Selon le ministère russe de la défense, la Turquie est le principal consommateur de pétrole produit dans les territoires sous le contrôle de l’Etat islamique.
Peut-on encore parler de relations « froides » ? Car entre la Turquie et la Russie, le ton s’embrasent au gré des nouvelles déclarations et accusations. L’affaire de l’avion russe abattu par Ankara ne passe pas. Et Vladimir Poutine, comme à son habitude, ne songe plus qu’à faire montre de son intransigeance.
Le ministre des affaires étrangères russes Sergei Lavrov doutait déjà que l’incident du Soukhoï 24 en soit vraiment un. Et que ces évènements ne soient pas autre chose qu’une « provocation planifiée ». Désormais, les accusations du Kremlin se font encore plus pressantes et précises.
La Russie explique d’emblée qu’en abattant un avion en mission antiterroriste, le gouvernement turc s’est clairement rangé du côté de l’Etat islamique.
Aujourd’hui, le ministère russe de la Défense accuse le président turc Recep Tayyip Erdogan d’être impliqué dans des transactions financières avec le groupe djihadiste, qui contrôle une partie de la Syrie et de l’Irak.
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LE MOMENT VENU ET CHOISI….
POUTINE VA METTRE TOUT LE MONDE D ACCORD….
POUTIEN COMME A DIT GARRY KASPAROV….GRAND MAITRE MONDIAL DES ECHECS…
POUTINE VA DEVENIR UN PROBLEME MONDIAL…