Allemagne : vague de viols par des migrants

Allemagne : vague de viols par des migrants

par Soeren Kern, 20 septembre 2015

Texte original en anglais : Germany: Migrants‘ Rape Epidemic

Traduction : Stefan Frank

Bien que le viol ait déjà eu lieu en juin, la police l’a tenu secret pendant près de trois mois, jusqu’au moment où les médias locaux en ont parlé. Comme l’écrit le Westfalen Blatt, la police refuse de rendre publics des délits auxquels sont mêlés des réfugiés et des migrants, parce qu’elle veut éviter de légitimer la critique de l’immigration de masse.

Dans un centre d’hébergement pour réfugiés à Detmold, une jeune fille musulmane de 13 ans a été violée par un autre demandeur d’asile. Selon les reportages, la fille et sa mère avait fui leur patrie pour échapper à une culture de violences sexuelles.

Au moins 80 pour cent des réfugiés/migrants du centre d’accueil de Munich sont de sexe masculin. … Le tarif d’un rapport sexuel avec des demandeurs d’asile féminins est de 10 euros (Bayerischer Rundfunk).

Dans la ville bavaroise de Mering, où une jeune fille de 16 ans a été violée le 12 septembre, la police a mis en garde les parents, leur demandant de ne pas laisser leurs enfants sortir de la maison sans être accompagnés. À Poching, en Bavière, la direction du lycée Wilhelm Diess demande aux parents à ne pas laisser leurs filles porter des tenues osées, pour éviter des « malentendus ».

« Quand de jeunes musulmans mineurs vont à la piscine, le vue de jeunes filles en bikini les dépasse complètement. Ces jeunes, dans le milieu culturel desquels la peau nue de femmes est très mal vue, les poursuivent et les serrent de près – sans en avoir l’intention, mais cela provoque naturellement des peurs », selon un politicien local de Bavière cité par le quotidien Die Welt.

Une descente de police dans le centre pour réfugiés de Munich a révélé que le personnel de garde, engagé pour assurer la sécurité des installations, faisait commerce de drogues et d’armes et toléraient la prostitution.

En même temps, le viol de femmes allemandes par des demandeurs d’asile est monnaie courante. De plus en plus de femmes et jeunes filles hébergées dans des centres d’accueil pour réfugiés sont violées ou agressées sexuellement d’une autre manière par des demandeurs d’asile de sexe masculin et même forcées à se prostituer – c’est ce qu’ont rapporté des associations sociales disposant d’informations de première main. De nombreux viols sont perpétrés dans des centres d’hébergement mixtes, dans lesquels les autorités allemands obligent des milliers d’hommes et de femmes à utiliser par manque de place les mêmes dortoirs et installations sanitaires.

Dans certains centres, la situation est à ce point dangereuse pour les femmes et les jeunes filles que les femmes y sont qualifiées de « proies faciles » obligées de se défendre contre les agressions par des hommes musulmans. De nombreuses victimes gardent le silence – par peur de vengeances – disent les assistants sociaux.

Pendant ce temps, dans les villes et les villages partout dans le pays, des femmes allemandes sont violées par des demandeurs d’asile venant d’Afrique, d’Asie et du Proche Orient. Ces crimes sont souvent minimisés par les autorités et les médias nationaux, manifestement par peur d’enflammer l’opinion publique contre les immigrants.

L’union de quatre organismes sociaux et organisations féministes a adressé le 18 août une lettre de deux pages au porte-parole politique des femmes des groupes parlementaires au Landtag de Hesse, dans laquelle a été donnée l’alerte au vu de la situation de plus en plus préoccupante des femmes et des enfants dans les centres d’hébergement pour réfugiés. La lettre dit ceci :

« L’afflux de réfugiés en croissance ininterrompue a pour effet une aggravation supplémentaire de la situation au centre de premier accueil de Gießen (HEAE) et dans ses antennes extérieures, notamment pour les femmes et les jeunes filles. »

« L’hébergement dans d’immenses tentes, des installations sanitaires non séparées pour les deux sexes, des locaux ne fermant pas à clé, l’absence de locaux où se retirer pour les femmes et les jeunes filles – pour ne citer que quelques-uns des facteurs ayant trait aux locaux – augmentent le manque de protection des femmes et des enfants au sein du centre HEAE. Cette situation joue en faveur de cette sorte d’hommes qui attribuent de toutes façons un rôle inférieur aux femmes et traitent les femmes voyageant seules de « proies faciles ».

