Vous trouverez ci-dessous 5 articles tirés de la presse allemande qui est, pourtant, favorable aux réfugiés… Merci à Jean Schoving d’avoir tout traduit, accomplissant un vrai travail de Romain !
Il est affolant de lire tout cela et de voir la preuve par neuf que nous importons, en sus de centaines de milliers d’étrangers qui vont prendre nos logements et nos emplois ( du moins ce qu’il en reste), des problèmes incessants. Le communautarisme fait des ravages.
Backnang, Nuremberg, Hambourg, Brunswick… Toute l’Allemagne est touchée. Là où passent les « réfugiés » et leur haine de celui qui n’a pas les mêmes origines (ou la même religion ) qu’eux, le calme trépasse.
Syriens contre Afghans ensemble ? Une atteinte à l’honneur de l’un d’entre eux ? Bagarre généralisée à coups de balai, de poêle et d’autres ustensiles de cuisine, et pas pour faire semblent, 2 hélicoptères pour évacuer les blessés, 11 patrouilles de police contraintes d’intervenir… Et un assistant social supplémentaire le samedi !
Albanais et Afghans ensemble ? Algériens et Syriens ensemble ? Bagarres à coups de barres de fer entre trois à quatre cents personnes…
Ailleurs 200 réfugiés s’affrontent dans le centre qui les accueille…
Intolérance, violence, haine… Que du beau monde qui nous arrive par bateaux entiers !
Une question, fondamentale… Pourquoi le ministre de l’intérieur de Hambourg, Neuman, menace-t-il les « réfugiés » d’un billet de retour ? Saurait-il qu’il ne s’agit pas de véritables réfugiés et qu’ils ne risquent rien à retourner dans leurs pays ?
Christine Tasin
Premier article : Backnang
Escalade du conflit au centre pour demandeurs d’asile : deux hommes grièvement blessés
Bagarre dans un centre pour demandeurs d’asile à Backnang : deux personnes grièvement blessés.
Foto: Layher
Backnang.
Au cours d’un affrontement violent au centre pour demandeurs d’asile à Backnang, trois hommes ont été blessés, dont deux grièvement. Dans la salle de sport du centre d’enseignement professionnel Heininger Weg à Backnang, où sont actuellement hébergés 110 demandeurs d’asile, un conflit a éclaté entre un groupe de Syriens et un groupe d’Afghans. Selon la police, le conflit opposant 15 à 20 personnes a éclaté peu avant 14 heures dans le gymnase. L’employée de la société de sécurité sur place a appelé la police. Deux personnes ont été grièvement blessées dans l’après-midi. Une troisième personne a été légèrement blessée. L’identité des blessés n’est pas encore connue à l’heure actuelle. Onze patrouilles de police sont intervenues, y compris la police judiciaire et des maîtres-chiens. Selon le porte-parole de la police, Klaus Hinderer, la situation a pu être maîtrisée vers 14 h 30.
Comme la police l’a communiqué le soir, les participants à la rixe se sont affrontés à coups de balai, de poêle et d’autres ustensiles de cuisine. Deux Afghans ont été blessés avec une telle gravité qu’il a fallu faire appel à des hélicoptères de sauvetage pour les héliporter vers l’hôpital. Le pronostic vital d’un des deux hommes était encore engagé le soir, à l’unité de soins intensifs. La police a emmené quatre suspects au commissariat. L’enquête de la police judiciaire se poursuit. « Le motif du conflit était sans doute futile », a déclaré vendredi sur place Reiner Möller, responsable de la direction de la police judiciaire de Waiblingen.
