Un excellent article qui fait le point sur la politique d’immigration que nous subissons depuis plus de 40 ans, des dates, des faits, une analyse remarquable à retenir et à utiliser.
Ce regroupement familial qui inquiète les Français
Le sondage de l’IFOP publié le 20 avril montre que six Français sur dix, voire deux sur trois dans les couches populaires, souhaitent mettre fin à la politique française de regroupement familial.
Aujourd’hui contrôlé par le droit européen et garanti par le droit international conventionnel (donc sans caractère obligatoire mais appliqué par beaucoup de pays), le regroupement familial avait été introduit en France en 1976 dans le cadre ce qu’on appelait alors l’immigration de peuplement, soit un quart de siècle (une génération) avant qu’un fameux rapport de l’ONU ne préconise les « migrations de remplacement ». Le gouvernement s’était alors appuyé sur le « déficit de naissances » apparu pour la première fois en 1975, année au début de laquelle il avait institutionnalisé et commencé à promouvoir l’avortement.
Ce droit au regroupement familial, introduit par décret plutôt que soumis au vote, fut ultérieurement inscrit dans la constitution. Ses modalités pratiques sont par contre facilement modifiables au gré de l’inconstance démocratique. En particulier la durée de présence légale en France requise pour exercer ce droit, d’après l’article L411-1 du Code de l’Entrée et du Séjour des Etrangers et du Droit d’Asile, est actuellement de dix-huit mois (il y a dix ans il n’était exigé qu’un an), mais ce délai peut être modifié à tout moment. Le même article conditionne l’exercice de ce droit à la suffisance et la stabilité des ressources (du SMIC à 1,2 SMIC selon la taille de la famille), à la présence d’un logement adapté à la taille de la famille, et à la conformité aux « principes essentiels » de la vie familiale selon les lois du moment. Il est vraisemblable que si les Français ne sentent pas leur communauté protégée par ces réserves c’est parce qu’ils se doutent bien que la liste des ressources prises en compte, tout comme le montant lui-même, peut être modifiée afin d’intégrer toute nouvelle prestation sociale, et qu’il est plus rare d’être laissé en condition de sans domicile fixe quand on est étranger que quand on est français. Quant à l’acceptation des principes essentiels de la vie familiale, elle devrait suffire, en cas de volonté politique de respecter les dispositions votées par le parlement (comme l’article L411-1), à interdire le regroupement familial de toute personne adhérant à une idéologie prônant l’inégalité des sexes et le mariage prépubère et non librement consenti des enfants, et acceptant la polygamie et le viol. En effet un certain nombre de critères excluants s’appliquent individuellement aux ayants-droit dont l’un peut être refusé (en cas de menace à l’ordre public, à la morale ou à la santé publique) tandis que l’autre est accepté, mais par contre la condition d’acceptation des principes essentiels de la vie familiale s’applique à l’invitant, lui interdisant de faire venir le moindre parent. Nonobstant, les Français constatent évidemment qu’il n’est même pas nécessaire que l’exécutif fasse lever cette condition, puisqu’il ne la fait pas appliquer et que le regroupement familial est très largement accordé à des personnes n’acceptant pas ces principes essentiels et adhérant ouvertement à une idéologie qui les nie.
Ce droit au regroupement familial concerne les immigrés, à savoir les personnes qui ont obtenu une autorisation légale de séjour en France, avec la vocation de s’y installer. Il prévoit que les ayants-droit reçoivent un titre de séjour de la même catégorie que celui de l’invitant. Mais dans l’esprit de l’élu législateur, un réfugié, c’est-à-dire une personne qui, à titre individuel et dûment justifié, « craint avec raison d’être persécutée du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques », n’a pas vocation à immigrer et s’installer durablement en France, par conséquent on ne lui accorde qu’une autorisation de séjour de dix ans. Quant aux personnes protégées en France à titre subsidiaire, c’est-à-dire qui ne correspondent pas à la définition de réfugié mais qui risquent dans leur pays l’exécution capitale, la torture ou des risques graves individuels liés à un conflit armé, il ne leur est accordé qu’une autorisation de séjour (renouvelable en cas de persistance du risque) d’un an, donc inférieure au délai de présence exigé pour le regroupement familial, notion qui ne les concerne d’ailleurs même pas puisqu’elles n’ont pas vocation à s’installer durablement en France. Les textes devraient donc rassurer les Français : le regroupement familial ne concerne que les immigrés, pas les réfugiés ou les subsidiairement protégés.
