Manuel Valls met une fois de plus en garde les manifestants contre des« débordements », puisque, une fois de plus aussi, la France résonne aujourd’hui comme dimanche dernier et bien d’autre fois, du bruit des manifestations.
Il s’aperçoit, enfin, que notre pays se trouve dans la dangereuse ambiance des années trente, peut-être à cause du prochain anniversaire du 6 février 1934.
Il dénonce « la dilution des références, des normes et des repères ». Il voit la société « tourmentée par les forces sombres de la division ». Il en appelle même à la droite pour une union sacrée, dont on sait qu’elle existe au moins depuis que les différents groupes parlementaires se sont alliés pour trahir le résultat du dernier référendum, et même depuis bien plus longtemps.
Il n’est que de voir la continuité politique des uns et des autres depuis quarante ans, qui ruine notre pays en le soumettant aux exigences de la mondialisation, présentée comme inévitable.
La mondialisation n’est pas un progrès de l’humanité, c’est une idéologie mortifère.
L’Histoire est là pour témoigner de ce qui a résulté des prétentions de domination mondiale, avec le communisme et le nazisme, et l’actualité la continue avec l’islamisation.
Mais peut-être Manuel Valls n’a-t-il pas pu apprendre l’Histoire de notre pays, les programmes de celle-ci étant volontairement sabotés depuis longtemps, notamment par la suppression de la chronologie et ce qui « dérange » une minorité agissante et potentiellement intéressante électoralement.
L’Histoire n’est pas la seule matière concernée par les multiples réformes des soixante-huitard attardés, qui donnent des bacheliers incapables de maîtriser leur langue nationale, et même un ministre prétendant que le Japon se situerait dans l’hémisphère sud.
C’est parce que la France est ainsi dirigée depuis longtemps que les Français descendent dans la rue, certes avec des raisons différentes, mais qui se conjuguent pour rejeter un gouvernement de prétentieux incapables.
Les Français défendent leurs valeurs et leur civilisation, mises à mal par les délires surréalistes du parti socialiste et de ses alliés, où l’on entend par exemple Vincent Peillon prétendre : « Il faut arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social. »
Mais où cet individu a-t-il trouvé qu’il aurait été nommé à ce poste pour expérimenter cela ? Son rôle est de diriger une institution d’État destinée à l’apprentissage des fondamentaux, de l’effort et de la vie sociale. Pas à faire des essais en vue de la « dilution des références, des normes et des repères », justement. Et le voilà qui fait convoquer les parents ayant refusé que leurs enfants assistent à de prétendus cours destinés à « lutter contre les stéréotypes », lesquels se sont établis naturellement en fonction du sexe biologique et des comportements correspondants. Il en est ainsi depuis des siècles. L’État n’a pas à s’immiscer dans la vie sexuelle des enfants, ni à les contraindre à des préoccupations d’adultes. Il n’a surtout pas à les faire douter d’eux-mêmes et de leur identité sexuée.
Manuel Valls contredit François Hollande sur un nombre, celui des djihadistes partis de France pour combattre en Syrie, le faisant passer de 700 à 400. Peu importe le nombre exact, ce qui est grave, c’est que le phénomène existe.
Bon débarras, qu’ils ne reviennent pas, nous aurons bien assez de tous les autres, ceux qui, pour l’instant, s’entraînent à torturer et à tuer des animaux inoffensifs, comme il a été vu récemment à plusieurs reprises, et qui ont déjà assassiné ou tenté de le faire, comme il s’est vu à Toulouse et à La Défense.
Si la société française est « tourmentée par les forces sombres de la division », que le gouvernement balaye devant sa porte.
La France descend dans la rue pour crier son désespoir. Attention : ceux qui se voient spoliés de leurs valeurs, de leur civilisation, de leur sécurité, de leur emploi et de leurs revenus risquent de n’avoir plus rien à perdre.
Alors, monsieur Valls, chiche, vous allez enfin lutter contre les vrais ennemis de la France ?
Daniel Pollett, responsable Résistance républicaine Vaucluse
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J’ai indiqué que j’aimais cet article, on me suggère de donner mon avis … Mon avis est que je n’ai rien à ajouter, tout y est dit !
moi si ca pete je sais de qui je vais m occuper.mais il faudrai que ca pete millediou!!
Nous allons vers une guerre civile
Cela devient inévitable de jour en jour par la faute de nos gouvernants qui ont tout fait pour que la situation devienne explosive par la préférence étrangère mise en place