« Lutter contre les stéréotypes filles-garçons, un enjeu d’égalité et de mixité dès l’enfance », disent-ils…

égalité hommes femmesÇa continue ! Le gouvernement n’a rien d’autre à faire semble-t-il ! L’urgence absolue est de déconstruire la France et nos enfants pour créer la nouvelle civilisation et le nouveau peuple dont rêvent Martine Aubry et Terra nova.

Le rapport qui a été remis hier soir à la Ministre du Droit des Femmes porte une titre très clair. L’ennemi c’est le stéréotype.

Il suffit d’écouter la sociologue de service, d’ailleurs :

Les femmes sont mal éduquées, elles croient normal d’être intéressé par les enfants, elles croient que c’est naturel, lié à leur caractère, à leurs choix… Erreur gravissime. Rien ne porte un individu, fût-il femme, à la tendresse, à l’émerveillement devant l’enfant, à l’envie de le protéger, de le soigner, de le faire grandir. .. Et si elles le font, c’est parce que depuis leur naissance on leur répète que c’est leur rôle, qu’elles sont faites pour ça, qu’elles sont naturellement douces et maternelles, même si elles n’ont pas d’enfants. Et les masos qu’elles sont ne se rendent pas compte qu’ainsi elles passent à côté d’une carrière intéressante, d’un salaire de compétition et, horresco referens, qu’elles sont responsables des métiers qui ne trouvent pas preneur dans le BTP, entre autres !

Alors le rapport, qui a dû encore coûter cher à Marianne, détaille des propositions lumineuses… qui vont, une fois de plus, passer par l’école !

Fous que nous étions, enfants, de penser que l’école servait à apprendre à lire, à écrire, à compter, à découvrir, à se cultiver, à découvrir l’effort et ses bienfaits.. Tout faux ! L’école sert à faire naître l’homme et la femme nouveau, tout simplement !

Chers parents et grands-parents, je suis désolée de gâcher votre plaisir, mais le temps béni où vous pouviez vous contenter de faire faire les devoirs (interdits ) à votre progéniture est terminé. Vous allez devoir lutter pied à pied avec le lavage de cerveau opéré la journée, en lisant des livres avec eux, en regardant avec eux des films aussi dangereux que La Belle et la Bête ouPeau D’Ane, en évoquant devant eux grands-parents, anecdotes, témoignages… bref tout ce qui pourrait les aider à garder des sensations, des émotions, des réflexes, des émerveillements, bref de envies de vivre dans un monde où tout est à découvrir, à choisir, à créer à partir d’un monde intérieur suffisamment riche pour rassurer et donner confiance en soi.

Parce que Peillon, BelKacem et compagnie jouent au jeu de massacre. Tout ce que sont ou pensent les enfants ? Mauvais. A jeter. Ce sont des stéréotypes, quelle horreur !

Quelle méthode d’éducation nihiliste et dangereuse ! C’est quand on est adolescent et même, plus sûrement, à 20 ans et au-delà  qu’on peut mettre en doute et contester tout ce qui, dans votre entourage, dans votre éducation, vous a influencé et a pu vous conduire dans une voie qui n’est pas la vôtre. Mais on ne construit pas sur du vide, sur du sable. Il faut que le mur qu’on détruit ait des fondations pour qu’on puisse reconstruire dessus.

Il est peut-être dommage qu’il n’y ait pas plus d’hommes professeurs des écoles mais le problème n’est pas, à mon sens celui-là. Les hommes sont tellement traumatisés par les féministes qu’ils n’osent plus être des mecs, sommés qu’ils sont de ressembler aux femmes sous peine d’être traités de machos. Alors qu’est-ce que ça change pour les gosses ?

Pour le reste, il y a toujours eu des femmes battantes qui sont sorties des sentiers battus, qui ont passé la bac quand c’était interdit aux femmes, qui sont devenues camionneurs ou plombiers. Quand on veut on peut.

Le problème avec BelKacem et compagnie c’est qu’on n’a pas le droit de ne pas vouloir de l’avenir qu’ils nous promettent. On n’a pas le droit d’être bien dans sa tête et sa peau en s’occupant d’enfants sous prétexte que cela nous aurait été soufflé. On n’a pas le droit de ne pas vouloir faire carrière et de préférer moins d’argent et moins de responsabilités parce qu’on a envie de prendre le temps pour vivre sa vie, son couple, ses enfants (oui je sais quelle décadence ! ), sa musique, son jardin…

Ma réponse est simple. Peu importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse. Si les femmes, et les hommes sont bien, vont bien dans une répartition traditonnelle des tâches, où est le problème, d’autant qu’il y a beau temps que chez les jeunes générations l’homme s’occupe autant des enfants que la mère de ceux-ci ! Mais cela ne suffit pas à ceux qui ont décidé de nous faire perdre tous nos repères pour nous faire disparaître plus vite.

