Nous étions avec les policiers à Narbonne : faites comme nous

A Narbonne, nous n’étions qu’une petite quinzaine de « civils » avec une cinquantaine de policiers. On a bien compris devant l’accueil chaleureux qu’ils nous ont réservé ( arrivés à trois) et l’explication de leur colère qu’ils étaient en grand besoin de reconnaissance populaire et heureux que des citoyens participent à leurs rassemblement.

Les policiers ne sont pas pour la plupart des privilégiés, ils ont une famille qui parle, qui voit les choses, ils sont directement attachés au peuple en ce sens. Le moment venu tout cela compte.

Alors la participation citoyenne est plus que jamais vitale: C’est flagrant si cela évite que beaucoup parmi eux se découragent.

Pour les militaires, hors carrièristes c’est la même chose, mais je crains que pour ces derniers, les priorités ne soient pas du tout les mêmes.
D’autant que le communautarisme et les pratiques qui vont avec semble être très avancés: C’est certainement voulu par les élites, comme le démantèlement de la police de proximité, au cas où…

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8 Comments

  1. ils ont signes ..ils sont aux ordres ..ils sont meprises par leur hierarchie ,mais ils tabassent la population quand ont leur ordonne …!! qu ils demissionnent ..!!

  2. Anne a raison, les policiers sont-ils prêts à se mettre du côté du peuple français en cas de soulèvement ou bien comptent-ils obéir aux ordres et tirer sur les résistants ?
    il faut savoir ce qu’on soutient avant de soutenir sans réserve

  3. Il.est fondamental que nous soutenions de manière effective et efficace les protecteurs légaux que sont les policiers.
    En effet,ils sont avant nous les cibles privilégiées des détracteurs de la France et des Français.

  4. Bonjour
    C’est très chouette Marti: Très entrainant. je ne connaissait pas du tout, pourtant « culturellement » j’aime explorer les sentiers inconnus.
    Ce ne sont pas nos médias qui risquent de le faire connaitre.

  5. Comme vous le savez maintenant, Louis et moi sommes « de gauche » – même si c’est devenu un gros mot. C’était la première fois que je me trouvais à soutenir les « gardiens de la paix », devenus les « forces de l’ordre » par la magie (noire) de nos élites.
    C’est de l’Aude qu’est partie la Révolte de 1907 (totalement occultée par l’Histoire), soulèvement de « sans-dents » affamés qui réussit à drainer policiers et armée. En face, Le Tigre…
    Aujourd’hui, la police est dans la rue et appelle les citoyens à les soutenir.
    Mais ce que j’attends, c’est qu’ils nous appelle à les suivre, à cesser de travailler, de consommer. Qu’ils nous disent qu’en cas de révolte populaire, ils seront de notre côté, qu’ils refuseront de nous arrêter, de nous tirer dessus. Comme en 1907.

    • Bonjour,
      Cela a été quand même connu dans les années 70 grâce à une jolie série, « Ces grappes de ma vigne », avec les chansons de Marti en prime !

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