Oran, le 5 juillet 1962 : « mon 5 juillet 2015, loin des pompes octroyées »…

A lire, sur Nouvelles de France, un article de Georges Clément, dont voici un extrait significatif

La mort fit son entrée à 11 heures du matin et les massacres se poursuivirent jusqu’à 17 heures, quand les gardes mobiles du général Katz, qui avaient fait la guerre aux européens depuis un an, furent commandés de sortir pour que la tuerie cessât.
Tout ce qui était chrétien ou juif, européens selon la nomenclature officielle (F.S.E. : Français de souche européenne) fut fusillé à bout portant, entassé dans des camions en partance pour les quartiers périphériques du Petit Lac ou de Victor Hugo, aux fins d’y être étripé, égorgé et enfin pendu par la gorge aux crochets de l’abattoir par les foules en transe.

Pour la première fois, on comprenait l’âme de la guerre : celle d’une religion et d’une ethnie (l’islam arabo-berbère) voulant éliminer le peuple européen judéo-chrétien afin qu’il n’y eut plus sur la terre d’Algérie qu’une seule population partageant la même « foi ».

Le reste ici :

http://www.ndf.fr/poing-de-vue/04-07-2015/mon-5-juillet-2015-loin-des-pompes-octroyees#.VZfMePntmko

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2 Commentaires

  1. Et l’on ressent la même trahison aujourd’hui pour la population de la métropole!
    Avec une guerre civile inéluctable.

  2. Merveilleux article de Georges Clément dont la conclusion n’est que le reflet de la triste vérité : « Mais je veux proclamer que le 5 juillet 1962 à Oran fut l’ouverture du terrible opéra auquel nous assistons, qui va ensanglanter l’Europe, et dont les Français d’alors, comme ceux d’aujourd’hui, en n’en comprenant pas la signification, ont favorisé l’avènement et livré par avance leurs enfants en holocauste. »

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