 Christine Tasin

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5 Commentaires

  1. Mon dieu faire des études pour sortir autant d’âneries…quelle gâchis…on a des différences physiques, et c’est comme ça…une femme qui fera des travaux lourds toutes sa vie risque vers la cinquantaine d’avoir une descente d’organes, quand on accouche, si les seins produisent du lait…il y a forcément une raison…on ne peut pas parler de famille comme 1+1 font 3 sur une base purement statistiques….il y a des étapes importantes dans la vie d’un enfant pour sa construction en fonction de ses différents besoins qui pourront combler en évoluant la maman et peu à peu la père. Sinon on pourrait revenir à ce qu’avait fait hitler des nurseries avec des bébés à la chaine, et du coup on élève tout le monde dans la même pièce…tant qu’ils ont a mangé et du linge propre tout le reste ne serait qu’accessoire…à ce rythme on risque d’y retourner !!
    Ont ils travaillé un jour dans leur vie. J’appelle ces personnes des handicapés de la vie….

  2. Complément de déconstruction de l’enfant et du « fameux vivre-ensemble »:

    • Ce rapport est une bombe, Claude, mille mercis à toi de nous l’avoir déniché je publie demain

  3. Tiens, ayant le temps je chipe la parole au routier. Je suis (Christine l’aura peut-être deviné… Bisous à toi) Graziella, la tendre moitié de Phil.

    J’emploie le mot moitié à dessein, d’une part parce que c’est vrai, physiquement Phil pèse presque deux fois mon poids. Mais surtout parce que je sais que cela ferait hurler les féministes.
    Pourtant, si on réfléchi bien, il faut bien deux moitiés pour former un TOUT, et c’est bien notre cas à Phil et moi.

    Oui, j’ai mis ma carrière professionnelle de côté pour nos enfants (et je continu aujourd’hui pour m’occuper de ma Maman)
    Et alors ? J’ai eu la chance de tomber sur un bourreau de travail doublé d’un monstre de tendresse, alors pourquoi aurai-je dû me limiter à un enfant alors que j’en voulais plus ? Pour un job à l’extérieur ?
    Je suis navrée pour madame Belkacem, mais je me suis toujours sentie épanouie à m’occuper de ma famille, de ma maison.

    Être légal d’un homme ? Très peu pour moi.
    Bien sur c’est un pari risqué, il fallait que Phil accepte le mariage en communauté de biens même si quasiment tout venait de lui, et je soupçonne que rares sont les types comme lui, mais, une fois cela réglé, quand de Légionnaire il est devenu routier, désolée mais en nombre d’heures travaillées, je pense qu’on était ex-aequo, une maison ne se gère pas toute seule.

    L’égalité homme femme ? Ridicule !
    Phil a toujours été un super Papa, n’empêche que quand une des crapules se faisait un « grave » bobo genre chute de trottinette avec « obligation » de mettre du « rouge qui pique » sur le-dit bobo, c’était toujours (c’est toujours) vers Maman qu’elles allaient (et ça dure encore)
    Égalité homme femme toujours. Avec mes 55kg j’ai du mal à soulever la hache… Alors pour fendre les neuf stères de bois qu’on reçois chaque hiver je serais bien embêtée !

    Ok, là, notre petite dernière à fait un vilain rêve, et dans ces cas là elle exige de dormir avec Papa (enfin SUR Papa plutôt, me demande comment ils peuvent dormir ainsi) or elle n’a que 18 mois… C’est DÉJÀ du stéréotype sexué ? Bien sur que non, elle ressent seulement la force de son père et ça la rassure car même s’il a été gravement malade, il récupère bien et mille pardons, 90kg de muscles que l’on sait dédiés tout entier à votre protection, ça aide à se sentir en sécurité.

    Finalement je plaindrais presque une Nadja Valaud Belkacem car je soupçonne qu’elle n’a jamais ressenti ce bien être qu’on peut éprouver quand on est blottie contre un Homme. (un vrai, pas un « metrosexuel »)

    Peillon ? Retirez le costard, la rolex, les hautes études… Il reste quoi ?

    Re-navrée mais moi je le garde mon neanderthal, avec ses cicatrices et ses poils et sa barbe qui pique au bout de deux jours (et tous ses défauts)
    Un mec new-look, épilé, passant deux heures dans la salle de bain (Mon domaine)… J’en veux pas !

    • Merci Graziella pour ce témoignage sans fards ! Moi je n’aurais pas supporté de ne pas travailler et de « rester à la maison » mais ce que j’aime c’est que justement chacun puisse -quand il en a les moyens- choisir ce qui l’épanouit le plus et qu’on ne le critique pas !

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