Il nous faut une nouvelle nuit du 4 août, par Philippe le Breton !

« Que Monsieur Barosso s’en aille et vite! »  Rachida Dati souhaite le départ de Barosso. Qui sait, Rachida, peu assidue à la tâche au Parlement Européen, lorgne peut-être le poste si convoité, prestigieux et lucratif de Mister Barosso. C’est que Madame la Présidente, ça en jette ! – par les fenêtres et à nos frais. Rachida risque d’attendre longtemps car Monsieur Barosso s’accroche aux privilèges de sa fonction comme un morpion aux parties intimes. C’est que la soupe est bonne, le chef étoilé, la table bien mise, les couverts de vermeil, le service à la Française et c’est le petit peuple qui paie l’addition. Qui ignore que tous ces parasites, qui ne représentent qu’eux-mêmes et se donnent des grands airs, se gobergent sur notre dos ?

Rachida n’aime pas Barosso. Je n’aime ni Rachida ni Barosso. Pour avoir travaillé de nombreuses années dans un palace parisien où il a ses habitudes, j’ai pour lui un mépris tout particulier. Non seulement la soupe est bonne, la suite Présidentielle avec vue, le lit king size moelleux, le mini-bar bien rempli et les cadeaux d’accueil somptueux mais Monsieur pète dans des draps de soie et les effluves gagnent les offices où le petit personnel s’active, s’échine, sue sang et eau pour que le séjour soit à la hauteur de la réputation de l’établissement et « Son Excellence » satisfaite.

Il nous était demandé de lui donner du « Monsieur le Président ». Je me suis toujours abstenu de le faire car Monsieur est la forme la plus extrême de courtoisie dans la langue française et ce monsieur n’est rien. Un palace est un théâtre et en coulisses certains collègues et moi-même l’avions surnommé « le Caudillo » pour son air hautain, méprisant et pour son ton cassant. Le petit personnel est moqueur!

Son traitement par l’hôtel était celui d’un chef d’état qu’il n’est pas, payé par les contribuables que nous sommes. Son « Excellence » ne voyage jamais seul. Secrétaire, chauffeur, gardes du corps virevoltent comme un essaim de mouches autour du grand homme, fustigent le personnel et se vengent d’être des « larbins » qui en croquent eux-aussi.

J’ai le souvenir d’un de ses séjours où dans le même temps nous recevions la reine Sylvia de Suède, majestueuse de simplicité, en séjour privé payé de ses deniers. Celui des deux qui exigea un traitement plus que royal et piqua des crises dignes d’un enfant capricieux et mal élevé n’est pas celui que l’on pense. Je n’ai jamais su lorsque ses séjours était d’ordre privé ou officiel. Quoi qu’il en soit, je suppose que c’est vous et moi qui avons payé la facture dans tous les cas.

Sur le point de quitter cet hôtel aprés des années de bons et loyaux services, lassé d’être un figurant costumé dans ce théatre d’apparence, je me suis permis un jour de lui raccrocher au nez alors qu’il m’avait parlé comme à un chien. Il fit un scandale, je prétendis un problème technique, ma réputation d’employé consciencieux et d’une extrème courtoisie ainsi que le soutien inconditionnel de ma chef de service me permit d’éviter les sanctions.

Que voulez-vous, ma chère, en ces temps troublés où la colère gronde, il est et deviendra de plus en plus difficile de trouver du personnel de maison corvéable à merci! Et des contribuables dociles et soumis aussi.

Leurs Excellences sont puantes. Satanées effluves, il m’a fallu du temps pour m’en débarasser. J’en ai encore les narines qui frémissent!

Il n’y a pas de grand homme pour son valet de chambre et je l’ai vérifié.

Que Monsieur Barosso s’en aille et vite, et avec lui tous les prévaricateurs de son espèce!

Il nous faut une nouvelle nuit du 4 août! Ce jour là, nous présenterons la facture à ceux de la « haute » et elle sera salée.

Philippe le Breton

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36 Commentaires

  1. encore une mauvaise manipulation de ma part, je viens d’apprendre que des européens non juges levaient l’immunité de MLP pour propos racistes en 2010 ..réponse le 2 juillet 2013.

