A lire dans le Monde, « Il y a toujours eu de bons et de mauvais élèves mais l’écart est devenu un gouffre », une enquête Pisa.
I Réglons déjà le sort de Pisa et de l’OCDE
Pisa (Program for international student assessment-programme international pour les acquis des élèves ) c’est cet organisme de l’OCDE qui se mêle de tout et notamment d’éducation… Ainsi qui évalue notre école ? Qui se permet de donner des conseils aux héritiers de ce qui fut l’un des meilleurs systèmes scolaires du monde ?
Une institution qui n’est pas française… Des technocrates anglais qui écrivaient clairement il y a 7 ans que l’offre scolaire devait privilégier la quantité sur la qualité pour que les parents ne se rendent pas compte qu’on fait délibérément baisser le niveau de leurs enfants : Le taux élevé de chômage des jeunes résulte peut-être de leur mauvaise préparation au marché du travail, mais il est dû aussi au salaire minimum trop élevé et à la législation de protection de l’emploi.
Mieux encore, il faut savourer cet extrait du même rapport de l’OCDE ; comme je l’écrivais il y a 6 ans » Il y a là convergence entre l’OCDE et les lobbies des entreprises, comme en atteste ce passage « lumineux » d’un rapport de l’OCDE cité par C. Morrisson dans « Cahier de politique économique n°13? (1996), « Pour réduire le déficit budgétaire, une réduction très importante des investissements publics ou une diminution des dépenses de fonctionnement ne comportent pas de risque politique. Si l’on diminue les dépenses de fonctionnement, il faut veiller à ne pas diminuer la quantité de service, quitte à ce que la qualité baisse.
On peut réduire, par exemple, les crédits de fonctionnement aux écoles ou aux universités, mais il serait dangereux de restreindre le nombre d’élèves ou d’étudiants. Les familles réagiront violemment à un refus d’inscription de leurs enfants, mais non à une baisse graduelle de la qualité de l’enseignement et l’école peut progressivement et ponctuellement obtenir une contribution des familles, ou supprimer telle activité.
Cela se fait au coup par coup, dans une école mais non dans l’établissement voisin, de telle sorte que l’on évite un mécontentement général de la population. » On citera encore ces extraits d’une table ronde qui s’est tenue à Philadelphie en février 1996 : » L’apprentissage à vie ne saurait se fonder sur la présence permanente d’enseignants.
[…] Dans certains pays, il semble que les enseignants encourent réellement le risque d’être des laissés-pour-compte dans le développement des technologies de l’information…
Les pouvoirs publics n’auront qu’à assurer l’accès à l’apprentissage de ceux qui ne constitueront jamais un marché rentable et dont l’exclusion de la société en général s’accentuera à mesure que d’autres vont continuer de progresser. » » Il est plus important d’apprendre à apprendre que de maîtriser des prétendus “ faits ”. Il faut encourager la possession d’un ordinateur ». Tout est dit. L’école publique a vocation à servir de garderie aux laissés pour compte de la société, c’est-à-dire de l’économie … »
Rien à ajouter. Le but de l’OCDE est de « faire baisser le niveau, autrement dit le niveau culturel, afin que nos enfants deviennent de parfaits techniciens incultes et des bêtes à consommer et travailler…
II Les dernières évaluations PISA et la presse
Dans Le Monde :
a) on laisse d’abord la parole aux enseignants qui s’arrachent les cheveux… donnent des pistes, timides, pour expliquer la catastrophe mais proposent rarement une analyse objective des raisons de la baisse de niveau catastrophique d’une partie de la population. Ça en défriserait peut-être certains de pointer du doigt l’irresponsabilité parentale qui se généralise ; le culte de l’enfant auquel on ne sait pas dire non ; celui de mère télé qui accapare l’attention aux dépens des échanges, des livres et des jeux ; la mode qui interdit de faire faire des devoirs le soir, par peur que certains soient plus avantagés que d’autres ; la difficulté de travailler dans le brouhaha perpétuel, dans des classes où une partie des élèves ou bien ne parle pas français ou bien refuse l’enseignement français, les deux parfois… ?
