Sexe et migrants : et les fresques érotiques des temples de Khajuraho ?

http://resistancerepublicaine.com/2016/05/30/lallemagne-pousse-les-migrants-a-utiliser-la-pornographie-pour-mieux-sexciter/

Ce manuel est un aveu d’impuissance des autorités allemandes et pourrait avoir effectivement l’effet inverse du but escompté.
On peut faire leur éducation plus simplement, en leur présentant par exemple les fresques de Khajuraho, http://www.escapetdecouv.com/archives/2014/10/29/30856625.html où il est présenté de façon explicite ce que l’on peut faire ou ne pas faire.

Considérer des personnes comme des indigents sexuels en les dévalorisant face à leur libido peut effectivement encourager un passage à l’acte.

En Allemagne et ailleurs, on est de plus en plus dépassé au point de « marcher sur la tête ».

Les fresques érotiques des temples de Khajuraho !

Situé à 600 km au sud-est de New Delhi, Khajuraho est un village du Madhya Pradesh dont la réputation s’est établie autour des innombrables sculptures érotiques qui ornent quelques uns des vingt deux temples qui composent ce sanctuaire extraordinaire. Incarnations de la spiritualité et de la sensualité indienne, ces monuments spectaculaires étaient consacrés aux cultes hindouiste et jaïn. Ils ont été édifiés voici plus de mille ans par le peuple Chandela, une civilisation Rajpoute. Puis, après des siècles d’oubli, ils ont été révélés par des archéologues Anglais en 1838, mais ces milliers de sculptures ciselées dans le grès conservent encore aujourd’hui une part d’énigme pour les historiens de l’Art.

INDE_Madhya_Pradesh_KHAJURAHO_temple_de_Vishvanath

Au sein de la campagne indienne, le site de Khajuraho est effectivement célèbre pour ses abondantes sculptures érotiques qui ne représentent pourtant que 5 % de l’ensemble de ces exceptionnels chefs d’œuvres qui ont nécessité 300 ans de travaux, entre le IXe et le XIIe siècle, pour construire 85 temples dont seuls vingt deux subsistent encore aujourd’hui comme : Lakshmana (recouvert par des représentations de 600 dieux du panthéon indien), Kandarîya Mahadeva (construit durant les années 1025-1050, ce temple avec son sikhara haut de 30 mètres, est le plus grand du site et le plus riche par son ornementation avec ses 900 statues sculptées dans le grès jaune), Parshvanath, Vishvanath, Pârvatî, Kandariya Mahadeo,Chausath, etc.

INDE_Madhya_Pradesh_KHAJURAHO_temple_de_Parshvanath_

L’admirable état de conservation de ces incommensurables images de pierre est absolument unique en son genre, c’est la parfaite illustration du foisonnement de la culture indienne et l’élégance, la pureté, la finesse de ces représentations en font véritablement un lieu de visite incontournable en Inde. Mais la décoration sculptée ne se limite pas aux scènes érotiques ; on y trouve nombre d’activités quotidiennes, de batailles, danses, combats d’animaux, images des divinités et d’animaux fantasmagoriques, décors floraux et végétaux.

INDE_Madhya_Pradesh__KHAJURAHO_temple_de_Vishvanath

Inscrit au Patrimoine mondial de l’Humanité par l’Unesco en 1986, les fabuleux temples de Khajuraho ont été bâtis selon un plan identique, mais aucun n’est sculpté de la même manière. Les milliers de statues, bas-reliefs et allégories ne sont que spectacles pétrifiés, un livre d’histoire et de pierre à ciel ouvert qui révèle une foisonnante et inestimable iconographie sur les usages des simples mortels de l’époque, y compris leurs passions charnelles. La grâce du corps féminin y est exposée sous tous ses aspects et la sculpture traduit la diversité des attitudes, la souplesse des corps, la grâce des poses et l’intensité des regards. Les formes sont pleines, généreuses car la femme est ici le symbole évident de la fécondité, les attitudes sont toujours gracieuses, humbles et respectueuses.

INDE_Madhya_Pradesh_KHAJURAHO_sanctuaire_annexe_au_temple_de_Vishvanath_

Écrit par le sage indien Vatsyayana entre les Ve et VIIe siècles, le Kâma Sûtra (littéralement « les aphorismes du désir ») a probablement inspiré les artistes sculpteurs de cette époque en décrivant les multiples manières  employées par l’homme-dieu pour s’accoupler avec la femme-shakti en mettant l’accent sur l’amour (Kâma) et les positions du yoga qui tendent à l’harmonie du corps et de l’esprit.

Françoise PEURIOT et Philippe PLOQUIN

http://www.escapetdecouv.com/archives/2014/10/29/30856625.html

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4 Commentaires

  1. L’ignorance est le plus grand mal de l’humanité , tout ce qui n’est pas compris est détruit .

  2. Je suis étonné que les musuls n’aient pas encore détruit ces magnifiques fresques. Ces abrutis totalement inculte haïssent l’art qu’ils détruisent systématiquement. Attention à nos monuments et nos musées.

  3. Ces fresques admirables avaient aussi une valeur éducative. Elles ne sont malheureusement qu’une partie préservée du patrimoine de l’Inde précédant les invasions musulmanes. Les musulmans ont beaucoup détruit http://www.jaia-Bharati.org/histoire/hind-dom-musul.htm.
    Nous ne laisserons pas les déistes de tout crin, détruire le patrimoine mondial comme ils l’ont déjà fait. Ils s’en sont pris à la Mésopotamie, à la Syrie et aux bouddhas d’Afganistan. Ils veulent également détruire le sphinx et les pyramides http://www.dwekh-nawsha-france.com/letat-islamique-veut-detruire-le-sphinx-et-les-grandes-pyramides-degypte/.
    Les musulmans affirment qu’avant leur islam, l’humanité vivaient dans l’ignorance. Le ridicule de cette affirmation ne leur saute même pas aux yeux.

  4. Sculptures, Art tout ce que l’on ne trouvera jamais dans le monde musulman,

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