    Existent ils des textes de loi européens qui protégent les peuples méprisés par des partis politiques et des associations satellites par conflit d’intérêt contre les habitants d’un pays qui réclament la liberté d’expression ????
    je vais consacrer du temps à cette démarche….

    Si je comprends bien , seuls les partis politiques de gauche et les associations détestant ouvertement les Français de souche ,blancs ,aux racines ancrées depuis des générations ont le droit d’exprimer ouvertement leur racisme en toute impunité !!!

    • C’est insensé ils sont vraiment décidés à nous faire taire par tous le smoyens !

  2. Entre le 14 juillet et le 4 août, il s’est passé juste trois semaines…
    Rapide et efficace ! Ils savaient faire, à l’époque…

  3. Les parents de Rachida Dati ont immigré en France, alors qu’ils auraient pu rester chez eux, puisqu’ils voulaient leur indépendance. Et n’oublions pas que cette péronelle est immigrationniste.
    Elle est bien contente d’être en France et faire de la politique pour satisfaire ses goûts de luxe.
    Je suis d’accord avec Philippe Le Routier, elle n’a rien à faire chez nous !

  4. Article léger et intéressant. Je vois que Philippe le Breton a une plume ascerbe :). C’est très bien rédigé.
    Philippe, vous pourriez écrire un livre, votre écriture est très agréable, on en redemande 🙂
    Bien souvent, l’argent et le pouvoir montent à la tête de ceux qui s’en voient octroyés du jour au lendemain par un destin soudain.
    Et quand cela arrive à des gens complexés d’avance, le résultat d’une fortune et ou pouvoir inatendu peut être surprenant…et désastreux pour eux comme pour leur entourage. Ces gens là ne sont pas heureux car on ne peut prétendre l’être en écrasant son prochain de dédain , et s’ils le font c’est sans doutes pour vérifier qu’ils ont réellement un pouvoir ( qu’ils ne méritaient pas bien souvent car obtenu par concnours de circonstances )…ils veulent s’assurer de pas ne rêver…et ils veulent le boire jusqu’à plus soif.
    Je constate que sur ce site,les Philippe ont des talents d’écrivain.
    Et je suis heureuse par le même coup de voir que Philippe Le Routier a écrit quelque chose…cela faisait déjà 2 jours que je ne voyais plus rien de lui et , étant de nature anxieuse, je recommençais à m’inquiéter.
    De plus il y a une belle prime ! il a mis sa photo en avatar ! voilà maintenant que je peux mettre une photo sur le personnage. Un personnage au visage bien sympathique !
    À votre tours Philippe le Breton de nous gratifier d’un morceau de votre visage ?…peut-être ?…

    • Décidément vox populi vox dei nous sommes nombreux à vouloir un livre de notre Breton préféré !

    • Merci, Nini, pour vos compliments. Promis, il y aura une suite. J’ai quitté l’hôtel en 2009 et depuis lors j’avais tiré un trait sur cette période (30 ans!). Je travaille maintenant pour mon propre compte, c’est tout autant exigeant, voire plus, mais je suis seul maître à bord. J’envoie promener qui je veux, ce qui est un privilège rare dont je n’abuse pas étant d’un naturel conciliant. Mais gare à celui qui me cherche! Les Bretons, longtemps méprisés, n’ont pas pour habitude de tendre l’autre joue. De la joue au visage, nous verrons, comme le chante Barbara, si la photo est bonne…. Vous permettez Christine, j’ai plein de chanson dans la tête, c’est cadeau pour vous, Nini. Kenavo

      Si la photo est bonne,
      Juste en deuxième colonne,
      Y a le voyou du jour,
      Qui a une petite gueule d´amour,
      Dans la rubrique du vice,
      Y a l´assassin de service,
      Qui n´a pas du tout l´air méchant,
      Qui a plutôt l´œil intéressant,
      Coupable ou non coupable,
      S´il doit se mettre à table,
      Que j´aimerais qu´il vienne,
      Pour se mettre à la mienne,