Mais ce ne sont que des textes. Les Français qui ont vu le 24 août 2015 leur président s’associer, à Berlin, à l’appel de la chancelière allemande à l’immigration illégale de masse et à la suspension des accords de Schengen et Dublin, puis qui ont vu à la télévision le 9 septembre l’Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides, sur leurs impôts et en violation de sa mission et de la loi, raccoler en Allemagne des migrants hors-la-loi pour les emmener illégalement en France, peuvent avoir de sérieux doutes sur le respect par l’exécutif des textes votés par le législatif, et sur les intentions réelles de leur gouvernement.
Les Français, qui ont noté en septembre 2015 que leur gouvernement avait réussi à faire relever à 20% la part de migrants pour la France, au lieu des 14% que la Commission Européenne lui avait proposé en mai, ont pu aussi noter l’estimation du gouvernement allemand selon laquelle chacun des (au moins) deux millions d’intrus illégaux de l’année dernière devrait, en moyenne, générer l’arrivée de six autres si on leur accorde le regroupement familial, ce qui représenterait douze millions de regroupés pour l’espace Schengen dont deux millions et demi pour la France, à ajouter au demi-million à percevoir sur ceux arrivés en 2015. Autre arithmétique, certains ont pu calculer que, sans même prendre en compte les surcoûts de sécurité et de santé, le seul entretien de trois millions de bénéficiaires représenterait un impôt supplémentaire de 51 milliards d’euros la première année (Allocation Temporaire d’Attente plus hébergement en centre) puis 63 milliards les années suivantes (l’ATE étant remplacée par l’Allocation Mensuelle de Subsistance), voire d’après les projections de coût allemandes 150 milliards. Ils peuvent se douter que le gouvernement qui avait envoyé ses fonctionnaires recruter illégalement des clandestins à l’étranger (en leur promettant l’allocation d’oisiveté dite « ‘salaire d’Allah »), et à cet effet loué des locaux dans les gares allemandes et fait imprimer des affiches et dépliants en arabe aussi professionnels que ceux de l’autre légion étrangère, a dû maintenant charger ces mêmes fonctionnaires de la régularisation (illégale) massive de ces invités afin de permettre l’invitation dix-huit mois plus tard de leurs familles.
Les plus incrédules devant les cris d’alerte de Stratediplo ont constaté effectivement d’abord l’augmentation et l’annualisation du tribut à la Turquie, puis l’accord de transfert direct de Turquie dans l’espace Schengen sans canots ni coupe-barbelés, et enfin la discrète inauguration le 4 avril du pont aérien, et commencent à s’inquiéter de ses autres révélations ou anticipations.
En plus de la régularisation des illégaux de l’année dernière et de l’invitation de leurs familles, les Français craignent une offre de regroupement familial aux douze millions de nouveaux intrus clandestins que Federica Mogherini et Donald Tusk disent attendre, soit un potentiel de soixante-douze millions d’ayants-droit dont quatorze pour une France déjà ruinée.
Au-delà des familles des illégaux en cours de régularisation (illégale) et dont le regroupement familial (illicite) sera lancé selon les critères actuellement en vigueur pour les immigrés définitifs légaux, la Huitième Plaie (chez Lulu.com) imagine qu’il ne serait pas surprenant que le gouvernement procède aussi à une extension de la notion de famille, et donc des bénéficiaires du droit au regroupement familial, par un prolongement logique de la loi 2012-1560 qui a déjà incidemment étendu la qualité de parent aux alliés. Certes, cette loi soumise par le gouvernement au parlement un 31 décembre, et que cette étude présente comme une preuve de la préméditation et de la préparation de l’invasion migratoire, a été peu commentée par les députés qui l’ont votée comme par ceux qui réveillonnaient déjà, et peu de Français, hors les forces de l’ordre, savent qu’il est désormais interdit en France de contrôler l’identité et le titre de séjour d’une personne d’apparence étrangère.