Le soir, le sous-préfet du canton de Rems-Murr, Richard Sigel, a publié un communiqué : « Dans la cellule de crise, nous avons justement traité ce genre de scénario cette semaine pour pouvoir réagir rapidement dans un tel cas. Que cela soit devenu réalité aussi rapidement m’affecte beaucoup. Cela nous renforce malheureusement dans notre certitude qu’il faut continuer à accorder la première des priorités au thème de la sécurité. »
Selon les indications d’employés de la société de surveillance sur place à Backnang, il n’y avait jamais eu de problèmes auparavant. Afin de parer à d’éventuelles querelles, les six Afghans restant ont été envoyés hier dans d’autres centres d’hébergement. En outre, un assistant social se tient à disposition en sus le samedi à la salle de sport en tant que service d’assistance et qu’interlocuteur.
Les trois blessés sont hors de danger
Backnang (ngr).
Les trois demandeurs d’asile, jeunes adultes de moins de 20 ans blessés lors de la bagarre générale dans la salle de sport de Backnang transformée en hébergement, sont hors de danger et ont pu quitter l’hôpital. « Les blessures n’étaient quand même pas aussi graves que nous l’avions d’abord supposé », a déclaré un porte-parole de la police après interrogation par ce journal.
La querelle de vendredi a manifestement été déclenchée par des taquineries entre deux participants à un cours d’allemand, un Afghan et un Syrien, âgés de 16 et 18 ans. Prenant comme prétexte une atteinte à l’honneur, la querelle s’est envenimée plus tard vers midi et deux groupes d’adversaires se sont constitués, Afghans et Syriens, qui se sont battus à environ vingt l’un contre l’autre. Divers objets tels que de manches de balai ou des poêles ont été utilisés pour se battre. Le déroulement exact des faits est difficile à reconstituer, car il a fallu interroger un grand nombre de personnes et finalement, c’était la parole de l’un contre celle de l’autre.
En dernier ressort, c’est le tribunal qui doit juger de la question de la culpabilité.
Deuxième article : Nuremberg
http://www.sueddeutsche.de/bayern/nuernberg-sechs-verletzte-bei-schlaegerei-in-unterkunft-1.2686542
11 octobre 2015, 19 h 07
Nuremberg : six blessés lors d’une rixe dans un foyer
Lors d’une bagarre générale entre réfugiés à Nuremberg, au moins six personnes ont été blessées. Selon les indications données par la police ce dimanche, les forces d’intervention ont été appelées vendredi soir pour une rixe opposant 40 demandeurs d’asile dans un centre d’hébergement pour réfugiés dans le quartier de Neuröthenbach. À l’arrivée de la patrouille, toute trace d’un conflit avait disparu, semble-t-il. À la même heure, devant le foyer, un jeune de 17 ans a agressé un co-réfugié de 21 ans déjà blessé. Alcoolisé, il a fallu maîtriser le jeune homme et le menotter, avant de le placer en garde à vue. L’homme de 21 ans a été hospitalité pour des blessures au bras consécutifs à la bagarre. Des blessures ont été constatées chez cinq collaborateurs du foyer. La police enquête pour connaître le déroulement exact de la rixe.
Troisième article : Hambourg et Brunswick
Foyer pour demandeurs d’asile : bagarres entre réfugiés
Le point de départ de la bagarre à Hambourg était apparemment un conflit entre un Albanais et un Afghan dans les installations sanitaires.
Photo : Christian Charisius
Dans certains centres de premier accueil à Hambourg et à Brunswick, des bagarres ont éclaté mardi soir entre réfugiés de nationalités différentes.
Dans certains centres de premier accueil à Hambourg et à Brunswick, des bagarres ont éclaté le soir entre réfugiés de nationalités différentes. Dans un centre d’accueil à Hambourg, environ 30 Albanais et Afghans, certains armés de barres de fer, en seraient venus aux mains, a déclaré un porte-parole de la police le matin.
Au service administratif d’accueil régional (LAB) du Land de Basse-Saxe à Brunswick, un conflit a éclaté entre Algériens et Syriens, selon la police – 300 à 400 réfugiés auraient participé à la rixe. Après la querelle au camp du quartier hambourgeois de Wilhelmsburg, trois personnes ont été placées en garde à vue, selon la police. Aux dires de plusieurs témoins, l’une des personnes aurait appuyé une arme contre la tête d’un autre réfugié.
