Salade César
– Une laitue romaine lavée essorée et coupée grossièrement
– Un citron
– 100 grammes de parmesan râpé ( ou de gruyère râpé )
– 500 grammes de bacon coupe américaine ( tranches minces )
– 150 ml de mayonnaise additionnée d’une gousse d’ail hachée
– 50 ml de crème fraîche liquide ( celle qui est utilisée pour faire la chantilly )
– – Poivre au goût
Dans un grand saladier, mettre la mayonnaise, la crème, le poivre et la moitié du parmesan râpé. Bien mélanger. Ajouter la salade.
Déposer les tranches de bacon, 4 à la fois, sur des feuilles de sopalin doubles, les recouvrir d’une feuille de sopalin et mettre au micro ondes en calculant 50 secondes par tranche à force maximale. Les forces de micro ondes variant d’une marque à l’autre, ajuster la puissance et le temps de façon à obtenir des tranches bien cuites, bien sèches et bien croustillantes.
Une fois les 500 grammes de bacon passés au micro ondes les émietter sur la salade puis mélanger le tout.
Servir dans des assiettes puis saupoudrer chaque portion avec le reste de parmesan râpé. Pressez le jus de citron sur chaque portion et servez décoré d’une rondelle de citron .
Astuce : j’aime bien râper un peu de citron entier congelé sur cette salade. Ça lui procure un goût unique, sans doutes à cause du zeste.
Nini
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Philippe Le Routier devrait changer de nom pour Philippe Le Poète 🙂
Vraiment bien ce petit poème. Et c’est très bien Christine que pour nous divertir, vous publiez une rubrique de poème de Philippe. J’ai toujours beaucoup de plaisir à lelire et je suis certaine de ne pas être la seule 🙂
C’est qu’il est très habile du crayon et l’esprit agile Notre Philippe 🙂
C’est pire que cela, Nini c’est qu’on ne peut plus se passer de son crayon, de son bon sens, de sa culture, de son humour, de son humanité… bon j’arrête ses chevilles vont enfler il ne va plus pouvoir conduire !
Merci mille fois, voir vanter ma modeste culture par une agrégée me touche énormément, vraiment, je t’ai déjà dis l’admiration que j’avais pour ceux qui, comme toi, transmettent le savoir et c’est sincère.
Pour ce qui est de la pommade tu aurais pu en mettre plus cela dit, mes chevilles peuvent bien enfler, je vais rester Philippe à l’arrêt pendant quelque temps, en profiter pour aller voir mon papa, les frères et soeurs, fleurir la tombe de maman…et présenter l’Alsace à ma dernière petite merveille.
Pour Nini.
Le mérite vous reviens, après tout, ce sont vos recettes qui font naître mon inspiration.
Vous devenez l’idôle de mon beau-frère, gare à moi si dès le lundi il manque un ingrédient, ce grand bébé super cuistot (autiste léger d’ou le « grand bébé ») ne me le pardonnerait pas.
Mon cholestérol par contre ne vous remercie pas mais ca on s’en moque.
Pour Bretonnedecoeur.
Mea culpa oui nous avons mangé Nestor, ceci étant, mon récit n’est pas exactement exact ni complet.
Nous vivions à la campagne, et Nestor ne vivait pas seul, il avait trois compagnes (il etait polygame oui) et parfois comme il etait issu d’une bonne lignée il etait même loué pour aller passer quelque temps dans d’autres fermes pour aller…conter fleurettes à d’autres « dames » que ses trois officielles.
Bref il à vécu de longues années fort agréables je pense (pour un porc du moins) ensuite il etait destiné à la casserole comme nos poules, nos lapins.
Votre sensibilité vous honore bien sur mais un porc domestique comme animal de compagnie et une chose que je recommanderais pas, c’est encombrant, ca bouffe énormément et en plus ca peut être dangereux, j’ai connu un chien de ferme qui fut tué par une truie désireuse de protéger ses petits, pourtant c’était un gros chien.
À très bientôt mes bonnes Amie.