Néanmoins le sondage de l’IFOP laisse entendre une certaine lassitude de la France devant les conséquences de l’immigration de peuplement lancée en 1976.
e sud car la guérilla albanaise conquit Tetovo après le cessez-le-feu.
Connues comme Accords d’Ohrid (l’ONU, l’OTAN et l’UE s’étant accordées pour les imposer à la Macédoine), les capitulations donnèrent à la minorité albanaise toute ce qu’elle aurait pu vouloir obtenir par les armes, sauf l’unification avec l’Albanie et la partie occupée de la Serbie, ce qui était effectivement le meilleur moyen de mettre fin aux combats. La langue macédonienne devint ainsi facultative pour les Albanais (et devint deuxième langue officielle), leur permettant de refuser légalement l’intégration nationale dans ce jeune Etat issu du dépeçage de la Yougoslavie et de préparer au contraire, dès l’école, l’unification culturelle et sentimentale avec les pays et régions albanophones voisins. Une partie des postes dans la police leurs furent réservés, en exception aux règles de recrutement (égalitaire et sur critères de compétences) nationales. Toutes les lois doivent désormais être écrites aussi en albanais, dispensant cette minorité d’apprendre la langue du pays. Des sièges parlementaires sont également réservés à des députés Albanais, ainsi dispensés du processus électoral national, et de plus il leur est accordé un droit de veto sur toute décision parlementaire susceptible de les concerner, c’est-à-dire de facto toute loi macédonienne. Moyennant quoi des troupes de l’OTAN purent entrer en Macédoine récupérer les armes amenées du Kossovo occupé par l’OTAN, puis restèrent pour contrôler la mise en oeuvre de toutes les réformes promises par le gouvernement (et rentrèrent au Kossovo ensuite). Moyennant quoi la Macédoine a évité une campagne de bombardements par l’OTAN similaire à celle menée contre la Serbie deux ans plus tôt.
Un tel programme de renforcement du communautarisme et de dispense d’intégration ne pouvait mener qu’au renforcement de l’irrédentisme et à la désintégration. Au printemps 2015, dans la même région qu’en 2011, à savoir Koumanovo (frontière avec la partie occupée de la Serbie), plusieurs coups de main ont été lancés par des unités albanophones en uniformes de « l’armée de libération du Kossovo », dotées d’armes de guerre et montées sur véhicules blindés. Le gouvernement macédonien, qui venait de refuser de participer aux hostilités de l’UE contre la Russie, soutient que ces unités sont venues du Kossovo occupé par l’OTAN, en tout cas elles ont de nouveau réussi, en quelques semaines, à susciter l’adhésion spontanée ou intimée de la population albanophone locale, faisant craindre que l’agression étrangère ne déclenche une guerre civile. Au deuxième semestre la Macédoine est devenue la route de passage de l’intrusion illégale massive appelée de Berlin en août, et vit passer sur son territoire à peu près l’équivalent de sa population. Il est certain qu’une déstabilisation complète aurait alors gêné ce transit migratoire, et elle n’eut pas lieu, ce qu’on expliqua par l’intervention de l’Union Européenne dans la vie politique macédonienne, imposant la promesse d’élections législatives sous un an, qui furent prévues pour le 5 juin 2016.
En préalable aux élections du 5 juin le gouvernement a annoncé récemment une amnistie d’une cinquantaine d’hommes politiques impliqués dans l’énorme scandale d’écoutes téléphoniques illégales qui avait éclaté l’année dernière et sérieusement pollué la vie politique. Des manifestations de protestation ont alors éclaté dans la rue, dénonçant l’amnistie réciproque de politiciens entre eux. On remarquera là, entre parenthèses, que l’amnistie concerne des politiciens actuellement au pouvoir mais aussi d’autres actuellement dans l’opposition, et on peut ajouter sans grand risque de se tromper que si la gauche était au pouvoir et la droite dans l’opposition, au lieu du contraire, la situation serait exactement la même, et si l’agitation n’avait pas été lancée à cette occasion on lui aurait trouvé un autre prétexte. D’ailleurs dès le deuxième jour des manifestations les oeufs ont été remplacés par des pavés et des coctels Molotov et le bâtiment présidentiel a fait l’objet de plusieurs tentatives d’incendie, radicalisation rapide et surprenante pour une simple affaire de magouille politicienne dans un pays confronté à des problèmes bien plus sérieux, tant au nord qu’au sud.
