèlement. Vous m’avez beaucoup manqué durant votre break indispensable et je suis très heureuse de vous retrouver.
Je vous propose, si cela vous intéresse, d’aller récupérer sur fdesouche une vidéo assez impressionnante. A Malmö (Suède) les habitants de la ville plurielle fêtent le réveillon au mortier, cela ressemble davantage à une attaque et il faut voir la tronche des auteurs.
Je vais vous joindre le lien.
Merci Fallaci pour ces encouragements, et merci pour votre participation intense à notre site !
Une société de truffes et de dégénérés est plus facile a manipuler !
Libérer les enfants du joug des adultes parents pour mieux dominer ces derniers, en les tenant sous la tutelle de la loi et pire en faisant des enfants des délateurs de leurs parents pour une simple gifle ou fessée. L’idée ne leur est sans doute pas venue tout de suite mais chemin faisant, nos « élites » ont bien compris le parti qui pouvait en être tiré. Ainsi sous couvert d’humanisme, on déstabilise les adultes en en faisant en quelque sorte des mineurs à vie sous la tutelle de « la société » représentée par les institutions judiciaires et sociales. Cette société sous couvert de toujours plus de « protection » devient répugnante, avilissante, dégradante pour l’être humain totalement infantilisé, manipulé. C’est effrayant pour l’avenir.
On pourrait croire qu’ils cherchent à dissuader les parents d’avoir des enfants, de plus si l’ un des parents devait aller en prison, l’ enfant pourrait culpabiliser et tomber dans une névrose.
Merci Christine,( et aussi à Ulysse pour son commentaire de soutien que je partage). La mesure prise est symptomatique , comme le souligne Celtillos, des poussées communautaristes essentiellement musulmanes, et de leurs habitudes. Des enfants sont les alibis permanents des infractions, au motif de leur innocence et de leur autre « culture ». Moi et mes proches en voient les effets dans l’Hérault depuis plus de dix ans. Nous nous relayons pour empêcher les dégâts permanents à l’environnement, au savoir-vivre, sur les adultes ou vieilles personnes de « souche ». Mais le mensonge automatique de certains parents, vis-à-vis des voisins, des instituteurs(trices), des enfants d’autres communautés, et même des infirmes n’est pas un bon présage.Les villes peinent à recruter des médiateurs, ou ce sont les plus souvent des maghrébins musulmans, complices.Jamais ces enfants ou ados ne seront des citoyens. Truands à la petite semaine, profiteurs, tricheurs, têtes à claques envers lesquels il ne peut plus y avoir d’indulgence, mais des sanctions fortes et pénales, à défaut des fessées en temps nécessaire. Mais leur entendement est fermé, leur éducation inexistante.Tristes perspectives à court terme..
Bravo ma chère Christine, tu as décidément toujours quelques neurones d’avance, c’est le moins qu’on puisse dire ! Mais comment ne pas être très très pessimiste… j’avoue que je ne vois plus où dénicher un minimum d’espoir.
Merci ami pour cette jolie invention « quelques neurones d’avance »… Comment ? En agissant le plus possible puor une solution dans les urnes… sinon en luttant pied à pied, tout change, tout bouge, en avant, on verra ensuite ! bises
Merci de remonter aussi le moral des troupes, je me sens quand même bien seul dans ma province, et les arguments sont encore si difficiles à utiliser face aux interlocuteurs-mous. Ta présence manque. Amitiés patriotes à toi et Pierre !
je sais mais tu ne vas pas te décourager je te connais, bises de nous deux
Ce qui me rend dingue, en fait, c’est de réaliser que ça fait plus de dix ans que nous répétons, que vous répétez les mêmes choses, que tous les articles, tous les commentaires, tous les témoignages ne font que reprendre les mêmes arguments, à partir des mêmes constats, que toute notre activité intellectuelle, toute notre énergie morale et vitale, toute notre révolte ont comme bases et comme moteurs les mêmes souffrances, les mêmes frustrations, les mêmes colères ; et que, bien que tout cela soit non seulement justifié – et amplement, et terriblement – mais d’une effrayante urgence, nous avons encore, avec les neuf dixièmes de nos interlocuteurs, l’impression de crier dans le désert – quand, déjà, il nous est possible de dire les choses.
Alors c’est, jour après jour, à désespérer de la nature humaine et, finalement, des simples facultés intellectuelles, du simple bon sens des hommes.
Et c’est très dur à vivre.
Ben oui ! Bien sûr !
Voilà ce qui se passe en Europe parce que cela se passe en Allemagne et que l’Allemagne c’est l’Europe et donc il y a bon espoir demain pour la France qui est un vassal européen.
Les autorités allemandes recourent de plus en plus souvent à des mesures étranges dans leur lutte contre le crime qui règne depuis un an déjà non seulement près des centres d’accueil pour les migrants, mais aussi sur les sites centraux des villes historiques allemandes comme Cologne.
Cologne embauche des migrants-agents de sécurité qui désertent leurs postes
::https://fr.sputniknews.com/international/201612301029416773-policiers-migrants-agressions-securite-travail/
Interdisez la fessée et bientôt vous accorderz la lapidation. Comme en 1940, les français sont passés à l’occupant. Je m’arrête de passer mon temps à commenter, vous l’aurez voulu. et vous l’avez mérité.
on voit ce que cela donne avec les enfants de populations importées communautaristes ou l’enfant (surtout le fils) est roi, on va en faire des gibiers de potence comme beaucoup de chances pour le France, le but est non seulement de les abrutir, mais en plus de leurs enlever tout repères ou garde fous.
Bonjour Christine
eh oui les enfants feront de plus en plus en plus la loi.
Vous savez qu’à l’adolescence se sont eux qui battront leurs parents, ça a déjà commencé dans certains foyers d’enfants rois.
Et après ces enfants devenus grands ne respecteront personne, alors comment cela se passera-t-il devant un employeur, devant un juge, devant n’importe qui d’autre qui ne sera pas du même avis?
Les enfants ont besoin qu’on leur donne des repères, même si pour cela on doit les « engueuler ». C’est quoi, ces lois? N’ont rien d’autre à faire, nos gouvernants?
La vie en société quelque part, c’est du formatage, du dressage dans certains cas, il ne faudrait pas l’oublier.
Moi je suis formatée française de souche, avec « bonjour, merci, au revoir etc… »
en France c’est très bien.
Ce n’est déjà pas le cas de tout le monde.
Les enfants bousculent sans s’excuser, ce n’est que le début…
Après ils deviennent…des sauvageons?
Oui, la vie en société suppose que tout le monde applique les mêmes règles. On l’admet pour le code de la route (et dans certaines situations, c’est bien désagréable de s’y conformer). Il faut aussi un code de la vie en société.
Dressage et formatage sont un peu nécessaires, surtout avant l’âge de raison qui ne vient que vers sept ou huit ans. A quoi servent les raisonnements si on n’a pas encore « l’âge de raison » ?
Ils peuvent dire ce qu il veulent
il ne me diront jamais ce que je doit
penser ou faire