Incapables ? Utopistes ? Criminels ?
Les sénateurs, enthousiastes à l’idée de voter cette proposition de loi sont-ils des imbéciles heureux ou des complices actifs de ceux qui, en votant les lois Pléven, Gayssot, Taubira et compagnie ont donné aux fossoyeurs de la liberté d’expression et à ceux qui souhaitent le « grand remplacement » les moyens de mettre en oeuvre légalement leurs rêves ?
La proposition de loi examinée en ce moment au Sénat est simple : « toute personne qui cause un dommage à l’environnement est tenue de le réparer ».
A priori que des bonnes intentions… Et chacun de penser à l’Erika et autres AmocoCadiz.
Sauf que… Sauf que une loi pareille, quand des Duflot, Hollande et autres Taubira sont au pouvoir cela ouvre des perspectives hallucinantes pour mettre au pas ces salauds de Français moyens qui mettent le thermostat à 20 degrés chez eux, qui prennent des mbains au lieu de se laver au gant à l’ancienne, qui utilisent leur voiture au lieu de prendre le métro ou leur vélo…
Il est évident que si une loi pareille est votée, celui d’entre nous qu’on voudra persécuter le sera, simplement, puisqu’avec l’idéologie culpabilisatrice qu’on veut nous imposer, il est déjà question de nous faire payer très cher les degrés auxquels ON jugerait qu’on n’aurait pas droit. Il est évident qu’avec cette loi on pourra nous accuser de contribuer à la pollution de la planète, à la disparition de l’eau douce ou au relèvement de niveau des océans, au choix…
Qu’on ne vienne pas me dire qu’avec l’arsenal juridique actuel on n’a pas les moyens de faire payer les armateurs ou capitaines de navire responsables de dégazage en pleine mer !!! !
Cette loi anti-liberté est un cache-sexe pour une atteinte de plus à nos libertés fondamentales, pour mettre en coupe réglée cette individualiste de Français moyen.
Je vous conseille d’écrire à votre sénateur pour lui dire ce que vous en pensez… Liste des sénateurs.
Pour envoyer un courrier à un sénateur :
M. le Sénateur …
Casier de la poste,
15, rue de Vaugirard,
75291 – Paris Cedex 06
Christine Tasin
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« Toute personne qui cause un dommage à l’environnement est tenue de le réparer. »
Voilà une bonne nouvelle! Ce sont donc les casseurs de vitrines (l’environnement des avenues parisiennes) qui paieront les dégâts. Va juste falloir faire appliquer la loi!
Mais non Hélène les vitrines ne font pas partie de l’environnement je le crains.. elles appartiennent à des salauds de propriétaires privés qui polluent l’environnement à savoir la planète !
J’habite dans la vallée du Rhône , je suis » coincée » entre 3 centrales nucléaires . La plus proche est à 7 KM . Quand j’ouvre mes volets , le matin , j’ai une vue directe sur les tours d’eurodif : impact sur la nature : les déchets nucléaires ,( qui va payer ?) mais on ne peut pas faire l’impasse sur ce mode d’énergie ( pour l’isntant ) , soyons lucides .
On nous gratifie aussi de plus en plus d’éoliennes qui poussent de partout , mistral oblige , impact sur la nature : les tonnes et les tonnes de béton qui sont coulées pour que les mâts tiennent bon ( qui va payer ?) ( je ne parlerai pas de la pollution sonore , pour les gens qui vivent à proximité , j’ en connais , mais , ça , personne n’en parle ).
Ils vont aussi nous » coller » l’ exploitation du gaz de schiste : impact sur la nature ; 9% de fuites ( qui va payer ? )
Des copains et des copines qui travaillent dans la centrale ne décolèrent pas . Pour faire plaisir à ces gobe la lune d’écologistes , Hollande a décidé de fermer la centrale de Fessenheim , impact sur la nature , quand la demande sera très forte cet hiver , il faudra acheter de l’électricité à l’ Allemagne qui la produit via les centrales à charbon qui polluent à gogo ( qui va payer ? ) et nous perdons notre indépendance énergétique .
Ils nous prennent vraiment pour des charlots .