Mais Christine, j’appuie fort sur les 3 copies !! vous avez parfaitement raison. Et cela m’étonnerait beaucoup que l’ami Philippe prenne une tête enflée. C’est un homme que je sens droit, sincère, honnête, impartial, plein de bon sens et de raison et surtout intègre. Et comme vous, je ne peux plus me passer de le lire et j’attend sa prochaine plume avec toujours autant d’impatience 🙂
Alors Philippe, tu flingues tes amis pour les bouffer ? (humour de mauvais goût)
… manifestation d’humour pour masquer mon émotion. Je l’aurais aimé, moi ce cochon ! Je l’aurais gardé comme compagnon et je serais allée acheter mes saucisses, jambon et autres côtelettes chez le charcutier ! Sentimentalisme, quand tu nous tiens.
Sous cette énième merveille de Nini
Je voudrai saluer la mémoire d’un ami.
Un grand copain qui s’appelait Nestor
Et qui se trouvait être un porc.
Au fond de notre cour etait son paradis
Sa demeure, son foyer, sa porcherie…
Un chêne lui donnait ombre et glands
Que Nestor mangeait abondamment…
une source lui donnait eau et boue
Chose que Nestor appréciait beaucoup…
Reste de repas, épluchures
L’ami Nestor faisait aussi vide ordure…
Jamais vèxé de manger tout et n’importe quoi
Pour lui c’était une vie de roi…
Jadis petit porcelet
Qui sous le grillage pouvait passer…
Le roi Nestor poussait parfois le verrou de son groin
Pour des promenades un peu plus loin…
Mais chêne, eau et boue venant à lui manquer
Toujours à sa demeure il revenait…
Puis un matin…
Nestor ne vit pas venir sa fin
Il passa de vie à trépas
Durant son repas…
Une arme de guerre dans une fulgurante détonation
Emporta son âme au paradis des cochons…
Mon ami Nestor, mon ami cochon…
Tu l’ignorais mais tout en toi etait fort bon.
Tu étais grand, beau et fort gras…
Tu nous donna de bien bon repas.
Ton successeur pris soin du chêne et des glands…
Lui aussi mangeait fort bruyamment.
Lui aussi passait son temps dans la boue.
Lui aussi mangeait de tout.
En fait il te ressemblait beaucoup.
Tu l’aurais aimé comme un frère…
Lui se nommait Prosper.
Aujourd’hui du haut du paradis
Je suis sûr que vous avez compris…
Que votre noble sacrifice
Etait la clé de notre délice…
Longue vie à toi dans ton au-delà
Navré mais on ne se reverra pas…
Car si je te souhaite un paradis sans bouchers…
J’espère que le mien aura des charcutiers.
Signé, ton ami
Philippe le routier.
Encore merci Philippe, pour ce tendre et émouvant poème, je le laisse en commentaire, parce que j’ai déjà le poème de demain et celui de dimanche prochain..
Ah mais ma doulce amie je ne visais point le poème du dimanche, je me sentais juste d’inspiration burlesque, j’ai commencé quelques lignes, le reste à suivi, tout simplement.
Et puis je te devais un texte un peu joyeux, léger…tu m’as accordé de laisser libre court à mon vague à l’âme après tout, et ta réponse etait fort agréable à lire, je t’en remercie encore.
Tu as mon mail, si tes poètes habituels sont momentanément indisponibles, envoie moi un sujet, précise ta demande de traitement, drôle ou plus dans l’émotion, peut être pourrais-je t’aider de cette modeste manière.
Ma foi, Philippe, ta proposition n’est pas tombée dans l’oreille d’une sourde… dès que je suis en carafe tu seras au turbin mon cher poète !
Humm miam miam, c’est une bonne idée, avec les beaux jours qui arrivent, on a envie de manger des salades !
Je garde précieusement la recette que je ferai la semaine prochaine. Merci, Nini !!
Hé bien Franny, je vous souhaite un bon appétit. J’ai justement fais cette salade hiers alors que nous avions une journée chaude et ensoleillée et ce fut très rafraîchissant.
Demain je songe à faire un rôti de porc dans le filet, à l’ail romarin et vin blanc…j’en ai l’eau à la bouche rien que d’y penser 🙂
L’une de mes amies vient de se décider à ne plus manger que du porc, poisson, fruits de mer et fromage depuis une semaine. Elle se sent déjà en meilleure forme , a perdu 3 livres, et ne regrette pas sa décision car depuis elle n’a plus aucune brûlure d’estomac 🙂 Elle aussi fera un rôti de porc dans le filet demain 🙂