b) on donne la parole à des socialo-pédago qui ne savent pas que Meirieu estdépassé et qu’il a déjà trop nui. On y apprend que les tests Pisa ne seraient pas fiables : je suis perplexe sur la façon de comparer les pays où il y a une culture de la réussite, avec une pression sociale terrible, avec le système français, plus démocratique. Etonnant qu’un enseignant appelle démocratie le fait de ne pas demander aux élèves de réussir… D’autres encore évoquent, forcément la faute de ces affreux profs trop exigeants ou celle de cette affreuse école française qui prétendrait fabriquer des élites :En ce qui concerne le collège les professeurs doivent travaillerl’empathie vis à vis des élèves et abandonner la sélection par l’échec. .
Ils oublient tous que l’école de Jules Ferry a pour but de faire évoluer et grandir chacun tout en permettant l’émergence des élites dont tout pays a besoin.
Même son de cloche dans Libération où le sociologue de service désigne les ghettos urbains (c’est forcément la faute des familles favorisées si elles sont obligées de fuir les endroits où les autres empêchent leurs enfants d’apprendre et la faute de ces salauds d’enfants de riches si les autres, sans eux, ne réussissent pas… ).
Bref, dans la presse de « gauche » polluée par les pédagogistes, sociologues et autres pseudo-spécialistes qui entraînent notre école au fond du trou, rien de nouveau.
Et comme on peut interpréter les tests comme on le veut, nul doute que ceux-ci seront utilisés pour lutter contre de prétendues inégalités et ségrégations afin de mettre en place les moyens de les empêcher… C’est tout ce que l’on peut attendre d’un gouvernement et socialiste et aux ordres de l’OCDE, et aux ordres de Bruxelles, conduit pas le toutou d’Obama.
Christine Tasin
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Je raconte souvent l’histoire de mon grand-père, né en 1896, d’une famille de 10, en plus avec un père alcoolo !
Certificat d’études entre 11 et 12 ans. Pour aide pédagogique à la maison, il avait les oies et les vaches…
Prisonnier, il a su s’évader : usage d’une carte et d’une boussole (quand je pense que j’ai eu des élèves de 16 ans qui ne savaient pas lire une carte)…
Envoyé au Maroc, les évadés n’étaient généralement pas renvoyés au front, d’autant qu’il avait été gazé et en a gardé des séquelles toute sa vie, il a été chef de chantier dans la construction d’une route (merci la France)…
De retour, il a poursuivi cette activité en France un ou deux ans.
Sa culture était sur certains points bien supérieure à la mienne (ayant fait la fac), par exemple j’ai appris de lui ce qu’était un testament olographe…
Merci Jean-Marc pou r ce témoignage émouvant qui dit tout
Quelqu’un s’est-il jamais demandé pourquoi les « pauvres victimes » du système ne sont JAMAIS les Asiatiques ?
Il y a chez nous des centaines de milliers de Vietnamiens, de Cambodgiens, etc. Ils ne demandent rien. Ils s’intègrent, ils travaillent, ils réussissent. Combien d’Asiatiques avez-vous vus faire la manche dans la rue ? Ils ont une très ancienne et très grande culture. Eux nous apportent quelque chose et nous sommes heureux de les accueillir.
hi
rien de nouveau dans l’enfer islamoique
c’est pas en islamisant de force nos enfants qu’ils vont réausé le niveau de l’education national
ou devrais je dire de l’education islamique national …
merci a l’ OCI qui fait pression sur ses dhimmiphié de service a eurabia
pour islamiser la civlisation judeo-chretien d’occident
en islamisant de force nos enfant il ne risquent que de les dirigigé vers l’enfer et le moyen age
a tous les niveau
heureusement que mes enfant sont dans le privée
a
la au mions il ne risque pas d’etre islamisé de force
by
Pour moi, un élève apprend :
-soit par il est contraint (certainement comme dans les pays qui sont les meilleurs dans PISA)
-soit par qu’il a envie de le faire
Or ce que l’on fait dans l’école actuelle :
– Contrainte pour venir à l’école
– Pas de contrainte pour l’élève de travailler. On le passe de classe en classe quelque soit le niveau
– On lui donne de plus en plus facilement le diplôme
Comment voulez -vous que l’on ne recule pas ?
