Wikipedia : //…Le terme islamophobie « peut se définir comme la peur, ou une vision altérée par des préjugés, de l’islam, des musulmans, et des questions en rapport ». Le terme fait son entrée au dictionnaire de la langue française Le Petit Robert en 2005 (édition 2006) défini comme une « forme particulière de racisme dirigé contre l’islam et les musulmans qui se manifeste en France par des actes de malveillance et une discrimination ethnique contre les immigrés maghrébins…// Aucun doute sur notre rejet de l’islam en France… et partout ! Mais pour compléter mon post du 2/11 : Vous remarquerez que le Petit Robert lui-même induit les termes de « vision altérée (illusion ?) » « préjugés » (méconnaissance) de « racisme » contre l’islam et corollairement « malveillance » et discrimination ethnique… Ce qui conforte les bien-pensants islamophiles, les gauchos, les dhimmis et autres anti Français (parfois sans le savoir, ces cons) dans leur construction intellectuelle pour enfumer les esprits bovins. C’était simplement, le sens de ma remarque initiale.
Oui tout à fait mais nous ne sommes pas obligés de participer à l’enfumage des masses !
Je suppose que vous voulez dire « pas obligés d’être enfumés »… Ce qu’apparemment nous ne sommes pas car nous dialoguons sur ce site. Quant à ces masses qui votent et élisent donc leurs « guides », une part importante d’entre elles (20à25%) reste fortement influençable car dépourvue de réelles convictions politiques. C’est sur cette proportion d’indécis, de naïfs, d’émotifs et de frustrés que les communicants de S.O.S racisme et autres officines socialos, alliées à une presse majoritairement à gauche » travaillent » les esprits et parviennent à « l’enfumage » dont nous parlons. Les conséquences sont celles que nous déplorons : un normal 1er aux commandes, des mosquées qui fleurissent partout, un djihad qui n’inspire rien à ces 25%, au moment de voter, des barbus qu’on continue d’appeler des « jeunes », des drapeaux algériens que ces 25% trouvent sympathiques un soir de fête nationale sportive ou d’élection présidentielle et ainsi va sur l’eau le radeau de la méduse…
Ci-dessous le titre d’un fascicule édité par OSCE/BIDDH, Conseil de l’Europe, Unesco, 2012
Principes directeurs à l’attention des éducateurs pour combattre l’intolérance et la discrimination à l’encontre des musulmans – Aborder l’islamophobie à travers l’éducation-
Vous y apprendrez (comme on l’apprend aux enfants et aux éducateurs que l’islamophobie, c’est TRES VILAIN ! C’est ce que JE nomme l’enfumage et il commence par les mots.
@ P. Cassen et Jarczyk
« Islamophobie » n’est, selon mon modeste point de vue, pas du tout adapté à la situation telle que nous la percevons tous, sur ce site dédié à ceux qui refusent la dilution de leurs valeurs judéo-chrétiennes, l’appauvrissement de leur culture et de leur patrimoine occidental, le glissement vers une Nation Française en perte d’identité, le chaos tel que le crée, partout, la prédominance d’une idéologie rétrograde et anarchique telle que l’islam . « Islamophobie » : ce terme véhicule un fond de crainte vaguement infondée, voire injustifiée, telle que les partisans d’une acceptation inconditionnelle de l’islam voudraient nous le faire admettre. Il est une création sémantique habile qui introduirait dans l’opinion publique que ceux qui l’expriment ont tort, ou seraient victimes d’une névrose, suggérant en même temps une intolérable intolérance (« injustifiée »), une insulte, à l’égard d’une croyance en tous points respectable et bienfaitrice. Islamo-réfractaire, islamo-lucide, islamo-clairvoyant, islamo-méfiant ou … (concours ouvert) conviendrai(en)t mieux en ce qu’il(s) doivent exprimer que nous ne sommes pas dupes et que nous ne lâcherons rien. « Car le mot, qu’on le sache, est un être vivant » -V. HUGO (Les contemplations)
non une phobie est, d’abord, idéologiquement, une peur. Et non une maladie, comme dans xénophobie, peut conduisant au rejet c’est ce que nosu éprouvons à l’égard de l’islam
Vous avez raison pour « islamophobes », mais ce n’est pas nous qui nous qualifions ainsi. Ce sont les autres, ceux qui nous injurient et refusent de nous écouter.