Malgré l’intervention d’un chien policier, l’arme n’aurait pas été retrouvée. Cinq personnes auraient été légèrement blessées au cours de la bagarre ; il a fallu hospitaliser l’une d’entre elles qui aurait été coupée au bras. Il n’a pu être confirmé s’il s’agissait d’un coup de couteau.
La bagarre aurait été déclenchée par une querelle entre un Syrien et un Afghan dans les installations sanitaires du camp. Le motif de la querelle n’était pas clair dans un premier temps. Une bagarre s’en est suivie, lors de laquelle certains individus auraient été armés de barres de fer. Après le conflit, quelqu’un aurait également mis le feu à un matelas sous une tente abritant plusieurs Albanais. Deux personnes auraient été intoxiquées par la fumée.
Selon le porte-parole de la police, plusieurs objets volés ont servi de motif à la bagarre à Brunswick. Il n’y aurait pas eu de blessés. La police forte de quelque 60 fonctionnaires se serait rendue maître de la situation après une heure et demie. Un homme aurait été arrêté et présenté au juge d’instruction mercredi. (dpa)
Quatrième article : Hambourg-Bergedorf
Bagarres dans des foyers pour réfugiés
Quatre blessés, cloisons et lits démolis, lampes arrachées de leur support : tel est le bilan d’une bagarre entre réfugiés dans un centre de premier accueil à Hambourg-Bergedorf. Environ 40 policiers ont eu du mal à calmer la foule en furie dans la nuit de mercredi à jeudi. Quelque 100 personnes en tout en seraient venues aux mains. Les fonctionnaires de police ont placé huit individus en garde à vue. La police a également été obligée d’intervenir dans le quartier de Rahlstedt pour une querelle entre groupes de réfugiés.
Le point de départ du conflit violent dans l’ancien magasin de bricolage dans la Kurt-A.-Körber-Chaussee à Bergedorf était apparemment une altercation entre jeunes gens. Ainsi que l’a communiqué la police, des groupes de réfugiés syriens et afghans en sont venus aux mains ensuite. Pour ce qui est des blessés, il s’agissait de deux jeunes de 16 ans, d’un autre de 18 ans ainsi que d’un employé d’un service de sécurité âgé de 53 ans. Mercredi déjà, quelque 200 personnes s’étaient affrontées dans le centre d’hébergement. Des policiers sont restés sur place pour empêcher une nouvelle escalade de la violence. Selon des informations communiquées par le Hamburg Journal, un groupe d’Afghans a été emmené jeudi dans un autre centre d’hébergement.
Neumann regrette les accès de violence
Le ministre de l’Intérieur de Hambourg, Michael Neumann (SPD), regrette les bagarres dans les centres d’hébergement pour réfugiés. Au cours d’un entretien avec la radio NDR 90,3 il a déclaré qu’il comprenait que les gens « aient les nerfs à vif » après une longue fuite. En même temps, il a menacé de prendre des sanctions : « J’attends de chacun venant en Allemagne qu’il se conforme à nos règles. Car personne n’est obligé de demander l’asile en Allemagne. Et si cela ne lui plaît pas ici, s’il pense devoir faire usage de violence, nous pouvons réserver aussi bien à tout moment un billet de retour pour lui. »
Réfugiés : le calme va-t-il continuer à régner à Bergedorf ?
Hamburg Journal – 01.10.2015 19 h 30
Par peur de la violence au centre d’hébergement pour réfugiés à Bergedorf, certaines familles préfèrent passer la nuit dehors. La nuit précédente, 100 réfugiés s’étaient affrontés.