Comment relever l’école:
– En finir à partir d’un certain age (avant ou juste avant le futur ex-collège) avec la structure fixe de classe au profit de modules dans toutes les matières, de difficulté progressive. Pour entrer dans ces modules, on s’assure que les prérequis sont connus.
– seul quelques modules sont obligatoires au départ : LIRE / ÉCRIRE / COMPTER / HISTOIRE de la terre et des hommes à travers le temps /
– Par la suite des rudiments dans différentes matières Biologie / Physique / Langues, risque domestique… pour comprendre le monde.
– Pas de modules obligatoires pour tous qui ne servent pas à tous pour pratiquer un métier. Ex : quel est l’intérêt de faire pratiquer obligatoirement la chimie à des personnes qui vont mettre des articles en rayon.
– Tout élève qui ne veut pas suivre le module non obligatoire n’a pas à le subir (s’il en a besoin pus tard, il le fera)
– un élève qui perturbe un module ou ne travaille pas en est exclu après une première mise en garde lors d’une rencontre avec l’élève.
– On peut imaginer des modules avec des nombres d’élèves réduits et un temps de module plus long si la capacité des élèves le nécessite.
– Mise en place de dispositif d’aide si l’élève en a besoin (psychologie / méthode…) mais pas d’acharnement thérapeutique.
– Orientation des élèves en fonction de leur capacités et de leur souhait.
– Les diplômes sont fait d’une accumulation de modules. Ainsi il n’ y a pas de voie de garage « subit ». Si l’élève a les capacités et la volonté, il peut avoir son diplôme quelques soient les accidents de la vie qu’il a eu. L’élève peut revenir dans un module quand il est près.
De cette façon un élève peut avoir son diplôme qui certifie un niveau non pas à un age fixe mais suivant le temps qu’il lui aura fallu pour faire les différents modules. (on peut imaginer des élèves ont l’équivalent d’un vrai bac à 10 ans comme à 30). Dans tous les cas : qu’un diplôme atteste ce que l’élève connait et sait faire.
En un mot : une révolution.
Hier matin en venant en voiture au travail avec la radio allumée ça m’as fait de la peine d’entendre dire d’après les nouvelles qu’une commission internationale peut être l’OCDE avait évalué l’éducation en France et qu’elle avait trouvé une baisse de niveau chez les élèves en particulier en matière Math qui est considérée une matière très importante dans le programme français à laquelle on donne beaucoup d’importance pour la sélection des élèves surtout pour ceux qui choisissent des carrières scientifiques, alors je me demandais exactement pareil comme vous pourquoi la France avait recours à des organisations étrangères pour évaluer son éducation. « Qui se permet de donner des conseils aux héritiers de ce qui fut l’un des meilleurs systèmes scolaires du monde ? » J’avoue de mon temps il était le meilleur système scolaire du monde qui donnait à l’élève un bon nombre de bagages scientifiques plus riche que le système américain ou anglais procurant à l’élève d’être capable de savoir raisonner et résoudre les problèmes tout en utilisant les théories acquises parce que la pratique vient en exerçant tandis que le système américain mets son poids sur la pratique plus que la théorie, en France pour être ingénieur il faut un Bac + 5 c’est l’équivalent de Master dans le système américain ; tandis que dans le système américain pour être ingénieur il faut un Bac + 4 qui est le BS et non pas le Master, le Master est supérieur au BS.
Bonjour,
La vérité , que personne ne veut dire , est qu’il existe toujours une Ecole publique dans la continuité de celle d’il y a 40 ans , qui fonctionne encore à peu près bien .