      Si la photo est bonne,
      Il est bien de sa personne,
      N´a pas plus l´air d´un assassin,
      Que le fils de mon voisin,
      Ce gibier de potence,
      Pas sorti de l´enfance,
      Va faire sa dernière prière,
      Pour avoir trop aimé sa mère,
      Bref, on va prendre un malheureux,
      Qui avait le cœur trop généreux,

      Moi qui suis femme de président,
      J´en ai pas moins de cœur pour autant,
      De voir tomber des têtes,
      A la fin, ça m´embête,
      Et mon mari, le président,
      Qui m´aime bien, qui m´aime tant,
      Quand j´ai le cœur qui flanche,
      Tripote la balance,

      Si la photo est bonne,
      Qu´on m´amène ce jeune homme,
      Ce fils de rien, ce tout et pire,
      Cette crapule au doux sourire,
      Ce grand gars au cœur tendre,
      Qu´on n´a pas su comprendre,
      Je sens que je vais le conduire,
      Sur le chemin du repentir,
      Pour l´avenir de la France,
      Contre la délinquance,
      C´est bon, je fais le premier geste,
      Que la justice fasse le reste,
      Surtout qu´il soit fidèle,
      Surtout, je vous rappelle,
      A l´image de son portrait,
      Qu´ils se ressemblent trait pour trait,
      C´est mon ultime condition,
      Pour lui accorder mon pardon,

      Qu´on m´amène ce jeune homme,
      Si la photo est bonne,
      Si la photo est bonne,
      Si la photo est bonne…

      • @ Philippe Le Breton :
        Merci pour la chanson 🙂 , c’était bien trouvé. Alors, maintenant, si la photo est bonne ne vous gênez surtout pas pour en mettre un petit morceau sur ce blog 🙂
        Je suis en travail autonome moi aussi, et je ne compte pas mes heures qui bein souvent sont des heures de fous, mais , comme vous, je préfère ma liberté et faire quelqaue chose que j’aime, ça me donne moins l’impression de travailler :)…mon travail étant ma passion 🙂

  5.  » Il nous était demandé de lui donner du « Monsieur le Président ». Je me suis toujours abstenu de le faire car Monsieur est la forme la plus extrême de courtoisie dans la langue française et ce monsieur n’est rien. Un palace est un théâtre et en coulisses certains collègues et moi-même l’avions surnommé « le Caudillo » pour son air hautain, méprisant et pour son ton cassant. Le petit personnel est moqueur!  »

    Pour Philippe Le Breton : Transformez vos observations de travail en un roman car il est très agréable de vous lire.

    • J’adhère à ce conseil ! J’ai déjà demandé à Philippe de nous faire des articles mais l’idée du roman est pertinente… il m’a dit qu’il manquait de temps mais on va le pousser….

  6. Philippe le Breton, vous nous en apprenez de belles sur ces gens de la haute. Je ne suis pas surprise ayant eu moi-même à les servir lorsque je tenais une blanchisserie à Neuilly. On appelle cela du beau linge ! Crasseux, oui ! J’ai des souvenirs qu’il vaut mieux ne pas évoquer ici. Passons. Quant à Philippe le Routier, toujours en verve à ce que je vois.
    Bonne soirée à vous deux.

    • @ Bretonnedecoeur. Amitiés du matin. Il est « plaisant » d’apprendre que vous teniez une blanchisserie à Neuilly. J’imagine les hauts le coeur à la réception de certains linge. Je poste plus vite que mon ombre, aussi il m’est venu aprés coup l’idée d’intituler cet article sur Barosso du titre suivant:

      Si un palace m’était conté. Chroniques de la « haute » en vue de la nuit du 4 août.

      1e épisode – Si les Grecs, au régime sec, savaient ce qu’ils font de nos deniers!

      Et l’intitulé du second épisode en cours de rédaction comme suit:

      2e épisode – La « sheikh attitude »: Où l’on apprends que « nos » émirs, non contents de péter dans la soie, se torchent le derrière avec les draps. Coeurs sensibles s’abstenir!

      Les grands esprits se rencontrent! Et les femmes de chambre ont non seulement du coeur à l’ouvrage mais se doivent de l’avoir bien accroché pour subir ce genre d’humiliation. Mais comme vous dites « passons »! Je trouverais un autre intitulé car côté humiliation ceci n’est que l’écume, si je puis m’exprimer ainsi.