Moi je suis fière d’être islamophobe ce n’est pas une insulte mais un compliment
Un grand coup de chapeau à Michel Onfray donc! L’entendre dézinguer l’islam l’amène à rejoindre la foule croissante des « islamophobes » ou pour dire plus juste « islamolucides » Merci de souligner la nuance. Mais nous attendons toujours des islamo-lucides de sa trempe à nos manifestations patriotes , à commencer par lui.
Dans son « Traité d’athéologie » (2005) Onfray n’épargne aucune des 3 religions monothéistes. Il convient de remarquer que son « islamophobie » -dont beaucoup d’occidentaux semblent eux-aussi « atteints »- a pris le dessus sur sa critique des deux autres religions. Car sur un plan purement philosophique ces deux dernières demeurent dans le débat (plus ou moins stérile) d’idées et ne pèsent que très peu sur la vie des Français ou sur l’ordre mondial. Par contre, la troisième, celle dite « d’amour et de tolérance », ne produit depuis de trop nombreuses années, en toutes les parties du globe, violence, assassinats, attentats, décapitations, égorgements, tortures, viols, destructions … au nom d’un djihad qui lui sert de socle. Chez Onfray -comme chez beaucoup d’Occidentaux- cette phobie (peur irraisonnée) est devenue clairvoyance, à la raison que la progression alarmante d’une telle idéologie et d’une telle population, met en danger notre idéal commun de civilisation, nos sociétés occidentales, nos langues, notre culture, nos démocraties, l’avenir de nos enfants. Onfray -qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas- représente dans sa démarche (originellement de gauche) l’archétype du penseur libre et de l’intellectuel utile qui n ‘hésite pas à rompre avec son milieu(*) pour alerter et condamner -arguments objectifs à l’appui- le risque majeur encouru par notre civilisation européenne à favoriser lâchement l’islamisation de ses espaces. A ce titre Onfray mérite un grand coup de chapeau (et surtout d’être lu).
(*) comme nombre d ‘intellectuels arabo-musulmans qui décrivent, avec un immense courage, de l’intérieur, ce que coûtent comme dévastation et régression aux pays qui la pratiquent, l’adoption de cette idéologie.
Wikipedia :
//…Le terme islamophobie « peut se définir comme la peur, ou une vision altérée par des préjugés, de l’islam, des musulmans, et des questions en rapport ». Le terme fait son entrée au dictionnaire de la langue française Le Petit Robert en 2005 (édition 2006) défini comme une « forme particulière de racisme dirigé contre l’islam et les musulmans qui se manifeste en France par des actes de malveillance et une discrimination ethnique contre les immigrés maghrébins…//
Aucun doute sur notre rejet de l’islam en France… et partout ! Mais pour compléter mon post du 2/11 :
Vous remarquerez que le Petit Robert lui-même induit les termes de « vision altérée (illusion ?) » « préjugés » (méconnaissance) de « racisme » contre l’islam et corollairement « malveillance » et discrimination ethnique… Ce qui conforte les bien-pensants islamophiles, les gauchos, les dhimmis et autres anti Français (parfois sans le savoir, ces cons) dans leur construction intellectuelle pour enfumer les esprits bovins.
C’était simplement, le sens de ma remarque initiale.
Oui tout à fait mais nous ne sommes pas obligés de participer à l’enfumage des masses !
Je suppose que vous voulez dire « pas obligés d’être enfumés »… Ce qu’apparemment nous ne sommes pas car nous dialoguons sur ce site.
Quant à ces masses qui votent et élisent donc leurs « guides », une part importante d’entre elles (20à25%) reste fortement influençable car dépourvue de réelles convictions politiques. C’est sur cette proportion d’indécis, de naïfs, d’émotifs et de frustrés que les communicants de S.O.S racisme et autres officines socialos, alliées à une presse majoritairement à gauche » travaillent » les esprits et parviennent à « l’enfumage » dont nous parlons. Les conséquences sont celles que nous déplorons : un normal 1er aux commandes, des mosquées qui fleurissent partout, un djihad qui n’inspire rien à ces 25%, au moment de voter, des barbus qu’on continue d’appeler des « jeunes », des drapeaux algériens que ces 25% trouvent sympathiques un soir de fête nationale sportive ou d’élection présidentielle et ainsi va sur l’eau le radeau de la méduse…
Ci-dessous le titre d’un fascicule édité par OSCE/BIDDH, Conseil de l’Europe, Unesco, 2012
Principes directeurs à l’attention des éducateurs pour combattre l’intolérance et la discrimination à l’encontre des musulmans – Aborder l’islamophobie à travers l’éducation-
Vous y apprendrez (comme on l’apprend aux enfants et aux éducateurs que l’islamophobie, c’est TRES VILAIN !