Dès leur arrivée, critiques envers l’hébergement
Il y a environ dix jours, les premiers réfugiés sont arrivés au centre d’hébergement nouvellement construit à Bergedorf. Ils venaient du centre de premier accueil dans les halls d’exposition fermés à présent. Dès l’arrivée à Bergedorf, la situation qui y régnait a fait l’objet de critiques. De nombreux réfugiés ont passé les premières nuits dehors en signe de protestation, il y eut également une grève de la faim. Dans l’ancien magasin de bricolage, il y avait d’abord trop peu de lits, les installations sanitaires et la propreté du hall ont également été critiquées.
Altercations aussi à Rahlstedt
Dans le centre d’hébergement situé Bargkoppelstieg à Rahlstedt, des querelles ont également éclaté entre groupes de réfugiés. Le point de départ en a apparemment été le vol de plusieurs téléphones portables. La police est finalement intervenue sur place avec 15 voitures de patrouille. Elle a placé en détention provisoire le voleur présumé et quatre autres personnes ayant participé au conflit.
Ministère de l’Intérieur : les capacités sont épuisées
Hambourg rencontre de plus en plus de difficultés pour l’hébergement de réfugiés. Selon le ministère de l’Intérieur, les capacités sont épuisées. Dans la nuit de mardi à mercredi, environ 500 personnes ont été obligées de passer la nuit en plein air devant le service d’enregistrement.
http://regiorebellen.de/merdingen-mann-in-asylheim-mit-messer-lebensgefaehrlich-verletzt-27208/
Cinquième article : Merdingen
Merdingen : Un homme blessé grièvement au couteau au foyer pour demandeurs d’asile
Symbol-Foto: © Regiorebellen
Le chien policier arrête l’auteur agressif après une attaque au couteau
Dans un centre d’hébergement pour demandeurs d’asile, un Tunisien de 25 ans a fait de la casse dans la soirée d’hier. Ainsi, il a jeté un téléviseur dans la rue depuis l’étage supérieur du centre et a enfoncé de plus une porte à coups de pied. Heureusement, personne n’a été blessé. Vers 19 h 30, l’homme a été placé en garde à vue par une patrouille de police du commissariat de Breisach, alors qu’il continuait à se montrer agressif. À ce moment, une enquête était ouverte contre l’individu pour dégradation de biens mobiliers et mise en danger de la circulation routière.
Quand le Tunisien de 25 ans est retourné ce matin 13.10.2015 vers 10 h 00 au centre pour demandeurs d’asile, il s’est dirigé sans hésiter vers son adversaire présumé auquel il a porté un coup de couteau dans le dos. L’Algérien de 49 ans a été grièvement blessé et il a été hospitalisé. À nouveau appelée, la police a pu arrêter le jeune homme violent. Les fonctionnaires de police ont reçu l’aide d’un chien policier qui a permis d’arrêter le suspect.
Traduction Jean Schoving
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En plus, il faut les soigner gratos ! Ils encombrent les hôpitaux, ils nous emmerdent et ils nous insultent !
qu’on les laisse se battre entre eux c’est le meilleur moyen de s’en défaire
Les allemands ont l’aire de goûter les joies du vivre ensemble, la Merkel n’aura fait qu’une chose, accélérer la méfiance des allemands des pouvoirs en place.
Les pouvoirs ont voulu bâillonner leur peuple par la censure et la manipulation, pour imposer de force contre la volonté du peuple leur multi saloperies cosmo dégoûtant et métissage raciste et le mal immense qu’ils font avec çà, avec une tel mépris contre nous les peuples européens.
Le pouvoir démocratique devra appartenir aux peuples, et géré par des vrais représentant du peuple, pour le peuple et par le peuple, et surveiller par le peuple, et plus à quelques personnes qui ne font qu’ à leur tête et qui font supporter tout le mal par leurs caprices au peuple.
Nous ne pourrons plus jamais faire confiance à un tel système aussi pourri et corrompu.