      @ Beate. Merci. J’aurai du tenir un journal mais ma mémoire est bonne. Et puisque l’on m’y pousse gentiment, je tenterais de rassembler des anecdotes dignes d’intérêts.

      Bonne journée à tous
      Kenavo

      • Excellent Philippe j’attends avec impatience le deuxième épisode et je ne suis p as la seule….

        • Et oui…Nous avons partagé aussi la même lassitude…Attention, toutefois Philippe à ne pas empiéter sur la vie privée;
          avant d’écrire ou de publier quoique ce soit, prenez conseil auprès d’un avocat…Mais si la chose est possible…J’ai hâte de la connaître !!!

          • @ Jarczyk. Merci du conseil. Je me garderais bien de tomber dans le ragot et de dévoiler des secrets d’alcôve qui n’ont aucun intérêt et qui peuvent faire l’objet de poursuites. L’idée de Beate de narrer ces anecdotes sous forme de roman est pertinente, elle permet plus de liberté. Il me faudrait du temps, la retraite approche, ce peut être une activité plaisante mais je ne suis pas sûr d’avoir les qualités requises. Mais au fil des commentaires, par la liberté que Christine nous accorde dans nos interventions, je gagne en assurance.

            Tout comme vous, lorsque la lassitude m’a gagné, j’ai su qu’il était temps de tourner la page.

            Kenavo

      • Tiens ,tiens…Je vois que nous avons partagé les mêmes expériences!…La clientèle que je devais « servir » était plutôt celle des affaires et du » show bizz »…Mais, croiser certains grands Bobos de gôche qui venait adoucir leur quotidien au Health Club fut parfois un vrai régal, tant leurs comportements pouvaient être à des années lumière des idées qu ‘ils prônaient…Ceci étant toujours d’actualité, je suppose…Mais j’ai aussi d’excellents souvenirs, notamment celui d’un Philippe Seguin,ou d’une Michèle Morgan entre autres heureusement, qui furent des modèles de courtoisie et de discrétion…La vraie classe, quoi!

        • Bonjour et merci pour cette conversation qui offre un divertissement digne des magasines Gala ou Enquirer sur le Gottas, le gratin etc…J’apprécie,car ça détend et je suis bien contente que Christine Tasin permette à son site autant de diversité tout en gardant le cap sur le sujet principal. C’est un tours de forces, félicitations !. C’est un magasine complet grâce à vous. Continuez, je savoure 🙂

          • @ Nini, vous en voulez encore? Je pense que Christine ne nous en voudras pas de ce papotage! Il est une chanteuse canadienne de renommée internationale qui, elle aussi, avait ses habitudes dans le même l’hôtel. Si je ne cite pas son nom je peux, sans crainte, dire que c’était, à l’époque, une enquiquineuse de 1e catégorie. Jamais contente, des consignes contradictoires car personne ne devait savoir qu’elle entretenait une liaison avec celui qui deviendra son mari. J’aurais étais corruptible, j’aurais vendu le tuyau et je serais peut-être riche ou, plus sûrement, j’aurais perdu mon boulot. Elle voyageait toujours avec son coiffeur qui concourrais, haut la main et le peigne en furie, dans la même catégorie. Nous avions des codes informatiques, avec historiques consultables par certains, pour signaler le côté difficile ou caractériel de certains clients afin de prendre sur nous et ainsi d’éviter les scandales. Lorsque le code s’affichait, c’était à qui allait se taper le client irritable et on se refilait le mistigri.

            Julio Iglésisias descendait, lui aussi, réguliérement chez nous. Ses fans, par des réseaux fiables, connaîssait la date de ses séjours. Des groupies hystériques nous harcelaient de coup de fils pour s’entretenir avec la star. La consigne était, généralement, de ne pas le déranger. Aussi, aprés nous être assurés à qui nous avions affaire, un de mes collègues, ibérique avec l’accent, prenait les appels en se faisant passer pour l’artiste. Je sais, c’est pas bien de se moquer, mais nous avons fait des heureuses qui doivent encore se souvenir avec émoi des mots échangés avec leur idole!

