Avant la transformation totale de mon ancien quartier parisien j’ai eu l’occasion de constater de quelle manière on transforme un « bistrot » (nom d’origine russe !!) bien de chez nous en café maure. Un camarade d’école était le fils d’un de ces bistrotiers, constatations de première main….
Quand une chance pour la France a jeté son dévolu sur un commerce, la méthode est simple : l’occupation !! Le futur propriétaire « embauche » quelques chômeurs professionnels et quelques « chibanis » retraités ou désœuvrés et on occupe, d’abord à quelques uns puis en groupe. Une seule consommation pour toute la journée, et si un FDS se pointe, d’abord il n’y a plus de place, et les regards hostiles et les conversations en arabe lui font clairement comprendre qu’il n’est pas le bienvenu. Et le patron ne peut rien faire, ils ont la loi pour eux et la connaissent.
Le bistroquet n’a plus qu’à vendre (pas chir missiô !!) et s’il en a les moyens d’aller s’installer ailleurs….en attendant la prochaine « occupation » !! Et un café maure, ou un kebab de plus….
Et ce n’est pas valable que pour les commerces, des rues entières, des quartiers, bientôt des villes…..et pourquoi pas tout le pays, ce qui serait bien vu pour certains ??
Si en 39 nos « visiteurs » avaient troqué leur uniforme feldgrau contre une djellaba, et leurs Mausers contre des valises en carton aujourd’hui il n’y aurait plus aucun problème : nous parlerions tous Allemand !!
Daniel.
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Dans une petite ville de France, au début des années 1980, un café-salon de thé s’était ouvert, à l’intention des jeunes. Il était tenu par deux femmes. Il marchait bien, jusqu’à ce que des chibanis l’investissent, et que les jeunes (français et maghrébins) le désertent. Comme si ça n’était pas suffisant, ces nouveaux clients indésirables ne consommaient qu’un café pour toute l’après-midi. L’établissement a fait faillite.
Je confirme la véracité de ces informations. J’ai vu plusieurs bistrots se transformer en lieux exclusivement masculins et musulmans avec des « chômeurs professionnels et quelques « chibanis » retraités ou désœuvrés » qui occupent l’espace et découragent tous les non-musulmans à venir se détendre dans ces bistrots.
Si vous le souhaitez Christine j’ai des photographies qui illustrent très bien cet article; des hommes musulmans qui occupent une partie de la place Victor Hugo avec en arrière plan la Basilique de Saint-Denis.
Oui Béatrice je suis preneuse et comment ! Il faut dénoncer, encore et toujours !