Oui ils amènent leurs conflits avec eux. Ce qui augmente la note de » frais « …
la solutions qu’ils – les allemands pro clandestins – proposeront, c’est la séparation des communautés, et l’urgence de disperser ces clandestins dans d’autres pays européens, puisque l’Allemagne » généreuse » , est saturée
Ce qui était de toute façon le plan originel quand ils s’agissait de faire venir, en grand nombre, ces clandestins.
En marge de ces bagarres, il y a toujours ces revendications.
on peut voir sur le site Fdesouche, que par exemple , des clandestins refusent un hébergement dans une salle , et demande qu’on les loge dans des appartements…
Que d’autre jetteraient leur sac d’ordure ,carrément par la fenêtre de l’immeuble ou ils sont logés !…
Que d’autres encore manifestent dans la rue , masqués et armés de barre ou de morceaux de bois, et criant allah akbar !
La preuve par l’exemple : rien de tel pour ouvrir les yeux des imbéciles heureux, en France, (pour reprendre la gentille expression de Christine Tasin, lors de la manifestation contre la mosquée( salafiste) de Brest)
Un prochain tract allant dans ce sens, Christine ?
J’ai les mains qui me démangent, moi…Une autre manière de donner des baffes à ceux qui le méritent, en somme…ou ailleurs
oui je dois me pencher sur un nouveau tract,je n’y arrive pas, débordée et mes virées à gauche et à droite dans le pays n’arrangent pas les choses
Vous devriez créer un » staff » pour vous aider et diriger RR !…
Anti-islam va m’aider à gérer les commentaires mais il vient de déménager,quand il est sorti des cartons on sera deux. Sinon il y a au Directoire un trésorier un secrétaire qui gère les adhésions et un vice-président, sans parler de Béatrice qui envoie cartes, autocollants, tracts etc. mais le travail est énorme…
( sourires ! ) je remarque votre expression » Directoire » … et pas bureau ! ( re-sourire ! )
On est bien sur Résistance Républicaine, avec à sa tête, une républicaine ,pure jut !
Et oui on ne peut rien vous cacher !
Je suis de l’avis d’Agnès, laissons-les se battre entre eux! Peu importe qu’il y ai des morts, non seulement ça débarrasse, mais en plus, c’est toujours ça d’allocations qu’on aura pas à leur verser….
Eh oui nous l’avions dit sur se site RR et pourtant nous ne sommes pas des devins. mais nos politique avariés ne voient rien. Étonnant vous ne trouvez pas.
Je ne vois pas pourquoi on ne les laisse pas se tabasser entre eux si ça leur plaît tant. Du moment qu’ils restent dans le local qui leur est dévolu, je ne comprends pas où est le problème si les bagarres n’affectent qu’eux-mêmes et leurs partisans.
Ce qui me choque ce ne sont pas les faits (Ces des sauvages qui apporteront violence et haine) c’est la nationalité des « demandeurs d’asile »!
Tunisien
Algérien
Albanais
Ces pays ne sont pas sur la liste des pays en guerre ! Pourquoi les accueillir ?
Puisqu’on à des gouvernants de cons et eux sont à l’abri …
L’Allemagne d’aujourd’hui, la France de demain…
Ce n’est qu’un prélude au devenir du pays tout entier. Il y a gros à parier que dans quelques mois une (ou plusieurs) région d’Allemagne soit à feu et à sang. Idem pour la France. Les délices du vivre ensemble éclatent au grand jour. Bientôt le couvre-feu ?
Oui, c’est ca! Délices doux aux palais des bobos et autres islamo-compatissants, mais amers aux entrailles…La digestion des migrants et leur assimilation s’avèrent des plus difficiles pour l’organisme social européen !!!
Je n’ai pas le temps de d’épiloguer mais toutes les personnes intelligentes lisant les « news » de ce sites auront compris que rien n’est plus comme avant, ni chez Obélix, ni chez Max et Moritz…
http://www.lemonde.fr/culture/article/2014/01/23/bande-dessinee-migrants-en-cases_4353345_3246.html