            J’ai également et fort heureusement des souvenirs trés agréables et parfois empreints d’une certaine poésie. Il s’agit, là aussi, d’un artiste Canadien pour qui j’ai une grande admiration. Léonard Cohen nous honorait de ses visites, un homme charmant, discret, respectueux. J’aimais travailler la nuit, lorsque le tumulte se calme, le silence se fait, le théatre se refait une beauté, et qu’il nous était permis (ce qui n’était plus le cas dans les dernières années de mon activité) de nous relaxer. J’ai toujours aimé lire, c’était ma manière de me détendre. Il s’est trouvé, une nuit, alors que j’étais plongé avec ravissement dans la lecture d’un recueil de ses nouvelles, et alors que j’ignorais sa présence dans l’hôtel, qu’il appelle la réception à ce moment là. Voir apparaître son nom sur l’écran, entendre sa voix, l’esprit encore charmé de ses mots fût un moment de grâce qui m’a fait douter du hasard. Je me suis permis de lui faire part de cette coïncidence et lors de son départ il vint me saluer chaleuresement.

            On papote, on papote, il se fait tard et Christine va devoir valider ce long commentaire. J’espère que l’agrégée de lettres qu’elle est s’amusera de cette dernière anecdote.

          • C’est toujours un bonheur, Philippe, de vous lire… Merci et continuez !

          • @Philippe Le Breton : Hou là !! Ce ne sont plus des nouvelles mais une bombe ! JE n’en reviens pas !! S’il s’agit bien de l’artiste à laquelle je pense, j’étais très loin de m’attendre à ça car elle la joue simple en publique….Mais j’ai déjà vu une autre artiste qui la jouait classe auprès de son publique et à la TV, un jour que j’étais allée voir un match de boxe, elle était assise juste derrière moi avec son amant et quelques amis et c’est là que j’aidécouvert à quel point cette personne pouvait être vulgaire au point d’en être très gênée pour elle. Donc plus rien ne me surprend. Dans les vedettes il y a souvent 2 personnalité : Le paraître et l’être.
            J’ai adoré vous lire . Merci pour vos anecdotes 🙂

  7. Barosso est l’archétype du politichien européen totalement aux ordres des Americains et ce , depuis ses années estudiantines..
    Il fut le leader des étudiants maoïstes au cours de la révolution d’operette dite des oeillets….Les americains , réalisant que la seule force sérieuse dans ce folklore était le PC portugais et s’inquiétant pour leur base stratégique des Acores remplacèrent leur ambassadeur par un membre déja haut placé de la CIA du nom de FRANK CARLUCCI. Comme tout bon agent , il retourna BAROSSO alors maoiste , la CIA le prit en main lui assurant une solide formation européenne qui le mena du maoisme au centre-droit atlantiste portugais, le tout en l espace de 3 ,4 ans …. Ce fut …du rapide !!
    Devenu Premier Ministre , il trahit les intérêts de son pays en tentant de livrer la scté d’ état portugaise des gaz et pétroles au Fond d’Investissements et d’actifs américains CARLYLE dont le PDG , vous l’aurez deviné , était à l’époque son maître …FRANCK CARLUCCI … L’affaire, pourtant secrète, ne fut pas conclue , le pot aux roses ayant été découvert in extremis ..

    Si on a pu accuser comme le Général De Gaulle le fit , Monnet d’ être à la solde des USA, Robert Schumann à la solde des allemands , BAROSSO est dans cette lignée là .

    Info entendue de la bouche de Francois Asselineau lors d’une de ses conférences à Lyon .

    • Merci pour ce complément fort intéressant partout l’extrême gauche a fait son lit et est parvenue aux manettes supérieures sans avoir été choisie par le peuple

  8. Toujours un plaisir de te lire Ami et homonyme Breton.
    Dans le lien j’ai trouvé cette phrase de la Rachida qui m’a fait rire (jaune) « À quoi sert la Commission européenne si, par crainte de ses partenaires commerciaux, elle refuse de défendre les Européens et tout ce qui fait notre spécificité ? »

    Vous noterez le « nôtre »…
    Ainsi cette idiote se croit elle européenne !