C’est ce que JE nomme l’enfumage et il commence par les mots.
@ P. Cassen et Jarczyk
« Islamophobie » n’est, selon mon modeste point de vue, pas du tout adapté à la situation telle que nous la percevons tous, sur ce site dédié à ceux qui refusent la dilution de leurs valeurs judéo-chrétiennes, l’appauvrissement de leur culture et de leur patrimoine occidental, le glissement vers une Nation Française en perte d’identité, le chaos tel que le crée, partout, la prédominance d’une idéologie rétrograde et anarchique telle que l’islam . « Islamophobie » : ce terme véhicule un fond de crainte vaguement infondée, voire injustifiée, telle que les partisans d’une acceptation inconditionnelle de l’islam voudraient nous le faire admettre. Il est une création sémantique habile qui introduirait dans l’opinion publique que ceux qui l’expriment ont tort, ou seraient victimes d’une névrose, suggérant en même temps une intolérable intolérance (« injustifiée »), une insulte, à l’égard d’une croyance en tous points respectable et bienfaitrice.
Islamo-réfractaire, islamo-lucide, islamo-clairvoyant, islamo-méfiant ou … (concours ouvert) conviendrai(en)t mieux en ce qu’il(s) doivent exprimer que nous ne sommes pas dupes et que nous ne lâcherons rien.
« Car le mot, qu’on le sache, est un être vivant » -V. HUGO (Les contemplations)
non une phobie est, d’abord, idéologiquement, une peur. Et non une maladie, comme dans xénophobie, peut conduisant au rejet c’est ce que nosu éprouvons à l’égard de l’islam
Vous avez raison pour « islamophobes », mais ce n’est pas nous qui nous qualifions ainsi. Ce sont les autres, ceux qui nous injurient et refusent de nous écouter.
Moi je suis fière d’être islamophobe ce n’est pas une insulte mais un compliment
Un grand coup de chapeau à Michel Onfray donc! L’entendre dézinguer l’islam l’amène à rejoindre la foule croissante des « islamophobes » ou pour dire plus juste « islamolucides » Merci de souligner la nuance.
Mais nous attendons toujours des islamo-lucides de sa trempe à nos manifestations patriotes , à commencer par lui.
Dans son « Traité d’athéologie » (2005) Onfray n’épargne aucune des 3 religions monothéistes. Il convient de remarquer que son « islamophobie » -dont beaucoup d’occidentaux semblent eux-aussi « atteints »- a pris le dessus sur sa critique des deux autres religions. Car sur un plan purement philosophique ces deux dernières demeurent dans le débat (plus ou moins stérile) d’idées et ne pèsent que très peu sur la vie des Français ou sur l’ordre mondial. Par contre, la troisième, celle dite « d’amour et de tolérance », ne produit depuis de trop nombreuses années, en toutes les parties du globe, violence, assassinats, attentats, décapitations, égorgements, tortures, viols, destructions … au nom d’un djihad qui lui sert de socle. Chez Onfray -comme chez beaucoup d’Occidentaux- cette phobie (peur irraisonnée) est devenue clairvoyance, à la raison que la progression alarmante d’une telle idéologie et d’une telle population, met en danger notre idéal commun de civilisation, nos sociétés occidentales, nos langues, notre culture, nos démocraties, l’avenir de nos enfants. Onfray -qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas- représente dans sa démarche (originellement de gauche) l’archétype du penseur libre et de l’intellectuel utile qui n ‘hésite pas à rompre avec son milieu(*) pour alerter et condamner -arguments objectifs à l’appui- le risque majeur encouru par notre civilisation européenne à favoriser lâchement l’islamisation de ses espaces. A ce titre Onfray mérite un grand coup de chapeau (et surtout d’être lu).
(*) comme nombre d ‘intellectuels arabo-musulmans qui décrivent, avec un immense courage, de l’intérieur, ce que coûtent comme dévastation et régression aux pays qui la pratiquent, l’adoption de cette idéologie.