Vous trouverez ci-dessous , des textes que j’ai reçu :
Publié le 03/10/2012 à 18:21
78% des Français refusent de payer plus pour sortir du nucléaire.
Un sondage Tilder-LCI-OpinionWay édifiant, publié par Le Point, indique que 78% des Français refuseraient de payer leur énergie plus chère pour faire sortir le pays du nucléaire. Pourtant, c’est bien ce que le gouvernement prévoit de nous infliger.
« Seriez-vous prêt à accepter une augmentation du prix de l’électricité pour que la France arrête de produire de l’électricité à partir de centrales nucléaires », telle a été la question posée par les sondeurs d’Opinion Way à un échantillon de 1007 Français, selon la méthode des quotas, les 12 et 13 septembre derniers.
Et la réponse du peuple de France a été limpide : « non », ont répondu 78% des personnes interrogées.
Il y a quelques semaines, le gouvernement Allemand a décidé de freiner sa sortie du nucléaire pour ne pas mécontenter une population inquiétée par la brusque hausse du prix de l’énergie due à la transition énergétique (les prévisions évaluent la hausse du prix de l’électricité allemande à 33%).
Le gouvernement de Jean-Marc Ayrault aura-t-il le courage politique et le pragmatisme d’en faire autant ? La gauche n’est-elle pas censée prendre la défense et protéger les citoyens le plus faibles et le moins fortunés ?
Représentant 2% de l’électorat français (issu de la petite et moyenne bourgeoisie), les Verts ont pris le gouvernement en otage sur ce sujet. Entre chantage et magouilles politiciennes sur le dos des consommateurs, les Verts parviendront-ils à imposer aux 78% de Français qui sont en désaccord avec eux, une hausse massive du prix de l’électricité ?
Il est clair que pour les bobos des villes qui ont voté Joly ne sont pas à qelques centaines d’euros prés, mais pour les ouvriers, dont le pouvoir d’achat n’est pas au plus haut, cette inévitable future hausse du prix de l’électricité signifiera de nouveaux sacrifices à concéder.
Un autre ?
Sortie du nucléaire : la facture enfle en Allemagne
http://www.lefigaro.fr/environnement/2012/10/15/01029-20121015ARTFIG00654-sortie-du-nucleaire-la-facture-enfle-en-allemagne.php
Par Patrick Saint-Paul Publié le 15/10/2012 à 19:49
Angela Merkel, dans un champ d’éoliennes, à Krempin près de Rostock, dans le nord de l’Allemagne.
L’inflation du coût de l’électricité provoque un vif débat au sein de la coalition gouvernementale.
L’euphorie de la «révolution énergétique» sera retombée en dix-huit mois outre-Rhin. Largement saluée en Allemagne, la sortie du nucléaire décidée par Angela Merkel au printemps 2011, dans la foulée de la catastrophe de Fukushima, est en train de virer au casse-tête politique. L’explosion des coûts liée à l’abandon de l’énergie atomique provoque un scepticisme croissant et pourrait coûter très cher à la chancelière en pleine année électorale alors que les critiques fusent contre son plan de conversion aux énergies vertes.
Lundi, les principaux opérateurs de réseaux électriques en Allemagne ont annoncé un relèvement de près de 50 % de la taxe payée par les consommateurs allemands pour soutenir le développement des énergies vertes. Une hausse qui correspond pour un foyer de trois personnes consommant 3 500 kilowattheures par an à une dépense supplémentaire d’environ 60 euros, soit au total 185 euros. «Il est évident que les compagnies ne peuvent compenser l’important recours à la part régulée des prix de l’énergie et sont contraintes de les répercuter sur les clients», a déclaré Hildegard Müller, directrice de la fédération BDEW dans un communiqué.
Nervosité des élus de tous bords
Au lendemain de la catastrophe nucléaire de Fukushima, le gouvernement allemand avait décidé de fermer les huit centrales atomiques les plus anciennes et d’accélérer la fermeture des réacteurs restants. Plébiscitée lors de son annonce, la sortie du nucléaire – programmée en 2022 – fait désormais tiquer les Allemands. Selon un sondage Emnid publié dimanche, quelque 53 % des Allemands – contre les trois quarts au printemps 2011- soutiennent encore le «virage énergétique» de la chancelière. Mais 77 % des électeurs jugent «très important» que le coût de l’énergie reste «payable».