Il se trouve qu’en février un groupe de dix pays submergés par l’intrusion illégale massive s’est entendu sur la nécessité de restaurer l’application des accords de Schengen et de Dublin (suspendue en 2015 sur injonction des grandes puissances de l’UE), c’est-à-dire de rétablir un contrôle aux frontières à partir de début mars. La Macédoine ne pouvait logiquement plus laisser entrer des foules de clandestins si elles ne pouvaient pas ensuite passer dans les pays voisins. Des dizaines de milliers de migrants illégaux se sont donc retrouvés bloqués en Grèce, raison pour laquelle l’Union Européenne a vite négocié et signé un accord avec la Turquie pour que celle-ci reprenne une partie du corps expéditionnaire migratoire qu’elle avait débarqué en Grèce, et que l’Union irait ensuite chercher en Turquie par avion. Mais les décideurs immigratoires n’avaient pas l’intention de laisser fermer la voie terrestre (et maritime), puisqu’ils venaient de décider, en raison de la fermeture des frontières de la Serbie et des pays voisins de l’Autriche et de la Hongrie, de réorienter les flux un peu vers l’ouest (bien que plus montagneux), les faisant passer par la partie occupée de la Serbie, en chargeant les forces d’occupation de l’OTAN au Kossovo de transférer les intéressés de la frontière macédonienne à la frontière albanaise puis d’assurer leur transport par bateaux d’Albanie en Italie. Mais la Macédoine restait une voie de passage incontournable. On avait compris, dès qu’elle a rétabli ses contrôles frontaliers avec la Grèce, qu’elle serait déstabilisée.
Les portes seront rouvertes de l’intérieur, de gré ou de force, par le gouvernement actuel ou par le prochain. Donnant le ton, la Grèce, encore menacée de mise en faillite par le FMI la semaine dernière, objet d’incursions aériennes quotidiennes par l’aviation turque et soumise au chantage d’un accroissement de l’invasion de ses îles, a elle-même reproché au gouvernement macédonien l’usage d’outils de maintien de l’ordre (lacrymogènes et balles de caoutchouc…) pour repousser les tentatives d’enfoncement de sa frontière. Or, sachant que l’effectif de candidats à l’intrusion par effraction, en attente et échauffement dans le camp d’Idomeni (côté grec), est déjà officiellement supérieur à l’effectif total de l’armée macédonienne, sifflets et matraques ne pourront pas suffire à les contenir.
Comme si cette situation ne portait pas assez de risques de déstabilisation, l’Union Européenne a intimé au gouvernement macédonien d’annuler les élections législatives qu’elle avait elle-même exigées. Le motif de cette intimation n’est pas seulement que l’opposition n’a aucune chance de l’emporter dans la situation de crise multiple actuelle, mais qu’on cherche désormais des thèmes politiques forts pour mobiliser et manipuler les foules de manoeuvre qui constituent toujours, dans les scenarii bien préparés de « révolution de couleur », la couverture et le véhicule des petits commandos professionnalisés (par Otpor) banalisés, chargés des provocations d’escalade de la violence, des éliminations physiques ciblées puis de l’escorte et la mise en place du futur pouvoir.
De leur côté, les populations européennes sont préparées à l’issue inéluctable par leurs médias qui, comme d’habitude, commencent par remplacer l’expression « gouvernement macédonien » par « régime Ivanov », puis l’accusent de la pire des infâmies, celle d’être « soutenu par Poutine ». Ce n’est d’ailleurs pas faux, puisque le gouvernement russe, toujours respectueux de la légalité internationale et de la souveraineté des pays tiers, s’interdit de soutenir les mouvements internes « d’opposition » violente, c’est-à-dire de déstabilisation armée, et continue son dialogue diplomatique avec le gouvernement légal de tous les pays du monde, y compris d’ailleurs ses ennemis (Géorgie ou Turquie par exemple). Pour leur part, les Etats-Unis ont aussi clamé que les élections sont inopportunes et la presse annonce que les pays de l’OTAN menacent la petite Macédoine de « sanctions », langage essentiellement destiné à faire savoir au monde qu’un jugement a été rendu et que le pays est mis au ban des nations, bien qu’on ne compte pas prendre le temps de déterminer et appliquer la moindre sanction.