« La conséquence en est un grand nombre de viols et d’agressions sexuelles, on parle aussi de plus en plus de prostitution forcée. Il faut dire sans ambiguïté qu’il ne s’agit pas de cas isolés ici. »

« Les femmes rapportent qu’elles-mêmes, mais aussi des enfants, ont été victimes de viols ou sont sous la menace d’agressions sexuelles. C’est ainsi que de nombreuses femmes dorment en tenue de ville et rapportent régulièrement ne pas aller aux toilettes la nuit parce que des agressions et des viols y sont commis sur le chemin qui y mène et dans les installations sanitaires. Même en plein jour, le passage dans le camp représente déjà pour beaucoup de femmes une situation source d’angoisse. »

« Nombreuses sont les femmes qui – outre la fuite devant la guerre ou les guerres civiles – sont en fuite pour des raisons spécifiques à leur sexe, comme par exemple un mariage forcé imminent ou une mutilation des parties génitales. Dans leur fuite, ces femmes sont exposées à des dangers particuliers, notamment si elles sont en route toutes seules ou uniquement avec leurs enfants. L’accompagnement par des parents ou des connaissances de sexe masculin ne protège cependant pas toujours contre des épisodes de violence, mais peut également mener à des dépendances particulières et à une exploitation sexuelle. »

« La plupart des femmes en fuite ont vécu une multitude d’épisodes traumatisants dans leur pays d’origine et au cours de leur fuite. Elles ont été la victime de violences, d’enlèvements, de tortures, de racket et de viols, parfois pendant des années. »

« Le sentiment d’être arrivé ici – en sécurité – et de pouvoir se mouvoir sans crainte, est un cadeau pour beaucoup de femmes. … C’est pourquoi nous vous prions de … vous rallier à notre demande d’installation immédiate de locaux protégés (logements fermés ou maisons) pour les femmes et enfants voyageant seuls. »

« Ces locaux doivent être équipés de telle sorte que les hommes n’aient pas accès aux locaux des femmes, sauf les forces de secours et le personnel de sécurité. De plus, que les dortoirs, pièces de séjour, cuisines et endroits sanitaires soient reliés de sorte à constituer une unité fermée – et donc accessible uniquement par l’entrée fermant à clé et surveillée de la maison ou du logement. »

Après que de nombreux blogs aient attiré l’attention sur cette lettre, le comité féminin régional  Landesfrauenrat (LFR) Hessen – ce lobby féminin qui avait initialement mis en ligne le document politiquement incorrect sur son site – l’a retiré d’Internet subitement et sans explication.

 Les viols et agressions sexuelles dans les hébergements pour demandeurs d’asile sont un problème d’envergure fédérale.

En Bavière, femmes et jeunes filles hébergées dans un foyer pour réfugiés dans la Bayernkaserne, une ancienne installation de la Bundeswehr à Munich, sont quotidiennement victimes de viols et de prostitution forcée, rapportent des groupes féministes. L’installation dispose certes de dortoirs séparés pour les femmes, mais on ne peut en verrouiller les portes et des hommes contrôlent l’accès aux installations sanitaires. Comme le rapporte la radio Bayerischer Rundfunk, au bas mot 80 pour cent des réfugiés/migrants du centre d’accueil munichois sont de sexe masculin. Le tarif pour un rapport sexuel avec des demandeurs d’asile féminins est de 10 euros, dit le rapport. Un assistant social décrit l’installation par ces mots : « Nous sommes le plus grand bordel de Munich. »

La police affirme ne pas avoir de preuves de viols – bien qu’une descente de police ait révélé que le personnel de garde, engagé pour assurer la sécurité du site, faisait commerce de drogues et d’armes et tolérait la prostitution.