À moins d’un an des élections, le projet provoque la nervosité des élus de tous bords, qui demandent au gouvernement de revoir sa copie. La question divise au sein même de la coalition de centre droit au pouvoir. Le Parti libéral (FDP) souhaite notamment une diminution des subventions publiques et une réforme en profondeur de la législation sur les énergies renouvelables. «L’électricité ne doit pas devenir un produit de luxe», prévient Michael Fuchs, un député conservateur, qui souligne la nécessité d’un large consensus sur l’abandon du nucléaire. Quant à l’opposition, elle accuse le gouvernement de laisser les consommateurs supporter seuls les conséquences de l’abandon du nucléaire, Berlin ayant exempté l’industrie lourde, particulièrement gourmande en énergie, du paiement des tarifs d’utilisation des réseaux et de l’énergie verte.
Objectif: 80% de renouvelables en 2050
Face aux reproches croissants, le ministre allemand de l’Environnement, Peter Altmaier, a averti lundi, dans le quotidien populaire Bild : «Il est certain que le changement énergétique, que nous voulons tous et que je veux réussir, ne sera pas gratuit.» Les Allemands paient déjà plus que la plupart de leurs voisins européens pour l’électricité: 24 centimes/kWh contre 13 centimes en France et 14 centimes en Grande-Bretagne. Et les coûts seront de plus en plus élevés alors que le gouvernement a décidé de faire passer la proportion des énergies renouvelables de 40 % en 2020 à 80 % en 2050, alors qu’elle s’élève à près d’un quart de la production actuellement. Les analystes estiment le coût des investissements pour atteindre ces ambitions à 300 milliards d’euros. L’Allemagne doit notamment développer les réseaux pour acheminer l’énergie renouvelable, produite au nord du pays, dans le sud où sont concentrées les industries.
La hausse passe d’autant plus mal auprès des ménages que quelque 700 entreprises bénéficient d’une exemption ou d’un abaissement de charges pour préserver leur compétitivité. «Le coût du renouvelable pour les consommateurs et les industries a atteint un niveau insoutenable», selon Karl Ludwig Kley, patron de la fédération allemande de l’industrie chimique, qui, elle, paie cette taxe… Un niveau d’autant plus insoutenable que le pays est toujours menacé par des coupures cet hiver, lorsque la consommation atteindra son pic.
Bravo et merci pour ce complément plus qu’in téressant à verser au dossie r!
Encore quelques années et nous reçevrons tous notre système de contrôle d’émissions de CO2 personnel et corporel, une sonde dans le fion pour voir si on pète quoi, et ensuite on sera taxé conséquemment…
À part ca tout baigne, tout va bien, le mot « race » à été supprimé, l’assemblé à ratifiée la chose, et le CDI est terminé, place à la flexi-machin-truc tant voulue par Hollande.
Bref, notre « résident de la raie publique » bricole ici et là avec sa boite à outils toute neuve, des trucs inutiles qui pourront (seront ?) abrogés après 2017 tant ils sont stupides…
UN an ! Déjà UN AN qu’il est au pouvoir et sa conférence de presse d’hier n’a fait que confirmer qu’il ne sait pas quoi en faire de ce fichu pouvoir.
À part ca je suis content j’ai envoyée ma déclaration d’impôts, et vu ce que je vais payer encore il y à de quoi accueillir un paquet de sans papier…
Excellent résumé de la situation Philippe et il y en a encore qui se demandent si ça vaut la peine de se bouger le 22 juin….
« A priori que des bonnes intentions »
Effectivement et une de mes phrases préférées est :
« l’enfer est pavé de bonnes intentions ».
qui peut croire que les écolos s’intéressent à l’écologie ?? il n’y avait plus de PLACE sur le devant de la scéne déjà prise par les arrivistes vieillards de la gauche socialiste , il fallait un autre miroir pour s’admirer.
Lorsque les citoyens se bougent , les écolo s’accrochent à eux . de vrais arapédes..
Bien dit !