La déstabilisation est en cours et prévue pour être conclue rapidement. Trois pions sont en place, les foules de manoeuvre Otpor au centre, les unités albanaises supplétives de l’OTAN au nord, et la division asiatique venue à pied (et en canots) de Turquie au sud. Les carottes de la macédoine sont cuites.
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Le présentt article est une bombe d’infos.
Ci-dessous je recolle un article (confirmant le présent édito de Christine) et déposé, ce jour, en commentaire de deux autres. Ceci, pour ceux qui ne lisent pas toutes les pages de RR.
EXTRAITS
Confidentiel Défense Processus :
UNIQUEMENT POUR LE MINISTRE
Traité d’État du 25/5/49
Ici : Perte de la copie officielle N°4
Très honoré Monsieur le Ministre, La copie N°4 du traité d’État entre les puissances Alliées et le gouvernement provisoire de l’Allemagne de l’Ouest du 21 mai 49 est définitivement égarée.
Ce traité d’État secret révèle entre autres :
– la hauteur de contrôle média des Alliés sur les journaux et les radios allemands jusqu’en 2099.
– les dits « Actes du Chancelier », soit le document écrit que chaque Chancelier Federal de l’Allemagne doit signer sur ordre des Alliés, avant de prononcer le serment de ses fonctions, *
(…)En examinant cette note interne, je « voyais » les Bundeskanzler successifs les plus populaires, Konrad Adenauer, Willy Brandt, Helmut Schmidt, Helmut Kohl et Angela Merkel jurer en secret les « Actes du Chancelier »… En réalité, ils ont juré d’être les esclaves fidèles de Washington et de lui obéir en tous points jusqu’en 2099 !
(…)Les Allemands ne doivent pas savoir qu’ils ont été mis en esclavage. Et que les médias germaniques sont entre les mains des intérêts américains qui leur dictent ce qu’il faut dire, écrire et penser.
À bien y regarder, il me semble que c’est aussi le cas des médias en France : JP Morgan ne dispose-t-il pas d’un pourcentage très confortable dans le capital de TF1 ?
Source : 666, Pierre Jovanovic
http://www.transparenceverite.com/2016/05/le-document-secret-par-lequel-les-etats-unis-ont-mis-l-allemagne-en-esclavage-jusqu-en-2099.html
L’article est bien fait mais il ne prend pas en compte ce qui se passe aujourd’hui..
En catimini les campements des immigrés sont vidés systématiquement. Quelques centaines sont amenés aujourd’hui dans des centres pour les lotir (leurs donner les papiers et les aides sociales), ensuite en peu de temps d’autres arrivent et on le vide, on les loti tous. Comme ça on se rende pas comptes des chiffres !!!!!!! Absorbons nous le Vantimi?????? – comme ça ni vu ni connu!
surtout sortir de l’Europe et fermer les frontières!!!
L’immigration est une plaie pour nous européen. La conquête, la guerre qu’ils nous font ou qu’ils vont nous faire et la mort dont ils nous menacent en permanence par leur religion de merde, incompatible avec notre société, tout ça est voulu par nos gouvernements. Il faut leur faire la même chose, et leur faire sentir qu’on ne les aime pas comme en Corse ou une salle de prière à cramer.
Bravo les Corses. L’islam DEHORS.
Pour le complément sur la huitième plaie, je regrette que n’aie pas été abordée la question des djihadistes infiltrés parmi les migrants, car il ne s’agit pas simplement d’un remplacement de population, mais d’une volonté d’extermination de toute une race par des dirigeants européens qui n’ont pas envie de se salir les mains…..
L’arrivée de tous ces migrants et le regroupent familial accompagnés de toutes les allocations financées par nos impôts qui nous transforment en dhimmis, ne sont ni plus ni moins que de la discrimination raciale envers les peuples de souche.
ce regroupement familial qui inquiète les Français il faut le supprimer définitivement et le remplacer pour nos compatriotes et sortir de cet Europe de merde et refermer toute nos frontières voilà ce qu’il faut faire et ensuite dès que c’est fait juger tous ces traîtres politiques par un tribunal du vrai peuple Français .