Et cette autre « « Ecole » » , celle des lycées et collèges aux 70 (voire plus) nationalités , celle qui fait jouir les Plenel et Cie , qui est ingérable ou non gérée (voir « la journée de la jupe ») et qui explose de fait …
C’est elle qui nous plombe …
Le drame c’est que L’EN étalonne le système pour que la deuxième « Ecole » s’en sorte dans les statistiques …
D’où une inflation démente de mention « bien » ou « très bien » au bac par exemple , obtenues dans la première Ecole …
Amitiés
J’ai entendu à l’Université, en formation de formateurs, des discours prétendant que « le formateur n’est plus dépositaire du savoir et de l’autorité », anti-définition applicable aux instituteurs, professeurs, etc. Si j’appliquais au cours de mes prestations en entreprises cette sorte d’animation de groupes pour colonies de vacances qui est à la mode, je n’honorerais pas mes obligations de résultats (vérifiés, ce qui est normal). Bien au contraire, je reviens aux fondamentaux, l’apprentissage par cœur des règles de la grammaire et de la conjugaison. J’invite mes élèves (pas mes « apprenants »!) à la lecture de livres qui enrichissent leur vocabulaire et leur font apprécier une syntaxe harmonieuse. Évidemment, il faut alors obéir à des règles, celles de notre langue. Ce n’est plus à la mode, ni obéir à des règles -le droit primant sur le devoir, mot devenu « ringard »- ni respecter, aimer notre langue, ni faire des efforts -encore un gros mot dans le vocabulaire des gauchos-socialos- mais cela amène certains élèves à me dire qu’ils « apprennent mieux qu’à l’école ». Je vois des secrétaires de direction faire des fautes inimaginables et même ignorer les classiques des formules de politesse. Évidemment, quand on a appris le français avec les préceptes de Mérieux… J’ai entendu il y a quelques années un chef d’entreprise me dire qu’à l’occasion de ses prestations en tant qu’examinateur au C.A.P. de mécanique, il se voyait agressé verbalement par des professeurs se plaignant de devoir « avoir encore pour une année » des candidats à qui il refusait d’augmenter arbitrairement la note afin qu’ils obtiennent leur C.A.P. (les notes se « rattrapant » alors jusqu’à 8/20, portées au 12 minimal). Ne soyons donc pas étonnés, avec de tels procédés, d’avoir des bacheliers nuls en français et de constater l’exigence croissante de diplômes pour effectuer un même travail. Les pressions corporatistes au parfum de besoin de reconnaissance et les exigences de l’Union européenne, bras armé de la mondialisation en Europe, ne faisant qu’amplifier le phénomène.
Je suis anéantie de voir à quel point la culture et la connaissance ont disparu dans ce pays. Ma mère, immigrée espagnole, née en France en 1919 a obtenu son certificat d’étude sans problème. Elle écrivait sans faute, elle calculait à toute vitesse. Elle a profité du fait que ses parents parlaient espagnol pour apprendre cette langue qu’elle maîtrisait parfaitement. Ensuite elle a lu, beaucoup, tout, elle a été bibliothécaire bénévole pendant trente ans. Elle nous approvisionnait mes frères et moi-même en livres. Grâce à elle, j’ai découvert V.Hugo, Zola, Flaubert, tous les grands classiques. Pourtant elle était issue d’une famille plus que défavorisée. Elle adorait l’histoire. Elle a passé sa vie à se cultiver et à nous encourager à le faire. Elle a aidé mon père dans sa carrière. Mon père fils de paysan qui n’avait pas fait d’études, lui, né en 1918 dans la France profonde. Grâce à elle il a fini officier de gendarmerie. A force de dictée etc…Alors qu’on ne vienne pas me chanter que parce qu’on est dans une banlieue ou un « quartier sensible » mot à la mode, ce n’est pas possible ! Allons donc… Non, il s’agit d’autre chose. Je dirais d’une feignasserie congénitale de certains et certaines qui continuent à nous prendre pour des imbéciles et je suis polie.
Tout à fait d’accord avec vos observations.Ce n’est pas une question de chance ou de milieu social. Il y a la volonté c’est tout. De banlieue, de la campagne, des beaux quartiers, orphelin, fils d’ouvrier ou de notable, tout le monde a le droit à l’école. C’est ce qu’on veut y faire qui change tout. Les « chances » pour la France n’ont rien à faire de la culture, surtout la notre qui leur est nauséabonde. Ces milliers de personnes nivellent par le bas notre civilisation. On ne fait pas une cuvée médaille d’or avec de la piquète point barre !