Le 28 août, un demandeur d’asile de 22 ans originaire d’Érythrée est condamné à une peine de prison d’un an et huit mois après avoir essayé de violer une femme irako/kurde de 30 ans dans le centre d’hébergement pour réfugiés de la ville bavaroise de Höchsstadt. La peine a été réduite à cette période raccourcie parce que le défenseur avait convaincu le juge que la situation de son client au centre d’hébergement était désespérée : « Il tourne en rond depuis un an et se pose des questions – sur le néant. »

Le 26 août, un demandeur d’asile de 34 ans essaye de violer une femme de 34 ans dans la buanderie d’une installation pour réfugiés à Stralsund.

Le 6 août, la police annonce qu’une jeune fille musulmane de 13 ans a été violée par un autre demandeur d’asile dans un foyer pour réfugiés à Detmold. La jeune fille et sa mère avaient fui leur pays natal pour échapper à une culture de violences sexuelles. Il s’est avéré que l’auteur du viol venait du même pays que sa victime. Bien que le viol ait déjà eu lieu en juin, la police l’a tenu secret pendant deux mois, jusqu’au moment où les médias locaux l’ont rapporté. Ainsi qu’un journaliste du Westfalen Blatt l’écrit dans un commentaire, la police refuse de rendre publics des crimes impliquant réfugiés et migrants parce qu’elle veut éviter de légitimer la critique de l’immigration de masse. Le chef de la police, Bernd Flake rétorque que le silence sert la protection de la victime. « Nous continuons à suivre cette ligne [ne pas informer le grand public] quand les faits ont lieu dans les centres d’hébergement pour demandeurs d’asile. »

Le week-end du 12  au 14 juin, une jeune fille de 15 ans hébergée dans un foyer pour réfugiés à Habenhausen près de Brême est violée à plusieurs reprises par deux autres demandeurs d’asile. Parce qu’il y a escalade de la violence entre bandes rivales de jeunes venant d’Afrique et du Kosovo dans cette installation, on l’appelle « maison de l’horreur ». Dans ce foyer dont la capacité est de 180 personnes et qui comprend une cafétéria disposant de 53 places assises, vivent en tout 247 demandeurs d’asile.

En même temps, le viol de femmes allemandes par des demandeurs d’asile est monnaie courante. Ci-dessous, quelques exemples choisis qui se sont tous déroulés au cours de la seule année 2015.

Le 12 septembre, une jeune fille de 16 ans est violée par un « homme inconnu au teint basané parlant un allemand approximatif » aux alentours d’un foyer pour réfugiés à Mering, en Bavière. L’agression a eu lieu sur le chemin de retour de la jeune fille de la gare au foyer.

Le 13 août, la police arrête deux demandeurs d’asile irakiens âgés de 23 et 19 ans. Ils sont accusés d’avoir violé une femme allemande de 18 ans derrière la cour d’une école de la ville de Hamm, en Rhénanie du Nord/Westphalie.

Le 26 juillet, un garçon de 14 ans est victime près de Heilbronn d’une agression sexuelle dans les toilettes d’un train régional. La police recherche un homme « au teint basané » entre 30 et 40 ans « d’apparence arabe ». Le même jour, un demandeur d’asile tunisien viole une femme de 20 ans dans le lotissement Dornwaldsiedlung situé dans l’arrondissement de Karlsruhe. La police cache le crime jusqu’au 14 août, quand un journal local rend l’information publique.

Le 9 juin, deux demandeurs d’asile somaliens âgés de 20 et 18 ans sont condamnés à 7 ans et demi de prison. Le 13 décembre 2014, ils avaient violé une Allemande de 21 ans à Bad Kreuznach.

Le 5 juin, un demandeur d’asile somalien de 30 ans dénommé « Ali S. » est condamné à quatre ans et neuf mois de prison pour tentative de viol sur une femme de 20 ans à Munich. Auparavant, Ali avait purgé une peine d’emprisonnement de sept ans pour viol et n’était en liberté que depuis cinq mois avant de frapper à nouveau. Dans le but de protéger l’identité d’Ali S., un journal de Munich l’appelle de façon politiquement correcte « Joseph T. »

Le 22 mai, un Marocain de 30 ans est condamné à quatre ans et neuf mois de prison pour tentative de viol sur une femme de 55 ans à Dresde. Le 20 mai, un demandeur d’asile de 25 ans originaire du Sénégal est arrêté ; il avait tenté de violer une femme allemande de 21 ans sur la place dite Stachus (Karlsplatz) à Munich.

