A l’aube, un compromis s’était pourtant dessiné, soumis aux 19 dirigeants du sommet, sur la liste des exigences réclamées à Athènes pour renouer le dialogue en vue d’un renflouement du pays.
Mais pas suffisant pour le gouvernement grec de gauche radicale cède, alors que des milliers de tweets l’appelaient — sous le hashtag « Thisisacoup » (C’est un coup d’Etat) — à résister aux diktats des créanciers du pays.
D’autant que même s’il cède, le gouvernement de gauche radicale d’Alexis Tsipras aura fort à faire pour amadouer son opinion publique, à laquelle il avait promis de rompre avec l’austérité et les diktats des bailleurs de fonds.
Or les réformes à présent réclamées par les créanciers de la Grèce, hautement impopulaires, sont encore plus sévères que celles qui ont été rejetées massivement par 61% des électeurs lors du référendum du 5 juillet.
https://fr.news.yahoo.com/gr%C3%A8ce-tsipras-merkel-hollande-tusk-proposent-compromis-040343958.html
En complément, relire l‘analyse de Jacques Sapir. Oui, la sortie de l’euro est la seule solution pour la Grèce (et pas seulement la Grèce….)
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…pourparlers.
L’ Allemagne aurait-elle brandi la menace de quitter la zone euro pour accélérer la conclusion des pourparler ?
Les futurs déçus de syriza vont pouvoir se tourner vers une Aube dorée !
Effectivement que va-t-il rester aux Grecs ?