    Ben oui ma Rachida il y a des lois idiotes, et il y en a eu avant ! La preuve, tu vis dans le luxe, sans rien faire alors qu’avec tes origines t’aurais du être mariée à 10 ans, voilée, co-épouse d’un vieillard, mère vers 12 ans grand-mère à 25 et répudiée à 30.
    Maudites soient les lois française et européenne qui ont ainsi modifié ton superbe destin.

    • Pour Philippe le routier.
      Le père de Rachida Dati est marocain, sa mère était algérienne, mais elle est née en France et ne possède (semble-t-il) que la nationalité française, donc oui, elle est française et peut se dire européenne.

      • Extraordinaire et implacable démonstration bravo et merci Beate je confisque pour publication demain

      • Je prend note chère Béate.
        Mais une vache née dans une écurie n’en devient pas un cheval pour autant.
        Quand au parents de cette poule de luxe, que faisaient-ils chez nous, leurs pays respectifs n’étaient pas assez bien pour eux ?
        Quand au côté européen ben justement moi aussi, né en France je le suis, mais je défend pas cette UE utopique.

        Toute façon c’est épidermique, cette femme me glace, sa suffisance et son auto satisfaction transparaîssent à chaque seconde de sa vie.

        • Philippe soyez patient et attendez la suite. Christine m’a provisoirement censurée…

          • non Beate ce n’est pas de la censure c’est de la procrastination….;_)

      • IL me semble que beaucoup pensent qu il suffit d’être né France pour être français : le droit du sol …..Et de citer ces libanaises venant accoucher en France pour que leurs enfants aient la nationalité française.
        C est faux : le code civil dans son article 18 indique clairement qu ‘est français celui dont l’un des parents directs est français ( il fallait que les 2 le soient avant la guerre ) : c’ est donc le droit du sang qui régit l accès à la nationalité en France et non le droit du sol ..
        Mon père a attendu longtemps avant d’avoir la nationalité française après la guerre , le fait qu il ait été résistant ayant probablement joué alors que son frère aîné bcp plus âgé que lui a dû repartir.

        Ce qui veut dire qu en théorie ,les enfants nés de parents étrangers sont expulsables jusqu à l’age de 18ans , âge ou sans rentrer ds les détails l’accés à la nationalité est facilité.En fait les expulsions sont quasi rendus impossible par les directives européennes ( voir un article récent de Maxime Tandonnet sur blog perso )….

        Enfin je vous trouve bien vachard avec cette Rachida !!! Pour une fois qu’ un cacique médiatique rentre dans le lard et a quelques chances de réveiller une partie des français de leur torpeur et de leur paresse ……

        • Merci de ce rappel, la France ne pratique pas le droit du sol contrairement à ce que l’on entendu. Le seul problème c’est qu’à 18 ans les enfants nés sur notre sol peuvent devenir français automatiquement et que la loi qui protège les enfants rend leurs parents inexpulasables… la bouche est bouchée

        • Française de souche, j’ai épousé un quebecois pure laine 🙂 nous avons un fils majeur aujourd’hui. J’En conclus que mon fils est automatiquement français même si je n’habite pas en France depuis nombre d’années ?
          Et qu’en est il de mon mari ? est il lui aussi automatiquement français ou faut il qu’il en fasse la demande ?

          • Bien sûr Nini ! le fils d’une française est français… il est aussi sans doute québéquois je ne connais pas la loi là-bas… pour votre mair il faut faire la demande

    • Merci l’Ami. Moi aussi, j’ai toujours plaisir à te lire. Digression, Christine me pardonnera! Un de tes derniers articles sur la foi et les lieux de sa célébration m’a particulièrement touché. Je suis catholique car baptisé, plûtot agnostique, mais jamais je ne renierais mon baptême qui me relie à mes ancêtres. Je me recueille souvent dans des églises, des chapelles, je participe à des Pardons qui rassemblent avec ferveur mes compatriotes Bretons. Mais c’est lors de mes périgrinations le long des côtes de ma chère Bretagne, dans la contemplation de l’océan que je m’interroge avec profondeur sur le sens « d’être au monde ». Rétablis-toi cher Ami, mes pensées t’accompagne dans ta convalescence. A galon (cordialement) ha kenavo (au revoir). Philippe

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