Le 16 avril, un demandeur d’asile de 21 ans venant d’Irak est condamné à une peine de privation de liberté de trois ans et dix mois. En août 2014, il avait violé une jeune fille de 17 ans à l’occasion d’une fête dans la ville bavaroise de Straubing. Le 7 avril est arrêté à Alzenau un demandeur d’asile de 29 ans pour tentative de viol sur une jeune fille de 14 ans.

Le 17 mars, deux demandeurs d’asile afghans âgés de 19 et 20 ans sont condamnés à cinq ans de prison pour le viol « particulièrement odieux » perpétré le 17 août 2014 sur une femme allemande de 21 ans  à Kirchheim près de Stuttgart.

Le 11 février, un demandeur d’asile de 28 ans, originaire d’Érythrée, est condamné à quatre ans d’emprisonnement pour le viol d’une femme allemande de 25 ans en octobre 2014 à Stralsund.

Le 1er février, un demandeur d’asile de 27 ans venant de Somalie est arrêté après avoir tenté de violer plusieurs femmes à Reisbach, en Bavière. Le 16 janvier, une femme de 29 ans est violée à Dresde par un immigrant marocain âgé de 24 ans.

Des douzaines d’autres cas de viols et tentatives de viol – cas pour lesquels la police recherche expressément des suspects étrangers (la police qualifiant souvent les suspects d’hommes des « pays du Sud », ne sont pas élucidés. Ci-après une liste incomplète du seul mois d’août 2015 :

Le 23 août, un homme au « teint basané » tente de violer une femme de 32 ans à Dortmund. Le 17 août, trois « hommes d’un pays du Sud » tentent de violer une femme de 42 ans à Ansbach. Le 16 août, un « homme d’un pays du Sud » viole une femme à Hanau.

Le 12 août, un « homme d’un pays du Sud » tente de violer une jeune femme de 17 ans à Hanovre. Ce même 12 août, un « homme d’un pays du Sud » se dévêt devant une femme de 31 ans à Kassel. Comme l’indique la police, un incident comparable s’était déjà déroulé dans un endroit proche le 11 août.

Le 10 août, cinq hommes « d’origine turque » tentent de violer une jeune fille à Mönchengladbach. Le même 10 août, un « homme d’un pays du Sud » tente de violer une jeune fille de 15 ans à Rinteln. Le 8 août, un « homme d’un pays du Sud » tente de violer une femme de 20 ans à Siegen. Le 3 août, un « Nord-Africain » viole une fillette de sept ans en plein jour dans un parc à Chemnitz. Le 1er août, un « homme d’un pays du Sud » tente de violer une femme de 27 ans au centre-ville de Stuttgart. En même temps, on demande aux parents de veiller à leurs filles. Dans la ville bavaroise de Mering, où une jeune fille de 16 ans a été violée le 12 septembre, la police met en garde les parents en leur demandant de ne pas laisser leurs enfants quitter la maison sans accompagnateur. Elle enjoint de plus aux femmes de ne pas revenir de la gare ou d’y aller seules, la gare étant située à proximité d’un centre d’hébergement pour réfugiés..

Dans la ville de Pocking, en Bavière, la direction du lycée Wilhelm Diess demande aux parents de ne pas laisser leurs filles porter une tenue osée, pour éviter des « malentendus » parmi les 200 réfugiés musulmans hébergés dans des centres de fortune à côté de l‘école. La lettre dit ceci : Les citoyens syriens sont majoritairement musulmans et parlent arabe. Les demandeurs d’asile sont façonnés par leur propre culture. Comme notre établissement se trouve à proximité immédiate, une tenue discrète de tous les jours devrait être appropriée pour éviter des écarts. Des hauts transparents, des shorts courts ou des minijupes pourraient donner lieu à des malentendus. »

Un politicien local cité dans le quotidien Die Welt déclare :

« Quand de jeunes musulmans mineurs vont à la piscine, le vue de jeunes filles en bikini les dépasse complètement. Ces jeunes, dans le milieu culturel desquels la peau nue de femmes est très mal vue, les poursuivent et les serrent de près – sans en avoir l’intention, mais cela provoque naturellement des peurs. »

L’augmentation de crimes sexuels en Allemagne est alimentée par le fait que des réfugiés/migrants venant en Allemagne sont en grande partie des hommes musulmans. Un chiffre record de 104 460 demandeurs d’asile sont arrivés en Allemagne en août, faisant grimper le chiffre total pour les premiers huit mois de l’année 2015 à 413 535. L’Allemagne attend cette année un total de 800 000 réfugiés et migrants, soit quatre fois plus qu’en 2014. Selon une estimation récente du Conseil central des musulmans en Allemagne (ZMD), au minimum 80 pour cent des réfugiés/migrants arrivants sont des musulmans.