Bien dit, Katouch ! Je suis d’accord avec la « feignasserie congénitale ». Et vous-même et votre famille êtes un magnifique exemple de ce que l’on peut faire lorsqu’on le souhaite vraiment.
Concernant le cerveau des enfants…un test avait été réalisé dans un village de l’Est de la France il y a quelques années. Une expérience plutôt…en commun accord avec l’école, les parents avaient joué le jeu…..15 jours sans écran…pas de télé, pas de jeu vidéo, pas d’ordinateur…bref..un retour en arrière…les parents ont réalisé qu’ils avaient des jeux de sociétés, qu’on pouvait jouer au ballon dehors et faire du vélo…en même pas 10 jours de cette expérience, les enfants avaient récupéré de la concentration mais aussi de la mémoire….no comment…
Donc d’un côté plus on gâte nos gosses en jeux vidéos…plus on en fait des lobotomisés !!! sans compter sur les modifications des programmes qui interdisent la réflexion, etc…et puis ce n’est pas avec un âne qu’on fera un cheval de course…il y a aussi ce critère…
Merci pour ce témoignage plus qu’intéressant
Je ne partage pas toutes tes remarques.
Bien que PISA soit issu de l’OCDE, il n’en reste pas moins que ce sont les outils nécessaires au savoir qui sont mesurés.
Je défie nos économistes, qui donnant le savoir de base, pourraient alors empêcher tous les individus de continuer à s’instruire, ceci en des domaines aux quels l’OCDE ne pousse pas (là je partage ton avis) ! Rien n’empêche de développer une culture qui de toute façon a besoin des bases du savoir. A nous de nous battre pour que le cerveau de nos enfants ne soit pas celui des américains acculturés.
Tu dois aussi connaître Michéa expliquant le développement d’un spectacle d’amusement pour détourner les individus de leurs intérêts, comme d’autres le font avec la plus con religion (dixit Houellebecq).
Une chose est sûre, PISA et PIRLS ont déchiré le voile qui était jeté sur la dégénérescence de notre Ecole.
Oui même si on n’est pas d’accord sur tout, ilya des certitudes
Feindre de ne pas reconnaître que le niveau scolaire est en baisse depuis bien plus longtemps, c’est vouloir se donner bonne conscience. Ne serait-ce qu’un ingénieur en recherche nucléaire dans les années 60 aspirer à partir à l’étranger plutôt que de rester ne France. Cherchez la cause et vous trouverez la solution.
La ou il faut que ça bouge dans notre pays…… on fait de l’immobilisme et la ou on doit avancer avec prudence, avec recul, on fonce tête baisser au point de perdre même nos repères économiques. Donc, la France c’est MORT. En 2022 nous aurons un Président qui instaurera la Sharia et tout ce qui va avec.
Nous nous battons puor l »éviter et nous pouvons encore changer les choses ce n’est pas le moment de baisser les bras
Non il ne faut pas désespérer, tant qu’il n’y a pas d’obstacle à l’islam, l’islam avancera, c’est pourquoi il ne faut pas surtout plier ou laisser faire, c’est comme ça qu’ils gagnent du terrain il faut leurs tenir tête ils ne comprennent que par la force.
Je constate déjà qu’entre 1986 (année de mon bac C : math) et maintenant les programmes se sont sérieusement allégés…de plus, sondage fait dans la classe du fiston en 5 ème la semaine dernière….beaucoup d’enfants se couchent pas avant 22h à 12 ans !….certains ne prennent pas de petit déjeuner, + jeux vidéo le soir…bref tout ce qu’il faut pour conduire à l’échec des gamins…qui ne sont pas dans des couches de la société dite pauvre…c’est tout le monde la dedans qui est impliqué ! Je m’interroge tout de même, car on dit que les français sont globalement pas très bons en math, alors qu’au lycée il a toujours été dit que la filière « royale » étaient les maths….que doit être le reste alors?