Contact avec les éleveurs et information :
Bravo à Valérie pour cette belle action militante de proximité !
De mon côté je suis scotché au travail et en suis réduit à subir le tropisme bovin de mes collègues de travail.
Car c’est bien là un problème que nous rencontrons souvent : « les Français sont des veaux » (ou des bœufs, c’est selon …) et leurs bergers adorent leur ajuster des œillères.
Sans compter que la filière bovine française s’est organisée pour gagner des parts de marché ‘halal’ à l’étranger (i.e. la capacité de production de viande bovine ‘halal’ produite en France dépasse la capacité de consommation nationale). La Roumanie a depuis longtemps saisi cette manne : les producteurs roumains vendent, au moment de l’Aïd ‘‘Al Idha’’, des moutons ‘halal’ à certains pays du Maghreb (qui ne sont même pas foutus de produire en quantité adéquate leur propre consommation rituelle !).
Cela veut dire qu’il nous sera probablement plus difficile de convaincre les responsables économiques français de cette filière d’abandonner le ‘halal’. Contrer une tendance communautariste est une chose, mais contrer une filière industrielle exportatrice et génératrice de croissance économique en est une autre.
Il va nous falloir cogiter ferme sur cet épineux problème.
Le traçage « halal » (je propose « Viande provenant d’un animal abattu selon des rites MUSULMANS » par exemple) dès la zone d’élevage serait un début de solution. Interdire la mainmise des autorités islamiques sur cette filière exportatrice serait également souhaitable. Et taxer fortement la vente de viande « halal » sur le territoire français serait finalement un pied de nez aux communautaristes : « vous aimez la viande provenant d’un animal tué selon des rites BARBARES ? Alors payez ou allez donc l’acheter en BARBARIE ! ».
Cynique, opportuniste, mais peut-être efficace… ?!
Pif, responsable Résistance républicaine Var
585 total views, 2 views today
Et bien ça alors… !
Il faudrait que vous retourniez à vos études !
Que veut dire Hallal..?
C’est exécuter un animal (remarque nous ne sommes pas mieux en occident) selon le rite, la tradition ET les coutumes !
Alors rigolez bien car la coutume veut que celui qui abat l’animal soit rémunéré et que le prélèvement soit donné au culte, donc à l’imam :
« Florence Bergeaud-Blackler estime que le prix de vente au consommateur, relativement bas, ne permet pas de financer autre chose que le coût de l’abattage et des contrôles. Mais elle reconnaît qu’il s’agit d’« une question complexe ».
Lorsqu’il pratique un abattage halal, l’abattoir doit faire appel à un sacrificateur, celui qui va effectuer le geste de mise à mort. Ce dernier doit obtenir une carte de sacrificateur auprès de l’une des trois mosquées agréées pour cela par l’État (Paris, Évry-Courcouronnes et Lyon). Cette carte valable un an coûte aux alentours de 150 €. On compte environ 700 sacrificateurs en France, ce qui représente quelques milliers d’euros pour les mosquées concernées. »
http://www.60millions-mag.com/2012/02/28/abattage-et-viande-halal-les-cinq-questions-que-vous-vous-posez-7784
Bonjour,
Le problème du halal ne se situe pas à l’élevage mais en aval de la filière :
Merci Villeneuve pour ces informations très intéressantes je confisque pour publication demain
Ou bien le marché noir et le troc hors toutes taxes à notre bénéfice, à planifier et organiser dans toute l’Europe( à voir dans les réunions) nous sommes en guerre contre nos propres élus par lequel sans nos élus, les musulmans n’auraient jamais pu s’installer chez nous en Europe.
Toucher les finances en formant un monde parallèle avec un état, qui touche tous les domaines, sans la finance le système s’écroule et ne peut survivre.
Il faut cesser de l’alimenter par nos finances.
Les musulmans le font déjà leur monde parallèle et lois liberticides chez nous, mais avec l’autorisation des collabos de l’état escrocs.
Problématique du halal à l’exportation. Une solution simple, en attendant l’interdiction de tout abattage rituel, pourrait consister à spécialiser certains abattoirs rituels uniquement pour l’exportation avec étourdissement préalable comme l’acceptent les musulmans australiens ou néo-zélandais et avec bien sûr interdiction que cette viande puisse se retrouver dans le marché intérieur. Quant aux musulmans leurs organismes communautaires pourraient importer la viande halal venant d’autres pays avec étiquetage obligatoire de la mention viande rituelle.
Propositions à ajouter au dossier, par contre l’histoire de l’étourdissement préalable n’est toujours pas accepté en France et dans les pays musulmans…
Solutions intéressantes. Mais, pour les appliquer, encore faudrait-il un gouvernement qui ne soit pas un ramassis de lèche-babouches !
ou bien que l’on change de gouvernement…