Les demandeurs d’asile sont de plus des hommes pour la plus grande part. Sur les 411 567 réfugiés/migrants venus dans l’Union européenne cette année par la voie maritime, 72 pour cent étaient de sexe masculin, 13 pour cent étaient des femmes et 15 pour cent des enfants. Ceci ressort de calculs de l’agence des Nations Unies pour les réfugiés UNHCR. On ne dispose pas pour l’instant d’informations sur la répartition par sexes de ceux qui viennent par la voie terrestre.

Selon les statistiques de l’Office fédéral pour l’immigration et les réfugiés Bundesamt für Migration und Flüchtlinge, parmi les demandeurs d’asile arrivés en Allemagne en 2014, 71,5 pour cent des personnes de 16 à 18 ans étaient des hommes, parmi les personnes de 18 à 25 ans 77,5 pour cent étaient des hommes et 73,5 pour cent étaient des hommes parmi les personnes de 25 à 30 ans. On ne dispose pas encore de données pour l’année 2015.

Source : Agence de presse ADN (licence SMAD n° 101 du 10.10.46), y compris des informations et des articles de presse, de Zukunftskinder.org et de Glockenschlag du 05.10.2015.

Traduction Jean Schoving

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11 Commentaires

  1. Suède (ville de Kramfors) 25 novembre 2015: dans un hébergement d’asile une femme a été menacée de viol par trente hommes également demandeurs d’asile. Ils ont aussi menacé de tuer son fils. Raison: elle est venue en Suède sans son mari.
    La police suédoise a déplacé la femme et son fils. Les trente violeurs ont pu rester à l’hébergement. Un beau futur pour la Suède?!

  2. Les invasions barbares encouragées et orchestrées par l’HERPES ou regroupement de bobos repus et traitres à la patrie.

  3. Vous connaissez le dicton : « Fais du bien à un vilain, il te crache dans la main » ?

  4. Il est tout de même scandaleux que l’Etat Allemand ne prenne pas en compte les besoins sexuels de jeunes hommes plein de testostérone

    • Heu…. On va quand même pas leur payer des passes dans les maisons closes Allemandes en plus??!…

  5. ça vous étonne? Tuer, tuer et violer, voilà ce qu’ils apprennent dans leur « religion » !

  6. bien en tendu cela se passe partout!! que faire de tant de jeunes hommes qui pensent que les femmes occidentales sont toutes des putes? mais ici dans notre pays on vit les yeux fermés mais pour combien de temps?

  7. Bonjour
    J’ai du mal à croire que cela ne se passe pas également dans la Jungle de Calais, mais comme c’est l’OMERTA on ne nous dira rien pour ne pas entacher l’image « de ses pauvres migrants »!

    • Il faudrait que je retrouve les sources, mais je vous livre en vrac ce que j’ai lu ici et là au cours des derniers mois :

      1 – il semble que la raison principale de l’ouverture du centre Jules Ferry pour les femmes et autres « réfugiés » vulnérables (enfants, jeunes ados) ait été de les soustraire à la prostitution et aux agressions sexuelles de la jungle.

      2 – comme toutes les femmes n’ont pas de place à Jules Ferry, la prostitution dans la jungle continue, les tarifs sont de 2 ou 3 euros ! évidemment, les femmes ne sont ni « volontaires » pour le job, ni en free-lance, elles sont maquées par les gentils mâles réfugiés.

      3 – il y a quelques semaines, une militante « No Borders » a été violé dans la jungle par des réfugiés, et l’organisation a fait pression sur elle pour qu’elle se taise (il ne faut pas donner une mauvaise image des habitants de la jungle !)

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